Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Août 2011
Paru le : 31/08/2011 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierEntorses de la cheville / T. Bauer in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2011)
[article]
Titre : Entorses de la cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Bauer Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-089-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Entorse de cheville Instabilité de cheville Lésions ligamentaires Syndesmose Résumé : Les entorses de la cheville sont l'une des lésions les plus fréquentes en traumatologie et peuvent survenir pour tout type de sport. C'est le ligament talofibulaire antérieur qui est le plus atteint et à l'origine des éventuelles séquelles (douleurs chroniques, instabilité chronique). Les lésions vont de la simple élongation à la rupture complète, avec atteinte parfois de plusieurs ligaments et lésions associées (capsulaires, tendineuses et ostéochondrales), qui font la gravité et le pronostic de l'entorse. C'est l'examen clinique 4 ou 5 jours après le traumatisme de la cheville qui reste le plus efficace et le plus utile pour la détection avec précision d'une rupture ligamentaire récente et de lésions associées. Le traitement d'une entorse récente latérale de la cheville repose sur le traitement antalgique et anti-inflammatoire, associé à une mobilisation précoce et un traitement fonctionnel associant contrôle postural et travail proprioceptif, afin de permettre une récupération rapide et, surtout, éviter la principale séquelle qu'est l'instabilité chronique latérale de cheville. Il ne faut pas méconnaître les entorses du ligament collatéral médial et de la syndesmose, beaucoup plus rares, de diagnostic souvent retardé et dont le pronostic est plus aléatoire. Note de contenu : Introduction
Rappels anatomiques : anatomie fonctionnelle et biomécanique de la cheville
Entorse du ligament collatéral latéral de la cheville
Entorse récente du ligament collatéral latéral de la cheville
Séquelles d'entorse du ligament collatéral latéral de la cheville
Instabilité chronique latérale de cheville
Entorse du ligament collatéral médial de la cheville
Physiopathologie
Diagnostic clinique
Imagerie
Traitement
Entorse de la syndesmose
Physiopathologie
Diagnostic
Imagerie
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43947
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-089-A-10 [Tome 3][article] Entorses de la cheville [texte imprimé] / T. Bauer . - 2011 . - 14-089-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-089-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Entorse de cheville Instabilité de cheville Lésions ligamentaires Syndesmose Résumé : Les entorses de la cheville sont l'une des lésions les plus fréquentes en traumatologie et peuvent survenir pour tout type de sport. C'est le ligament talofibulaire antérieur qui est le plus atteint et à l'origine des éventuelles séquelles (douleurs chroniques, instabilité chronique). Les lésions vont de la simple élongation à la rupture complète, avec atteinte parfois de plusieurs ligaments et lésions associées (capsulaires, tendineuses et ostéochondrales), qui font la gravité et le pronostic de l'entorse. C'est l'examen clinique 4 ou 5 jours après le traumatisme de la cheville qui reste le plus efficace et le plus utile pour la détection avec précision d'une rupture ligamentaire récente et de lésions associées. Le traitement d'une entorse récente latérale de la cheville repose sur le traitement antalgique et anti-inflammatoire, associé à une mobilisation précoce et un traitement fonctionnel associant contrôle postural et travail proprioceptif, afin de permettre une récupération rapide et, surtout, éviter la principale séquelle qu'est l'instabilité chronique latérale de cheville. Il ne faut pas méconnaître les entorses du ligament collatéral médial et de la syndesmose, beaucoup plus rares, de diagnostic souvent retardé et dont le pronostic est plus aléatoire. Note de contenu : Introduction
Rappels anatomiques : anatomie fonctionnelle et biomécanique de la cheville
Entorse du ligament collatéral latéral de la cheville
Entorse récente du ligament collatéral latéral de la cheville
Séquelles d'entorse du ligament collatéral latéral de la cheville
Instabilité chronique latérale de cheville
Entorse du ligament collatéral médial de la cheville
Physiopathologie
Diagnostic clinique
Imagerie
Traitement
Entorse de la syndesmose
Physiopathologie
Diagnostic
Imagerie
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43947 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoarthropathies nerveuses / P. Lafforgue in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2011)
[article]
Titre : Ostéoarthropathies nerveuses Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Lafforgue, Auteur ; S. Trijau, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-285-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses (OAN) entraînent une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant provoquer des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours de neuropathies avec atteinte sensitive. La syphilis a maintenant été remplacée par le diabète comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. L'atteinte intéresse généralement une seule région, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir d'une part des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse, et d'autre part une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire à un défaut du système nerveux autonome. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un oedème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. La biologie est peu ou pas inflammatoire. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'oedème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. Les bisphosphonates semblent être utiles. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'oedème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Théorie neurovasculaire
Théorie neurotraumatique
Fragilité osseuse locale
Étiologies
Tabès/neurosyphilis
Diabète
Causes médullaires
Neuropathies sensitives ou sensitivomotrices héréditaires
Forme typique : le pied de Charcot
Phase aiguë
Phase chronique et évolution
Diagnostic différentiel
Algodystrophie
Arthrites rhumatismales ou microcristallines
Ostéomyélite
Formes topographiques
Membre inférieur
Membre supérieur
Rachis
Traitement
Traitement physique
Bisphosphonates et calcitonine
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44012
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-285-A-10 [Tome 5][article] Ostéoarthropathies nerveuses [texte imprimé] / P. Lafforgue, Auteur ; S. Trijau, Auteur . - 2011 . - 14-285-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-285-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses (OAN) entraînent une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant provoquer des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours de neuropathies avec atteinte sensitive. La syphilis a maintenant été remplacée par le diabète comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. L'atteinte intéresse généralement une seule région, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir d'une part des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse, et d'autre part une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire à un défaut du système nerveux autonome. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un oedème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. La biologie est peu ou pas inflammatoire. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'oedème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. Les bisphosphonates semblent être utiles. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'oedème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Théorie neurovasculaire
Théorie neurotraumatique
Fragilité osseuse locale
Étiologies
Tabès/neurosyphilis
Diabète
Causes médullaires
Neuropathies sensitives ou sensitivomotrices héréditaires
Forme typique : le pied de Charcot
Phase aiguë
Phase chronique et évolution
Diagnostic différentiel
Algodystrophie
Arthrites rhumatismales ou microcristallines
Ostéomyélite
Formes topographiques
Membre inférieur
Membre supérieur
Rachis
Traitement
Traitement physique
Bisphosphonates et calcitonine
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44012 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Sarcomes développés en territoire irradié / J.-L. Lagrange in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2011)
[article]
Titre : Sarcomes développés en territoire irradié Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-L. Lagrange, Auteur ; J. Thariat, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-795 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sarcome en territoire irradié Sarcome radio-induit Résumé : La terminologie de sarcome en territoire irradié doit remplacer celle de sarcome radio-induit compte tenu de l'absence de signature universelle en faveur de l'imputabilité des rayonnements ionisants. Cependant, les critères de Cahan ou de Arlen définissent des critères d'imputabilité de l'irradiation (latence, site dans ou à proximité d'un champ d'irradiation, histologie). L'incidence des sarcomes développés en territoire irradié est estimée entre 0,03 % et 0,2 %. La latence médiane est de 10 à 15 ans. L'âge au moment de la première irradiation, le pronostic et l'incidence des premiers cancers expliquent la prédominance des deuxièmes cancers à type de sarcome après maladie de Hodgkin ou de cancer du sein par exemple. Certains sous-types histologiques sont plus fréquents comme les angiosarcomes après cancer du sein ou les histiocytomes fibreux malins ou les ostéosarcomes sur terrain génétique prédisposé (cas du rétinoblastome). Les signes cliniques sont non spécifiques, mais l'anamnèse et l'évolutivité de l'imagerie de suivi ainsi que les données dosimétriques de la première irradiation doivent évoquer le diagnostic. Le traitement repose essentiellement sur la chirurgie. La survie à 5 ans dépasse rarement 30 % en raison de possibilités thérapeutiques, en particulier chirurgicales, souvent limitées par le traitement préalable du premier cancer. Un enregistrement des cas de sarcomes en territoire irradié et la constitution d'une banque tissulaire sont requis pour établir l'imputabilité de l'irradiation (recherche d'une signature moléculaire/cytogénétique) dans la survenue de ces sarcomes, pour mieux comprendre leur étiologie et leur pathogénie, et pour identifier d'éventuels facteurs prédictifs. Note de contenu : Introduction
Définition
Fréquence et population
Facteurs de risque
Terrain génétique
Âge à la première irradiation
Conditions cliniques favorisantes
Modalités d'irradiation : dose, énergie, particules et nouvelles techniques d'irradiation
Chimiothérapie
Formes histologiques des sarcomes en terrain irradié
Localisations particulières
Sarcomes après irradiation du sein
Sarcomes après irradiation des tumeurs de la tête et du cou
Sarcomes après irradiation des lymphomes
Sarcomes après irradiation des tumeurs à cellules géantes
Sarcomes après irradiation des tumeurs du testicule et de la prostate
Sarcomes après irradiation des tumeurs bénignes
Sarcomes développés après irradiation chez l'enfant
Diagnostic
Clinique
Imagerie
Modalités du traitement
Difficultés de la chirurgie en terrain opéré et irradié
Place de la chimiothérapie en cas de non-extirpabilité
Place des nouvelles molécules
Place de la radiothérapie
Survie
Facteurs pronostiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44057
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-795 [Tome 6][article] Sarcomes développés en territoire irradié [texte imprimé] / J.-L. Lagrange, Auteur ; J. Thariat, Auteur . - 2011 . - 14-795 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 14-795 [Tome 6]
Mots-clés : Sarcome en territoire irradié Sarcome radio-induit Résumé : La terminologie de sarcome en territoire irradié doit remplacer celle de sarcome radio-induit compte tenu de l'absence de signature universelle en faveur de l'imputabilité des rayonnements ionisants. Cependant, les critères de Cahan ou de Arlen définissent des critères d'imputabilité de l'irradiation (latence, site dans ou à proximité d'un champ d'irradiation, histologie). L'incidence des sarcomes développés en territoire irradié est estimée entre 0,03 % et 0,2 %. La latence médiane est de 10 à 15 ans. L'âge au moment de la première irradiation, le pronostic et l'incidence des premiers cancers expliquent la prédominance des deuxièmes cancers à type de sarcome après maladie de Hodgkin ou de cancer du sein par exemple. Certains sous-types histologiques sont plus fréquents comme les angiosarcomes après cancer du sein ou les histiocytomes fibreux malins ou les ostéosarcomes sur terrain génétique prédisposé (cas du rétinoblastome). Les signes cliniques sont non spécifiques, mais l'anamnèse et l'évolutivité de l'imagerie de suivi ainsi que les données dosimétriques de la première irradiation doivent évoquer le diagnostic. Le traitement repose essentiellement sur la chirurgie. La survie à 5 ans dépasse rarement 30 % en raison de possibilités thérapeutiques, en particulier chirurgicales, souvent limitées par le traitement préalable du premier cancer. Un enregistrement des cas de sarcomes en territoire irradié et la constitution d'une banque tissulaire sont requis pour établir l'imputabilité de l'irradiation (recherche d'une signature moléculaire/cytogénétique) dans la survenue de ces sarcomes, pour mieux comprendre leur étiologie et leur pathogénie, et pour identifier d'éventuels facteurs prédictifs. Note de contenu : Introduction
Définition
Fréquence et population
Facteurs de risque
Terrain génétique
Âge à la première irradiation
Conditions cliniques favorisantes
Modalités d'irradiation : dose, énergie, particules et nouvelles techniques d'irradiation
Chimiothérapie
Formes histologiques des sarcomes en terrain irradié
Localisations particulières
Sarcomes après irradiation du sein
Sarcomes après irradiation des tumeurs de la tête et du cou
Sarcomes après irradiation des lymphomes
Sarcomes après irradiation des tumeurs à cellules géantes
Sarcomes après irradiation des tumeurs du testicule et de la prostate
Sarcomes après irradiation des tumeurs bénignes
Sarcomes développés après irradiation chez l'enfant
Diagnostic
Clinique
Imagerie
Modalités du traitement
Difficultés de la chirurgie en terrain opéré et irradié
Place de la chimiothérapie en cas de non-extirpabilité
Place des nouvelles molécules
Place de la radiothérapie
Survie
Facteurs pronostiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44057 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Différences congénitales de la main / A. Abid in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2011)
[article]
Titre : Différences congénitales de la main Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Abid Année de publication : 2011 Article en page(s) : 15-220-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Anomalies congénitales Main Embryologie Classification Syndactylie Polydactylie Résumé : Les différences congénitales de la main et du membre thoracique sont parmi les anomalies congénitales les plus fréquentes. Elles viennent au second plan après les anomalies congénitales du coeur. La plupart de ces différences sont secondaires à un défaut de formation ou de séparation. L'étiologie, probablement multifactorielle, reste difficile à identifier. Elles peuvent être dépistées par l'échographie morphologique du 5e mois. La classification de Swanson, adoptée par la Fédération internationale des sociétés de chirurgie de la main (IFSSH), reste actuellement la plus utilisée. Dans cet article, les différences congénitales de la main sont abordées selon l'ordre établi dans cette classification. Dans chaque groupe sont décrites les différences congénitales les plus fréquentes. Certaines anomalies, très rares ou traitées dans d'autres articles de l'Encyclopédie médicochirurgicale (EMC), ne sont pas développées dans cette étude. Un diagnostic précis et une prise en charge adéquate contribuent à améliorer le pronostic fonctionnel et esthétique de la main. Note de contenu : Embryologie
Développement de la main
Mouvements morphologiques
Interactions inductives
Étiologie
Épidémiologie
Diagnostic et consultation prénatals
Classification et terminologie
Classification
Terminologie
Principales différences congénitales de la main
Groupe I : anomalies par défaut de formation
Groupe II : anomalies par défaut de différenciation
Groupe III : duplications
Groupe VI : syndrome des brides amniotiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44081
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 15-220-A-10 [Tome 6][article] Différences congénitales de la main [texte imprimé] / A. Abid . - 2011 . - 15-220-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2011) . - 15-220-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Anomalies congénitales Main Embryologie Classification Syndactylie Polydactylie Résumé : Les différences congénitales de la main et du membre thoracique sont parmi les anomalies congénitales les plus fréquentes. Elles viennent au second plan après les anomalies congénitales du coeur. La plupart de ces différences sont secondaires à un défaut de formation ou de séparation. L'étiologie, probablement multifactorielle, reste difficile à identifier. Elles peuvent être dépistées par l'échographie morphologique du 5e mois. La classification de Swanson, adoptée par la Fédération internationale des sociétés de chirurgie de la main (IFSSH), reste actuellement la plus utilisée. Dans cet article, les différences congénitales de la main sont abordées selon l'ordre établi dans cette classification. Dans chaque groupe sont décrites les différences congénitales les plus fréquentes. Certaines anomalies, très rares ou traitées dans d'autres articles de l'Encyclopédie médicochirurgicale (EMC), ne sont pas développées dans cette étude. Un diagnostic précis et une prise en charge adéquate contribuent à améliorer le pronostic fonctionnel et esthétique de la main. Note de contenu : Embryologie
Développement de la main
Mouvements morphologiques
Interactions inductives
Étiologie
Épidémiologie
Diagnostic et consultation prénatals
Classification et terminologie
Classification
Terminologie
Principales différences congénitales de la main
Groupe I : anomalies par défaut de formation
Groupe II : anomalies par défaut de différenciation
Groupe III : duplications
Groupe VI : syndrome des brides amniotiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44081 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire