Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur F. Bonnomet |
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Aspects actuels de l'arthroscopie de cheville / F. Bonnomet in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/2 (septembre 1998)
[article]
Titre : Aspects actuels de l'arthroscopie de cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Bonnomet ; COLIN F. ; JOBARD D. ; Jean-François Kempf ; Franck Lacaze ; P. Clavert Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 91 - 100 Résumé : La chirurgie arthroscopique de la cheville est en plein essor et suscite un intérêt grandissant. Elle fait appel à une technique rigoureuse, un apprentissage sérieux et un matériel performant. Elle trouve ses indications principales dans le traitement de certaines pathologies synoviales : synovites, conflits synoviaux, chondromatose ; cartilagineuses : ostéochondrite, arthrose et traumatique : fractures ostéochondrales. L'expérience des auteurs et la revue de la littérature permettent de détailler tous ces éléments en insistant sur les avantages, les inconvénients et les limites de cette chirurgie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14296
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 91 - 100[article] Aspects actuels de l'arthroscopie de cheville [texte imprimé] / F. Bonnomet ; COLIN F. ; JOBARD D. ; Jean-François Kempf ; Franck Lacaze ; P. Clavert . - 1998 . - p. 91 - 100.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 91 - 100
Résumé : La chirurgie arthroscopique de la cheville est en plein essor et suscite un intérêt grandissant. Elle fait appel à une technique rigoureuse, un apprentissage sérieux et un matériel performant. Elle trouve ses indications principales dans le traitement de certaines pathologies synoviales : synovites, conflits synoviaux, chondromatose ; cartilagineuses : ostéochondrite, arthrose et traumatique : fractures ostéochondrales. L'expérience des auteurs et la revue de la littérature permettent de détailler tous ces éléments en insistant sur les avantages, les inconvénients et les limites de cette chirurgie.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtFracture de la diaphyse fémorale de l'adulte / F. Bonnomet in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2006)
[article]
Titre : Fracture de la diaphyse fémorale de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Bonnomet ; P. Clavert ; J.-M. Cognet Année de publication : 2006 Article en page(s) : 14-078-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture de la diaphyse fémorale Embolie graisseuse Polytraumatisme Enclouage centromédullaire Ostéosynthèse par plaque Chirurgie mini-invasive Résumé : La fracture de la diaphyse fémorale est un grand classique de la traumatologie. Elle touche en particulier le sujet jeune, de sexe masculin, volontiers au décours d'un traumatisme routier violent et dans un contexte polytraumatologique fréquent. Dans ce cas, les lésions osseuses, viscérales, thoraciques et neurocérébrales fréquemment associées déterminent le pronostic et la prise en charge de la fracture entre dans un contexte pluridisciplinaire. On la rencontre aussi chez le sujet âgé, plutôt de sexe féminin. Elle survient dans ce contexte à la suite d'une simple chute et est alors volontiers isolée. Dans ce contexte gériatrique, comme pour les fractures de l'extrémité supérieure du fémur, c'est l'état médical et mental initial qui détermine le pronostic et la qualité osseuse qui dicte les indications thérapeutiques. Quel que soit le sujet concerné, l'abondant réservoir en particules graisseuses que constitue la vaste cavité médullaire fémorale et la richesse du système veineux intramédullaire favorisent l'embolisation graisseuse dans la circulation veineuse pouvant entraîner la constitution d'un véritable syndrome d'embolie graisseuse, conduisant alors à une défaillance respiratoire, cardiaque puis multiviscérale. La prévention de la survenue d'un tel syndrome est un élément déterminant dans la prise en charge du patient. Le traitement de la fracture de la diaphyse fémorale est chirurgical et fait appel le plus souvent à l'enclouage centromédullaire antérograde, technique mise au point il y a plus de 60 ans par Gerhard Künscher et dont la popularité à travers le monde tient beaucoup aux possibilités de verrouillage développées à Strasbourg par Arsène Grosse et Ivan Kempf en 1978. Mais des techniques nouvelles apparaissent comme l'enclouage rétrograde, utile dans les fractures du fémur distal, ou l'ostéosynthèse par plaque à vis bloquées dont les qualités mécaniques nettement supérieures aux plaques conventionnelles et les possibilités d'implantation par des techniques mini-invasives semblent prometteuses, notamment chez le sujet âgé. Note de contenu : Généralités
Épidémiologie
Anatomie-Biomécanique
Diagnostic
Circonstances
Classifications des fractures du fémur
Prise en charge diagnostique
Complications immédiates
Lésions associées
Complications secondaires
Traitement
Méthodes
Indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43934
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2006) . - 14-078-A-10 [Tome 3][article] Fracture de la diaphyse fémorale de l'adulte [texte imprimé] / F. Bonnomet ; P. Clavert ; J.-M. Cognet . - 2006 . - 14-078-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2006) . - 14-078-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture de la diaphyse fémorale Embolie graisseuse Polytraumatisme Enclouage centromédullaire Ostéosynthèse par plaque Chirurgie mini-invasive Résumé : La fracture de la diaphyse fémorale est un grand classique de la traumatologie. Elle touche en particulier le sujet jeune, de sexe masculin, volontiers au décours d'un traumatisme routier violent et dans un contexte polytraumatologique fréquent. Dans ce cas, les lésions osseuses, viscérales, thoraciques et neurocérébrales fréquemment associées déterminent le pronostic et la prise en charge de la fracture entre dans un contexte pluridisciplinaire. On la rencontre aussi chez le sujet âgé, plutôt de sexe féminin. Elle survient dans ce contexte à la suite d'une simple chute et est alors volontiers isolée. Dans ce contexte gériatrique, comme pour les fractures de l'extrémité supérieure du fémur, c'est l'état médical et mental initial qui détermine le pronostic et la qualité osseuse qui dicte les indications thérapeutiques. Quel que soit le sujet concerné, l'abondant réservoir en particules graisseuses que constitue la vaste cavité médullaire fémorale et la richesse du système veineux intramédullaire favorisent l'embolisation graisseuse dans la circulation veineuse pouvant entraîner la constitution d'un véritable syndrome d'embolie graisseuse, conduisant alors à une défaillance respiratoire, cardiaque puis multiviscérale. La prévention de la survenue d'un tel syndrome est un élément déterminant dans la prise en charge du patient. Le traitement de la fracture de la diaphyse fémorale est chirurgical et fait appel le plus souvent à l'enclouage centromédullaire antérograde, technique mise au point il y a plus de 60 ans par Gerhard Künscher et dont la popularité à travers le monde tient beaucoup aux possibilités de verrouillage développées à Strasbourg par Arsène Grosse et Ivan Kempf en 1978. Mais des techniques nouvelles apparaissent comme l'enclouage rétrograde, utile dans les fractures du fémur distal, ou l'ostéosynthèse par plaque à vis bloquées dont les qualités mécaniques nettement supérieures aux plaques conventionnelles et les possibilités d'implantation par des techniques mini-invasives semblent prometteuses, notamment chez le sujet âgé. Note de contenu : Généralités
Épidémiologie
Anatomie-Biomécanique
Diagnostic
Circonstances
Classifications des fractures du fémur
Prise en charge diagnostique
Complications immédiates
Lésions associées
Complications secondaires
Traitement
Méthodes
Indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43934 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte / Mathieu Ehlinger in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; F. Bonnomet Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-075-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur proximal Fracture du col Fracture du massif trochantérien Prothèse Ostéosynthèse Épidémiologie Résumé : Les fractures du fémur proximal représentent l'une des fractures les plus fréquemment rencontrées en traumatologie courante. Elles occupent le troisième rang, avec un pourcentage de 11,5 % et une prédominance féminine. Il s'agit classiquement d'une fracture de la personne âgée puisque la moyenne d'âge est de 80 ans et que 97 % et 75 % ont respectivement plus de 50 et 79 ans. Elles sont considérées comme un marqueur de l'ostéoporose maladie. Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur engagent le pronostic vital de la personne âgée et les fractures cervicales engagent le pronostic fonctionnel de la personne jeune avec le risque de survenue d'une ostéonécrose aseptique céphalique. Anatomiquement, le fémur proximal comprend la tête et le col fémoral ainsi que le massif trochantérien descendant par définition jusqu'à 2,5 cm sous le petit trochanter. Cet article est centré sur les fractures traumatiques récentes des trois zones anatomiques, en excluant les fractures pathologiques et les fractures sur implant. Les fractures du petit trochanter et du grand trochanter seront évoquées ainsi que les fractures de stress. La suspicion d'une fracture du fémur proximal est clinique avec une symptomatologie classique : douleur, déformation et impotence fonctionnelle. Le diagnostic doit être confirmé par un bilan radiologique. Le bassin de face est systématique chez le patient inconscient et la fracture de la diaphyse fémorale. Le traitement est adapté à l'âge et au type de fracture. Il va du traitement fonctionnel à la prothèse totale de hanche. Après une analyse épidémiologique de ces fractures, nous rappellerons la démarche diagnostique. Les différentes classifications de ces fractures seront exposées et discutées. Enfin, la prise en charge thérapeutique sera détaillée et discutée en fonction du site anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42922
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-075-A-10[article] Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte [texte imprimé] / Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; F. Bonnomet . - 2014 . - 14-075-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-075-A-10
Mots-clés : Fémur proximal Fracture du col Fracture du massif trochantérien Prothèse Ostéosynthèse Épidémiologie Résumé : Les fractures du fémur proximal représentent l'une des fractures les plus fréquemment rencontrées en traumatologie courante. Elles occupent le troisième rang, avec un pourcentage de 11,5 % et une prédominance féminine. Il s'agit classiquement d'une fracture de la personne âgée puisque la moyenne d'âge est de 80 ans et que 97 % et 75 % ont respectivement plus de 50 et 79 ans. Elles sont considérées comme un marqueur de l'ostéoporose maladie. Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur engagent le pronostic vital de la personne âgée et les fractures cervicales engagent le pronostic fonctionnel de la personne jeune avec le risque de survenue d'une ostéonécrose aseptique céphalique. Anatomiquement, le fémur proximal comprend la tête et le col fémoral ainsi que le massif trochantérien descendant par définition jusqu'à 2,5 cm sous le petit trochanter. Cet article est centré sur les fractures traumatiques récentes des trois zones anatomiques, en excluant les fractures pathologiques et les fractures sur implant. Les fractures du petit trochanter et du grand trochanter seront évoquées ainsi que les fractures de stress. La suspicion d'une fracture du fémur proximal est clinique avec une symptomatologie classique : douleur, déformation et impotence fonctionnelle. Le diagnostic doit être confirmé par un bilan radiologique. Le bassin de face est systématique chez le patient inconscient et la fracture de la diaphyse fémorale. Le traitement est adapté à l'âge et au type de fracture. Il va du traitement fonctionnel à la prothèse totale de hanche. Après une analyse épidémiologique de ces fractures, nous rappellerons la démarche diagnostique. Les différentes classifications de ces fractures seront exposées et discutées. Enfin, la prise en charge thérapeutique sera détaillée et discutée en fonction du site anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42922 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire