Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur A. Hamel |
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Anomalies congénitales de l'appareil extenseur du genou / E. Mayrargue in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2007)
[article]
Titre : Anomalies congénitales de l'appareil extenseur du genou Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Mayrargue ; A. Hamel ; S. Guillard Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15-230-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou Luxation Flessum Recurvatum Congénital Patella Quadriceps Duplication Agénésie Résumé : Les pathologies congénitales de l'appareil extenseur du genou sont rares. Cependant elles doivent être connues pour être reconnues. Elles entrent souvent dans le cadre de syndromes polymalformatifs. Elles touchent soit le muscle quadricipital, soit la patella, soit les deux. Leur étiopathogénie n'est pas toujours très claire. La luxation congénitale de la patella est une luxation permanente et irréductible. Son traitement est chirurgical et le résultat est d'autant meilleur que le patient a été traité précocement. Les luxations congénitales du genou sont de gravité variable. Le genu recurvatum est la forme la plus fréquente et son évolution spontanée est favorable. En revanche, les formes plus graves sont de traitement plus difficile et la prise en charge initialement orthopédique doit être précoce. Certaines pathologies comme les agénésies patellaires, sont de diagnostic difficile et souvent retardé. Cette agénésie entre le plus souvent dans le cadre d'un syndrome polymalformatif et c'est parfois devant la suspicion d'un de ces syndromes que l'agénésie patellaire est remarquée. Pour ce qui est de la rétraction quadricipitale, elle est le plus souvent secondaire à une injection intramusculaire mais quelques cas congénitaux sont décrits. Les duplications patellaires vraies sont rares. Le plus souvent il s'agit de patellas bipartites qui ne nécessitent aucun traitement sauf si elles sont symptomatiques. Note de contenu : Introduction
Malformations quadricipitales
Luxation congénitale du genou
Aplasie et hypoplasie quadricipitale
Rétraction congénitale du muscle quadricipital
Malformations patellaires
Luxation congénitale de la patella
Agénésie de la patella
Duplications rotuliennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44084
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2007) . - 15-230-A-10 [Tome 6][article] Anomalies congénitales de l'appareil extenseur du genou [texte imprimé] / E. Mayrargue ; A. Hamel ; S. Guillard . - 2007 . - 15-230-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2007) . - 15-230-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Genou Luxation Flessum Recurvatum Congénital Patella Quadriceps Duplication Agénésie Résumé : Les pathologies congénitales de l'appareil extenseur du genou sont rares. Cependant elles doivent être connues pour être reconnues. Elles entrent souvent dans le cadre de syndromes polymalformatifs. Elles touchent soit le muscle quadricipital, soit la patella, soit les deux. Leur étiopathogénie n'est pas toujours très claire. La luxation congénitale de la patella est une luxation permanente et irréductible. Son traitement est chirurgical et le résultat est d'autant meilleur que le patient a été traité précocement. Les luxations congénitales du genou sont de gravité variable. Le genu recurvatum est la forme la plus fréquente et son évolution spontanée est favorable. En revanche, les formes plus graves sont de traitement plus difficile et la prise en charge initialement orthopédique doit être précoce. Certaines pathologies comme les agénésies patellaires, sont de diagnostic difficile et souvent retardé. Cette agénésie entre le plus souvent dans le cadre d'un syndrome polymalformatif et c'est parfois devant la suspicion d'un de ces syndromes que l'agénésie patellaire est remarquée. Pour ce qui est de la rétraction quadricipitale, elle est le plus souvent secondaire à une injection intramusculaire mais quelques cas congénitaux sont décrits. Les duplications patellaires vraies sont rares. Le plus souvent il s'agit de patellas bipartites qui ne nécessitent aucun traitement sauf si elles sont symptomatiques. Note de contenu : Introduction
Malformations quadricipitales
Luxation congénitale du genou
Aplasie et hypoplasie quadricipitale
Rétraction congénitale du muscle quadricipital
Malformations patellaires
Luxation congénitale de la patella
Agénésie de la patella
Duplications rotuliennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44084 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Étude prospective du coude de la gymnaste de haut niveau par IRM : à propos de 26 cas / F. Launay in Journal de traumatologie du sport, vol. 21/2 (2004)
[article]
Titre : Étude prospective du coude de la gymnaste de haut niveau par IRM : à propos de 26 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Launay ; GLARD Y. ; A. Hamel ; J.-L. Jouve ; PETIT P ; VIEHWEGER E. ; G. Bollini Année de publication : 2004 Article en page(s) : P. 88-92 Résumé : Les lésions du coude par hyperutilisation sont fréquentes chez les gymnastes de haut niveau. Nous avons réalisé un travail prospectif basé sur l'examen clinique et sur l'IRM afin de dépister des lésions infracliniques. Vingt-six gymnastes féminines de haut niveau ont été incluses dans l'étude. Trente quatre coudes ont pu être analysés. Pour chaque patiente, un examen clinique et une IRM ont été réalisés à l'entrée dans l'étude, à 6 mois et à un an. Si le coude devenait douloureux pendant la période d'inclusion, un nouvel examen clinique et une nouvelle IRM étaient réalisés. L'examen clinique et l'IRM sont restés normaux pendant toute la durée de l'étude chez 17 patientes. L'examen clinique était anormal avec une IRM normale chez 11 patientes. L'examen clinique et l'IRM ont été pathologiques chez 4 patientes. L'examen clinique était normal alors que l'IRM mettait en évidence des anomalies chez 2 patientes. Les lésions du coude chez la gymnaste de haut niveau sont surtout des ostéochondrites ou des ostéochondroses qui nécessitent une période de repos sportif plus ou moins longue. L'IRM permettant une analyse anatomique du coude n'a permis de déceler que 2 lésions infracliniques qui ont pu être mises en évidence sur des clichés radiographiques standard. L'examen clinique semble avoir une fiabilité satisfaisante en terme de dépistage dans cette pathologie. L'IRM ne permettant pas de dépister des lésions à un stade infraradiologique, nous ne la conseillons pas dans le cadre d'un suivi longitudinal de ces athlètes. Les radiographies standard restent pour nous le moyen d'évaluer ces coudes en première intention.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14353
in Journal de traumatologie du sport > vol. 21/2 (2004) . - P. 88-92[article] Étude prospective du coude de la gymnaste de haut niveau par IRM : à propos de 26 cas [texte imprimé] / F. Launay ; GLARD Y. ; A. Hamel ; J.-L. Jouve ; PETIT P ; VIEHWEGER E. ; G. Bollini . - 2004 . - P. 88-92.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 21/2 (2004) . - P. 88-92
Résumé : Les lésions du coude par hyperutilisation sont fréquentes chez les gymnastes de haut niveau. Nous avons réalisé un travail prospectif basé sur l'examen clinique et sur l'IRM afin de dépister des lésions infracliniques. Vingt-six gymnastes féminines de haut niveau ont été incluses dans l'étude. Trente quatre coudes ont pu être analysés. Pour chaque patiente, un examen clinique et une IRM ont été réalisés à l'entrée dans l'étude, à 6 mois et à un an. Si le coude devenait douloureux pendant la période d'inclusion, un nouvel examen clinique et une nouvelle IRM étaient réalisés. L'examen clinique et l'IRM sont restés normaux pendant toute la durée de l'étude chez 17 patientes. L'examen clinique était anormal avec une IRM normale chez 11 patientes. L'examen clinique et l'IRM ont été pathologiques chez 4 patientes. L'examen clinique était normal alors que l'IRM mettait en évidence des anomalies chez 2 patientes. Les lésions du coude chez la gymnaste de haut niveau sont surtout des ostéochondrites ou des ostéochondroses qui nécessitent une période de repos sportif plus ou moins longue. L'IRM permettant une analyse anatomique du coude n'a permis de déceler que 2 lésions infracliniques qui ont pu être mises en évidence sur des clichés radiographiques standard. L'examen clinique semble avoir une fiabilité satisfaisante en terme de dépistage dans cette pathologie. L'IRM ne permettant pas de dépister des lésions à un stade infraradiologique, nous ne la conseillons pas dans le cadre d'un suivi longitudinal de ces athlètes. Les radiographies standard restent pour nous le moyen d'évaluer ces coudes en première intention.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14353 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt