Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Isabelle Prêcheur |
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Améliorer aussi la santé bucco-dentaire des soignants en charge des soins de bouche ? [Editorial] / Isabelle Prêcheur in La revue de gériatrie, Tome 44 - N°5 (Mai 2019)
[article]
Titre : Améliorer aussi la santé bucco-dentaire des soignants en charge des soins de bouche ? [Editorial] Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Prêcheur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 259-260 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81230
in La revue de gériatrie > Tome 44 - N°5 (Mai 2019) . - p. 259-260[article] Améliorer aussi la santé bucco-dentaire des soignants en charge des soins de bouche ? [Editorial] [texte imprimé] / Isabelle Prêcheur . - 2019 . - p. 259-260.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 44 - N°5 (Mai 2019) . - p. 259-260
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81230 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtBienvenue en Alaska : des petits ours dorment sur des icebergs l’hiver : Check-list des éléments indispensables à transmettre au chirurgien-dentiste pour une prise en charge optimale des sujets âgés polymédiqués / Isabelle Prêcheur in La revue de gériatrie, Vol.47 N°6 (juin 2022)
[article]
Titre : Bienvenue en Alaska : des petits ours dorment sur des icebergs l’hiver : Check-list des éléments indispensables à transmettre au chirurgien-dentiste pour une prise en charge optimale des sujets âgés polymédiqués Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Prêcheur ; Véronique Breuil ; Isabelle Berede ; Estelle Gonzalez ; Stéphane Nacache Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 249-257 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibactériens Gérodontologie Régulation de l'accès aux soins spécialisés Soins dentaires Polypharmacie / Sujet âgé Résumé : La prise en charge de patients âgés impose des contraintes au chirurgien-dentiste, pour le choix des actes autorisés et pour les prescriptions pré-, per- et postopératoires. L’analyse de la prescription est difficile chez les personnes polymédiquées : le chirurgien-dentiste doit souvent rechercher les médicaments un par un, car, ne les prescrivant pas, il ne les connaît pas tous. L’aide du médecin faciliterait l’identification des biphosphonates, des immunosuppresseurs ou des anticoagulants, par exemple, et éviterait de prescrire des antibiotiques, des antalgiques ou des anxiolytiques en doublon. Cela permettrait de réduire les risques opératoires, ainsi que les risques de surdosage, d’effets indésirables, d’interactions médicamenteuses et l’antibiorésistance. Aussi, nous proposons au médecin une check-list en neuf points afin d’annoter son ordonnance avant de la transmettre au chirurgien-dentiste, sachant que le dialogue entre eux reste essentiel. Le pharmacien pourrait aussi annoter l’ordonnance, dans le cadre de la conciliation médicamenteuse.
Trois antécédents sont souvent absents du résumé médical, qu’il faudrait signaler manuellement sur l’ordonnance : 1) la prise de biphosphonates ou autres médicaments à risque d’ostéonécrose, 2) le risque d’endocardite infectieuse et 3) les allergies (amoxicilline, paracétamol, latex). Six risques odontologiques sont en lien avec diverses familles pharmacologiques, qu’il faudrait également signaler sur l’ordonnance : 1) dénutrition (compléments nutritionnels ?), 2) psychologie (anxiolytiques ?), 3) ostéonécrose (piège : les antécédents de biphosphonates, dénosumab ou autres ne sont pas dans la prescription), 4) douleur (antalgiques ?), 5) infection (immunosuppresseurs/antibiotiques ?), et 6) hémorragie (anticoagulants ? thrombopénie ou autre hémopathie ?).
Enfin, nous proposons une phrase mnémotechnique pour les retenir : « Bienvenue En Alaska : Des Petits Ours Dorment sur des Icebergs l’Hiver. » Ces commentaires du médecin sur l’ordonnance sécuriseraient le travail du chirurgien-dentiste.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105629
in La revue de gériatrie > Vol.47 N°6 (juin 2022) . - p. 249-257[article] Bienvenue en Alaska : des petits ours dorment sur des icebergs l’hiver : Check-list des éléments indispensables à transmettre au chirurgien-dentiste pour une prise en charge optimale des sujets âgés polymédiqués [texte imprimé] / Isabelle Prêcheur ; Véronique Breuil ; Isabelle Berede ; Estelle Gonzalez ; Stéphane Nacache . - 2022 . - p. 249-257.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.47 N°6 (juin 2022) . - p. 249-257
Mots-clés : Antibactériens Gérodontologie Régulation de l'accès aux soins spécialisés Soins dentaires Polypharmacie / Sujet âgé Résumé : La prise en charge de patients âgés impose des contraintes au chirurgien-dentiste, pour le choix des actes autorisés et pour les prescriptions pré-, per- et postopératoires. L’analyse de la prescription est difficile chez les personnes polymédiquées : le chirurgien-dentiste doit souvent rechercher les médicaments un par un, car, ne les prescrivant pas, il ne les connaît pas tous. L’aide du médecin faciliterait l’identification des biphosphonates, des immunosuppresseurs ou des anticoagulants, par exemple, et éviterait de prescrire des antibiotiques, des antalgiques ou des anxiolytiques en doublon. Cela permettrait de réduire les risques opératoires, ainsi que les risques de surdosage, d’effets indésirables, d’interactions médicamenteuses et l’antibiorésistance. Aussi, nous proposons au médecin une check-list en neuf points afin d’annoter son ordonnance avant de la transmettre au chirurgien-dentiste, sachant que le dialogue entre eux reste essentiel. Le pharmacien pourrait aussi annoter l’ordonnance, dans le cadre de la conciliation médicamenteuse.
Trois antécédents sont souvent absents du résumé médical, qu’il faudrait signaler manuellement sur l’ordonnance : 1) la prise de biphosphonates ou autres médicaments à risque d’ostéonécrose, 2) le risque d’endocardite infectieuse et 3) les allergies (amoxicilline, paracétamol, latex). Six risques odontologiques sont en lien avec diverses familles pharmacologiques, qu’il faudrait également signaler sur l’ordonnance : 1) dénutrition (compléments nutritionnels ?), 2) psychologie (anxiolytiques ?), 3) ostéonécrose (piège : les antécédents de biphosphonates, dénosumab ou autres ne sont pas dans la prescription), 4) douleur (antalgiques ?), 5) infection (immunosuppresseurs/antibiotiques ?), et 6) hémorragie (anticoagulants ? thrombopénie ou autre hémopathie ?).
Enfin, nous proposons une phrase mnémotechnique pour les retenir : « Bienvenue En Alaska : Des Petits Ours Dorment sur des Icebergs l’Hiver. » Ces commentaires du médecin sur l’ordonnance sécuriseraient le travail du chirurgien-dentiste.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105629 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtComment améliorer la perception du goût chez les personnes âgées ? / Isabelle Prêcheur in La revue de gériatrie, Vol.45 N°1 (Janvier 2020)
[article]
Titre : Comment améliorer la perception du goût chez les personnes âgées ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Prêcheur ; Jean-Luc Philip Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 21-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Goût Troubles du goût Sujet âgé Appétit Hygiène buccodentaire Résumé : Contexte : La perception du goût diminue chez les personnes âgées avec la diminution du nombre de bourgeons du goût, les maladies chroniques et la polymédication. La diminution physiologique du goût ne diminue pas les apports nutritionnels, parce que les personnes âgées activent des voies redondantes. Par contre, les altérations du goût dues aux pathologies et aux médicaments peuvent diminuer le plaisir de manger et contribuer à la dénutrition. Méthode : Revue non systématique de la littérature, avec une approche basée sur l’odontologie. Résultats et discussion : Un premier axe proposé pour améliorer la sensation globale du goût chez les personnes âgées est de stimuler la sécrétion de salive. Les stimulus passés en revue concernent : le goût (sucré, amer, acide, salé, umami), la somesthésie (tact, chaud, froid, proprioception, douleur), la sensibilité trigéminale chimique (piquant, astringent), la kinesthésie (position et mouvements de la mandibule), l’odorat, la vue, l’ouïe et la mémoire des aliments. Un deuxième axe pour améliorer la perception du goût est d’essayer d’agir sur le biofilm microbien buccal qui recouvre les bourgeons du goût. Ce biofilm est altéré par une hygiène buccale insuffisante et la prise de nombreux médicaments et notamment les médicaments écrasés. Conclusion : La plupart des mesures proposées sont des mesures de bon sens largement connues. À défaut d’améliorer la perception du goût, elles peuvent permettre d’améliorer la sensation globale de la saveur des aliments et le plaisir des repas Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83969
in La revue de gériatrie > Vol.45 N°1 (Janvier 2020) . - p. 21-29[article] Comment améliorer la perception du goût chez les personnes âgées ? [texte imprimé] / Isabelle Prêcheur ; Jean-Luc Philip . - 2020 . - p. 21-29.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.45 N°1 (Janvier 2020) . - p. 21-29
Mots-clés : Goût Troubles du goût Sujet âgé Appétit Hygiène buccodentaire Résumé : Contexte : La perception du goût diminue chez les personnes âgées avec la diminution du nombre de bourgeons du goût, les maladies chroniques et la polymédication. La diminution physiologique du goût ne diminue pas les apports nutritionnels, parce que les personnes âgées activent des voies redondantes. Par contre, les altérations du goût dues aux pathologies et aux médicaments peuvent diminuer le plaisir de manger et contribuer à la dénutrition. Méthode : Revue non systématique de la littérature, avec une approche basée sur l’odontologie. Résultats et discussion : Un premier axe proposé pour améliorer la sensation globale du goût chez les personnes âgées est de stimuler la sécrétion de salive. Les stimulus passés en revue concernent : le goût (sucré, amer, acide, salé, umami), la somesthésie (tact, chaud, froid, proprioception, douleur), la sensibilité trigéminale chimique (piquant, astringent), la kinesthésie (position et mouvements de la mandibule), l’odorat, la vue, l’ouïe et la mémoire des aliments. Un deuxième axe pour améliorer la perception du goût est d’essayer d’agir sur le biofilm microbien buccal qui recouvre les bourgeons du goût. Ce biofilm est altéré par une hygiène buccale insuffisante et la prise de nombreux médicaments et notamment les médicaments écrasés. Conclusion : La plupart des mesures proposées sont des mesures de bon sens largement connues. À défaut d’améliorer la perception du goût, elles peuvent permettre d’améliorer la sensation globale de la saveur des aliments et le plaisir des repas Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83969 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtGérodontologie : effets indésirables bucco-dentaires des médicaments chez le sujet âgé / Isabelle Prêcheur in La revue de gériatrie, Tome 38 - N°9 (01/11/2013)
[article]
Titre : Gérodontologie : effets indésirables bucco-dentaires des médicaments chez le sujet âgé Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Prêcheur, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 705-713 Langues : Français (fre) Mots-clés : DENUTRITION EFFET SECONDAIRE MEDICAMENT SANTE HYGIENE BUCCODENTAIRE VIEILLISSEMENT PERSONNE AGEE SOINS BOUCHE Résumé : Les personnes âgées sont souvent polymédiquées. Chez ces personnes fragiles de nombreux médicaments favorisent les dépôts de plaque dans la bouche, les douleurs orales et la dénutrition. D’autres effets indésirables moins connus peuvent gêner les soins d’hygiène de la bouche, empêcher les soins dentaires et provoquer ou aggraver anorexie et dénutrition. En cas de troubles de la déglutition, les médicaments écrasés et mélangés à la nourriture sont une source supplémentaire d’anorexie à cause du goût modifié des aliments.
- La sécheresse buccale entraîne souvent une insalivation insuffisante du bol alimentaire et des difficultés de déglutition, une mauvaise haleine, des douleurs, des candidoses, une intolérance aux prothèses, des caries dentaires (atropiniques/anticholinergiques : antidépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques, antiparkinsoniens, antihistaminiques, et autres ; prise de plus de quatre principes actifs par jour ; bains de bouche antiseptiques).
- Les modifications du goût sont fréquentes (certains antihypertenseurs et anti-infectieux). La sensation de goût métallique (fer, sels d’or) peut faire incriminer à tort des prothèses dentaires.
- Les ulcérations buccales sont très douloureuses (nicorandil et inhibiteurs de l’enzyme de conversion (captopril…) ; anti-inflammatoires ; antirétroviraux ; lithium, fluoxétine…). La douleur des mucites (antimitotiques, immunosuppresseurs) empêche de boire et de s’alimenter par la bouche.
- Les ostéonécroses des maxillaires provoquent une destruction de l’os et des fractures spontanées, douloureuses ou non (bisphosphonates surtout i.v.; anti-angiogéniques : bevacizumab, sunitinib).
- La toxicité musculaire peut affecter les muscles masticatoires et la langue : le patient mange moins, moins longtemps, moins vite par fatigue musculaire précoce (hypocholestérolémiants: statines, fibrates ; amphétamines).
- La toux et le hoquet peuvent être attribués par erreur à des prothèses dentaires (corticoïdes, benzodiazépines, antibiotiques, nicotine à mâcher, inhibiteurs de l’enzyme de conversion…).
- Des nausées et des vomissements gênent le nettoyage de la bouche ; ils peuvent être imputés à tort aux prothèses dentaires (anticancéreux, antiparkinsoniens anticholinergiques, opiacés, divers psychotropes, antirétroviraux).
- Les effets extrapyramidaux provoquent torticolis, grimaces, dysphagie et dysphonie (neuroleptiques, antidépresseurs, métoclopramide…). Les soins de bouche sont impossibles. Le trismus provoque des douleurs des articulations temporo-mandibulaires et abrase les dents.
- Des saignements spontanés des gencives peuvent être provoqués par la prise de médicaments antithrombotiques (héparines, rivaroxaban, apixaban, dabigatran, et antivitamines K : acénocoumarol, warfarine, fluindione)et plus rarement par des antiagrégants plaquettaires (aspirine, clopidogrel, ticlopidine, prasugrel, ticagrelor).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15369
in La revue de gériatrie > Tome 38 - N°9 (01/11/2013) . - p. 705-713[article] Gérodontologie : effets indésirables bucco-dentaires des médicaments chez le sujet âgé [texte imprimé] / Isabelle Prêcheur, Auteur ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 705-713.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38 - N°9 (01/11/2013) . - p. 705-713
Mots-clés : DENUTRITION EFFET SECONDAIRE MEDICAMENT SANTE HYGIENE BUCCODENTAIRE VIEILLISSEMENT PERSONNE AGEE SOINS BOUCHE Résumé : Les personnes âgées sont souvent polymédiquées. Chez ces personnes fragiles de nombreux médicaments favorisent les dépôts de plaque dans la bouche, les douleurs orales et la dénutrition. D’autres effets indésirables moins connus peuvent gêner les soins d’hygiène de la bouche, empêcher les soins dentaires et provoquer ou aggraver anorexie et dénutrition. En cas de troubles de la déglutition, les médicaments écrasés et mélangés à la nourriture sont une source supplémentaire d’anorexie à cause du goût modifié des aliments.
- La sécheresse buccale entraîne souvent une insalivation insuffisante du bol alimentaire et des difficultés de déglutition, une mauvaise haleine, des douleurs, des candidoses, une intolérance aux prothèses, des caries dentaires (atropiniques/anticholinergiques : antidépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques, antiparkinsoniens, antihistaminiques, et autres ; prise de plus de quatre principes actifs par jour ; bains de bouche antiseptiques).
- Les modifications du goût sont fréquentes (certains antihypertenseurs et anti-infectieux). La sensation de goût métallique (fer, sels d’or) peut faire incriminer à tort des prothèses dentaires.
- Les ulcérations buccales sont très douloureuses (nicorandil et inhibiteurs de l’enzyme de conversion (captopril…) ; anti-inflammatoires ; antirétroviraux ; lithium, fluoxétine…). La douleur des mucites (antimitotiques, immunosuppresseurs) empêche de boire et de s’alimenter par la bouche.
- Les ostéonécroses des maxillaires provoquent une destruction de l’os et des fractures spontanées, douloureuses ou non (bisphosphonates surtout i.v.; anti-angiogéniques : bevacizumab, sunitinib).
- La toxicité musculaire peut affecter les muscles masticatoires et la langue : le patient mange moins, moins longtemps, moins vite par fatigue musculaire précoce (hypocholestérolémiants: statines, fibrates ; amphétamines).
- La toux et le hoquet peuvent être attribués par erreur à des prothèses dentaires (corticoïdes, benzodiazépines, antibiotiques, nicotine à mâcher, inhibiteurs de l’enzyme de conversion…).
- Des nausées et des vomissements gênent le nettoyage de la bouche ; ils peuvent être imputés à tort aux prothèses dentaires (anticancéreux, antiparkinsoniens anticholinergiques, opiacés, divers psychotropes, antirétroviraux).
- Les effets extrapyramidaux provoquent torticolis, grimaces, dysphagie et dysphonie (neuroleptiques, antidépresseurs, métoclopramide…). Les soins de bouche sont impossibles. Le trismus provoque des douleurs des articulations temporo-mandibulaires et abrase les dents.
- Des saignements spontanés des gencives peuvent être provoqués par la prise de médicaments antithrombotiques (héparines, rivaroxaban, apixaban, dabigatran, et antivitamines K : acénocoumarol, warfarine, fluindione)et plus rarement par des antiagrégants plaquettaires (aspirine, clopidogrel, ticlopidine, prasugrel, ticagrelor).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15369 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLe lien bidirectionnel entre diabète de type 2 et parodontite : penser à la consultation dentaire initiale puis annuelle ou bisannuelle / Alexandre Pinatel in La revue de gériatrie, Vol.49 N°2 (Février 2024)
[article]
Titre : Le lien bidirectionnel entre diabète de type 2 et parodontite : penser à la consultation dentaire initiale puis annuelle ou bisannuelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Pinatel ; Isabelle Prêcheur ; Sophie-Myriam Dridi (1963-....) ; Cyril Sablayrolles Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 71-81 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diabète de type 2 Parodontite Plaque dentaire Hyperglycémie Hygiène buccodentaire Causalité Résumé : Il existe un lien de causalité bidirectionnel entre le diabète de type 2 et la parodontite induite par la plaque dentaire, appelée en langage courant « déchaussement dentaire ». La sévérité de l’hyperglycémie aggrave la parodontite. Inversement, la parodontite et l’inflammation systémique qu’elle provoque contribuent à l’élévation de la glycémie. L’assainissement parodontal avec des séances de débridements supra- et sous-gingivaux diminue l’inflammation systémique et la glycémie : il fait partie du parcours de soins des personnes diabétiques. En France, en 2023, les sites de l’Assurance maladie et de la Fédération française des diabétiques (FFD) destinés aux patients sont à jour. Ils recommandent une consultation dentaire au moins une fois par an et précisent que depuis le 1er janvier 2019 l’Assurance maladie rembourse le bilan et les séances de traitement parodontal aux personnes diabétiques. En revanche, les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) destinées aux médecins, qui datent de 2014 et de 2020, ne mentionnent pas ces avancées de 2019. Nous avons réalisé une enquête téléphonique auprès de 30 médecins généralistes et 30 endocrinologues. Seulement 5 % des médecins interrogés (3/60) envoyaient systématiquement leurs patients diabétiques consulter un chirurgiendentiste. Ainsi, trop peu de patients diabétiques sont Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116633
in La revue de gériatrie > Vol.49 N°2 (Février 2024) . - p. 71-81[article] Le lien bidirectionnel entre diabète de type 2 et parodontite : penser à la consultation dentaire initiale puis annuelle ou bisannuelle [texte imprimé] / Alexandre Pinatel ; Isabelle Prêcheur ; Sophie-Myriam Dridi (1963-....) ; Cyril Sablayrolles . - 2024 . - p. 71-81.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.49 N°2 (Février 2024) . - p. 71-81
Mots-clés : Diabète de type 2 Parodontite Plaque dentaire Hyperglycémie Hygiène buccodentaire Causalité Résumé : Il existe un lien de causalité bidirectionnel entre le diabète de type 2 et la parodontite induite par la plaque dentaire, appelée en langage courant « déchaussement dentaire ». La sévérité de l’hyperglycémie aggrave la parodontite. Inversement, la parodontite et l’inflammation systémique qu’elle provoque contribuent à l’élévation de la glycémie. L’assainissement parodontal avec des séances de débridements supra- et sous-gingivaux diminue l’inflammation systémique et la glycémie : il fait partie du parcours de soins des personnes diabétiques. En France, en 2023, les sites de l’Assurance maladie et de la Fédération française des diabétiques (FFD) destinés aux patients sont à jour. Ils recommandent une consultation dentaire au moins une fois par an et précisent que depuis le 1er janvier 2019 l’Assurance maladie rembourse le bilan et les séances de traitement parodontal aux personnes diabétiques. En revanche, les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) destinées aux médecins, qui datent de 2014 et de 2020, ne mentionnent pas ces avancées de 2019. Nous avons réalisé une enquête téléphonique auprès de 30 médecins généralistes et 30 endocrinologues. Seulement 5 % des médecins interrogés (3/60) envoyaient systématiquement leurs patients diabétiques consulter un chirurgiendentiste. Ainsi, trop peu de patients diabétiques sont Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116633 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMaladies bucco-dentaires: cofacteurs de morbidité des personnes âgées / Valérie Pouyssegur in La revue de gériatrie, Tome 41 - N°1 (Janvier 2016)
PermalinkPathologie bucco-dentaire de la personne âgée : diagnostic et prise en charge / Isabelle Prêcheur in La revue de gériatrie, Vol.46 N°6 (Juin 2021)
PermalinkPathologies bucco-dentaires de la personne âgée dépendante : diagnostic et prise en charge / Lise Teisseire in La revue de gériatrie, Vol.46 N°8 (Octobre 2021)
PermalinkTélé-expertise dentaire : mise en place d’une consultation dentaire initiale à distance / H. Skalkova in La revue de gériatrie, Tome 44 - N°4 (Avril 2019)
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