Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Décembre 2011
Paru le : 14/12/2011 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierFractures du pilon tibial / M. Assal in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2011)
[article]
Titre : Fractures du pilon tibial Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Assal Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-087-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture du tibia distal Fracture du pilon tibial Fracture du plafond tibial Ostéosynthèse par plaque verrouillée Enclouage centromédullaire verrouillé Ostéosynthèse mini-invasive Fracture articulaire Résumé : Les fractures de l'extrémité distale du tibia relèvent de traumatismes à haute énergie par compression axiale. Elles se situent dans une région anatomique dont l'enveloppe tissulaire est fine et particulièrement exposée. Le traitement chirurgical doit assurer une réduction osseuse aussi précise que possible tout en respectant les tissus environnants. L'ostéosynthèse doit être stable pour autoriser une mobilisation précoce. La planification opératoire est un moment essentiel de la prise en charge et se fait par l'observation clinique rigoureuse et l'interprétation radiologique exacte des caractéristiques de la fracture. La complexité métaphysoépiphysaire de ces lésions requiert une imagerie par tomodensitométrie avec reconstruction multiplanaire. Le développement d'implants anatomiques à stabilité angulaire et l'amélioration récente de la définition des voies d'abord chirurgicales ont clairement changé le pronostic de ces lésions. La reconnaissance de l'importance de l'intervalle chirurgical libre avant l'ostéosynthèse définitive est le principe ayant certainement le plus sécurisé leur prise en charge. Aussi, la possibilité d'une approche mini-invasive pour certaines fractures contribue à cette sécurisation. Note de contenu : Introduction
Anatomie
Classification
Radiologie
Lésions des tissus mous
Tissus mous dans les fractures fermées
Tissus mous dans les fractures ouvertes
Prise en charge à l'admission
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Fixateur externe
Intervalle chirurgical
Techniques chirurgicales
Fractures extra-articulaires, type AO 43-A
Fractures articulaires partielles du pilon tibial, type AO 43-B
Fractures articulaires complètes du pilon tibial, type AO 43-C
Arthrodèse précoce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43944
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-087-A-10 [Tome 3][article] Fractures du pilon tibial [texte imprimé] / M. Assal . - 2011 . - 14-087-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-087-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture du tibia distal Fracture du pilon tibial Fracture du plafond tibial Ostéosynthèse par plaque verrouillée Enclouage centromédullaire verrouillé Ostéosynthèse mini-invasive Fracture articulaire Résumé : Les fractures de l'extrémité distale du tibia relèvent de traumatismes à haute énergie par compression axiale. Elles se situent dans une région anatomique dont l'enveloppe tissulaire est fine et particulièrement exposée. Le traitement chirurgical doit assurer une réduction osseuse aussi précise que possible tout en respectant les tissus environnants. L'ostéosynthèse doit être stable pour autoriser une mobilisation précoce. La planification opératoire est un moment essentiel de la prise en charge et se fait par l'observation clinique rigoureuse et l'interprétation radiologique exacte des caractéristiques de la fracture. La complexité métaphysoépiphysaire de ces lésions requiert une imagerie par tomodensitométrie avec reconstruction multiplanaire. Le développement d'implants anatomiques à stabilité angulaire et l'amélioration récente de la définition des voies d'abord chirurgicales ont clairement changé le pronostic de ces lésions. La reconnaissance de l'importance de l'intervalle chirurgical libre avant l'ostéosynthèse définitive est le principe ayant certainement le plus sécurisé leur prise en charge. Aussi, la possibilité d'une approche mini-invasive pour certaines fractures contribue à cette sécurisation. Note de contenu : Introduction
Anatomie
Classification
Radiologie
Lésions des tissus mous
Tissus mous dans les fractures fermées
Tissus mous dans les fractures ouvertes
Prise en charge à l'admission
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Fixateur externe
Intervalle chirurgical
Techniques chirurgicales
Fractures extra-articulaires, type AO 43-A
Fractures articulaires partielles du pilon tibial, type AO 43-B
Fractures articulaires complètes du pilon tibial, type AO 43-C
Arthrodèse précoce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43944 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures et luxations du talus / O. Laffenêtre in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2011)
[article]
Titre : Fractures et luxations du talus Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Laffenêtre ; R. Mariey ; P. Golano Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-091-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Talus Fracture totale Fracture parcellaire Lésion ostéochondrale Ostéonécrose aseptique Résumé : Les fractures et luxations du talus ne peuvent être envisagées comme une entité. Du fait de la configuration spatiale complexe de cet os central de la cheville, on distingue les fractures totales (corps et col) et les fractures parcellaires (processus postérieur, processus latéral, tête). Parmi ces dernières, on doit encore isoler les lésions ostéochondrales, appelées « du dôme de l'astragale » ou LODA, qui feront l'objet d'une question à part. Toutes ces lésions ont leurs spécificités, soit par leur présentation clinique, leur physiopathologie ou leur prise en charge diagnostique. Elles partagent également le défi technique qu'elles imposent aux chirurgiens dans leur traitement et un taux de complications encore très élevé et pourvoyeur de résultats fonctionnels parfois décevants. L'étude extensive qu'ils ont faite de la vascularisation, des mécanismes vulnérants, la plus grande précision des indications thérapeutiques et les innovations techniques récemment à notre disposition (ostéosynthèse percutanée, outil arthroscopique et arthroplastie de cheville) permettent de tempérer le pessimisme des chirurgiens pionniers et font reculer le recours à des chirurgies délabrantes comme la talectomie ou les arthrodèses pantaliennes préconisées par nos prédécesseurs. Note de contenu : Historique
Rappels anatomiques
Anatomie descriptive
Vascularisation
Physiopathologie
Fractures totales
Diagnostic
Approche clinique
Examens complémentaires
Classifications
Évolution et pronostic
Données globales
Complications
Principe du traitement selon les formes
Fractures totales
Fractures parcellaires
Fractures-luxations
Fractures ouvertes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43948
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-091-A-10 [Tome 3][article] Fractures et luxations du talus [texte imprimé] / O. Laffenêtre ; R. Mariey ; P. Golano . - 2011 . - 14-091-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-091-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Talus Fracture totale Fracture parcellaire Lésion ostéochondrale Ostéonécrose aseptique Résumé : Les fractures et luxations du talus ne peuvent être envisagées comme une entité. Du fait de la configuration spatiale complexe de cet os central de la cheville, on distingue les fractures totales (corps et col) et les fractures parcellaires (processus postérieur, processus latéral, tête). Parmi ces dernières, on doit encore isoler les lésions ostéochondrales, appelées « du dôme de l'astragale » ou LODA, qui feront l'objet d'une question à part. Toutes ces lésions ont leurs spécificités, soit par leur présentation clinique, leur physiopathologie ou leur prise en charge diagnostique. Elles partagent également le défi technique qu'elles imposent aux chirurgiens dans leur traitement et un taux de complications encore très élevé et pourvoyeur de résultats fonctionnels parfois décevants. L'étude extensive qu'ils ont faite de la vascularisation, des mécanismes vulnérants, la plus grande précision des indications thérapeutiques et les innovations techniques récemment à notre disposition (ostéosynthèse percutanée, outil arthroscopique et arthroplastie de cheville) permettent de tempérer le pessimisme des chirurgiens pionniers et font reculer le recours à des chirurgies délabrantes comme la talectomie ou les arthrodèses pantaliennes préconisées par nos prédécesseurs. Note de contenu : Historique
Rappels anatomiques
Anatomie descriptive
Vascularisation
Physiopathologie
Fractures totales
Diagnostic
Approche clinique
Examens complémentaires
Classifications
Évolution et pronostic
Données globales
Complications
Principe du traitement selon les formes
Fractures totales
Fractures parcellaires
Fractures-luxations
Fractures ouvertes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43948 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lésions ostéochondrales du dôme du talus (LODA) / O. Laffenêtre in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2011)
[article]
Titre : Lésions ostéochondrales du dôme du talus (LODA) Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Laffenêtre ; R. Mariey ; P. Golano Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-092-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Talus Fracture parcellaire Lésion ostéochondrale Arthroscopie de la cheville Chondrocytes Résumé : Les lésions ostéochondrales du talus doivent être connues, et tout particulièrement dans les suites des traumatismes de l'arrière-pied. Ces lésions ont été parfaitement démembrées voici maintenant plus de 15ans lors de la table ronde que la Société orthopédique de l'ouest leur a consacrée, sous la direction de Doré et Rosset. Même si certains mécanismes les produisant sont connus, leur étiopathogénie n'est pas encore formellement tranchée. Il paraît indispensable, pour les caractériser, d'utiliser la classification radiologique fracture-ostéonécrose-géode (FOG). Leur diagnostic, comme leur traitement chirurgical, reste toujours un challenge pour le praticien : certaines règles sont communes à toutes comme le débridement et l'abrasion des tissus nécrotiques, d'autres optionnelles selon les habitudes, la situation et la taille de la lésion. Aucune d'ailleurs ne semble supérieure aux autres. L'arthroscopie s'est imposée pour les lésions de taille modeste inférieures à 1,5cm2, alors que les autres doivent être comblées. La prise en charge de ces lésions reste donc toujours délicate et relativement spécialisée : la littérature nous incite aussi à une certaine modestie quant aux résultats d'une prise en charge chirurgicale. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Diagnostic
Approche clinique
Examens complémentaires
Classifications
Évolution et pronostic
Principe du traitement
Généralités
Selon la forme
Au final
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43949
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-092-A-10 [Tome 3][article] Lésions ostéochondrales du dôme du talus (LODA) [texte imprimé] / O. Laffenêtre ; R. Mariey ; P. Golano . - 2011 . - 14-092-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-092-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Talus Fracture parcellaire Lésion ostéochondrale Arthroscopie de la cheville Chondrocytes Résumé : Les lésions ostéochondrales du talus doivent être connues, et tout particulièrement dans les suites des traumatismes de l'arrière-pied. Ces lésions ont été parfaitement démembrées voici maintenant plus de 15ans lors de la table ronde que la Société orthopédique de l'ouest leur a consacrée, sous la direction de Doré et Rosset. Même si certains mécanismes les produisant sont connus, leur étiopathogénie n'est pas encore formellement tranchée. Il paraît indispensable, pour les caractériser, d'utiliser la classification radiologique fracture-ostéonécrose-géode (FOG). Leur diagnostic, comme leur traitement chirurgical, reste toujours un challenge pour le praticien : certaines règles sont communes à toutes comme le débridement et l'abrasion des tissus nécrotiques, d'autres optionnelles selon les habitudes, la situation et la taille de la lésion. Aucune d'ailleurs ne semble supérieure aux autres. L'arthroscopie s'est imposée pour les lésions de taille modeste inférieures à 1,5cm2, alors que les autres doivent être comblées. La prise en charge de ces lésions reste donc toujours délicate et relativement spécialisée : la littérature nous incite aussi à une certaine modestie quant aux résultats d'une prise en charge chirurgicale. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Diagnostic
Approche clinique
Examens complémentaires
Classifications
Évolution et pronostic
Principe du traitement
Généralités
Selon la forme
Au final
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tumeurs à cellules géantes des os / F. Gouin in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2011)
[article]
Titre : Tumeurs à cellules géantes des os Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Gouin, Auteur ; G. Odri, Auteur ; R. Revert, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-759 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur à cellules géantes Tumeur osseuse Curetage Résumé : La tumeur à cellules géantes (TCG) est un processus tumoral bénin représentant 5 % des tumeurs osseuses primitives. Elle touche surtout l'adulte jeune entre 20 et 40ans. La prolifération tumorale est faite de cellules stromales mononuclées considérées comme le contingent tumoral, de cellules mononuclées précurseurs des ostéoclastes et de cellules multinucléées « ostéoclastes-like » responsables de la destruction osseuse. Ce processus tumoral est responsable de plages d'ostéolyses en zone métaphysoépiphysaire des os longs le plus souvent (fémur, tibia, humérus, radius). Il peut atteindre les os plats (os coxal, vertèbres, sacrum). La fragilisation osseuse est responsable de douleurs le plus souvent révélatrices, et expose à des fractures pathologiques. Le diagnostic doit être affirmé par une biopsie pour ne pas méconnaître une autre lésion ou un sarcome avec une composante à cellules géantes. Le traitement repose sur un curetage agressif et le plus complet possible. Les traitements adjuvants peropératoires (phénol, azote liquide, thermocoagulation, cryothérapie, ciment, etc.) sont discutés quant à leur rôle sur la prévention des récidives qui surviennent dans 10 % à 40 % des cas. Elles peuvent alors être accompagnées de rares métastases pulmonaires bénignes. Les thérapies ciblées antiostéoclastiques semblent efficaces sur la prolifération tumorale, mais leur place dans la stratégie thérapeutique est en cours d'évaluation. Note de contenu : Introduction
Aspects cellulaires et moléculaires
Composants cellulaires
Régulation moléculaire
Fréquence. Localisation
Symptômes et signes révélateurs
Imagerie
Radiographie conventionnelle
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Anatomopathologie
Macroscopie
Histologie
Autres variantes histologiques
Facteurs pronostiques
Génétique
Diagnostic positif
Diagnostics différentiels
Imagerie
Au plan anatomopathologique
Traitement
Traitement chirurgical
Traitement non chirurgicaux
Évolution et pronostic
Récidives locales
Métastases pulmonaires
Transformation maligne
Suivi
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44049
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-759 [Tome 6][article] Tumeurs à cellules géantes des os [texte imprimé] / F. Gouin, Auteur ; G. Odri, Auteur ; R. Revert, Auteur . - 2011 . - 14-759 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2011) . - 14-759 [Tome 6]
Mots-clés : Tumeur à cellules géantes Tumeur osseuse Curetage Résumé : La tumeur à cellules géantes (TCG) est un processus tumoral bénin représentant 5 % des tumeurs osseuses primitives. Elle touche surtout l'adulte jeune entre 20 et 40ans. La prolifération tumorale est faite de cellules stromales mononuclées considérées comme le contingent tumoral, de cellules mononuclées précurseurs des ostéoclastes et de cellules multinucléées « ostéoclastes-like » responsables de la destruction osseuse. Ce processus tumoral est responsable de plages d'ostéolyses en zone métaphysoépiphysaire des os longs le plus souvent (fémur, tibia, humérus, radius). Il peut atteindre les os plats (os coxal, vertèbres, sacrum). La fragilisation osseuse est responsable de douleurs le plus souvent révélatrices, et expose à des fractures pathologiques. Le diagnostic doit être affirmé par une biopsie pour ne pas méconnaître une autre lésion ou un sarcome avec une composante à cellules géantes. Le traitement repose sur un curetage agressif et le plus complet possible. Les traitements adjuvants peropératoires (phénol, azote liquide, thermocoagulation, cryothérapie, ciment, etc.) sont discutés quant à leur rôle sur la prévention des récidives qui surviennent dans 10 % à 40 % des cas. Elles peuvent alors être accompagnées de rares métastases pulmonaires bénignes. Les thérapies ciblées antiostéoclastiques semblent efficaces sur la prolifération tumorale, mais leur place dans la stratégie thérapeutique est en cours d'évaluation. Note de contenu : Introduction
Aspects cellulaires et moléculaires
Composants cellulaires
Régulation moléculaire
Fréquence. Localisation
Symptômes et signes révélateurs
Imagerie
Radiographie conventionnelle
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Anatomopathologie
Macroscopie
Histologie
Autres variantes histologiques
Facteurs pronostiques
Génétique
Diagnostic positif
Diagnostics différentiels
Imagerie
Au plan anatomopathologique
Traitement
Traitement chirurgical
Traitement non chirurgicaux
Évolution et pronostic
Récidives locales
Métastases pulmonaires
Transformation maligne
Suivi
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire