Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Novembre 2009
Paru le : 03/11/2009 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierSyndrome d'hypermobilité articulaire bénigne / Janine-Sophie Giraudet-Le Quintrec in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2009)
[article]
Titre : Syndrome d'hypermobilité articulaire bénigne Type de document : texte imprimé Auteurs : Janine-Sophie Giraudet-Le Quintrec ; N. Legoupil Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-023-D-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperlaxité articulaire Hypermobilité articulaire Syndrome d'Ehlers-Danlos type hypermobile (ancien SED III) Score de Beighton Critères de Brighton Anomalies du collagène Résumé : Le syndrome d'hypermobilité articulaire bénigne (SHAB), ou hypermobility syndrome (HS) est une maladie rare (une maladie est dite « rare » lorsqu'elle touche moins d'une personne sur 2 000, soit pour la France moins de 30 000 personnes pour une maladie donnée) ; il correspond en fait au syndrome d'Ehlers-Danlos (SED) type hypermobile, ancien SED III, type de SED le plus fréquent, avec une prévalence estimée à 1-5/10 000. Il s'agit d'une maladie systémique du tissu conjonctif d'origine génétique (transmission autosomique dominante). Les anomalies portent sur la synthèse des collagènes fibrillaires (protéine A1(III)/gène COL3A1 locus 2q31) ou sur la ténascine-X, qui est une molécule non collagénique de la matrice extracellulaire (gène TNXB, locus 6p21.3). Le diagnostic de SHAB repose sur une association de critères diagnostiques stricts : deux majeurs ou un majeur et deux mineurs ou quatre mineurs ou encore deux mineurs en présence de notion familiale (atteinte d'un parent du premier degré). Il s'agit d'un diagnostic d'élimination. Ce syndrome n'est pas aussi bénin que son intitulé l'indique : il entraine une atteinte systémique avec un retentissement musculosquelettique (douleurs et/ou lésions articulaires et périarticulaires chroniques volontiers invalidantes), parfois viscéral (atteinte cutanée, ophtalmologique, vasculaire, etc.), et psychologique (anxiété, dépression, retentissement sur la qualité de vie des patients). Son dépistage et sa prise en charge précoce devraient améliorer le pronostic. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Quelques définitions
Étiopathogénie
Manifestations cliniques
Atteinte musculosquelettique
Complications viscérales
Retentissement psychologique
Diagnostic
Diagnostic différentiel
Diagnostic évident
Diagnostic plus difficile
Traitements
Médicaments
Rééducation
Petit appareillage
Hygiène de vie
Chirurgie
Information et éducation des patientsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43689
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 14-023-D-10 [Tome 1][article] Syndrome d'hypermobilité articulaire bénigne [texte imprimé] / Janine-Sophie Giraudet-Le Quintrec ; N. Legoupil . - 2009 . - 14-023-D-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 14-023-D-10 [Tome 1]
Mots-clés : Hyperlaxité articulaire Hypermobilité articulaire Syndrome d'Ehlers-Danlos type hypermobile (ancien SED III) Score de Beighton Critères de Brighton Anomalies du collagène Résumé : Le syndrome d'hypermobilité articulaire bénigne (SHAB), ou hypermobility syndrome (HS) est une maladie rare (une maladie est dite « rare » lorsqu'elle touche moins d'une personne sur 2 000, soit pour la France moins de 30 000 personnes pour une maladie donnée) ; il correspond en fait au syndrome d'Ehlers-Danlos (SED) type hypermobile, ancien SED III, type de SED le plus fréquent, avec une prévalence estimée à 1-5/10 000. Il s'agit d'une maladie systémique du tissu conjonctif d'origine génétique (transmission autosomique dominante). Les anomalies portent sur la synthèse des collagènes fibrillaires (protéine A1(III)/gène COL3A1 locus 2q31) ou sur la ténascine-X, qui est une molécule non collagénique de la matrice extracellulaire (gène TNXB, locus 6p21.3). Le diagnostic de SHAB repose sur une association de critères diagnostiques stricts : deux majeurs ou un majeur et deux mineurs ou quatre mineurs ou encore deux mineurs en présence de notion familiale (atteinte d'un parent du premier degré). Il s'agit d'un diagnostic d'élimination. Ce syndrome n'est pas aussi bénin que son intitulé l'indique : il entraine une atteinte systémique avec un retentissement musculosquelettique (douleurs et/ou lésions articulaires et périarticulaires chroniques volontiers invalidantes), parfois viscéral (atteinte cutanée, ophtalmologique, vasculaire, etc.), et psychologique (anxiété, dépression, retentissement sur la qualité de vie des patients). Son dépistage et sa prise en charge précoce devraient améliorer le pronostic. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Quelques définitions
Étiopathogénie
Manifestations cliniques
Atteinte musculosquelettique
Complications viscérales
Retentissement psychologique
Diagnostic
Diagnostic différentiel
Diagnostic évident
Diagnostic plus difficile
Traitements
Médicaments
Rééducation
Petit appareillage
Hygiène de vie
Chirurgie
Information et éducation des patientsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43689 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pied plat valgus statique de l'adulte (y compris synostoses congénitales) / C. Maynou in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2009)
[article]
Titre : Pied plat valgus statique de l'adulte (y compris synostoses congénitales) Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Maynou ; S. Naudi ; V. Staquet Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-110-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Pied plat Synostoses du tarse Tibial postérieur Arrière-pied Arthrodèses tarsiennes Ostéotomies calcanéennes Résumé : Le pied plat valgus est une déformation complexe et tridimensionnelle associant une perte de l'arche médiale, un valgus de l'arrière-pied et une abduction de l'avant-pied. Ses origines constitutionnelle ou acquise rendent compte des multiples étiologies observées et, parmi elles, les synostoses du tarse chez les patients jeunes et l'insuffisance du tendon tibial postérieur à un âge plus avancé ont leurs caractéristiques propres. La déformation est classée en quatre stades prenant en compte l'importance et la réductibilité des déformations ainsi que le retentissement sur l'articulation talocrurale. Ces paramètres conditionnent les possibilités thérapeutiques et orientent les choix techniques si une option chirurgicale est privilégiée. L'examen clinique s'attache à préciser le retentissement des déformations, la présence d'un équinisme ou d'une hypermobilité du premier rayon, la réductibilité du valgus calcanéen et d'une éventuelle supination compensatrice de l'avant-pied. De nombreux tests cliniques permettent de dépister un dysfonctionnement du tendon tibial postérieur à l'origine du pied plat. Un tableau clinique de pied contracturé chez l'adolescent doit évoquer une synostose du tarse. Le bilan radiographique de base se compose de quatre incidences qui déterminent l'importance de la rupture sagittale de l'axe talométatarsien, la divergence talocalcanéenne et l'incongruence de l'articulation talonaviculaire, le valgus de l'arrière-pied ou la présence d'une synostose du tarse. Les examens échographiques ou IRMN peuvent être utiles pour préciser l'atteinte des structures tendineuses ou capsuloligamentaires périarticulaires. L'examen tomodensitométrique permet le dépistage et l'analyse des synostoses du tarse. La plupart des pieds-plats répondent favorablement à un traitement orthésique bien conduit. Le traitement chirurgical offre de nombreuses possibilités techniques en fonction de la réductibilité des lésions, de l'âge des patients ou de la présence d'une arthrose associée. Quelle que soit la technique utilisée, le réalignement de l'arrière-pied et le rétablissement de l'arche médiale sont les objectifs du traitement qui garantit un résultat fonctionnel de qualité. Note de contenu : Introduction
Étiologies du pied plat valgus
Biomécanique du pied et anatomopathologie du pied plat
Classification
Stade I : ténosynovite sans déformation
Stade II : rupture du tendon tibial postérieur et pied plat souple
Stade III : valgus calcanéen fixé
Stade IV : valgus talocrural
Diagnostic clinique
Interrogatoire
Examen clinique
Bilan radiographique
Radiographie dorsoplantaire du pied en incidence bifocale en charge
Incidence de profil en charge
Cheville de face en charge avec cerclage
Incidence de trois-quarts interne
Autres examens complémentaires
Clichés dynamiques
Examen tomodensitométrique
Étude échographique ou imagerie par résonance magnétique nucléaire
Traitement du pied plat valgus
Traitement médical
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43954
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 14-110-A-10 [Tome 4][article] Pied plat valgus statique de l'adulte (y compris synostoses congénitales) [texte imprimé] / C. Maynou ; S. Naudi ; V. Staquet . - 2009 . - 14-110-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 14-110-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Pied plat Synostoses du tarse Tibial postérieur Arrière-pied Arthrodèses tarsiennes Ostéotomies calcanéennes Résumé : Le pied plat valgus est une déformation complexe et tridimensionnelle associant une perte de l'arche médiale, un valgus de l'arrière-pied et une abduction de l'avant-pied. Ses origines constitutionnelle ou acquise rendent compte des multiples étiologies observées et, parmi elles, les synostoses du tarse chez les patients jeunes et l'insuffisance du tendon tibial postérieur à un âge plus avancé ont leurs caractéristiques propres. La déformation est classée en quatre stades prenant en compte l'importance et la réductibilité des déformations ainsi que le retentissement sur l'articulation talocrurale. Ces paramètres conditionnent les possibilités thérapeutiques et orientent les choix techniques si une option chirurgicale est privilégiée. L'examen clinique s'attache à préciser le retentissement des déformations, la présence d'un équinisme ou d'une hypermobilité du premier rayon, la réductibilité du valgus calcanéen et d'une éventuelle supination compensatrice de l'avant-pied. De nombreux tests cliniques permettent de dépister un dysfonctionnement du tendon tibial postérieur à l'origine du pied plat. Un tableau clinique de pied contracturé chez l'adolescent doit évoquer une synostose du tarse. Le bilan radiographique de base se compose de quatre incidences qui déterminent l'importance de la rupture sagittale de l'axe talométatarsien, la divergence talocalcanéenne et l'incongruence de l'articulation talonaviculaire, le valgus de l'arrière-pied ou la présence d'une synostose du tarse. Les examens échographiques ou IRMN peuvent être utiles pour préciser l'atteinte des structures tendineuses ou capsuloligamentaires périarticulaires. L'examen tomodensitométrique permet le dépistage et l'analyse des synostoses du tarse. La plupart des pieds-plats répondent favorablement à un traitement orthésique bien conduit. Le traitement chirurgical offre de nombreuses possibilités techniques en fonction de la réductibilité des lésions, de l'âge des patients ou de la présence d'une arthrose associée. Quelle que soit la technique utilisée, le réalignement de l'arrière-pied et le rétablissement de l'arche médiale sont les objectifs du traitement qui garantit un résultat fonctionnel de qualité. Note de contenu : Introduction
Étiologies du pied plat valgus
Biomécanique du pied et anatomopathologie du pied plat
Classification
Stade I : ténosynovite sans déformation
Stade II : rupture du tendon tibial postérieur et pied plat souple
Stade III : valgus calcanéen fixé
Stade IV : valgus talocrural
Diagnostic clinique
Interrogatoire
Examen clinique
Bilan radiographique
Radiographie dorsoplantaire du pied en incidence bifocale en charge
Incidence de profil en charge
Cheville de face en charge avec cerclage
Incidence de trois-quarts interne
Autres examens complémentaires
Clichés dynamiques
Examen tomodensitométrique
Étude échographique ou imagerie par résonance magnétique nucléaire
Traitement du pied plat valgus
Traitement médical
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43954 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Arthrites virales / A. Grasland in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2009)
[article]
Titre : Arthrites virales Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Grasland Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-207-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrite Virus Parvovirus B19 Alphavirus Arbovirose Résumé : Au cours des infections virales, les polyarthralgies représentent un des symptômes cardinaux. Même si elles sont plus rares et bien qu'il n'existe pas de données épidémiologiques précises les concernant, les vraies arthrites virales sont aussi très fréquentes. Elles sont habituellement autorésolutives et d'une durée limitée à quelques semaines. Le mécanisme physiopathologique le plus courant n'est pas l'invasion articulaire directe mais le dépôt de complexes immuns. Le tableau clinique typique est celui d'une polyarthrite périphérique et symétrique, pouvant simuler un rhumatisme inflammatoire débutant. En théorie, tout virus peut provoquer des manifestations articulaires, et il n'est bien sûr pas raisonnable de rechercher à identifier à tout prix le virus en cause, compte tenu du caractère transitoire et bénin de ces arthrites. Les recherches étiologiques doivent donc se limiter à quelques virus dont la mise en évidence modifierait l'attitude thérapeutique, compte tenu de la gravité potentielle générale des symptômes liés à certains virus, en particulier ceux des hépatites virales et le virus de l'immunodéficience humaine, ou du caractère volontiers chronique de certaines arthrites, comme celles provoquées par le parvovirus B19 et par les alphaviroses, en particulier le chikungunya, qui sont à l'origine d'épidémies au cours desquelles les arthrites, contrairement aux arthrites virales traditionnelles, constituent le symptôme cardinal et peuvent être particulièrement sévères et durables sur plusieurs mois. Ces recherches étiologiques dépendent donc avant tout du contexte : l'arthrite survient-elle en milieu tropical ou dans un contexte de retour de voyage ou bien sous nos climats, en milieu tempéré ? La sérologie reste la méthode la plus commune pour établir ce diagnostic étiologique. D'un point de vue thérapeutique, les arthrites virales ne requièrent pas de traitement spécifique. Des mesures symptomatiques sont suffisantes. Note de contenu : Généralités
Virus en cause
Physiopathologie
Présentation clinique générale
Méthodes diagnostiques
Traitement
Particularités en rapport avec les principaux virus arthritogènes
Arthrite au cours de l'infection par le parvovirus B19
Arthrite au cours de l'hépatite virale B
Arthrite au cours de l'hépatite virale C
Arthrite au cours de la rubéole
Arthrites au cours de l'infection par le virus HTLV-1
Arthrite au cours des alphaviroses
Arthrite au cours d'autres infections virales
Arthrite après vaccination
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43967
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 14-207-A-10 [Tome 4][article] Arthrites virales [texte imprimé] / A. Grasland . - 2009 . - 14-207-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 14-207-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Arthrite Virus Parvovirus B19 Alphavirus Arbovirose Résumé : Au cours des infections virales, les polyarthralgies représentent un des symptômes cardinaux. Même si elles sont plus rares et bien qu'il n'existe pas de données épidémiologiques précises les concernant, les vraies arthrites virales sont aussi très fréquentes. Elles sont habituellement autorésolutives et d'une durée limitée à quelques semaines. Le mécanisme physiopathologique le plus courant n'est pas l'invasion articulaire directe mais le dépôt de complexes immuns. Le tableau clinique typique est celui d'une polyarthrite périphérique et symétrique, pouvant simuler un rhumatisme inflammatoire débutant. En théorie, tout virus peut provoquer des manifestations articulaires, et il n'est bien sûr pas raisonnable de rechercher à identifier à tout prix le virus en cause, compte tenu du caractère transitoire et bénin de ces arthrites. Les recherches étiologiques doivent donc se limiter à quelques virus dont la mise en évidence modifierait l'attitude thérapeutique, compte tenu de la gravité potentielle générale des symptômes liés à certains virus, en particulier ceux des hépatites virales et le virus de l'immunodéficience humaine, ou du caractère volontiers chronique de certaines arthrites, comme celles provoquées par le parvovirus B19 et par les alphaviroses, en particulier le chikungunya, qui sont à l'origine d'épidémies au cours desquelles les arthrites, contrairement aux arthrites virales traditionnelles, constituent le symptôme cardinal et peuvent être particulièrement sévères et durables sur plusieurs mois. Ces recherches étiologiques dépendent donc avant tout du contexte : l'arthrite survient-elle en milieu tropical ou dans un contexte de retour de voyage ou bien sous nos climats, en milieu tempéré ? La sérologie reste la méthode la plus commune pour établir ce diagnostic étiologique. D'un point de vue thérapeutique, les arthrites virales ne requièrent pas de traitement spécifique. Des mesures symptomatiques sont suffisantes. Note de contenu : Généralités
Virus en cause
Physiopathologie
Présentation clinique générale
Méthodes diagnostiques
Traitement
Particularités en rapport avec les principaux virus arthritogènes
Arthrite au cours de l'infection par le parvovirus B19
Arthrite au cours de l'hépatite virale B
Arthrite au cours de l'hépatite virale C
Arthrite au cours de la rubéole
Arthrites au cours de l'infection par le virus HTLV-1
Arthrite au cours des alphaviroses
Arthrite au cours d'autres infections virales
Arthrite après vaccination
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43967 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Adaptation du squelette humain dans l'espace / L. Vico in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2009)
[article]
Titre : Adaptation du squelette humain dans l'espace Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Vico ; A. Pavy-Le Traon Année de publication : 2009 Article en page(s) : 15-906-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tissu osseux Marqueurs osseux Microgravité Alitement Bed-rest Spationautes Résumé : L'os est un tissu actif qui est soumis à un remodelage avec résorption d'os ancien suivie de formation d'os nouveau. Grâce à ce remodelage, l'os s'adapte localement aux contraintes mécaniques : renforcer là où les contraintes mécaniques augmentent (cas des sports à impact) ou enlever de la matrice osseuse là où les contraintes mécaniques diminuent (microgravité des missions spatiales). Les résultats obtenus après plusieurs missions (russes, américaines, européennes) grâce à l'imagerie pré- et postvol, ont confirmé l'existence d'une perte osseuse rapide dans les os porteurs (fémur, tibia) plus importante dans l'os trabéculaire, les os non porteurs (radius) ne semblant pas affectés. Les activités de formation ou de résorption osseuses s'apprécient par dosage des marqueurs osseux dans le sang ou les urines. L'utilisation de marqueurs spécifiques étant récente, peu de spationautes ont pu être mesurés. Les résultats suggèrent un véritable découplage du remodelage osseux avec une résorption stimulée. Il semblerait que les modifications des hormones régulant le métabolisme osseux soient plutôt secondaires aux modifications cellulaires. Notre squelette semble s'adapter à ses nouvelles fonctions mécaniques. Le problème n'est donc pas pendant l'exposition à la microgravité mais au retour sur Terre, d'autant que la récupération semble beaucoup plus longue que le temps de vol. Les spationautes, qui peuvent perdre en 6 mois ce que perd une femme pendant toute sa vie, doivent donc faire l'objet d'un suivi au long cours. Notons cependant que, si certains spationautes présentent des pertes osseuses spectaculaires, d'autres semblent insensibles. Pourquoi ? Y a-t-il un terrain génétique ? Pourra-t-on un jour sélectionner des spationautes « résistants » ? De telles variabilités individuelles sont aussi retrouvées lors de bed rest, lorsque des volontaires sains sont alités afin de mimer certains effets de l'espace. Finalement, les problématiques et études effectuées en microgravité permettent avant tout de mieux connaître les problèmes d'ostéoporose sur Terre. Note de contenu : Introduction
Rappels physiologiques
Marqueurs du remodelage osseux
Exploration fonctionnelle
Données sur les vols spatiaux
Fragilité osseuse pendant et après les vols spatiaux
Marqueurs osseux
Hormones calciotropes
Changements musculaires, nutritionnels et nouvelles répartitions liquidiennes pouvant aussi avoir un impact sur le squelette
Données sur les expériences de simulation au sol : modèle d'alitement antiorthostatique
Fragilité osseuse
Balance phosphocalcique et marqueurs biochimiques
Contre-mesures
Exercice physique et vibrations
Contre-mesures pharmacologiques
Gravité artificielle
Propositions pour le futurPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44117
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 15-906-A-10 [Tome 7][article] Adaptation du squelette humain dans l'espace [texte imprimé] / L. Vico ; A. Pavy-Le Traon . - 2009 . - 15-906-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 15-906-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Tissu osseux Marqueurs osseux Microgravité Alitement Bed-rest Spationautes Résumé : L'os est un tissu actif qui est soumis à un remodelage avec résorption d'os ancien suivie de formation d'os nouveau. Grâce à ce remodelage, l'os s'adapte localement aux contraintes mécaniques : renforcer là où les contraintes mécaniques augmentent (cas des sports à impact) ou enlever de la matrice osseuse là où les contraintes mécaniques diminuent (microgravité des missions spatiales). Les résultats obtenus après plusieurs missions (russes, américaines, européennes) grâce à l'imagerie pré- et postvol, ont confirmé l'existence d'une perte osseuse rapide dans les os porteurs (fémur, tibia) plus importante dans l'os trabéculaire, les os non porteurs (radius) ne semblant pas affectés. Les activités de formation ou de résorption osseuses s'apprécient par dosage des marqueurs osseux dans le sang ou les urines. L'utilisation de marqueurs spécifiques étant récente, peu de spationautes ont pu être mesurés. Les résultats suggèrent un véritable découplage du remodelage osseux avec une résorption stimulée. Il semblerait que les modifications des hormones régulant le métabolisme osseux soient plutôt secondaires aux modifications cellulaires. Notre squelette semble s'adapter à ses nouvelles fonctions mécaniques. Le problème n'est donc pas pendant l'exposition à la microgravité mais au retour sur Terre, d'autant que la récupération semble beaucoup plus longue que le temps de vol. Les spationautes, qui peuvent perdre en 6 mois ce que perd une femme pendant toute sa vie, doivent donc faire l'objet d'un suivi au long cours. Notons cependant que, si certains spationautes présentent des pertes osseuses spectaculaires, d'autres semblent insensibles. Pourquoi ? Y a-t-il un terrain génétique ? Pourra-t-on un jour sélectionner des spationautes « résistants » ? De telles variabilités individuelles sont aussi retrouvées lors de bed rest, lorsque des volontaires sains sont alités afin de mimer certains effets de l'espace. Finalement, les problématiques et études effectuées en microgravité permettent avant tout de mieux connaître les problèmes d'ostéoporose sur Terre. Note de contenu : Introduction
Rappels physiologiques
Marqueurs du remodelage osseux
Exploration fonctionnelle
Données sur les vols spatiaux
Fragilité osseuse pendant et après les vols spatiaux
Marqueurs osseux
Hormones calciotropes
Changements musculaires, nutritionnels et nouvelles répartitions liquidiennes pouvant aussi avoir un impact sur le squelette
Données sur les expériences de simulation au sol : modèle d'alitement antiorthostatique
Fragilité osseuse
Balance phosphocalcique et marqueurs biochimiques
Contre-mesures
Exercice physique et vibrations
Contre-mesures pharmacologiques
Gravité artificielle
Propositions pour le futurPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44117 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Qualité de vie en rhumatologie / A.-C. Rat in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2009)
[article]
Titre : Qualité de vie en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : A.-C. Rat ; C. Baumann ; F. Guillemin Année de publication : 2009 Article en page(s) : 15-908-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Qualité de vie Patient reported outcome Maladies rhumatologiques Résumé : Les instruments de mesure de qualité de vie, ou plus généralement les patient reported outcomes (PRO), ou résultats rapportés par le patient, apportent des informations importantes concernant l'expérience des individus atteints de maladies chroniques que les seules données fournies par l'examen clinique ne peuvent pas saisir. De nombreux instruments de qualité de vie ont été développés. Leur processus de développement est long, complexe, technique et requiert l'implication de nombreux professionnels ou patients. L'utilisation de tels instruments nécessite de s'assurer de leur validité et de leur reproductibilité et doit respecter le cadre dans lequel ils ont été étudiés. De nombreuses études ont montré l'importance de l'impact des maladies rhumatologiques sur la qualité de vie. Celles-ci ont pour la plupart une évolution chronique et entraînent des douleurs, de la fatigue, une limitation des activités fonctionnelles et un retentissement sur les activités quotidiennes et sociales. C'est pourquoi les instruments de mesure qui rendent compte de ces multiples aspects sont nécessaires. Les mesures de qualité de vie sont utiles dans les essais thérapeutiques et dans les études observationnelles. Leur utilisation pour le suivi individuel des patients n'est pas encore suffisamment étudiée mais pourrait apporter de nombreux avantages. Les indicateurs de qualité de vie devraient pouvoir être utilisés au même titre que les données traditionnelles cliniques, biologiques ou d'imagerie. Note de contenu : Introduction
Cadre conceptuel
Concept de qualité de vie liée à la santé
Classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé
Instruments de mesure
Types de questionnaires ou mesures
Développement d'un instrument de mesure de qualité de vie
Adaptation des instruments de qualité de vie
Interprétation des résultats de qualité de vie obtenus
Utilisation des questionnaires de qualité de vie en recherche
Utilisation des questionnaires de qualité de vie en pratique clinique
Impact des maladies rhumatologiques sur la qualité de vie
Polyarthrite rhumatoïde
Arthrose
Ostéoporose
Lombalgies
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44118
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 15-908-A-10 [Tome 7][article] Qualité de vie en rhumatologie [texte imprimé] / A.-C. Rat ; C. Baumann ; F. Guillemin . - 2009 . - 15-908-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2009) . - 15-908-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Qualité de vie Patient reported outcome Maladies rhumatologiques Résumé : Les instruments de mesure de qualité de vie, ou plus généralement les patient reported outcomes (PRO), ou résultats rapportés par le patient, apportent des informations importantes concernant l'expérience des individus atteints de maladies chroniques que les seules données fournies par l'examen clinique ne peuvent pas saisir. De nombreux instruments de qualité de vie ont été développés. Leur processus de développement est long, complexe, technique et requiert l'implication de nombreux professionnels ou patients. L'utilisation de tels instruments nécessite de s'assurer de leur validité et de leur reproductibilité et doit respecter le cadre dans lequel ils ont été étudiés. De nombreuses études ont montré l'importance de l'impact des maladies rhumatologiques sur la qualité de vie. Celles-ci ont pour la plupart une évolution chronique et entraînent des douleurs, de la fatigue, une limitation des activités fonctionnelles et un retentissement sur les activités quotidiennes et sociales. C'est pourquoi les instruments de mesure qui rendent compte de ces multiples aspects sont nécessaires. Les mesures de qualité de vie sont utiles dans les essais thérapeutiques et dans les études observationnelles. Leur utilisation pour le suivi individuel des patients n'est pas encore suffisamment étudiée mais pourrait apporter de nombreux avantages. Les indicateurs de qualité de vie devraient pouvoir être utilisés au même titre que les données traditionnelles cliniques, biologiques ou d'imagerie. Note de contenu : Introduction
Cadre conceptuel
Concept de qualité de vie liée à la santé
Classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé
Instruments de mesure
Types de questionnaires ou mesures
Développement d'un instrument de mesure de qualité de vie
Adaptation des instruments de qualité de vie
Interprétation des résultats de qualité de vie obtenus
Utilisation des questionnaires de qualité de vie en recherche
Utilisation des questionnaires de qualité de vie en pratique clinique
Impact des maladies rhumatologiques sur la qualité de vie
Polyarthrite rhumatoïde
Arthrose
Ostéoporose
Lombalgies
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44118 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire