Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Janvier 2019 Paru le : 01/01/2019 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierConcept de Réinformation Articulaire Proprioceptive (R.A.P) / Gérard Castany in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Concept de Réinformation Articulaire Proprioceptive (R.A.P) Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Castany ; Geoffrey Chapelain Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.57-60 Langues : Français (fre) Mots-clés : Proprioception Résumé : Le concept de Réinformation Articulaire Proprioceptive (R.A.P) émet l'hypothèse d'une remise en fonction des signaux proprioceptifs transmis au système nerveux central (SNC) par les récepteurs articulaires au moyen d'un stress informatif centré sur l'articulation. Le but de cette étude est de vérifier l'efficacité de cette technique manuelle sur le traitement de la douleur. Après avoir mis en place notre traitement de Réinformation Articulaire Proprioceptive, nous l'avons soumis à une évaluation par l'utilisation d'un outil basé sur une méthode quantitative par questionnaire. Après dépuillement et interprétation, nous obtenons des résultats intéressants sur la variation de la douleur, avec 91 % de patients présentant une diminution de la douleur après une seule séance et 88 % satisfaits par cette technique. Pour rappel, les récepteurs présents au sein de la capsule et des ligaments renseignent le cortex cérébral sur l'état de ces articulations. Ces récepteurs sont sensibles à la pression et à l'étirement selon Wu et Chiang : « Une étroite synergie existe entre les récepteurs tactiles, les récepteurs proprioceptifs et les récepteurs articulaires situés en pourtour de la cheville, communément appelé somato-sensation du pied. Les afférences sensorielles, en provenance de la périphérie, sont acheminées vers le niveau spinal et le système nerveux central (SNC). Elles y sont intégrées afin d'informer le système nerveux de la position du corps dans l'espace et des forces appliquées sur ce dernier, dans un environnement et un contexte spécifiques. Ainsi, le SNC sera en mesure de planifier et d'élaborer une commande motrice efférente appropriée, efficace et précise. Ces afférences proviennent du système visuel, vestibulaire et du système somato-sensoriel. Le système somato-sensoriel regroupe de multiples organes sensoriels incluant les récepteurs musculaires (proprioception dont l'appareil tendineux de Golgi et les fuseaux neuromusculaires), les récepteurs articulaires et les mécanorécepteurs cutanés. ». Quand une articulation est soumise à différentes contraintes, une immobilisation prolongée, un traumatisme (une entorse...), ou la répétition de mouvements qui ne s'effectuent pas dans les axes normaux de mobilité de cette articulation (mauvaise posture de travail...), les récepteurs tendino-capsulo-ligamentaires intra-articulaires ou périphériques en rapport avec cette articulation, sont perturbés et envoient des signaux d'alerte en direction du cortex cérébral sous la forme le plus souvent de stimuli douloureux ? immédiats pour l'entorse ;
? dans un délai plus long pour le geste répétitif mal effectué. Dans la normalité, par la mise au repos et les traitements physiques ou médicamenteux, le retour à la consolidation interviendra dans un délai plus ou moins variable.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61201
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p.57-60[article] Concept de Réinformation Articulaire Proprioceptive (R.A.P) [texte imprimé] / Gérard Castany ; Geoffrey Chapelain . - 2019 . - p.57-60.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p.57-60
Mots-clés : Proprioception Résumé : Le concept de Réinformation Articulaire Proprioceptive (R.A.P) émet l'hypothèse d'une remise en fonction des signaux proprioceptifs transmis au système nerveux central (SNC) par les récepteurs articulaires au moyen d'un stress informatif centré sur l'articulation. Le but de cette étude est de vérifier l'efficacité de cette technique manuelle sur le traitement de la douleur. Après avoir mis en place notre traitement de Réinformation Articulaire Proprioceptive, nous l'avons soumis à une évaluation par l'utilisation d'un outil basé sur une méthode quantitative par questionnaire. Après dépuillement et interprétation, nous obtenons des résultats intéressants sur la variation de la douleur, avec 91 % de patients présentant une diminution de la douleur après une seule séance et 88 % satisfaits par cette technique. Pour rappel, les récepteurs présents au sein de la capsule et des ligaments renseignent le cortex cérébral sur l'état de ces articulations. Ces récepteurs sont sensibles à la pression et à l'étirement selon Wu et Chiang : « Une étroite synergie existe entre les récepteurs tactiles, les récepteurs proprioceptifs et les récepteurs articulaires situés en pourtour de la cheville, communément appelé somato-sensation du pied. Les afférences sensorielles, en provenance de la périphérie, sont acheminées vers le niveau spinal et le système nerveux central (SNC). Elles y sont intégrées afin d'informer le système nerveux de la position du corps dans l'espace et des forces appliquées sur ce dernier, dans un environnement et un contexte spécifiques. Ainsi, le SNC sera en mesure de planifier et d'élaborer une commande motrice efférente appropriée, efficace et précise. Ces afférences proviennent du système visuel, vestibulaire et du système somato-sensoriel. Le système somato-sensoriel regroupe de multiples organes sensoriels incluant les récepteurs musculaires (proprioception dont l'appareil tendineux de Golgi et les fuseaux neuromusculaires), les récepteurs articulaires et les mécanorécepteurs cutanés. ». Quand une articulation est soumise à différentes contraintes, une immobilisation prolongée, un traumatisme (une entorse...), ou la répétition de mouvements qui ne s'effectuent pas dans les axes normaux de mobilité de cette articulation (mauvaise posture de travail...), les récepteurs tendino-capsulo-ligamentaires intra-articulaires ou périphériques en rapport avec cette articulation, sont perturbés et envoient des signaux d'alerte en direction du cortex cérébral sous la forme le plus souvent de stimuli douloureux ? immédiats pour l'entorse ;
? dans un délai plus long pour le geste répétitif mal effectué. Dans la normalité, par la mise au repos et les traitements physiques ou médicamenteux, le retour à la consolidation interviendra dans un délai plus ou moins variable.
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Exclu du prêtL'échographie du diaphragme : atouts et limites dans la prédiction du sevrage de la ventilation mécanique / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : L'échographie du diaphragme : atouts et limites dans la prédiction du sevrage de la ventilation mécanique Type de document : texte imprimé Auteurs : Aymeric Le Neindre Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 43-47 Langues : Français (fre) Mots-clés : Échographie Muscle diaphragme Résumé : L?échographie du diaphragme permet de repérer les patients dont la mobilité ou la contractilité du diaphragme est altérée, que ce soit par la ventilation mécanique ou d?autres cause de paralysie (lésions du nerf phrénique, postopératoire thoracique ou abdominal, maladie neuromusculaire, etc.). L?évaluation du diaphragme en réanimation devient un enjeu pour juger de la sévérité du patient, suivre son évolution et adapter la stratégie thérapeutique : le kinésithérapeute, expert de l?évaluation clinique de la fonction musculaire, a ainsi, grâce à l?échographie, les moyens d?étendre son expertise dans l?évaluation non invasive du diaphragme. Elle lui permettra de suivre l?évolution et la récupération du diaphragme et d?aider à adapter le niveau de support ventilatoire [1].
Le kinésithérapeute est largement impliqué dans le sevrage de la ventilation mécanique, au sein d?une équipe multidisciplinaire constitué par le médecin et l?infirmière. Il participe à l?optimisation du support ventilatoire et à l?évaluation des possibilités d?extubation du patient [2].
La fonction du diaphragme, avec la fonction cardiaque et pulmonaire, est un des facteurs largement impliqué dans l?échec d?extubation lorsqu?elle est atteinte. L?utilisation de l?échographie du diaphragme par le kinésithérapeute lui offrira de nouveaux indicateurs, prédictifs du succès ou de l?échec d?extubation, complémentaires à l?examen clinique.
Cependant, il existe plusieurs méthodes d?évaluation échographique du diaphragme et le nombre d?études évaluant leur capacité à prédire le succès ou l?échec de l?extubation a largement augmenté ces dernières années. L?objectif de cet article est de proposer une synthèse permettant au clinicien d?appliquer les résultats de cette littérature en pratique clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61214
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 43-47[article] L'échographie du diaphragme : atouts et limites dans la prédiction du sevrage de la ventilation mécanique [texte imprimé] / Aymeric Le Neindre . - 2019 . - p. 43-47.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 43-47
Mots-clés : Échographie Muscle diaphragme Résumé : L?échographie du diaphragme permet de repérer les patients dont la mobilité ou la contractilité du diaphragme est altérée, que ce soit par la ventilation mécanique ou d?autres cause de paralysie (lésions du nerf phrénique, postopératoire thoracique ou abdominal, maladie neuromusculaire, etc.). L?évaluation du diaphragme en réanimation devient un enjeu pour juger de la sévérité du patient, suivre son évolution et adapter la stratégie thérapeutique : le kinésithérapeute, expert de l?évaluation clinique de la fonction musculaire, a ainsi, grâce à l?échographie, les moyens d?étendre son expertise dans l?évaluation non invasive du diaphragme. Elle lui permettra de suivre l?évolution et la récupération du diaphragme et d?aider à adapter le niveau de support ventilatoire [1].
Le kinésithérapeute est largement impliqué dans le sevrage de la ventilation mécanique, au sein d?une équipe multidisciplinaire constitué par le médecin et l?infirmière. Il participe à l?optimisation du support ventilatoire et à l?évaluation des possibilités d?extubation du patient [2].
La fonction du diaphragme, avec la fonction cardiaque et pulmonaire, est un des facteurs largement impliqué dans l?échec d?extubation lorsqu?elle est atteinte. L?utilisation de l?échographie du diaphragme par le kinésithérapeute lui offrira de nouveaux indicateurs, prédictifs du succès ou de l?échec d?extubation, complémentaires à l?examen clinique.
Cependant, il existe plusieurs méthodes d?évaluation échographique du diaphragme et le nombre d?études évaluant leur capacité à prédire le succès ou l?échec de l?extubation a largement augmenté ces dernières années. L?objectif de cet article est de proposer une synthèse permettant au clinicien d?appliquer les résultats de cette littérature en pratique clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61214 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa validité de la mesure de la spasticité par méthode EMG : revue bibliographique / Geoffrey Deltenre ; José-Gabriel Guerrero in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : La validité de la mesure de la spasticité par méthode EMG : revue bibliographique Type de document : texte imprimé Auteurs : Geoffrey Deltenre ; José-Gabriel Guerrero Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 35-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Électromyographie Réflexe spasticité Spasticité musculaire Résumé : La spasticité est un désordre moteur fréquemment rencontré lors de pathologies du système nerveux central. Au niveau clinique, la spasticité se manifeste par une raideur réflexe, liée à l?exagération du réflexe d?étirement et une raideur non réflexe, induite par des modifications des propriétés mécaniques du muscle.PHYSIOPATHOLOGIE
Le réflexe d?étirement est organisé en boucle de rétroaction. Outre ces principaux constituants, il est influencé par des afférences qui partagent une partie du pool des interneurones médullaires. Ces interneurones reçoivent des influx des centres supérieurs et sont des relais majeurs de la régulation supra-spinale.Ainsi, les interneurones sont des carrefours convergents des informations périphériques et supra-spinales. Ils ont principalement un rôle inhibiteur. L?atteinte du contrôle cortical aurait pour conséquence une levée de l?inhibition et par conséquence, une dérégulation des boucles réflexes traduite par le signe clinique de la spasticité.L?opposition d?un muscle à l?étirement est la conséquence d?une résistance élastique et d?une résistance visqueuse [5-7]. La modification des propriétés viscoélastiques du muscle contribuerait à la raideur engendrée par la spasticité.
Les structures responsables de la régulation des boucles réflexes spinales sont dépendantes de l?encéphale et du tronc cérébral.Ces systèmes influencent les réflexes profonds et le tonus musculaire. Ainsi, la spasticité lors de lésions de l?encéphale serait issue de la diminution de l?action excitatrice du cortex cérébral sur la formation réticulée inhibitricePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61218
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 35-42[article] La validité de la mesure de la spasticité par méthode EMG : revue bibliographique [texte imprimé] / Geoffrey Deltenre ; José-Gabriel Guerrero . - 2019 . - p. 35-42.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 35-42
Mots-clés : Électromyographie Réflexe spasticité Spasticité musculaire Résumé : La spasticité est un désordre moteur fréquemment rencontré lors de pathologies du système nerveux central. Au niveau clinique, la spasticité se manifeste par une raideur réflexe, liée à l?exagération du réflexe d?étirement et une raideur non réflexe, induite par des modifications des propriétés mécaniques du muscle.PHYSIOPATHOLOGIE
Le réflexe d?étirement est organisé en boucle de rétroaction. Outre ces principaux constituants, il est influencé par des afférences qui partagent une partie du pool des interneurones médullaires. Ces interneurones reçoivent des influx des centres supérieurs et sont des relais majeurs de la régulation supra-spinale.Ainsi, les interneurones sont des carrefours convergents des informations périphériques et supra-spinales. Ils ont principalement un rôle inhibiteur. L?atteinte du contrôle cortical aurait pour conséquence une levée de l?inhibition et par conséquence, une dérégulation des boucles réflexes traduite par le signe clinique de la spasticité.L?opposition d?un muscle à l?étirement est la conséquence d?une résistance élastique et d?une résistance visqueuse [5-7]. La modification des propriétés viscoélastiques du muscle contribuerait à la raideur engendrée par la spasticité.
Les structures responsables de la régulation des boucles réflexes spinales sont dépendantes de l?encéphale et du tronc cérébral.Ces systèmes influencent les réflexes profonds et le tonus musculaire. Ainsi, la spasticité lors de lésions de l?encéphale serait issue de la diminution de l?action excitatrice du cortex cérébral sur la formation réticulée inhibitricePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61218 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa ventilation à percussions ou à oscillations intra-pulmonaires / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : La ventilation à percussions ou à oscillations intra-pulmonaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 53-56 Langues : Français (fre) Mots-clés : percussion intrapulmonaire kinésithérapie respiratoire VENTILATION Résumé : Les techniques de percussions ou de vibrations manuelles, appliquées à la surface du thorax, ont quitté depuis de nombreuses années l?arsenal thérapeutique en kinésithérapie respiratoire. Leur manque d?efficacité et les effets délétères évalués les ont renvoyées au catalogue des techniques historiques, supplantées par les méthodes de modulation du flux expiratoire ou de déflation pulmonaire.
Parallèlement, des dispositifs se sont développés permettant d?administrer des percussions ou des oscillations intra-pulmonaires via la colonne d?air ventilée. Et l?année qui vient de s?écouler a vu apparaître sur le marché français de nouveaux appareils, de plus en plus polyvalents et performants, promettant de devenir des supports indispensables en kinésithérapie respiratoire. C?est donc l?occasion d?une mise au point sur les notions de percussions et d?oscillations intra-pulmonaires, d?en comprendre les indications et les effets sur la base du niveau de preuve actuel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61219
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 53-56[article] La ventilation à percussions ou à oscillations intra-pulmonaires [texte imprimé] / Bertrand Selleron . - 2019 . - p. 53-56.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 53-56
Mots-clés : percussion intrapulmonaire kinésithérapie respiratoire VENTILATION Résumé : Les techniques de percussions ou de vibrations manuelles, appliquées à la surface du thorax, ont quitté depuis de nombreuses années l?arsenal thérapeutique en kinésithérapie respiratoire. Leur manque d?efficacité et les effets délétères évalués les ont renvoyées au catalogue des techniques historiques, supplantées par les méthodes de modulation du flux expiratoire ou de déflation pulmonaire.
Parallèlement, des dispositifs se sont développés permettant d?administrer des percussions ou des oscillations intra-pulmonaires via la colonne d?air ventilée. Et l?année qui vient de s?écouler a vu apparaître sur le marché français de nouveaux appareils, de plus en plus polyvalents et performants, promettant de devenir des supports indispensables en kinésithérapie respiratoire. C?est donc l?occasion d?une mise au point sur les notions de percussions et d?oscillations intra-pulmonaires, d?en comprendre les indications et les effets sur la base du niveau de preuve actuel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61219 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPlace de la rééducation dans le traitement du syndrome de la traversée thoraco-brachiale (1ère partie) / Alain PROST in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Place de la rééducation dans le traitement du syndrome de la traversée thoraco-brachiale (1ère partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain PROST Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 23-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : compression veineuse Syndrome du défilé thoracobrachial Résumé : Définition
Le syndrome de la traversée thoraco-brachiale (TTB) est défini comme l'ensemble des manifestations cliniques liées à la compression intermittente ou permanente du plexus brachial ou des vaisseaux sous-claviers dans les défilés anatomiques de la région cervico-thoraco-brachiale avec 4 zones possibles de compression :? les défilés interscaléniques et pré-scaléniques, ce dernier se modifiant avec les mouvements de la clavicule ;
? la pince costo-claviculaire accentuée par l'abaissement du moignon de l'épaule et par la rétropulsion du bras ;
? le tunnel sous-pectoral entre la fosse axillaire et le muscle petit pectoral ;
? le billot huméral lors de l'abduction du bras.C'est donc un syndrome qui associe des signes vasculaires et neurologiques.Les compressions vasculaires sont souvent asymptomatiques, sauf dans le mode trombo-embolique aigu.Les compressions neurologiques, prédominantes en milieu professionnel (70 % des cas) gardent longtemps une sémiologie fonctionnelle isolée avec apparition tardive des signes déficitaires objectifs.Les formes mixtes sont fréquentes mais la symptomatologie neurologique reste au premier plan.La caractéristique de ces troubles réside dans leur déclenchement postural, rythmé par certains postes de travail, du moins avant la phase la plus évoluée.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61225
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 23-35[article] Place de la rééducation dans le traitement du syndrome de la traversée thoraco-brachiale (1ère partie) [texte imprimé] / Alain PROST . - 2019 . - p. 23-35.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 23-35
Mots-clés : compression veineuse Syndrome du défilé thoracobrachial Résumé : Définition
Le syndrome de la traversée thoraco-brachiale (TTB) est défini comme l'ensemble des manifestations cliniques liées à la compression intermittente ou permanente du plexus brachial ou des vaisseaux sous-claviers dans les défilés anatomiques de la région cervico-thoraco-brachiale avec 4 zones possibles de compression :? les défilés interscaléniques et pré-scaléniques, ce dernier se modifiant avec les mouvements de la clavicule ;
? la pince costo-claviculaire accentuée par l'abaissement du moignon de l'épaule et par la rétropulsion du bras ;
? le tunnel sous-pectoral entre la fosse axillaire et le muscle petit pectoral ;
? le billot huméral lors de l'abduction du bras.C'est donc un syndrome qui associe des signes vasculaires et neurologiques.Les compressions vasculaires sont souvent asymptomatiques, sauf dans le mode trombo-embolique aigu.Les compressions neurologiques, prédominantes en milieu professionnel (70 % des cas) gardent longtemps une sémiologie fonctionnelle isolée avec apparition tardive des signes déficitaires objectifs.Les formes mixtes sont fréquentes mais la symptomatologie neurologique reste au premier plan.La caractéristique de ces troubles réside dans leur déclenchement postural, rythmé par certains postes de travail, du moins avant la phase la plus évoluée.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSpondylolyse et spondylolisthésis isthmique chez l'adulte / Frédéric JACQUOT in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Spondylolyse et spondylolisthésis isthmique chez l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric JACQUOT Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 5-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgie Ostéosynthèse Spondylolisthésis Résumé : Une spondylolyse isthmique est par définition une perte de continuité de l?isthme articulaire (pars interarticularis), partie osseuse située entre les apophyses articulaires supérieure et inférieure de chaque côté de l?arc vertébral postérieur (fig. 1). Elle survient le plus souvent au niveau d?un étage vertébral lombaire bas, habituellement le dernier étage mobile. Elle est uni ou bilatérale et peut rarement intéresser plusieurs niveaux. Lorsqu?elle est bilatérale, elle induit une micromobilité de l?arc postérieur libre. Les formes unilatérales sont selon toute probabilité des formes bilatérales à consolidation incomplète.La survenue de la spondylolyse peut être aiguë, traumatique, correspondant à un trait de fracture vrai ou chronique, sans véritable notion de traumatisme. Elle a tous les caractères d?une pseudarthrose. La perte de continuité s?organise alors sous la forme d?un tissu fibreux ou plus rarement pseudo-kystique plus ou moins hypertrophique anciennement appelé « nodule de Gill », qui peut être agressif pour les racines nerveuses à son contact. La lyse peut survenir dans l?enfance, mais également de novo à l?âge adulte
La fréquence de la spondylolyse lombaire est remarquablement élevée : de l?ordre de 3 à 7 % dans la population générale beaucoup plus dans certains groupes. Si Inuits et Bushmen sont classiquement des groupes à risque la fréquence des spondylolyses est de 14 % chez les athlètes de haut niveau [8, 9], particulièrement 20 % chez les danseurs, et de 11 à 17 % chez les gymnastes et les rameurs au point que la constatation d?une spondylolyse pourrait presque être considérée comme physiologique dans certains groupes de sportifs... Un spondylolisthésis est un déplacement permanent du corps vertébral en avant sur le corps sous-jacent, constituant un antélisthésis (fig. 2). Il est 2 à 3 fois moins fréquent que la spondylolyse isthmique Dans sa forme dite isthmique, il survient à la faveur d?une spondylolyse vraie, ou d?un allongement « dysplasique » de l?isthme sans perte de continuité qui est peut-être le résultat d?une lésion traumatique consolidée.Les spondylolisthésis ont été classés de façon purement descriptive par Newman en 5 types essentiels. Le type isthmique est le type II, avec une forme lytique IIa, une forme avec allongement de l?isthme sans lyse IIb, et une forme traumatique aiguë avec fracture des isthmes IIc [Les autres types sont le type I « dysplasique » et plutôt rare recouvre un ensemble de malformations congénitales de la charnière lombo-sacrée : incompétence des articulaires postérieures dysplasiques associées à une anomalie de croissance du sacrum « en dôme », il se voit chez l?enfant et s?accompagne de troubles radiculaires car l?arc postérieur est habituellement intact.Le type III correspond au spondylolisthésis dit dégénératif : il s?agit d?un glissement habituellement à l?avant dernier niveau mobile, dû à la faillite arthrosique des apophyses articulaires postérieures et permise par la dégénérescence discale associée. Ceci survient chez un individu âgé au moins sur le plan physiologique, et s?accompagne de signes radiculaires au premier plan, car l?arc postérieur reste en continuité du corps, et l?effet « coupe-cigare » ajouté à l?hypertrophie arthrosique des articulations interapophysaires crée un syndrome canalaire de type claudication neurologique ou de type radiculalgique, selon la prédominance globale ou latérale de la sténose. Le déplacement lui-même est habituellement modéré Le type IV intéresse le glissement acquis à la suite de la rare fracture traumatique des apophyses articulaires.Le type V comprend les conditions pathologiques locales (infection, tumeur) ou générales conduisant à la destruction des facettes, pédicules ou isthmes Enfin, le type VI ajouté ultérieurement est le spondylolisthésis crée par la destruction chirurgicale de l?arc postérieur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61232
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 5-21[article] Spondylolyse et spondylolisthésis isthmique chez l'adulte [texte imprimé] / Frédéric JACQUOT . - 2019 . - p. 5-21.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 5-21
Mots-clés : Lombalgie Ostéosynthèse Spondylolisthésis Résumé : Une spondylolyse isthmique est par définition une perte de continuité de l?isthme articulaire (pars interarticularis), partie osseuse située entre les apophyses articulaires supérieure et inférieure de chaque côté de l?arc vertébral postérieur (fig. 1). Elle survient le plus souvent au niveau d?un étage vertébral lombaire bas, habituellement le dernier étage mobile. Elle est uni ou bilatérale et peut rarement intéresser plusieurs niveaux. Lorsqu?elle est bilatérale, elle induit une micromobilité de l?arc postérieur libre. Les formes unilatérales sont selon toute probabilité des formes bilatérales à consolidation incomplète.La survenue de la spondylolyse peut être aiguë, traumatique, correspondant à un trait de fracture vrai ou chronique, sans véritable notion de traumatisme. Elle a tous les caractères d?une pseudarthrose. La perte de continuité s?organise alors sous la forme d?un tissu fibreux ou plus rarement pseudo-kystique plus ou moins hypertrophique anciennement appelé « nodule de Gill », qui peut être agressif pour les racines nerveuses à son contact. La lyse peut survenir dans l?enfance, mais également de novo à l?âge adulte
La fréquence de la spondylolyse lombaire est remarquablement élevée : de l?ordre de 3 à 7 % dans la population générale beaucoup plus dans certains groupes. Si Inuits et Bushmen sont classiquement des groupes à risque la fréquence des spondylolyses est de 14 % chez les athlètes de haut niveau [8, 9], particulièrement 20 % chez les danseurs, et de 11 à 17 % chez les gymnastes et les rameurs au point que la constatation d?une spondylolyse pourrait presque être considérée comme physiologique dans certains groupes de sportifs... Un spondylolisthésis est un déplacement permanent du corps vertébral en avant sur le corps sous-jacent, constituant un antélisthésis (fig. 2). Il est 2 à 3 fois moins fréquent que la spondylolyse isthmique Dans sa forme dite isthmique, il survient à la faveur d?une spondylolyse vraie, ou d?un allongement « dysplasique » de l?isthme sans perte de continuité qui est peut-être le résultat d?une lésion traumatique consolidée.Les spondylolisthésis ont été classés de façon purement descriptive par Newman en 5 types essentiels. Le type isthmique est le type II, avec une forme lytique IIa, une forme avec allongement de l?isthme sans lyse IIb, et une forme traumatique aiguë avec fracture des isthmes IIc [Les autres types sont le type I « dysplasique » et plutôt rare recouvre un ensemble de malformations congénitales de la charnière lombo-sacrée : incompétence des articulaires postérieures dysplasiques associées à une anomalie de croissance du sacrum « en dôme », il se voit chez l?enfant et s?accompagne de troubles radiculaires car l?arc postérieur est habituellement intact.Le type III correspond au spondylolisthésis dit dégénératif : il s?agit d?un glissement habituellement à l?avant dernier niveau mobile, dû à la faillite arthrosique des apophyses articulaires postérieures et permise par la dégénérescence discale associée. Ceci survient chez un individu âgé au moins sur le plan physiologique, et s?accompagne de signes radiculaires au premier plan, car l?arc postérieur reste en continuité du corps, et l?effet « coupe-cigare » ajouté à l?hypertrophie arthrosique des articulations interapophysaires crée un syndrome canalaire de type claudication neurologique ou de type radiculalgique, selon la prédominance globale ou latérale de la sténose. Le déplacement lui-même est habituellement modéré Le type IV intéresse le glissement acquis à la suite de la rare fracture traumatique des apophyses articulaires.Le type V comprend les conditions pathologiques locales (infection, tumeur) ou générales conduisant à la destruction des facettes, pédicules ou isthmes Enfin, le type VI ajouté ultérieurement est le spondylolisthésis crée par la destruction chirurgicale de l?arc postérieur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61232 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtIntérêt du squat unipodal dans la prise en charge du syndrome fémoro-patellaire / Kevin Branchard in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Intérêt du squat unipodal dans la prise en charge du syndrome fémoro-patellaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Kevin Branchard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 49-51 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome fémoro patellaire Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire (SFP) est une pathologie caractérisée par une douleur diffuse à la face antérieure du genou, aggravée lors des activités qui augmentent les forces de compression de l'articulation fémoro-patellaire (accroupissement, montée et descente des escaliers, station assise prolongée, sport, etc.). Ce syndrome représente 25 à 40 % des consultations en médecine du sport. Il touche principalement les femmes.La compréhension de cette pathologie a énormément évolué grâce aux différents travaux de recherche réalisés ces dernières années. L'analyse de la littérature met en évidence une faiblesse du quadriceps, notamment du vaste interne chez les patients souffrant de SFP. Il est aujourd'hui admis que cette faiblesse est également retrouvée pour la musculature postéro-latérale de hanche (moyen et grand fessiers).Enfin, on retrouve chez ces patients un contrôle postural et proprioceptif déficitaire du membre inférieur atteint en comparaison au côté sain Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107535
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 49-51[article] Intérêt du squat unipodal dans la prise en charge du syndrome fémoro-patellaire [texte imprimé] / Kevin Branchard . - 2019 . - p. 49-51.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 49-51
Mots-clés : Syndrome fémoro patellaire Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire (SFP) est une pathologie caractérisée par une douleur diffuse à la face antérieure du genou, aggravée lors des activités qui augmentent les forces de compression de l'articulation fémoro-patellaire (accroupissement, montée et descente des escaliers, station assise prolongée, sport, etc.). Ce syndrome représente 25 à 40 % des consultations en médecine du sport. Il touche principalement les femmes.La compréhension de cette pathologie a énormément évolué grâce aux différents travaux de recherche réalisés ces dernières années. L'analyse de la littérature met en évidence une faiblesse du quadriceps, notamment du vaste interne chez les patients souffrant de SFP. Il est aujourd'hui admis que cette faiblesse est également retrouvée pour la musculature postéro-latérale de hanche (moyen et grand fessiers).Enfin, on retrouve chez ces patients un contrôle postural et proprioceptif déficitaire du membre inférieur atteint en comparaison au côté sain Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107535 Exemplaires (1)
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