Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : juillet 2018 Paru le : 01/07/2018 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierComprendre la douleur pour mieux la traiter / Laurent Rousseau in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Comprendre la douleur pour mieux la traiter Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Rousseau Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 47-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs Résumé : La douleur chronique doit être appréhendée selon un modèle biopsychosocial. Sa prise en charge repose sur une démarche évaluative, puis sur un traitement souvent multimodal et réadaptatif. Ainsi, le caractère multi dimensionnel de la douleur nécessite une évaluation multifocale, permettant de mettre en lumière les caractères les plus saillants d?une douleur qu?il faut comprendre comme un message crypté nécessitant d?être déchiffré.L?objectivité du bilan de la douleur d?un patient se heurte à sa subjectivité et à son caractère individuel. Ce paradoxe est le quotidien de tout praticien prenant en charge un patient douloureux, et qui voudra bien investir le temps nécessaire pour comprendre les rouages tortueux de la survenue de sa douleur.
Pour reprendre les mots d?un patient, « la douleur d?autrui n?est qu?un songe ». Peut-on la comprendre véritablement, ou doit-on juste se contenter de la rendre visible en lui assujettissant quelques paramètres pertinents, qui nous permettront de la jauger, et de proposer une ébauche de traitement ?
La force de la preuve est ici toute relative, car toute approche évaluative repose sur le ressenti du patient, et ce ressenti se trouve nécessairement entaché par l?émotion induite par la douleur elle-même. Peut-on espérer obtenir des patients assez de recul pour analyser finement une situation qu?ils subissent sans relâche, et qui teinte nécessairement leur jugement ? Ne doit-on pas se contenter, sans les contester, d?informations qui pourront nous apparaitre parfois décalées ? Au demeurant, il y a plus d?informations à retirer quand un patient estime sa douleur à 15 sur 10, que lorsqu?il l?estime à 5 mais, du coup, quelles valeurs (aux yeux de la science) pourra t?on retirer d?une une telle réponse ? Elle n?aura de pertinence que par le message qu?elle nous donne, mais en termes de preuve ne pourra être retenue, car elle sort du cadre strict de l?évaluaton faite avec l?échelle numérique de la douleur, qui ne prévoit pas de réponse au-delà de 10.
" La douleur est ce que la personne qui en est atteinte dit qu?elle est, et elle existe dès lors qu?elle affirme la ressentir, qu?une cause soit identifiée ou non ».
Gardons présent à l?esprit que « la seule douleur supportable, c?est celle des autres »Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59087
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 47-55[article] Comprendre la douleur pour mieux la traiter [texte imprimé] / Laurent Rousseau . - 2018 . - p. 47-55.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 47-55
Mots-clés : Douleurs Résumé : La douleur chronique doit être appréhendée selon un modèle biopsychosocial. Sa prise en charge repose sur une démarche évaluative, puis sur un traitement souvent multimodal et réadaptatif. Ainsi, le caractère multi dimensionnel de la douleur nécessite une évaluation multifocale, permettant de mettre en lumière les caractères les plus saillants d?une douleur qu?il faut comprendre comme un message crypté nécessitant d?être déchiffré.L?objectivité du bilan de la douleur d?un patient se heurte à sa subjectivité et à son caractère individuel. Ce paradoxe est le quotidien de tout praticien prenant en charge un patient douloureux, et qui voudra bien investir le temps nécessaire pour comprendre les rouages tortueux de la survenue de sa douleur.
Pour reprendre les mots d?un patient, « la douleur d?autrui n?est qu?un songe ». Peut-on la comprendre véritablement, ou doit-on juste se contenter de la rendre visible en lui assujettissant quelques paramètres pertinents, qui nous permettront de la jauger, et de proposer une ébauche de traitement ?
La force de la preuve est ici toute relative, car toute approche évaluative repose sur le ressenti du patient, et ce ressenti se trouve nécessairement entaché par l?émotion induite par la douleur elle-même. Peut-on espérer obtenir des patients assez de recul pour analyser finement une situation qu?ils subissent sans relâche, et qui teinte nécessairement leur jugement ? Ne doit-on pas se contenter, sans les contester, d?informations qui pourront nous apparaitre parfois décalées ? Au demeurant, il y a plus d?informations à retirer quand un patient estime sa douleur à 15 sur 10, que lorsqu?il l?estime à 5 mais, du coup, quelles valeurs (aux yeux de la science) pourra t?on retirer d?une une telle réponse ? Elle n?aura de pertinence que par le message qu?elle nous donne, mais en termes de preuve ne pourra être retenue, car elle sort du cadre strict de l?évaluaton faite avec l?échelle numérique de la douleur, qui ne prévoit pas de réponse au-delà de 10.
" La douleur est ce que la personne qui en est atteinte dit qu?elle est, et elle existe dès lors qu?elle affirme la ressentir, qu?une cause soit identifiée ou non ».
Gardons présent à l?esprit que « la seule douleur supportable, c?est celle des autres »Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59087 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtCritères de retour au sport après reconstruction du ligament croisé antérieur : dernières recommandations de la littérature / Alexandre Rambaud in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Critères de retour au sport après reconstruction du ligament croisé antérieur : dernières recommandations de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Rambaud ; François Fourchet ; Thomas Neri ; P. Edouard, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 19-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament croisé antérieur /Traumatismes retour au sport Guide de bonnes pratiques Résumé : Après reconstruction du ligament croisé antérieur (LCA), le risque de re-rupture [1] et la fonction du genou opéré ainsi que son avenir (gonarthrose) sont fortement liés à la rééducation . Un des critères de réussite de la reconstruction du LCA est validé par le retour au sport du patient à son niveau de pratique antérieur.
Cependant, dans la méta-analyse d?Ardern et al. , seulement 63 % des patients retrouvent un niveau identique à 3 ans. Ce taux pourrait être expliqué par une récupération non complète du membre inférieur opéré [1], par une diminution des capacités physiques induite par la chirurgie et sa prise en charge ou par la peur du sportif de se blesser à nouveau. Il semble donc indispensable de repenser la rééducation et le retour au sport, afin de mieux les définir.
C?est ainsi que, lors du 1er Congrès international de la kinésithérapie du sport à Berne (www.sportfisio.ch/fr/rtp-2015/) organisé par l?IFSPT (International Federation of Sports Physical Therapy : http://ifspt.org/), des experts se sont regroupés afin d?établir un consensus sur les étapes du retour au sport, pendant et après la rééducation. Ils ont défini un continuum en 3 étapes :
1) Return to Participation : le retour à l?activité sportive, mais avec certaines restrictions.
2) Return to Sport : le retour au sport sans restriction d?activité mais sans compétition : c?est le retour à l?entraînement.
3) Return to Performance : c?est le retour à la compétition, avec un objectif de performance sportive pour le patient.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59090
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 19-22[article] Critères de retour au sport après reconstruction du ligament croisé antérieur : dernières recommandations de la littérature [texte imprimé] / Alexandre Rambaud ; François Fourchet ; Thomas Neri ; P. Edouard, Auteur . - 2018 . - p. 19-22.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 19-22
Mots-clés : Ligament croisé antérieur /Traumatismes retour au sport Guide de bonnes pratiques Résumé : Après reconstruction du ligament croisé antérieur (LCA), le risque de re-rupture [1] et la fonction du genou opéré ainsi que son avenir (gonarthrose) sont fortement liés à la rééducation . Un des critères de réussite de la reconstruction du LCA est validé par le retour au sport du patient à son niveau de pratique antérieur.
Cependant, dans la méta-analyse d?Ardern et al. , seulement 63 % des patients retrouvent un niveau identique à 3 ans. Ce taux pourrait être expliqué par une récupération non complète du membre inférieur opéré [1], par une diminution des capacités physiques induite par la chirurgie et sa prise en charge ou par la peur du sportif de se blesser à nouveau. Il semble donc indispensable de repenser la rééducation et le retour au sport, afin de mieux les définir.
C?est ainsi que, lors du 1er Congrès international de la kinésithérapie du sport à Berne (www.sportfisio.ch/fr/rtp-2015/) organisé par l?IFSPT (International Federation of Sports Physical Therapy : http://ifspt.org/), des experts se sont regroupés afin d?établir un consensus sur les étapes du retour au sport, pendant et après la rééducation. Ils ont défini un continuum en 3 étapes :
1) Return to Participation : le retour à l?activité sportive, mais avec certaines restrictions.
2) Return to Sport : le retour au sport sans restriction d?activité mais sans compétition : c?est le retour à l?entraînement.
3) Return to Performance : c?est le retour à la compétition, avec un objectif de performance sportive pour le patient.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59090 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtDiscussion sur le caractère utile des pratiques factuelles en kinésithérapie des affections neurologiques centrales À propos de l’AVC / Emmanuel Chopin in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Discussion sur le caractère utile des pratiques factuelles en kinésithérapie des affections neurologiques centrales À propos de l’AVC Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Chopin ; Isabelle Chopin Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 39-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : Accident vasculaire cérébral Neurologie Guide de bonnes pratiques Résumé : La pratique médicale fondée sur les preuves, ou médecine factuelle, évolue constamment depuis les années 80. Discutée, parfois combattue, elle prend néanmoins une place de plus en plus importante dans notre réflexion et notre pratique quotidienne.
La kinésithérapie s?inscrit dans ce mouvement et les recommandations de bonnes pratiques se multiplient. L?objectif affiché est de développer une expertise, d?améliorer le service rendu au patient et de promouvoir notre profession.
Quelle est la perception de cette tendance par les acteurs de terrain ? Que disent les kinésithérapeutes qui, chaque jour, s?astreignent à confronter les données probantes, leur expertise clinique et les attentes du patient ?
Dans le domaine de la kinésithérapie des affections neurologiques centrales de l?adulte, les sessions de formation continue sont des temps particulièrement propices à l?expression du questionnement des praticiens. Interrogations multiples dans ce champ particulier de la rééducation, où le protocole strict et le traitement standardisé n?existent pas !
Les affections neurologiques sont multiples et polymorphes : accident vasculaire cérébral, maladie de Parkinson, sclérose en plaque, lésions médullaires...
Dans la suite de notre propos, nous exposerons les questions les plus fréquentes exprimées par nos confrères. Nous nous limiterons à la prise en charge de l?AVC par souci de clarté et de concision.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59097
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 39-45[article] Discussion sur le caractère utile des pratiques factuelles en kinésithérapie des affections neurologiques centrales À propos de l’AVC [texte imprimé] / Emmanuel Chopin ; Isabelle Chopin . - 2018 . - p. 39-45.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 39-45
Mots-clés : Accident vasculaire cérébral Neurologie Guide de bonnes pratiques Résumé : La pratique médicale fondée sur les preuves, ou médecine factuelle, évolue constamment depuis les années 80. Discutée, parfois combattue, elle prend néanmoins une place de plus en plus importante dans notre réflexion et notre pratique quotidienne.
La kinésithérapie s?inscrit dans ce mouvement et les recommandations de bonnes pratiques se multiplient. L?objectif affiché est de développer une expertise, d?améliorer le service rendu au patient et de promouvoir notre profession.
Quelle est la perception de cette tendance par les acteurs de terrain ? Que disent les kinésithérapeutes qui, chaque jour, s?astreignent à confronter les données probantes, leur expertise clinique et les attentes du patient ?
Dans le domaine de la kinésithérapie des affections neurologiques centrales de l?adulte, les sessions de formation continue sont des temps particulièrement propices à l?expression du questionnement des praticiens. Interrogations multiples dans ce champ particulier de la rééducation, où le protocole strict et le traitement standardisé n?existent pas !
Les affections neurologiques sont multiples et polymorphes : accident vasculaire cérébral, maladie de Parkinson, sclérose en plaque, lésions médullaires...
Dans la suite de notre propos, nous exposerons les questions les plus fréquentes exprimées par nos confrères. Nous nous limiterons à la prise en charge de l?AVC par souci de clarté et de concision.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59097 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtIntérêts et limite de l'EBP en rééducation périnéale / Hélène Colangeli-Hagège in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Intérêts et limite de l'EBP en rééducation périnéale Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Colangeli-Hagège Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 33-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Périnée Douleur pelvienne INCONTINENCE Résumé : La rééducation périnéale bénéficie de nombreuses publications scientifiques et associations professionnelles dédiées permettant la diffusion des bonnes pratiques cliniques et de recommandations : AFU, ARREP, CNGOF, ICS, SIFUD, SNFCP, etc.
La rééducation périnéale s?adresse aux troubles vésico-sphinctériens, ano-rectaux, de la statique pelvienne, de la sexualité et aux douleurs pelviennes. Elle est introduite en France en 1977, inscrite dans le décret de compétence des masseurs-kinésithérapeutes depuis 1985 [1]. Ces compétences sont réunies en 1998 sous le terme de périnéologie pour la prise en charge de troubles de la fonction périnéale de la femme, l?homme, l?enfant et la personne âgée [2]. Les kinésithérapeutes ont une compétence partagée avec les sages-femmes pour les troubles consécutifs à l?accouchement.
La rééducation périnéale aborde une partie du corps qui n?est pas comme les autres, cachée, taboue (fig. 1). Les muscles du plancher pelvien sont inaccessibles à la vue, ce qui justifie le recours à des techniques instrumentales endo-cavitaires et à des techniques globales à distance mais qui demandent des ajustements des soins et le respect des limites du consentement.Les troubles que la rééducation périnéale cherche à prévenir ou à traiter sont sources de honte et de perte d?estime de soi. Les échelles et scores de symptômes permettent d?évaluer l?impact des prises en charge sur la qualité de vie des patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59101
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 33-38[article] Intérêts et limite de l'EBP en rééducation périnéale [texte imprimé] / Hélène Colangeli-Hagège . - 2018 . - p. 33-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 33-38
Mots-clés : Périnée Douleur pelvienne INCONTINENCE Résumé : La rééducation périnéale bénéficie de nombreuses publications scientifiques et associations professionnelles dédiées permettant la diffusion des bonnes pratiques cliniques et de recommandations : AFU, ARREP, CNGOF, ICS, SIFUD, SNFCP, etc.
La rééducation périnéale s?adresse aux troubles vésico-sphinctériens, ano-rectaux, de la statique pelvienne, de la sexualité et aux douleurs pelviennes. Elle est introduite en France en 1977, inscrite dans le décret de compétence des masseurs-kinésithérapeutes depuis 1985 [1]. Ces compétences sont réunies en 1998 sous le terme de périnéologie pour la prise en charge de troubles de la fonction périnéale de la femme, l?homme, l?enfant et la personne âgée [2]. Les kinésithérapeutes ont une compétence partagée avec les sages-femmes pour les troubles consécutifs à l?accouchement.
La rééducation périnéale aborde une partie du corps qui n?est pas comme les autres, cachée, taboue (fig. 1). Les muscles du plancher pelvien sont inaccessibles à la vue, ce qui justifie le recours à des techniques instrumentales endo-cavitaires et à des techniques globales à distance mais qui demandent des ajustements des soins et le respect des limites du consentement.Les troubles que la rééducation périnéale cherche à prévenir ou à traiter sont sources de honte et de perte d?estime de soi. Les échelles et scores de symptômes permettent d?évaluer l?impact des prises en charge sur la qualité de vie des patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59101 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtKinésithérapie respiratoire dans la bronchiolite du nourrisson EBP : progression ou régression ? / Christian Fausser in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Kinésithérapie respiratoire dans la bronchiolite du nourrisson EBP : progression ou régression ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Fausser ; Didier Evenou Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 23-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Guide de bonnes pratiques Bronchiolite Recherche clinique Résumé : Les auteurs déclarent ne pas avoir un intérêt avec un organisme privé industriel ou commercial en relation avec le sujet présenté.
Lors des 46èmes Journées de l?INK en 2014, notre intervention se concluait par : « ... Une prise de conscience réelle est installée pour entrer dans une démarche « Evidence-Based Medicine », tout en gardant suffisamment de distance pour ne pas en faire un instrument dogmatique. Dans cette période où la kinésithérapie est sur le fil du rasoir dans la construction de son avenir, les multiples compétences mutualisées des quelques 70 000 kinésithérapeutes qui constituent notre profession, doivent nous permettre de construire un corpus scientifique en capacité d?asseoir la légitimité de nos pratiques au service des patients qui nous sont confiés. » [1].
Aujourd?hui, pour nous, la réponse à la question qui sera posée lors des 50èmes Journées de l?INK en 2019 : « EBP progression ou régression ? » constitue sans conteste une progression.
DEPUIS 4 ANS, QUE S'EST-IL PASSÉ ?
Tout d?abord la kinésithérapie a accédé à un cursus de formation [2] en quatre années validant 300 Ects en partenariat avec les universités (sans obtenir le grade master) qui fait une part certaine à l?apprentissage de la méthodologie de recherche et notamment à la lecture critique des articles scientifiques.
De plus en plus de confrères évoluent dans différentes disciplines universitaires et accèdent à des doctorats leur permettant de prendre pied dans des laboratoires de recherche et de publier.
L?offre de formation pour les kinésithérapeutes est de plus en plus assise sur les références EBP notamment dans le cadre de formations universitaires.
La controverse sur l?utilité de la kinésithérapie respiratoire pédiatrique s?est appuyée sur une méta-analyse de la revue Cochrane [3] qui a fait l?objet d?une interprétation pour le moins manquant d?objectivité contextuelle, en généralisant les résultats des essais cliniques hospitaliers relatés à la prise en charge ambulatoire.
Dans le même temps de nombreux masseurs-kinésithérapeutes libéraux et hospitaliers se sont autorisés à produire des études cliniques en ambulatoire, BRONKILIB 1 [4], à travailler avec des universitaires sur les modèles théoriques de la mécanique des fluides de l?appareil respiratoire.
Enfin, début 2018, à l?initiative du Conseil professionnel de pédiatrie, la Haute autorité de santé, a lancé une procédure de recommandations de bonne pratique relative à la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson associant professionnels de santé médecins et kinésithérapeutes hospitaliers et libéraux. Elle devrait voir le jour fin 2018.
Les recommandations de bonne pratique, sont définies dans le champ de la santé comme des propositions développées méthodiquement, pour aider le praticien et le patient à rechercher les soins les plus appropriés dans des circonstances cliniques données. Ces recommandations sont des synthèses rigoureuses de l?état de l?art et des données de la science à un temps donné. Elles ne sauraient dispenser le professionnel de santé de faire preuve de discernement dans la prise en charge du patient, qui doit être celle qu?il estime la plus appropriée, en fonction de ses propres constatations et des préférences des patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59102
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 23-26[article] Kinésithérapie respiratoire dans la bronchiolite du nourrisson EBP : progression ou régression ? [texte imprimé] / Christian Fausser ; Didier Evenou . - 2018 . - p. 23-26.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 23-26
Mots-clés : Guide de bonnes pratiques Bronchiolite Recherche clinique Résumé : Les auteurs déclarent ne pas avoir un intérêt avec un organisme privé industriel ou commercial en relation avec le sujet présenté.
Lors des 46èmes Journées de l?INK en 2014, notre intervention se concluait par : « ... Une prise de conscience réelle est installée pour entrer dans une démarche « Evidence-Based Medicine », tout en gardant suffisamment de distance pour ne pas en faire un instrument dogmatique. Dans cette période où la kinésithérapie est sur le fil du rasoir dans la construction de son avenir, les multiples compétences mutualisées des quelques 70 000 kinésithérapeutes qui constituent notre profession, doivent nous permettre de construire un corpus scientifique en capacité d?asseoir la légitimité de nos pratiques au service des patients qui nous sont confiés. » [1].
Aujourd?hui, pour nous, la réponse à la question qui sera posée lors des 50èmes Journées de l?INK en 2019 : « EBP progression ou régression ? » constitue sans conteste une progression.
DEPUIS 4 ANS, QUE S'EST-IL PASSÉ ?
Tout d?abord la kinésithérapie a accédé à un cursus de formation [2] en quatre années validant 300 Ects en partenariat avec les universités (sans obtenir le grade master) qui fait une part certaine à l?apprentissage de la méthodologie de recherche et notamment à la lecture critique des articles scientifiques.
De plus en plus de confrères évoluent dans différentes disciplines universitaires et accèdent à des doctorats leur permettant de prendre pied dans des laboratoires de recherche et de publier.
L?offre de formation pour les kinésithérapeutes est de plus en plus assise sur les références EBP notamment dans le cadre de formations universitaires.
La controverse sur l?utilité de la kinésithérapie respiratoire pédiatrique s?est appuyée sur une méta-analyse de la revue Cochrane [3] qui a fait l?objet d?une interprétation pour le moins manquant d?objectivité contextuelle, en généralisant les résultats des essais cliniques hospitaliers relatés à la prise en charge ambulatoire.
Dans le même temps de nombreux masseurs-kinésithérapeutes libéraux et hospitaliers se sont autorisés à produire des études cliniques en ambulatoire, BRONKILIB 1 [4], à travailler avec des universitaires sur les modèles théoriques de la mécanique des fluides de l?appareil respiratoire.
Enfin, début 2018, à l?initiative du Conseil professionnel de pédiatrie, la Haute autorité de santé, a lancé une procédure de recommandations de bonne pratique relative à la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson associant professionnels de santé médecins et kinésithérapeutes hospitaliers et libéraux. Elle devrait voir le jour fin 2018.
Les recommandations de bonne pratique, sont définies dans le champ de la santé comme des propositions développées méthodiquement, pour aider le praticien et le patient à rechercher les soins les plus appropriés dans des circonstances cliniques données. Ces recommandations sont des synthèses rigoureuses de l?état de l?art et des données de la science à un temps donné. Elles ne sauraient dispenser le professionnel de santé de faire preuve de discernement dans la prise en charge du patient, qui doit être celle qu?il estime la plus appropriée, en fonction de ses propres constatations et des préférences des patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59102 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe rachis cervical et thoracique : une alternative aux classifications ? / Pierre Fissette in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Le rachis cervical et thoracique : une alternative aux classifications ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Fissette Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 13-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cervicalgie Guide de bonnes pratiques Résumé : Les cervico-dorsalgies représentent une affection très courante en pratique clinique. Selon Jette et al., les problèmes cervicaux représentent environ 25 % de toutes les consultations ambulatoires des physiothérapeutes [1]. De plus, d?après différentes sources, leur incidence est en constante augmentation, ce qui serait expliqué par une mauvaise posture liée à l?utilisation toujours plus fréquente et longue d?objets numériques, conduisant par exemple aux « texto-cervicalgies » ou « text neck ».
Actuellement, une personne passe en moyenne 2 à 4 heures par jour avec la tête penchée en avant pour lire ou écrire sur son téléphone portable ou autre [2]. Vu l?ampleur du phénomène et son évolution, le physiothérapeute est plus que jamais tenu de s?informer et de fournir une prise en charge la plus efficace possible aux patients atteints de troubles cervico-thoraciques. Pour l?aider dans cette tâche, le professionnel s?appuiera idéalement sur des recommandations de bonne pratique issues des preuves scientifiques. Cependant, le clinicien et le chercheur ont des contraintes différentes.
Pour faire très simple, le scientifique regroupe des individus selon quelques critères en vue d?avoir une population la plus homogène possible puis teste une intervention sur ce groupe. Une comparaison de cette intervention avec celle appliquée à un ou plusieurs autres groupes, également les plus homogènes possibles, est alors courante (groupe contrôle, autre groupe de patients, etc.). Le praticien, lui, a un seul individu en face de lui auquel il doit offrir la meilleure intervention possible en se basant sur son bagage personnel : ses expériences passées, ses formations, sa lecture de la littérature mondiale, etc.
Le scientifique, dans sa recherche d?homogénéité de ses populations d?étude, utilise une classification en sous-groupes. Cette façon de faire est une tendance mondiale qui a été grandement appliquée pour le rachis lombaire mais qui est aussi de mise pour d?autres zones corporelles. Cette classification en sous-groupes permet de déterminer le pronostic d?un patient et de sélectionner l?intervention la plus appropriée.
Il existe plusieurs systèmes de classification mais aucun n?est parfait et il est difficile de les comparer en termes d?efficacité. En revanche, se baser sur l?identification de mécanismes patho-anatomiques (tab. I) comme dans le modèle biomédical classique est largement dépassé et à éviterPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59104
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 13-17[article] Le rachis cervical et thoracique : une alternative aux classifications ? [texte imprimé] / Pierre Fissette . - 2018 . - p. 13-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 13-17
Mots-clés : Cervicalgie Guide de bonnes pratiques Résumé : Les cervico-dorsalgies représentent une affection très courante en pratique clinique. Selon Jette et al., les problèmes cervicaux représentent environ 25 % de toutes les consultations ambulatoires des physiothérapeutes [1]. De plus, d?après différentes sources, leur incidence est en constante augmentation, ce qui serait expliqué par une mauvaise posture liée à l?utilisation toujours plus fréquente et longue d?objets numériques, conduisant par exemple aux « texto-cervicalgies » ou « text neck ».
Actuellement, une personne passe en moyenne 2 à 4 heures par jour avec la tête penchée en avant pour lire ou écrire sur son téléphone portable ou autre [2]. Vu l?ampleur du phénomène et son évolution, le physiothérapeute est plus que jamais tenu de s?informer et de fournir une prise en charge la plus efficace possible aux patients atteints de troubles cervico-thoraciques. Pour l?aider dans cette tâche, le professionnel s?appuiera idéalement sur des recommandations de bonne pratique issues des preuves scientifiques. Cependant, le clinicien et le chercheur ont des contraintes différentes.
Pour faire très simple, le scientifique regroupe des individus selon quelques critères en vue d?avoir une population la plus homogène possible puis teste une intervention sur ce groupe. Une comparaison de cette intervention avec celle appliquée à un ou plusieurs autres groupes, également les plus homogènes possibles, est alors courante (groupe contrôle, autre groupe de patients, etc.). Le praticien, lui, a un seul individu en face de lui auquel il doit offrir la meilleure intervention possible en se basant sur son bagage personnel : ses expériences passées, ses formations, sa lecture de la littérature mondiale, etc.
Le scientifique, dans sa recherche d?homogénéité de ses populations d?étude, utilise une classification en sous-groupes. Cette façon de faire est une tendance mondiale qui a été grandement appliquée pour le rachis lombaire mais qui est aussi de mise pour d?autres zones corporelles. Cette classification en sous-groupes permet de déterminer le pronostic d?un patient et de sélectionner l?intervention la plus appropriée.
Il existe plusieurs systèmes de classification mais aucun n?est parfait et il est difficile de les comparer en termes d?efficacité. En revanche, se baser sur l?identification de mécanismes patho-anatomiques (tab. I) comme dans le modèle biomédical classique est largement dépassé et à éviterPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59104 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtMédecine factuelle, pratique factuelle et indice de factualité 1.0 (i-FACT) / Michel Gedda in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Médecine factuelle, pratique factuelle et indice de factualité 1.0 (i-FACT) Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Gedda Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 3-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : qualité des soins Enseignement Pratique factuelle Résumé : PARADIGME DE LA PRATIQUE FACTUELLE
La médecine factuelle (Evidence-Based Medicine) est la démarche proposée à des fins pédagogiques à partir des années 1980, notamment par David Lawrence Sackett(2), pour étayer la prise de décision médicale sur l?«utilisation consciencieuse, explicite et judicieuse des meilleures données actuelles ».Elle incite à personnaliser les orientations thérapeutiques et les choix technologiques, pour chaque patient, selon trois entités factuelles (fig. 1) :
? les données scientifiques objectives ;
? la participation du patient aux décisions ;
? l?expérience du praticien.
La pratique factuelle (Evidence-Based Practice) étend ce paradigme à l?ensemble des professions de santé afin de les inciter à adopter une approche critique et objective pour conforter leurs processus décisionnels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59105
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 3-11[article] Médecine factuelle, pratique factuelle et indice de factualité 1.0 (i-FACT) [texte imprimé] / Michel Gedda . - 2018 . - p. 3-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 3-11
Mots-clés : qualité des soins Enseignement Pratique factuelle Résumé : PARADIGME DE LA PRATIQUE FACTUELLE
La médecine factuelle (Evidence-Based Medicine) est la démarche proposée à des fins pédagogiques à partir des années 1980, notamment par David Lawrence Sackett(2), pour étayer la prise de décision médicale sur l?«utilisation consciencieuse, explicite et judicieuse des meilleures données actuelles ».Elle incite à personnaliser les orientations thérapeutiques et les choix technologiques, pour chaque patient, selon trois entités factuelles (fig. 1) :
? les données scientifiques objectives ;
? la participation du patient aux décisions ;
? l?expérience du praticien.
La pratique factuelle (Evidence-Based Practice) étend ce paradigme à l?ensemble des professions de santé afin de les inciter à adopter une approche critique et objective pour conforter leurs processus décisionnels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59105 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtProthèse inversée d'épaule / Aude Quesnot in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Prothèse inversée d'épaule Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Quesnot Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 59-61 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule Épaule / chirurgie Prothèse articulaire Résumé : Parmi les prothèses d?épaule, nous retrouvons classiquement les prothèses humérales simples, les prothèses totales anatomiques et les prothèses totales inversées. Ces dernières sont des prothèses semi-contraintes.
? La prothèse inversée a été inventée par Paul-Marie Grammont, chirurgien orthopédiste Dijonnais, suite à un constat unanime réalisé dans les années 1970 : « Les résultats fonctionnels obtenus après arthroplastie prothétique d?épaule dans les omarthroses associées à une rupture irréparable de la coiffe des rotateurs sont insatisfaisants. ».La première prothèse inversée dite de Grammont a été posée 16 ans plus tard en 1986. La diffusion de ce type de prothèse devient mondiale à partir du début des années 2000.
? L?objectif des prothèses d?épaule inversée est d?obtenir une élévation de l?épaule grâce exclusivement au deltoïde.
La récupération de la rotation latérale active reste sous la dépendance de l?intégrité des muscles infra-épineux, petit rond et du deltoïde postérieur.Cette prothèse inversée est composée (fig. 1) du côté huméral d?une cupule orientée avec une inclinaison de 155°, du côté glénoïdien d?une large hémisphère sans col placée directement sur la cupule glénoïdienne. Le centre de rotation est ainsi déplacé sur la cupule glénoïdienne et l?abaissement relatif obtenu de l?humérus par rapport à l?acromion permet d?obtenir une mise en tension des fibres du deltoïde et une efficacité accrue.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59111
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 59-61[article] Prothèse inversée d'épaule [texte imprimé] / Aude Quesnot . - 2018 . - p. 59-61.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 59-61
Mots-clés : Épaule Épaule / chirurgie Prothèse articulaire Résumé : Parmi les prothèses d?épaule, nous retrouvons classiquement les prothèses humérales simples, les prothèses totales anatomiques et les prothèses totales inversées. Ces dernières sont des prothèses semi-contraintes.
? La prothèse inversée a été inventée par Paul-Marie Grammont, chirurgien orthopédiste Dijonnais, suite à un constat unanime réalisé dans les années 1970 : « Les résultats fonctionnels obtenus après arthroplastie prothétique d?épaule dans les omarthroses associées à une rupture irréparable de la coiffe des rotateurs sont insatisfaisants. ».La première prothèse inversée dite de Grammont a été posée 16 ans plus tard en 1986. La diffusion de ce type de prothèse devient mondiale à partir du début des années 2000.
? L?objectif des prothèses d?épaule inversée est d?obtenir une élévation de l?épaule grâce exclusivement au deltoïde.
La récupération de la rotation latérale active reste sous la dépendance de l?intégrité des muscles infra-épineux, petit rond et du deltoïde postérieur.Cette prothèse inversée est composée (fig. 1) du côté huméral d?une cupule orientée avec une inclinaison de 155°, du côté glénoïdien d?une large hémisphère sans col placée directement sur la cupule glénoïdienne. Le centre de rotation est ainsi déplacé sur la cupule glénoïdienne et l?abaissement relatif obtenu de l?humérus par rapport à l?acromion permet d?obtenir une mise en tension des fibres du deltoïde et une efficacité accrue.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59111 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtSteps tests et entraînement à l'effort / Luka Despretz in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Steps tests et entraînement à l'effort Type de document : texte imprimé Auteurs : Luka Despretz ; Franck Lagniaux Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 56-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : Entraînement sportif Résumé : De nos jours, la prescription d?un programme de réentraînement à l?effort à la suite d?une blessure chez un sportif est un point clé de la réathlétisation du sportif.
Il existe deux méthodes d?évaluation : directe ou indirecte.
? Les méthodes directes déterminent la consommation maximale d?oxygène en recueillant et en analysant les gaz inspirés et expirés dans un masque durant un test d?effort réalisé en laboratoire sur ergocycle ou tapis roulant (ces tests sont associés à un électrocardiogramme). On peut définir la manière directe comme étant le gold standard des évaluations [1].
? Les méthodes indirectes via des tests de terrain sous-maximaux permettent une estimation de la VO2max en fonction de différents indicateurs tels que la fréquence cardiaque, l?âge ou encore le poids... On retrouve différents types d?épreuves de terrains comme les tests de marche tel que le test de marche de 6 minutes [2] ou le test de marche de 2 kilomètres (3), les steps tests comme le physitest canadien (4) ou le test de Harvard [5], ou encore les tests de courses comme le test de Léger BoucherPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59114
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 56-59[article] Steps tests et entraînement à l'effort [texte imprimé] / Luka Despretz ; Franck Lagniaux . - 2018 . - p. 56-59.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 56-59
Mots-clés : Entraînement sportif Résumé : De nos jours, la prescription d?un programme de réentraînement à l?effort à la suite d?une blessure chez un sportif est un point clé de la réathlétisation du sportif.
Il existe deux méthodes d?évaluation : directe ou indirecte.
? Les méthodes directes déterminent la consommation maximale d?oxygène en recueillant et en analysant les gaz inspirés et expirés dans un masque durant un test d?effort réalisé en laboratoire sur ergocycle ou tapis roulant (ces tests sont associés à un électrocardiogramme). On peut définir la manière directe comme étant le gold standard des évaluations [1].
? Les méthodes indirectes via des tests de terrain sous-maximaux permettent une estimation de la VO2max en fonction de différents indicateurs tels que la fréquence cardiaque, l?âge ou encore le poids... On retrouve différents types d?épreuves de terrains comme les tests de marche tel que le test de marche de 6 minutes [2] ou le test de marche de 2 kilomètres (3), les steps tests comme le physitest canadien (4) ou le test de Harvard [5], ou encore les tests de courses comme le test de Léger BoucherPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59114 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtValidations du traitement des lymphoedèmes / Jean-Claude Ferrandez in Kinésithérapie scientifique, 600 (juillet 2018)
[article]
Titre : Validations du traitement des lymphoedèmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Ferrandez ; Pierre-Henri Ganchou ; Serge Theys Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 27-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : drainage lymphatique pressothérapie pneumatique Bandages Résumé : Une des premières descriptions du traitement des lymph?dèmes (LO) date de 1878 (fig. 1). De nos jours, le protocole s?est enrichi par une meilleure définition du problème. Le LO est l?expression d?un trouble mécanique du retour lymphatique, caractérisé par un excédent de liquides à forte teneur en substances à haut poids moléculaire.
Le plus souvent, il apparaît et s?étend par poussées entrecoupées de plateaux. Cette expansion s?étend sur des mois, voire des années. Finalement, tout le membre est déformé. Il s?en suit une fibrosclérose, un engraissement (pachydermie) et la rugosité de la peau (éléphantiasis).
En raison de l?encapsulement de germes pathogènes dans la pachydermie ou du fait d?une atteinte (obstruction ou exérèse) des lymphon?uds, le système de défense immunitaire est affaibli ; le LO se complique volontiers d?infections (érésipèle).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59116
in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 27-32[article] Validations du traitement des lymphoedèmes [texte imprimé] / Jean-Claude Ferrandez ; Pierre-Henri Ganchou ; Serge Theys . - 2018 . - p. 27-32.
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in Kinésithérapie scientifique > 600 (juillet 2018) . - p. 27-32
Mots-clés : drainage lymphatique pressothérapie pneumatique Bandages Résumé : Une des premières descriptions du traitement des lymph?dèmes (LO) date de 1878 (fig. 1). De nos jours, le protocole s?est enrichi par une meilleure définition du problème. Le LO est l?expression d?un trouble mécanique du retour lymphatique, caractérisé par un excédent de liquides à forte teneur en substances à haut poids moléculaire.
Le plus souvent, il apparaît et s?étend par poussées entrecoupées de plateaux. Cette expansion s?étend sur des mois, voire des années. Finalement, tout le membre est déformé. Il s?en suit une fibrosclérose, un engraissement (pachydermie) et la rugosité de la peau (éléphantiasis).
En raison de l?encapsulement de germes pathogènes dans la pachydermie ou du fait d?une atteinte (obstruction ou exérèse) des lymphon?uds, le système de défense immunitaire est affaibli ; le LO se complique volontiers d?infections (érésipèle).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59116 Exemplaires (1)
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