Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : Décembre 2012
Paru le : 10/12/2012 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLésions ligamentaires récentes du genou de l'adulte / S. Lustig in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2012)
[article]
Titre : Lésions ligamentaires récentes du genou de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Lustig ; E. Servien ; S. Parratte Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-080-A-20 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou Lésions ligamentaires aiguës Triade Pentade Luxation Résumé : Les mécanismes de survenue des traumatismes ligamentaires du genou sont très variés, depuis le faux pas jusqu'à l'accident d'avalanche, en passant par les accidents de sport et de la voie publique. L'examen clinique initial dans le cadre de l'urgence est souvent difficile, mais doit être le plus complet possible afin de débuter un traitement et dépister une complication. Ce premier examen, ainsi qu'un bilan radiographique standard permettent le plus souvent d'établir un diagnostic, confirmé lors d'un examen différé. D'autres examens complémentaires (clichés dynamiques, imagerie par résonance magnétique, arthroscanner, artériographie) sont réalisés selon les cas. Nous rappelons dans cet exposé les notions d'anatomie chirurgicale du genou et de physiopathologie des lésions ligamentaires, nécessaires à la compréhension et au démembrement des lésions. Les différents traitements des lésions ligamentaires isolées ou associées à la phase aiguë sont exposés. Des arbres décisionnels complètent les schémas thérapeutiques. Cet exposé permet une analyse diagnostique et thérapeutique globale des lésions ligamentaires récentes du genou. Note de contenu : Introduction
Anatomie chirurgicale et physiopathologie des lésions
Anatomie chirurgicale
Physiopathologie des lésions ligamentaires
Bilan clinique
Mécanisme
Signes fonctionnels
Examen physique
Examen radiologique
Radiographies standards
Clichés dynamiques
Imagerie par résonance magnétique
Arthroscanner
Arthroscopie
Démembrement des lésions
Pivot central
Formations médiales
Formations latérales
Lésions ligamentaires avec lésions osseuses
Lésions associées
Classification et associations lésionnelles
Lésions isolées
Triades
Pentades
Luxations du genou )
Traitement
Ruptures isolées du ligament croisé antérieur
Triade antéromédiale
Triade antérolatérale préligamentaire
Triade antérolatérale rétroligamentaire
En bref
Lésions isolées du ligament collatéral médial
Lésions isolées des formations latérales
Lésions isolées du ligament croisé postérieur )
Triades postérieures
Luxations du genou
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43937
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-080-A-20 [Tome 3][article] Lésions ligamentaires récentes du genou de l'adulte [texte imprimé] / S. Lustig ; E. Servien ; S. Parratte . - 2012 . - 14-080-A-20 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-080-A-20 [Tome 3]
Mots-clés : Genou Lésions ligamentaires aiguës Triade Pentade Luxation Résumé : Les mécanismes de survenue des traumatismes ligamentaires du genou sont très variés, depuis le faux pas jusqu'à l'accident d'avalanche, en passant par les accidents de sport et de la voie publique. L'examen clinique initial dans le cadre de l'urgence est souvent difficile, mais doit être le plus complet possible afin de débuter un traitement et dépister une complication. Ce premier examen, ainsi qu'un bilan radiographique standard permettent le plus souvent d'établir un diagnostic, confirmé lors d'un examen différé. D'autres examens complémentaires (clichés dynamiques, imagerie par résonance magnétique, arthroscanner, artériographie) sont réalisés selon les cas. Nous rappelons dans cet exposé les notions d'anatomie chirurgicale du genou et de physiopathologie des lésions ligamentaires, nécessaires à la compréhension et au démembrement des lésions. Les différents traitements des lésions ligamentaires isolées ou associées à la phase aiguë sont exposés. Des arbres décisionnels complètent les schémas thérapeutiques. Cet exposé permet une analyse diagnostique et thérapeutique globale des lésions ligamentaires récentes du genou. Note de contenu : Introduction
Anatomie chirurgicale et physiopathologie des lésions
Anatomie chirurgicale
Physiopathologie des lésions ligamentaires
Bilan clinique
Mécanisme
Signes fonctionnels
Examen physique
Examen radiologique
Radiographies standards
Clichés dynamiques
Imagerie par résonance magnétique
Arthroscanner
Arthroscopie
Démembrement des lésions
Pivot central
Formations médiales
Formations latérales
Lésions ligamentaires avec lésions osseuses
Lésions associées
Classification et associations lésionnelles
Lésions isolées
Triades
Pentades
Luxations du genou )
Traitement
Ruptures isolées du ligament croisé antérieur
Triade antéromédiale
Triade antérolatérale préligamentaire
Triade antérolatérale rétroligamentaire
En bref
Lésions isolées du ligament collatéral médial
Lésions isolées des formations latérales
Lésions isolées du ligament croisé postérieur )
Triades postérieures
Luxations du genou
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43937 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Conduite à tenir devant une prothèse totale de hanche douloureuse / H. Mignaud in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2012)
[article]
Titre : Conduite à tenir devant une prothèse totale de hanche douloureuse Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Mignaud, Auteur ; P.-L. Chaumont, Auteur ; A. Combes, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-316-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Prothèse totale de hanche Descellement de prothèse totale de hanche Infection sur prothèse totale de hanche Usure de prothèse totale de hanche Luxation de prothèse totale de hanche Résumé : L'arthroplastie totale de hanche permet dans l'immense majorité des cas de retrouver une indolence et une fonctionnalité parfaite. Cependant quelques patients gardent des douleurs qui posent des problèmes de diagnostic : la douleur est-elle liée à l'arthroplastie ? Si oui, quelle est l'origine de ces douleurs ? Ce travail a pour but objectif de hiérarchiser les causes de douleurs après prothèse totale de hanche et de fournir une démarche diagnostique méthodique. L'examen clinique complet est indispensable et revêt une valeur d'orientation essentielle en précisant le mode de survenue des douleurs et leur localisation. Les diagnostics prioritaires sont le descellement (ou non-fixation des implants sans ciment), l'infection et l'instabilité (de la luxation à la subluxation, et dans une forme mineure l'effet came). Après l'examen clinique, deux investigations sont nécessaires : radiographies standards et ponction de hanche effectuée en condition d'asepsie chirurgicale. Les autres diagnostics ne peuvent être évoqués qu'après avoir éliminé ces trois étiologies. Ils supposent la réalisation d'autres investigations (scintigraphie, échographie, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique) qui sont pratiquées non pas de manière systématique mais dans un ordre raisonné et en posant pour chacune d'elles une question précise. Parmi ces autres diagnostics on peut retenir : les ossifications hétérotopiques, le conflit iliopsoas-cupule, la bursite latérale et la pathologie du moyen fessier, l'ostéolyse, les ruptures d'implants et les effets came. Chacune de ces étiologies dispose d'un tableau clinique et paraclinique plus ou moins spécifique. Parfois, malgré une démarche clinique bien conduite, il n'est pas possible de poser un diagnostic précis, et il est préférable dans cette situation de temporiser plutôt que de proposer une réintervention « pour voir » dont le résultat est d'expérience très incertain. Note de contenu : Introduction
Analyse de la douleur dans les prothèses de hanche
Généralités
Critères cliniques
Rattacher la douleur à la prothèse
En résumé
Trois complications à rechercher en priorité
Généralités
Descellements et pertes de fixation
Infection
Instabilité
Autres étiologies
Syndrome douloureux régional complexe de type 1
Ossifications hétérotopiques périprothétiques
Conflits
Douleurs liées à l'ostéolyse
Douleurs d'origine neurologique
Douleurs liées à un allongement ou un excès de latéralisation
Autres causes de douleur
En conclusion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44021
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-316-A-10 [Tome 5][article] Conduite à tenir devant une prothèse totale de hanche douloureuse [texte imprimé] / H. Mignaud, Auteur ; P.-L. Chaumont, Auteur ; A. Combes, Auteur . - 2012 . - 14-316-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-316-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Prothèse totale de hanche Descellement de prothèse totale de hanche Infection sur prothèse totale de hanche Usure de prothèse totale de hanche Luxation de prothèse totale de hanche Résumé : L'arthroplastie totale de hanche permet dans l'immense majorité des cas de retrouver une indolence et une fonctionnalité parfaite. Cependant quelques patients gardent des douleurs qui posent des problèmes de diagnostic : la douleur est-elle liée à l'arthroplastie ? Si oui, quelle est l'origine de ces douleurs ? Ce travail a pour but objectif de hiérarchiser les causes de douleurs après prothèse totale de hanche et de fournir une démarche diagnostique méthodique. L'examen clinique complet est indispensable et revêt une valeur d'orientation essentielle en précisant le mode de survenue des douleurs et leur localisation. Les diagnostics prioritaires sont le descellement (ou non-fixation des implants sans ciment), l'infection et l'instabilité (de la luxation à la subluxation, et dans une forme mineure l'effet came). Après l'examen clinique, deux investigations sont nécessaires : radiographies standards et ponction de hanche effectuée en condition d'asepsie chirurgicale. Les autres diagnostics ne peuvent être évoqués qu'après avoir éliminé ces trois étiologies. Ils supposent la réalisation d'autres investigations (scintigraphie, échographie, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique) qui sont pratiquées non pas de manière systématique mais dans un ordre raisonné et en posant pour chacune d'elles une question précise. Parmi ces autres diagnostics on peut retenir : les ossifications hétérotopiques, le conflit iliopsoas-cupule, la bursite latérale et la pathologie du moyen fessier, l'ostéolyse, les ruptures d'implants et les effets came. Chacune de ces étiologies dispose d'un tableau clinique et paraclinique plus ou moins spécifique. Parfois, malgré une démarche clinique bien conduite, il n'est pas possible de poser un diagnostic précis, et il est préférable dans cette situation de temporiser plutôt que de proposer une réintervention « pour voir » dont le résultat est d'expérience très incertain. Note de contenu : Introduction
Analyse de la douleur dans les prothèses de hanche
Généralités
Critères cliniques
Rattacher la douleur à la prothèse
En résumé
Trois complications à rechercher en priorité
Généralités
Descellements et pertes de fixation
Infection
Instabilité
Autres étiologies
Syndrome douloureux régional complexe de type 1
Ossifications hétérotopiques périprothétiques
Conflits
Douleurs liées à l'ostéolyse
Douleurs d'origine neurologique
Douleurs liées à un allongement ou un excès de latéralisation
Autres causes de douleur
En conclusion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44021 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie de la sternoclaviculaire / C. Dumontier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2012)
[article]
Titre : Pathologie de la sternoclaviculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Dumontier, Auteur ; M. Soubeyrand, Auteur ; S. Carmès, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-345-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sternoclaviculaire Luxation Décollement épiphysaire Arthrose SAPHO Résumé : La sternoclaviculaire est la seule vraie articulation entre le tronc et le membre supérieur, et elle est à l'origine de la mobilité de la ceinture scapulaire. Bien que de petite taille, elle est très stable grâce à des ligaments puissants l'unissant également à la première côte. L'arthrose y est fréquente de même que l'atteinte rhumatoïde. Les infections y sont rares, cependant c'est une localisation particulière de la tuberculose. Certaines maladies encore mal connues (syndrome synovite, acné, pustulose palmoplantaire, hyperostose et ostéite [SAPHO], hyperostose, etc.) touchent plus particulièrement la sternoclaviculaire. Néanmoins, son atteinte reste dominée par les lésions traumatiques, notamment les luxations et les décollements épiphysaires qui peuvent se voir même tardivement, la physe ne fusionnant pas avant l'âge de 20 à 23 ans. Les luxations postérieures sont rares, mais leur taux de complications est élevé en raison de la proximité d'éléments anatomiques issus du thorax. Elles doivent être réduites et sont habituellement stables. A contrario, les luxations antérieures, plus fréquentes et présentant moins de complications, sont souvent instables après réduction. Quand elles sont mal tolérées, les luxations sont traitées chirurgicalement. Plusieurs techniques de ligamentoplastie ont été décrites pour lutter contre les contraintes mécaniques majeures de cette articulation. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique et physiologique
Anatomie
Physiologie
Dangers anatomiques
Imagerie
Pathologies non traumatiques de la sternoclaviculaire
Arthrose
Arthrite rhumatoïde
Arthrite septique
Subluxation antérieure atraumatique
Spondylarthropathies séronégatives
Hyperostose sternoclaviculaire
Ostéite condensante
Autres lésions
Lésions traumatiques de la sternoclaviculaire
Épidémiologie
Mécanisme lésionnel
Entorses sternoclaviculaires
Luxations sternoclaviculaires vues en urgence
Traitement
Traitement en urgence des luxations postérieures
Traitement en urgence des luxations antérieures
Luxations sternoclaviculaires vues secondairement
Clavicules flottantes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44030
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-345-A-10 [Tome 5][article] Pathologie de la sternoclaviculaire [texte imprimé] / C. Dumontier, Auteur ; M. Soubeyrand, Auteur ; S. Carmès, Auteur . - 2012 . - 14-345-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-345-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Sternoclaviculaire Luxation Décollement épiphysaire Arthrose SAPHO Résumé : La sternoclaviculaire est la seule vraie articulation entre le tronc et le membre supérieur, et elle est à l'origine de la mobilité de la ceinture scapulaire. Bien que de petite taille, elle est très stable grâce à des ligaments puissants l'unissant également à la première côte. L'arthrose y est fréquente de même que l'atteinte rhumatoïde. Les infections y sont rares, cependant c'est une localisation particulière de la tuberculose. Certaines maladies encore mal connues (syndrome synovite, acné, pustulose palmoplantaire, hyperostose et ostéite [SAPHO], hyperostose, etc.) touchent plus particulièrement la sternoclaviculaire. Néanmoins, son atteinte reste dominée par les lésions traumatiques, notamment les luxations et les décollements épiphysaires qui peuvent se voir même tardivement, la physe ne fusionnant pas avant l'âge de 20 à 23 ans. Les luxations postérieures sont rares, mais leur taux de complications est élevé en raison de la proximité d'éléments anatomiques issus du thorax. Elles doivent être réduites et sont habituellement stables. A contrario, les luxations antérieures, plus fréquentes et présentant moins de complications, sont souvent instables après réduction. Quand elles sont mal tolérées, les luxations sont traitées chirurgicalement. Plusieurs techniques de ligamentoplastie ont été décrites pour lutter contre les contraintes mécaniques majeures de cette articulation. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique et physiologique
Anatomie
Physiologie
Dangers anatomiques
Imagerie
Pathologies non traumatiques de la sternoclaviculaire
Arthrose
Arthrite rhumatoïde
Arthrite septique
Subluxation antérieure atraumatique
Spondylarthropathies séronégatives
Hyperostose sternoclaviculaire
Ostéite condensante
Autres lésions
Lésions traumatiques de la sternoclaviculaire
Épidémiologie
Mécanisme lésionnel
Entorses sternoclaviculaires
Luxations sternoclaviculaires vues en urgence
Traitement
Traitement en urgence des luxations postérieures
Traitement en urgence des luxations antérieures
Luxations sternoclaviculaires vues secondairement
Clavicules flottantes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44030 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tumeurs et pseudotumeurs osseuses, oncogenèse et microenvironnement / F. Gouin in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2012)
[article]
Titre : Tumeurs et pseudotumeurs osseuses, oncogenèse et microenvironnement Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Gouin, Auteur ; F. Redini, Auteur ; M.-F. Heymann, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-684 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur osseuse Oncogenèse Résumé : Les tumeurs osseuses primitives sont des tumeurs rares, de nature et expression cliniques variables. À côté des tumeurs bénignes et malignes, l'os peut être le siège de processus réactionnels ou l'expression de pathologies systémiques pseudotumorales. Dans quelques cas, les cellules tumorales peuvent être le siège d'anomalies chromosomiques, caractérisant l'entité tumorale comme celles impliquant le gène ESW dans les tumeurs de la famille des sarcomes d'Ewing. Certaines anomalies du génome jouent également un rôle dans la pathogenèse tumorale, comme la délétion du gène RB dans l'ostéosarcome et la perte de son rôle majeur dans le cycle cellulaire. Enfin, de nombreuses observations cliniques, supportées par de récents travaux fondamentaux, plaident pour la place du microenvironnement osseux dans la genèse des tumeurs osseuses. La meilleure connaissance des facteurs intrinsèques et microenvironnementaux dans l'oncogenèse des tumeurs osseuses doit ouvrir la porte à de nouvelles approches thérapeutiques. Note de contenu : Introduction
Différentes familles de tumeurs
Définition d'une tumeur bénigne
Définition d'une tumeur maligne
Définition d'une pseudotumeur osseuse et lésions de cadre nosologique discuté
Anomalies cytologiques intrinsèques et microenvironnement
Anomalies intrinsèques identifiées
Microenvironnement ; de la clinique vers le fondamental
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44039
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-684 [Tome 5][article] Tumeurs et pseudotumeurs osseuses, oncogenèse et microenvironnement [texte imprimé] / F. Gouin, Auteur ; F. Redini, Auteur ; M.-F. Heymann, Auteur . - 2012 . - 14-684 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-684 [Tome 5]
Mots-clés : Tumeur osseuse Oncogenèse Résumé : Les tumeurs osseuses primitives sont des tumeurs rares, de nature et expression cliniques variables. À côté des tumeurs bénignes et malignes, l'os peut être le siège de processus réactionnels ou l'expression de pathologies systémiques pseudotumorales. Dans quelques cas, les cellules tumorales peuvent être le siège d'anomalies chromosomiques, caractérisant l'entité tumorale comme celles impliquant le gène ESW dans les tumeurs de la famille des sarcomes d'Ewing. Certaines anomalies du génome jouent également un rôle dans la pathogenèse tumorale, comme la délétion du gène RB dans l'ostéosarcome et la perte de son rôle majeur dans le cycle cellulaire. Enfin, de nombreuses observations cliniques, supportées par de récents travaux fondamentaux, plaident pour la place du microenvironnement osseux dans la genèse des tumeurs osseuses. La meilleure connaissance des facteurs intrinsèques et microenvironnementaux dans l'oncogenèse des tumeurs osseuses doit ouvrir la porte à de nouvelles approches thérapeutiques. Note de contenu : Introduction
Différentes familles de tumeurs
Définition d'une tumeur bénigne
Définition d'une tumeur maligne
Définition d'une pseudotumeur osseuse et lésions de cadre nosologique discuté
Anomalies cytologiques intrinsèques et microenvironnement
Anomalies intrinsèques identifiées
Microenvironnement ; de la clinique vers le fondamental
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44039 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Scoliose idiopathique de l'adulte / J. Bernard in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2012)
[article]
Titre : Scoliose idiopathique de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Bernard ; S. Aunoble ; J.-C. Le Huec Année de publication : 2012 Article en page(s) : 15-876-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Scoliose idiopathique Scoliose dégénérative Équilibre sagittal Radiographies numériques Paramètres rachidiens Paramètres pelviens Résumé : La scoliose idiopathique (ou primitive) apparaît durant l'enfance et continue d'évoluer à l'âge adulte sur le plan angulaire mais avec aussi l'apparition d'une raideur et de lésions dégénératives, notamment aux zones jonctionnelles. Le vieillissement naturel musculaire, osseux et neurologique contribue à aggraver la déformation dans les différents plans de l'espace. L'équilibre sagittal devient aujourd'hui un facteur essentiel à prendre en compte dans la compréhension des syndromes rachidiens douloureux et des indications chirurgicales. Cliniquement, les rachialgies et le préjudice esthétique représentent la demande la plus importante de la part des patients. On observe également des troubles neurologiques (radiculalgies, etc.) notamment en cas d'atteinte dégénérative et de dislocation rotatoire. Les complications respiratoires causées par les grandes déformations thoraciques sont de plus en plus rares chez l'adulte grâce au dépistage et au traitement précoce pendant la croissance. L'apparition de radiographies numériques et de logiciels informatiques dédiés permet aujourd'hui d'identifier les repères anatomiques d'une façon très précise pour une analyse optimale des paramètres rachidiens et pelviens. Sur le plan thérapeutique, le traitement médical non spécifique et rééducatif est proposé aux patients présentant une déformation stable sans retentissement fonctionnel. La chirurgie, nécessitant toujours un bilan préthérapeutique complet, vise à redresser la(les) courbure(s) scoliotique(s) et à en obtenir la fusion osseuse. Au-delà de 70ans, la prise en charge chirurgicale peut ne comporter qu'une libération neurologique localisée en cas de radiculalgies invalidantes et l'éventuelle correction de courbure repose essentiellement sur la restitution d'un équilibre sagittal satisfaisant. Note de contenu : Introduction, définitions
Anatomopathologie de la déformation
Déformation dans les deux plans de l'espace
Phénomène de dislocation au niveau des zones jonctionnelles
Effondrement en charge
Aspects anatomiques du vieillissement
Aggravation de l'angulation
Vieillissement musculaire
Ménopause, ostéoporose
Secteur thoracique
Secteur lombaire
Équilibre sagittal et
Signes cliniques
Rachialgies
Symptomatologie neurologique
Préjudice esthétique et psychologique
Troubles respiratoires
Examens complémentaires
Radiographies simples
Imagerie type EOS™
Radiographies dynamiques
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Saccoradiculographie couplée au scanner
Électromyogramme
Potentiels évoqués somesthésiques
Méthodes thérapeutiques
Traitement médical
Kinésithérapie
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
Complications du traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44110
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 15-876-A-10 [Tome 7][article] Scoliose idiopathique de l'adulte [texte imprimé] / J. Bernard ; S. Aunoble ; J.-C. Le Huec . - 2012 . - 15-876-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 15-876-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Scoliose idiopathique Scoliose dégénérative Équilibre sagittal Radiographies numériques Paramètres rachidiens Paramètres pelviens Résumé : La scoliose idiopathique (ou primitive) apparaît durant l'enfance et continue d'évoluer à l'âge adulte sur le plan angulaire mais avec aussi l'apparition d'une raideur et de lésions dégénératives, notamment aux zones jonctionnelles. Le vieillissement naturel musculaire, osseux et neurologique contribue à aggraver la déformation dans les différents plans de l'espace. L'équilibre sagittal devient aujourd'hui un facteur essentiel à prendre en compte dans la compréhension des syndromes rachidiens douloureux et des indications chirurgicales. Cliniquement, les rachialgies et le préjudice esthétique représentent la demande la plus importante de la part des patients. On observe également des troubles neurologiques (radiculalgies, etc.) notamment en cas d'atteinte dégénérative et de dislocation rotatoire. Les complications respiratoires causées par les grandes déformations thoraciques sont de plus en plus rares chez l'adulte grâce au dépistage et au traitement précoce pendant la croissance. L'apparition de radiographies numériques et de logiciels informatiques dédiés permet aujourd'hui d'identifier les repères anatomiques d'une façon très précise pour une analyse optimale des paramètres rachidiens et pelviens. Sur le plan thérapeutique, le traitement médical non spécifique et rééducatif est proposé aux patients présentant une déformation stable sans retentissement fonctionnel. La chirurgie, nécessitant toujours un bilan préthérapeutique complet, vise à redresser la(les) courbure(s) scoliotique(s) et à en obtenir la fusion osseuse. Au-delà de 70ans, la prise en charge chirurgicale peut ne comporter qu'une libération neurologique localisée en cas de radiculalgies invalidantes et l'éventuelle correction de courbure repose essentiellement sur la restitution d'un équilibre sagittal satisfaisant. Note de contenu : Introduction, définitions
Anatomopathologie de la déformation
Déformation dans les deux plans de l'espace
Phénomène de dislocation au niveau des zones jonctionnelles
Effondrement en charge
Aspects anatomiques du vieillissement
Aggravation de l'angulation
Vieillissement musculaire
Ménopause, ostéoporose
Secteur thoracique
Secteur lombaire
Équilibre sagittal et
Signes cliniques
Rachialgies
Symptomatologie neurologique
Préjudice esthétique et psychologique
Troubles respiratoires
Examens complémentaires
Radiographies simples
Imagerie type EOS™
Radiographies dynamiques
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Saccoradiculographie couplée au scanner
Électromyogramme
Potentiels évoqués somesthésiques
Méthodes thérapeutiques
Traitement médical
Kinésithérapie
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
Complications du traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44110 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire