Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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Mention de date : Mai 2012
Paru le : 15/05/2012 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
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Infections nosocomiales en chirurgie orthopédique / E. Senneville in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2012)
[article]
Titre : Infections nosocomiales en chirurgie orthopédique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Senneville ; L. Legout ; E. Beltrand Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-016-B-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Prothèse Ostéosynthèse Infection nosocomiale Antibiothérapie Diagnostic microbiologique Aspects médicolégaux Résumé : Les infections nosocomiales en chirurgie orthopédique sont en augmentation dans les pays développés en raison du vieillissement progressif de la population à l'origine d'un nombre régulièrement croissant d'interventions et de l'impossibilité de prévenir totalement ces infections malgré l'antibioprophylaxie et le respect des mesures d'hygiène. À l'expression « infection nosocomiale » se substitue peu à peu l'expression « infection liée aux soins ». L'amélioration des techniques de diagnostic microbiologique, le développement des coopérations médicochirurgicales permettant une prise en charge de type pluridisciplinaire et la possibilité dans certains cas de traiter l'infection des implants sans leur ablation sont des avancées significatives dans la prise en charge des patients. Les textes récents régissant les procédures de plainte pour infection nosocomiale ont contribué à l'augmentation considérable du nombre de demandes en réparation de patients s'estimant victimes d'une infection liée aux soins, notamment en chirurgie orthopédique. De fait, les chirurgiens orthopédistes ont plus que jamais l'obligation de connaître les développements qui touchent la prévention, le diagnostic et le traitement des infections nosocomiales dans leur domaine. L'organisation en filière spécialisée associée à une meilleure accessibilité pour les patients est à l'origine de la labellisation depuis septembre 2008 de neuf centres français de références des infections ostéoarticulaires complexes. Une des missions de ces centres est de coordonner la prévention et le traitement de ces infections nosocomiales. Note de contenu : Introduction
Définitions
Données épidémiologiques
Physiopathologie
Microbiologie
Prévention
Avant l'intervention
Pendant l'intervention
Après l'intervention
Démarche diagnostique
Aspects cliniques
Aspects microbiologiques
Aspects biologiques
Aspects radiologiques et autres techniques d'imagerie
Principes du traitement
Antibiothérapie
Chirurgie
Implications médicolégales
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43671
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2012) . - 14-016-B-10 [Tome 1][article] Infections nosocomiales en chirurgie orthopédique [texte imprimé] / E. Senneville ; L. Legout ; E. Beltrand . - 2012 . - 14-016-B-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2012) . - 14-016-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : Prothèse Ostéosynthèse Infection nosocomiale Antibiothérapie Diagnostic microbiologique Aspects médicolégaux Résumé : Les infections nosocomiales en chirurgie orthopédique sont en augmentation dans les pays développés en raison du vieillissement progressif de la population à l'origine d'un nombre régulièrement croissant d'interventions et de l'impossibilité de prévenir totalement ces infections malgré l'antibioprophylaxie et le respect des mesures d'hygiène. À l'expression « infection nosocomiale » se substitue peu à peu l'expression « infection liée aux soins ». L'amélioration des techniques de diagnostic microbiologique, le développement des coopérations médicochirurgicales permettant une prise en charge de type pluridisciplinaire et la possibilité dans certains cas de traiter l'infection des implants sans leur ablation sont des avancées significatives dans la prise en charge des patients. Les textes récents régissant les procédures de plainte pour infection nosocomiale ont contribué à l'augmentation considérable du nombre de demandes en réparation de patients s'estimant victimes d'une infection liée aux soins, notamment en chirurgie orthopédique. De fait, les chirurgiens orthopédistes ont plus que jamais l'obligation de connaître les développements qui touchent la prévention, le diagnostic et le traitement des infections nosocomiales dans leur domaine. L'organisation en filière spécialisée associée à une meilleure accessibilité pour les patients est à l'origine de la labellisation depuis septembre 2008 de neuf centres français de références des infections ostéoarticulaires complexes. Une des missions de ces centres est de coordonner la prévention et le traitement de ces infections nosocomiales. Note de contenu : Introduction
Définitions
Données épidémiologiques
Physiopathologie
Microbiologie
Prévention
Avant l'intervention
Pendant l'intervention
Après l'intervention
Démarche diagnostique
Aspects cliniques
Aspects microbiologiques
Aspects biologiques
Aspects radiologiques et autres techniques d'imagerie
Principes du traitement
Antibiothérapie
Chirurgie
Implications médicolégales
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43671 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article]
Titre : Hyperparathyroïdies Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Cormier Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-025-B-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperparathyroïdie primitive Hypercalcémie Ostéoporose Lithiase Hyperparathyroïdie secondaire Vitamine D Résumé : L'hyperparathyroïdie primitive est une maladie due à une sécrétion inappropriée d'hormone parathyroïdienne ayant pour conséquence une hypercalcémie. Elle est le plus souvent diagnostiquée devant une découverte fortuite d'une hypercalcémie ou devant une complication, le plus souvent une ostéoporose, plus rarement une complication rénale avec lithiase. La présentation clinique est le reflet de l'hypercalcémie et de l'atteinte de plusieurs organes, principalement le système cardiovasculaire, l'os et le rein. Le diagnostic est biologique, facile quand il y a augmentation de la calcémie et de l'hormone parathyroïdienne, plus difficile quand un de ces deux paramètres est normal. On ne retient le diagnostic d'hyperparathyroïdie primitive normocalcémique qu'après avoir écarté toutes les causes d'hyperparathyroïdie secondaire. L'imagerie parathyroïdienne ne fait pas le diagnostic mais elle guide le chirurgien et écarte une anomalie thyroïdienne associée. Les formes cliniques sont dépendantes de l'âge, de la présentation biologique, de la présence ou non de complications, les formes asymptomatiques étant les plus fréquentes. Le traitement de référence est chirurgical, son indication repose sur la présence ou un risque de complications. Les traitements médicaux sont réservés aux contre-indications à la chirurgie. En l'absence d'indication opératoire une surveillance biologique et osseuse est établie. L'hyperparathyroïdie secondaire est due à de nombreuses causes qui ont un traitement spécifique ayant pour but la régression de l'élévation de l'hormone parathyroïdienne. La persistance d'une hyperparathyroïdie secondaire a des conséquences osseuse et cardiovasculaire. Note de contenu : Hyperparathyroïdie primitive
Introduction : pathophysiologie, épidémiologie
Présentation clinique
Le diagnostic de certitude est biologique
Imageries de l'hyperparathyroïdie primitive
Formes cliniques
Chirurgie parathyroïdienne
Surveillance et traitement médical
Hyperparathyroïdie secondaire
Hyperparathyroïdie secondaire de l'insuffisance rénale
Hyperparathyroïdie secondaire de l'insuffisance en vitamine D et d'apport calcique faible
Hyperparathyroïdie secondaire de l'hypercalciurie rénale
Hyperparathyroïdie secondaire de certaines pathologies osseuses
Hyperparathyroïdie secondaire liée à des médicaments
Fréquence de l'hyperparathyroïdie secondaire et influence sur le risque fracturaire et cardiovasculairePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43698
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2012) . - 14-025-B-10 [Tome 1][article] Hyperparathyroïdies [texte imprimé] / C. Cormier . - 2012 . - 14-025-B-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2012) . - 14-025-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : Hyperparathyroïdie primitive Hypercalcémie Ostéoporose Lithiase Hyperparathyroïdie secondaire Vitamine D Résumé : L'hyperparathyroïdie primitive est une maladie due à une sécrétion inappropriée d'hormone parathyroïdienne ayant pour conséquence une hypercalcémie. Elle est le plus souvent diagnostiquée devant une découverte fortuite d'une hypercalcémie ou devant une complication, le plus souvent une ostéoporose, plus rarement une complication rénale avec lithiase. La présentation clinique est le reflet de l'hypercalcémie et de l'atteinte de plusieurs organes, principalement le système cardiovasculaire, l'os et le rein. Le diagnostic est biologique, facile quand il y a augmentation de la calcémie et de l'hormone parathyroïdienne, plus difficile quand un de ces deux paramètres est normal. On ne retient le diagnostic d'hyperparathyroïdie primitive normocalcémique qu'après avoir écarté toutes les causes d'hyperparathyroïdie secondaire. L'imagerie parathyroïdienne ne fait pas le diagnostic mais elle guide le chirurgien et écarte une anomalie thyroïdienne associée. Les formes cliniques sont dépendantes de l'âge, de la présentation biologique, de la présence ou non de complications, les formes asymptomatiques étant les plus fréquentes. Le traitement de référence est chirurgical, son indication repose sur la présence ou un risque de complications. Les traitements médicaux sont réservés aux contre-indications à la chirurgie. En l'absence d'indication opératoire une surveillance biologique et osseuse est établie. L'hyperparathyroïdie secondaire est due à de nombreuses causes qui ont un traitement spécifique ayant pour but la régression de l'élévation de l'hormone parathyroïdienne. La persistance d'une hyperparathyroïdie secondaire a des conséquences osseuse et cardiovasculaire. Note de contenu : Hyperparathyroïdie primitive
Introduction : pathophysiologie, épidémiologie
Présentation clinique
Le diagnostic de certitude est biologique
Imageries de l'hyperparathyroïdie primitive
Formes cliniques
Chirurgie parathyroïdienne
Surveillance et traitement médical
Hyperparathyroïdie secondaire
Hyperparathyroïdie secondaire de l'insuffisance rénale
Hyperparathyroïdie secondaire de l'insuffisance en vitamine D et d'apport calcique faible
Hyperparathyroïdie secondaire de l'hypercalciurie rénale
Hyperparathyroïdie secondaire de certaines pathologies osseuses
Hyperparathyroïdie secondaire liée à des médicaments
Fréquence de l'hyperparathyroïdie secondaire et influence sur le risque fracturaire et cardiovasculairePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43698 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article]
Titre : Dysplasie ostéofibreuse Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Fabbri, Auteur ; R. Turcotte, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-779 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Dysplasie ostéofibreuse Adamantinome Adamantinome différencié Tibia Sarcome Résumé : La dysplasie ostéofibreuse est une lésion fibro-osseuse bénigne et rare qui implique le plus souvent le tibia ou simultanément le tibia et le péroné. Elle est généralement diagnostiquée durant l'enfance ou au début de l'adolescence. Bien que son potentiel évolutif soit généralement limité, elle peut entraîner une courbure à sommet antérieur du tibia, un élargissement de la diaphyse ainsi que des douleurs locales d'intensité modérée. L'aspect radiologique classique montre des zones d'ostéolyse plutôt bien délimitées aux dépens du cortex antérieur ainsi qu'une courbure à sommet antérieur, plus ou moins prononcée, de la diaphyse. À l'examen histologique, cette lésion se caractérise par un stroma monotone fibro-osseux. La dysplasie ostéofibreuse présente plusieurs similitudes avec l'adamantinome, rendant parfois difficile le diagnostic différentiel. Son évolution est caractérisée par une progression de la lésion et de la déformation osseuse variables durant l'enfance puis d'une stabilisation suivie d'une résolution progressive vers l'âge adulte. Somme toute, le pronostic est excellent et l'approche thérapeutique est habituellement conservatrice. Note de contenu : Introduction et définition
Épidémiologie
Symptômes et examen physique
Imagerie diagnostique
Clichés simples et tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Anatomopathologie
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle et évolution de la maladie
Diagnostic différentiel
Histogenèse et relations avec l'adamantinome
Traitement et pronosticPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44055
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2012) . - 14-779 [Tome 6][article] Dysplasie ostéofibreuse [texte imprimé] / N. Fabbri, Auteur ; R. Turcotte, Auteur . - 2012 . - 14-779 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2012) . - 14-779 [Tome 6]
Mots-clés : Dysplasie ostéofibreuse Adamantinome Adamantinome différencié Tibia Sarcome Résumé : La dysplasie ostéofibreuse est une lésion fibro-osseuse bénigne et rare qui implique le plus souvent le tibia ou simultanément le tibia et le péroné. Elle est généralement diagnostiquée durant l'enfance ou au début de l'adolescence. Bien que son potentiel évolutif soit généralement limité, elle peut entraîner une courbure à sommet antérieur du tibia, un élargissement de la diaphyse ainsi que des douleurs locales d'intensité modérée. L'aspect radiologique classique montre des zones d'ostéolyse plutôt bien délimitées aux dépens du cortex antérieur ainsi qu'une courbure à sommet antérieur, plus ou moins prononcée, de la diaphyse. À l'examen histologique, cette lésion se caractérise par un stroma monotone fibro-osseux. La dysplasie ostéofibreuse présente plusieurs similitudes avec l'adamantinome, rendant parfois difficile le diagnostic différentiel. Son évolution est caractérisée par une progression de la lésion et de la déformation osseuse variables durant l'enfance puis d'une stabilisation suivie d'une résolution progressive vers l'âge adulte. Somme toute, le pronostic est excellent et l'approche thérapeutique est habituellement conservatrice. Note de contenu : Introduction et définition
Épidémiologie
Symptômes et examen physique
Imagerie diagnostique
Clichés simples et tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Anatomopathologie
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle et évolution de la maladie
Diagnostic différentiel
Histogenèse et relations avec l'adamantinome
Traitement et pronosticPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44055 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire