Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Janvier 2005
Paru le : 01/01/2005 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÉchographie en rhumatologie / B. Lecocq in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Échographie en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Lecocq ; L. Fournier ; M. Carteni Année de publication : 2005 Article en page(s) : 14-001-S-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Échographie en rhumatologie Résumé : La pratique de l'échographie en rhumatologie est aujourd'hui d'un intérêt grandissant. L'utilisation de l'échographie par le rhumatologue va très certainement bouleverser la pratique rhumatologique. Les rhumatologues peuvent effectuer eux-mêmes cet examen s'ils ont pu bénéficier au préalable d'une solide formation (environ 2 ans). Les progrès techniques (sondes hautes- et multifréquences) permettent une analyse échographique précise des structures tendineuses, musculaires et articulaires. L'échographie prolonge directement l'examen clinique, ce qui permet au rhumatologue d'étayer son diagnostic et d'être plus précis dans la réalisation de gestes thérapeutiques. Les perspectives d'utilisation de l'échographie pour les pathologies musculosquelettiques sont vastes et de nombreuses équipes rhumatologiques universitaires ont entrepris des recherches cliniques sur ce thème. Grâce à ses connaissances cliniques, le rhumatologue augmente la performance de l'examen échographique. Le coût aujourd'hui moins élevé des appareils d'échographie peut permettre au rhumatologue libéral et hospitalier d'utiliser cette technique au cours de sa pratique quotidienne. Note de contenu : Introduction
Échographie : généralités
Mode doppler énergie
Mode doppler couleur
Mode B
Rappel sémiologique en ostéoarticulaire
Muscles
Tendons
Os et cartilage
Ligaments
Synoviale
Nerfs
Pathologies spécifiques
Échographie et rhumatismes inflammatoires
Échographie de l'épaule
Pathologie de la hanche
Pathologies du pied
Pathologies du genou
Syndrome canalaire
Diagnostic des fractures
Échographie interventionnelle
« Repérage échographique »
« Guidage échographique »
Exemples d'applications
Conclusions et perspectivesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43650
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-001-S-10 [Tome 1][article] Échographie en rhumatologie [texte imprimé] / B. Lecocq ; L. Fournier ; M. Carteni . - 2005 . - 14-001-S-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-001-S-10 [Tome 1]
Mots-clés : Échographie en rhumatologie Résumé : La pratique de l'échographie en rhumatologie est aujourd'hui d'un intérêt grandissant. L'utilisation de l'échographie par le rhumatologue va très certainement bouleverser la pratique rhumatologique. Les rhumatologues peuvent effectuer eux-mêmes cet examen s'ils ont pu bénéficier au préalable d'une solide formation (environ 2 ans). Les progrès techniques (sondes hautes- et multifréquences) permettent une analyse échographique précise des structures tendineuses, musculaires et articulaires. L'échographie prolonge directement l'examen clinique, ce qui permet au rhumatologue d'étayer son diagnostic et d'être plus précis dans la réalisation de gestes thérapeutiques. Les perspectives d'utilisation de l'échographie pour les pathologies musculosquelettiques sont vastes et de nombreuses équipes rhumatologiques universitaires ont entrepris des recherches cliniques sur ce thème. Grâce à ses connaissances cliniques, le rhumatologue augmente la performance de l'examen échographique. Le coût aujourd'hui moins élevé des appareils d'échographie peut permettre au rhumatologue libéral et hospitalier d'utiliser cette technique au cours de sa pratique quotidienne. Note de contenu : Introduction
Échographie : généralités
Mode doppler énergie
Mode doppler couleur
Mode B
Rappel sémiologique en ostéoarticulaire
Muscles
Tendons
Os et cartilage
Ligaments
Synoviale
Nerfs
Pathologies spécifiques
Échographie et rhumatismes inflammatoires
Échographie de l'épaule
Pathologie de la hanche
Pathologies du pied
Pathologies du genou
Syndrome canalaire
Diagnostic des fractures
Échographie interventionnelle
« Repérage échographique »
« Guidage échographique »
Exemples d'applications
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Instabilités du genou / S. Dojcinovic in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Instabilités du genou Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Dojcinovic ; E. Servien ; Tarik Aït Si Selmi Année de publication : 2005 Article en page(s) : 14-080-B-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Instabilité du genou Laxité antérieure chronique, Instabilité rotulienne Lésions méniscales Résumé : L'instabilité du genou est un symptôme subjectif qui recouvre plusieurs réalités anatomocliniques. L'interrogatoire, un examen clinique bien conduit et des radiographies simples permettent le plus souvent de faire un diagnostic précis. Les examens complémentaires plus sophistiqués peuvent être demandés secondairement dans le bilan préopératoire. Le praticien analysant les symptômes se doit, à la manière d'un puzzle, de replacer l'instabilité dans son contexte clinique (interrogatoire, examens clinique et paraclinique) afin d'établir le diagnostic lésionnel. Les grands cadres diagnostiques que nous allons évoquer sont les instabilités d'origine ligamentaire et méniscale puis les instabilités d'origine fémoropatellaire. Note de contenu : Étiopathogénie
Évaluation de l'instabilité
Instabilité et laxité
Structures anatomiques et stabilité
Stabilité passive du genou
Stabilité active du genou
Instabilités d'origine ligamentaire
Laxités antérieures
Laxités postérieures
Laxités antéropostérieures chroniques
Laxité périphérique isolée
Atteinte du système extenseur
Instabilité de la rotule
Définition
Symptômes
Facteurs morphologiques d'instabilité rotulienne
Traitement
Autres instabilités
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43939
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-080-B-10 [Tome 3][article] Instabilités du genou [texte imprimé] / S. Dojcinovic ; E. Servien ; Tarik Aït Si Selmi . - 2005 . - 14-080-B-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-080-B-10 [Tome 3]
Mots-clés : Instabilité du genou Laxité antérieure chronique, Instabilité rotulienne Lésions méniscales Résumé : L'instabilité du genou est un symptôme subjectif qui recouvre plusieurs réalités anatomocliniques. L'interrogatoire, un examen clinique bien conduit et des radiographies simples permettent le plus souvent de faire un diagnostic précis. Les examens complémentaires plus sophistiqués peuvent être demandés secondairement dans le bilan préopératoire. Le praticien analysant les symptômes se doit, à la manière d'un puzzle, de replacer l'instabilité dans son contexte clinique (interrogatoire, examens clinique et paraclinique) afin d'établir le diagnostic lésionnel. Les grands cadres diagnostiques que nous allons évoquer sont les instabilités d'origine ligamentaire et méniscale puis les instabilités d'origine fémoropatellaire. Note de contenu : Étiopathogénie
Évaluation de l'instabilité
Instabilité et laxité
Structures anatomiques et stabilité
Stabilité passive du genou
Stabilité active du genou
Instabilités d'origine ligamentaire
Laxités antérieures
Laxités postérieures
Laxités antéropostérieures chroniques
Laxité périphérique isolée
Atteinte du système extenseur
Instabilité de la rotule
Définition
Symptômes
Facteurs morphologiques d'instabilité rotulienne
Traitement
Autres instabilités
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43939 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Manifestations rhumatologiques des endocardites infectieuses / C. Marcelli in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Manifestations rhumatologiques des endocardites infectieuses Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Marcelli Année de publication : 2005 Article en page(s) : 14-202-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Endocardite infectieuse Manifestations rhumatologiques Arthrite Spondylodiscite infectieuse Complexes immuns circulants Facteur rhumatoïde Résumé : Les manifestations rhumatologiques de l'endocardite infectieuse sont fréquentes et variées. Il s'agit le plus souvent d'arthralgies, d'arthrites inflammatoires ou infectieuses, de rachialgies ou de spondylodiscites infectieuses. Il convient d'évoquer le diagnostic d'endocardite infectieuse devant toute manifestation rhumatologique inexpliquée, surtout si elle est accompagnée d'une fièvre ou d'une altération de l'état général. La fréquence des spondylodiscites infectieuses est augmentée au cours des endocardites d'origine streptococcique tandis que la fréquence des autres manifestations rhumatologiques est identique pour les différents germes responsables. De nombreuses anomalies immunologiques ont été décrites au cours des endocardites infectieuses, en particulier la présence du facteur rhumatoïde et de complexes immuns circulants. Il existe une corrélation positive entre la présence de complexes immuns circulants et les manifestations rhumatologiques. L'échocardiographie et les hémocultures sont les examens essentiels pour établir le diagnostic d'endocardite infectieuse. L'évolution favorable des manifestations rhumatologiques sous l'effet de l'antibiothérapie est parallèle à la disparition progressive du syndrome inflammatoire biologique et des anomalies immunologiques. Note de contenu : Introduction
Manifestations cliniques
Explorations complémentaires
Examens biologiques
Imagerie médicale
Ponction articulaire et biopsie synoviale
Hémocultures
Échocardiographie
Diagnostic
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Physiopathologie
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43964
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-202-A-10 [Tome 4][article] Manifestations rhumatologiques des endocardites infectieuses [texte imprimé] / C. Marcelli . - 2005 . - 14-202-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-202-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Endocardite infectieuse Manifestations rhumatologiques Arthrite Spondylodiscite infectieuse Complexes immuns circulants Facteur rhumatoïde Résumé : Les manifestations rhumatologiques de l'endocardite infectieuse sont fréquentes et variées. Il s'agit le plus souvent d'arthralgies, d'arthrites inflammatoires ou infectieuses, de rachialgies ou de spondylodiscites infectieuses. Il convient d'évoquer le diagnostic d'endocardite infectieuse devant toute manifestation rhumatologique inexpliquée, surtout si elle est accompagnée d'une fièvre ou d'une altération de l'état général. La fréquence des spondylodiscites infectieuses est augmentée au cours des endocardites d'origine streptococcique tandis que la fréquence des autres manifestations rhumatologiques est identique pour les différents germes responsables. De nombreuses anomalies immunologiques ont été décrites au cours des endocardites infectieuses, en particulier la présence du facteur rhumatoïde et de complexes immuns circulants. Il existe une corrélation positive entre la présence de complexes immuns circulants et les manifestations rhumatologiques. L'échocardiographie et les hémocultures sont les examens essentiels pour établir le diagnostic d'endocardite infectieuse. L'évolution favorable des manifestations rhumatologiques sous l'effet de l'antibiothérapie est parallèle à la disparition progressive du syndrome inflammatoire biologique et des anomalies immunologiques. Note de contenu : Introduction
Manifestations cliniques
Explorations complémentaires
Examens biologiques
Imagerie médicale
Ponction articulaire et biopsie synoviale
Hémocultures
Échocardiographie
Diagnostic
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Physiopathologie
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43964 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Manifestations articulaires des affections intestinales / X. Puéchal in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Manifestations articulaires des affections intestinales Type de document : texte imprimé Auteurs : X. Puéchal ; E. Dernis Année de publication : 2005 Article en page(s) : 14-242-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : entérocolopathie inflammatoire maladie de Crohn rectocolite hémorragique spondylarthropathie maladie de Whipple maladie coeliaque colite microscopique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43990
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-242-A-10 [Tome 4][article] Manifestations articulaires des affections intestinales [texte imprimé] / X. Puéchal ; E. Dernis . - 2005 . - 14-242-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-242-A-10 [Tome 4]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Sclérodermie systémique / E. Hachulla in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Sclérodermie systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Hachulla ; D. Launay Année de publication : 2005 Article en page(s) : 14-245-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : sclérodermie systémique traitement de la sclérodermie systémique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43992
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-245-A-10 [Tome 4][article] Sclérodermie systémique [texte imprimé] / E. Hachulla ; D. Launay . - 2005 . - 14-245-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-245-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : sclérodermie systémique traitement de la sclérodermie systémique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43992 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Manifestations rhumatologiques paranéoplasiques en dehors de l'ostéoarthropathie hypertrophiante / C. Masson in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Manifestations rhumatologiques paranéoplasiques en dehors de l'ostéoarthropathie hypertrophiante Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Masson, Auteur ; B. Bouvard, Auteur ; M. Audran, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : 14-295 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndromes paranéoplasiques rhumatologiques Polyarthrite paranéoplasique Hypercalcémie humorale Ostéomalacie paranéoplasique Résumé : Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques, comme tout syndrome paranéoplasique, comportent des signes ou symptômes reliés à une néoplasie (tumeur, cancer, hémopathie) occulte ou déjà reconnue, souvent maligne, mais non obligatoirement maligne. La relation chronologique entre le processus néoplasique et la symptomatologie est fondamentale. Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques ne sont pas expliqués par une compression par la tumeur ou un envahissement synovial ou périarticulaire osseux métastatique. Ils sont différents des situations rhumatologiques systémiques prénéoplasiques. Ils disparaissent quand le patient peut bénéficier d'un traitement radical de sa néoplasie. L'exemple rhumatologique le plus démonstratif est l'ostéoarthropathie hypertrophiante pneumique de Pierre Marie envisagée dans un autre chapitre de l'Encyclopédie Médico-Chirurgicale. Ici les auteurs passent en revue les autres situations de syndromes paranéoplasiques rhumatologiques : le syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer (souvent mais non exclusivement de l'ovaire) ; les syndromes musculaires paranéoplasiques au cours de la dermatomyosite, de la polymyosite, du syndrome myasthénique de Lambert-Eaton et du syndrome de l'homme ou de la personne raide ; les rhumatismes inflammatoires : polyarthrite, pseudomaladie de Still, polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé (RS3PE), pseudopolyarthrite rhizomélique, dans leurs formes très rares paranéoplasiques ; les atteintes vasculaires : érythromélalgie, syndrome de Raynaud, nécrose digitale, vascularite, dans leurs expressions paranéoplasiques ; d'autres présentations cliniques rhumatismales systémiques possiblement paranéoplasiques, comme la polychondrite atrophiante, la réticulohistiocytose multicentrique, le syndrome « panniculite-arthrite » et l'arthropathie amyloïde ; les hypercalcémies paranéoplasiques, en particulier liées à la parathormone-related peptide ; l'ostéomalacie « oncogénique ». Des orientations cliniques et paracliniques sont apportées en fonction de ces différentes situations, notamment pour les pathologies tumorales ou hématologiques envisagées. Note de contenu : Introduction
Syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer
Syndromes musculaires
Dermatomyosite et polymyosite paranéoplasiques
Syndrome myasthénique de Lambert-Eaton
Syndrome de l'homme raide
Rhumatismes inflammatoires paranéoplasiques
Polyarthrite paranéoplasique isolée
« Pseudo- » maladie de Still paranéoplasique
Polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé et cancer
Pseudopolyarthrite rhizomélique et pathologies malignes
Atteintes vasculaires paranéoplasiques
Érythromélalgie paranéoplasique
Syndrome de Raynaud paranéoplasique
Nécrose digitale paranéoplasique
Vascularite paranéoplasique
Autres présentations cliniques rhumatismales systémiques paranéoplasiques
Hypercalcémie paranéoplasique
Hypercalcémie paranéoplasique liée à la « parathormone-related-peptide »
Hypercalcémie paranéoplasique liée à d'autres facteurs humoraux
Ostéomalacie paranéoplasique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44015
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-295 [Tome 5][article] Manifestations rhumatologiques paranéoplasiques en dehors de l'ostéoarthropathie hypertrophiante [texte imprimé] / C. Masson, Auteur ; B. Bouvard, Auteur ; M. Audran, Auteur . - 2005 . - 14-295 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-295 [Tome 5]
Mots-clés : Syndromes paranéoplasiques rhumatologiques Polyarthrite paranéoplasique Hypercalcémie humorale Ostéomalacie paranéoplasique Résumé : Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques, comme tout syndrome paranéoplasique, comportent des signes ou symptômes reliés à une néoplasie (tumeur, cancer, hémopathie) occulte ou déjà reconnue, souvent maligne, mais non obligatoirement maligne. La relation chronologique entre le processus néoplasique et la symptomatologie est fondamentale. Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques ne sont pas expliqués par une compression par la tumeur ou un envahissement synovial ou périarticulaire osseux métastatique. Ils sont différents des situations rhumatologiques systémiques prénéoplasiques. Ils disparaissent quand le patient peut bénéficier d'un traitement radical de sa néoplasie. L'exemple rhumatologique le plus démonstratif est l'ostéoarthropathie hypertrophiante pneumique de Pierre Marie envisagée dans un autre chapitre de l'Encyclopédie Médico-Chirurgicale. Ici les auteurs passent en revue les autres situations de syndromes paranéoplasiques rhumatologiques : le syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer (souvent mais non exclusivement de l'ovaire) ; les syndromes musculaires paranéoplasiques au cours de la dermatomyosite, de la polymyosite, du syndrome myasthénique de Lambert-Eaton et du syndrome de l'homme ou de la personne raide ; les rhumatismes inflammatoires : polyarthrite, pseudomaladie de Still, polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé (RS3PE), pseudopolyarthrite rhizomélique, dans leurs formes très rares paranéoplasiques ; les atteintes vasculaires : érythromélalgie, syndrome de Raynaud, nécrose digitale, vascularite, dans leurs expressions paranéoplasiques ; d'autres présentations cliniques rhumatismales systémiques possiblement paranéoplasiques, comme la polychondrite atrophiante, la réticulohistiocytose multicentrique, le syndrome « panniculite-arthrite » et l'arthropathie amyloïde ; les hypercalcémies paranéoplasiques, en particulier liées à la parathormone-related peptide ; l'ostéomalacie « oncogénique ». Des orientations cliniques et paracliniques sont apportées en fonction de ces différentes situations, notamment pour les pathologies tumorales ou hématologiques envisagées. Note de contenu : Introduction
Syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer
Syndromes musculaires
Dermatomyosite et polymyosite paranéoplasiques
Syndrome myasthénique de Lambert-Eaton
Syndrome de l'homme raide
Rhumatismes inflammatoires paranéoplasiques
Polyarthrite paranéoplasique isolée
« Pseudo- » maladie de Still paranéoplasique
Polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé et cancer
Pseudopolyarthrite rhizomélique et pathologies malignes
Atteintes vasculaires paranéoplasiques
Érythromélalgie paranéoplasique
Syndrome de Raynaud paranéoplasique
Nécrose digitale paranéoplasique
Vascularite paranéoplasique
Autres présentations cliniques rhumatismales systémiques paranéoplasiques
Hypercalcémie paranéoplasique
Hypercalcémie paranéoplasique liée à la « parathormone-related-peptide »
Hypercalcémie paranéoplasique liée à d'autres facteurs humoraux
Ostéomalacie paranéoplasique
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndromes des loges / J. Letenneur in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Syndromes des loges Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Letenneur, Auteur ; G. Pietu, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : 15-110-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndromes aigus Syndromes chroniques Pressions intramusculaires Aponévrotomie Résumé : S'exprimant cliniquement sous des aspects variables, les formes aiguës et chroniques des syndromes de loges ont en commun l'hyperpression dans la ou les loges musculaires, même si la physiopathologie est un peu différente. Les formes aiguës, secondaires le plus souvent à un traumatisme sont caractérisées par l'irréversibilité de l'évolution. Il s'agit d'une urgence chirurgicale : l'aponévrotomie large est le seul moyen de décomprimer la ou les loges intéressées, décidée sur les signes cliniques et la mesure des pressions intramusculaires (PIM). En l'absence de décompression rapide, les séquelles peuvent être lourdes, jusqu'à l'amputation. Les formes chroniques, rencontrées surtout chez les sportifs, posent surtout un problème diagnostique d'une douleur d'effort, en sachant toutefois la possibilité d'association de plusieurs causes. La mesure des PIM au cours de tests d'effort est indispensable. L'aponévrotomie peut être réalisée par de mini-incisions. Les récidives sont rares. Note de contenu : Introduction
Historique
Rappel anatomique
Membre supérieur
Membre inférieur
Physiopathologie
Syndromes aigus
Syndromes chroniques
Syndromes aigus
Situations à risque
Tableaux cliniques
Examens complémentaires
Traitement d'un syndrome aigu
Complications et séquelles
Syndromes chroniques
Sports à risque
Tableaux cliniques
Examens complémentaires
Traitement du syndrome chronique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44067
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-110-A-10 [Tome 6][article] Syndromes des loges [texte imprimé] / J. Letenneur, Auteur ; G. Pietu, Auteur . - 2005 . - 15-110-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-110-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Syndromes aigus Syndromes chroniques Pressions intramusculaires Aponévrotomie Résumé : S'exprimant cliniquement sous des aspects variables, les formes aiguës et chroniques des syndromes de loges ont en commun l'hyperpression dans la ou les loges musculaires, même si la physiopathologie est un peu différente. Les formes aiguës, secondaires le plus souvent à un traumatisme sont caractérisées par l'irréversibilité de l'évolution. Il s'agit d'une urgence chirurgicale : l'aponévrotomie large est le seul moyen de décomprimer la ou les loges intéressées, décidée sur les signes cliniques et la mesure des pressions intramusculaires (PIM). En l'absence de décompression rapide, les séquelles peuvent être lourdes, jusqu'à l'amputation. Les formes chroniques, rencontrées surtout chez les sportifs, posent surtout un problème diagnostique d'une douleur d'effort, en sachant toutefois la possibilité d'association de plusieurs causes. La mesure des PIM au cours de tests d'effort est indispensable. L'aponévrotomie peut être réalisée par de mini-incisions. Les récidives sont rares. Note de contenu : Introduction
Historique
Rappel anatomique
Membre supérieur
Membre inférieur
Physiopathologie
Syndromes aigus
Syndromes chroniques
Syndromes aigus
Situations à risque
Tableaux cliniques
Examens complémentaires
Traitement d'un syndrome aigu
Complications et séquelles
Syndromes chroniques
Sports à risque
Tableaux cliniques
Examens complémentaires
Traitement du syndrome chronique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44067 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie traumatique du muscle strié squelettique / P. Christel in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Pathologie traumatique du muscle strié squelettique Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Christel, Auteur ; H. de Labareyre, Auteur ; P. Thelen, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : 15-140-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscle Lésion musculaire traumatique Régénération musculaire Traumatologie du sport Résumé : Les lésions des muscles squelettiques sont extrêmement fréquentes, surtout en pathologie sportive. Tous les degrés de gravité peuvent se rencontrer mais certaines grandes règles de diagnostic et de traitement permettent d'apporter une solution à la grande majorité des cas. Après avoir rappelé la structure histologique du muscle et les facteurs de risque, cet article distingue la problématique posée par la gestion des lésions musculaires récentes de celle des lésions chroniques, séquellaires des précédentes. Il faut distinguer les traumatismes extrinsèques, par choc appuyé, des traumatismes intrinsèques, les plus fréquents, où la résistance mécanique de la structure musculaire est dépassée par la nature ou l'intensité des contraintes mécaniques. La lésion siège dans la plupart des cas à la jonction myoaponévrotique. Dans le cadre des lésions récentes, l'examen clinique et l'imagerie permettent d'identifier le type de la lésion (contracture, déchirure, rupture), son degré de gravité, sa localisation et d'en tirer les conséquences en termes de stratégie thérapeutique et de délai d'indisponibilité. L'échographie est ici un élément fondamental de la démarche diagnostique et pronostique. Le diagnostic des lésions chroniques repose aussi sur l'examen clinique et surtout sur l'imagerie qui permet d'identifier les différents types lésionnels : nodules fibreux, pseudokystes, calcifications. L'utilisation de l'imagerie par résonance magnétique est ici essentielle, non seulement au titre du diagnostic mais aussi pour le chirurgien, permettant une visualisation tridimensionnelle de la lésion à exciser. Le rôle du traitement préventif dans la survenue des accidents musculaires est essentiel. Le dépistage des facteurs de risque inhérents à l'athlète, la compensation des déséquilibres musculaires et métaboliques, des entraînements adaptés, la lutte contre les raideurs musculaires ont radicalement transformé l'incidence des accidents musculaires et leur traitement curatif. Une fois constituée, la lésion musculaire récente relève en règle générale du traitement médical adapté à chaque type de lésion. La physiothérapie, la rééducation, l'utilisation des dynamomètres isocinétiques, la reprise adéquate de l'entraînement, constituent les éléments clés du retour au sport sans récidive. La durée d'incapacité sportive est conditionnée par l'importance de la lésion. L'indication chirurgicale est rare, réservée aux lésions musculaires majeures et aux syndromes compressifs. Au stade des séquelles, les lésions chroniques relèvent plus souvent de la chirurgie. Le geste chirurgical doit être adapté à la nature de la lésion, allant de la simple excision de petits nodules fibreux ou de calcifications jusqu'à la suppression fonctionnelle d'un muscle, avec ou sans neurolyse. Note de contenu : Introduction
Rappels anatomiques
Structure histologique du muscle squelettique
Conséquences lésionnelles
Facteurs favorisant les lésions musculaires chez le sportif
Lésions musculaires récentes
Aspect médical
Imagerie
Traitement médical
Traitement chirurgical
Lésions musculaires chroniques
Aspect médical
Différentes lésions
Imagerie
Traitement médical
Traitement chirurgical
Stratégie thérapeutique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44068
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-140-A-10 [Tome 6][article] Pathologie traumatique du muscle strié squelettique [texte imprimé] / P. Christel, Auteur ; H. de Labareyre, Auteur ; P. Thelen, Auteur . - 2005 . - 15-140-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-140-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Muscle Lésion musculaire traumatique Régénération musculaire Traumatologie du sport Résumé : Les lésions des muscles squelettiques sont extrêmement fréquentes, surtout en pathologie sportive. Tous les degrés de gravité peuvent se rencontrer mais certaines grandes règles de diagnostic et de traitement permettent d'apporter une solution à la grande majorité des cas. Après avoir rappelé la structure histologique du muscle et les facteurs de risque, cet article distingue la problématique posée par la gestion des lésions musculaires récentes de celle des lésions chroniques, séquellaires des précédentes. Il faut distinguer les traumatismes extrinsèques, par choc appuyé, des traumatismes intrinsèques, les plus fréquents, où la résistance mécanique de la structure musculaire est dépassée par la nature ou l'intensité des contraintes mécaniques. La lésion siège dans la plupart des cas à la jonction myoaponévrotique. Dans le cadre des lésions récentes, l'examen clinique et l'imagerie permettent d'identifier le type de la lésion (contracture, déchirure, rupture), son degré de gravité, sa localisation et d'en tirer les conséquences en termes de stratégie thérapeutique et de délai d'indisponibilité. L'échographie est ici un élément fondamental de la démarche diagnostique et pronostique. Le diagnostic des lésions chroniques repose aussi sur l'examen clinique et surtout sur l'imagerie qui permet d'identifier les différents types lésionnels : nodules fibreux, pseudokystes, calcifications. L'utilisation de l'imagerie par résonance magnétique est ici essentielle, non seulement au titre du diagnostic mais aussi pour le chirurgien, permettant une visualisation tridimensionnelle de la lésion à exciser. Le rôle du traitement préventif dans la survenue des accidents musculaires est essentiel. Le dépistage des facteurs de risque inhérents à l'athlète, la compensation des déséquilibres musculaires et métaboliques, des entraînements adaptés, la lutte contre les raideurs musculaires ont radicalement transformé l'incidence des accidents musculaires et leur traitement curatif. Une fois constituée, la lésion musculaire récente relève en règle générale du traitement médical adapté à chaque type de lésion. La physiothérapie, la rééducation, l'utilisation des dynamomètres isocinétiques, la reprise adéquate de l'entraînement, constituent les éléments clés du retour au sport sans récidive. La durée d'incapacité sportive est conditionnée par l'importance de la lésion. L'indication chirurgicale est rare, réservée aux lésions musculaires majeures et aux syndromes compressifs. Au stade des séquelles, les lésions chroniques relèvent plus souvent de la chirurgie. Le geste chirurgical doit être adapté à la nature de la lésion, allant de la simple excision de petits nodules fibreux ou de calcifications jusqu'à la suppression fonctionnelle d'un muscle, avec ou sans neurolyse. Note de contenu : Introduction
Rappels anatomiques
Structure histologique du muscle squelettique
Conséquences lésionnelles
Facteurs favorisant les lésions musculaires chez le sportif
Lésions musculaires récentes
Aspect médical
Imagerie
Traitement médical
Traitement chirurgical
Lésions musculaires chroniques
Aspect médical
Différentes lésions
Imagerie
Traitement médical
Traitement chirurgical
Stratégie thérapeutique
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Spondylolisthésis par lyse isthmique / J.-M. Vital in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Spondylolisthésis par lyse isthmique Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-M. Vital ; M. Pedram Année de publication : 2005 Article en page(s) : 15-835-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lyse isthmique Spondylolisthésis par lyse Spondylolisthésis dysplasique Résumé : Le mot spondylolisthésis signifie glissement antérieur permanent du corps vertébral, le plus souvent de L5, plus rarement de L4 ou des vertèbres lombaires plus hautes. Dans les classifications, on oppose les spondylolisthésis par lyse isthmique avec fracture de la pars interarticularis, acquis le plus souvent par microtraumatismes répétés subis pendant l'enfance, et les spondylolisthésis congénitaux où des anomalies de formation de l'arc postérieur se compliquent souvent d'une fracture isthmique. D'autres causes de spondylolisthésis lombaire bas (macrotraumatique, dégénérative, tumorale ou iatrogène chirurgicale) ne sont pas décrites ici. En termes d'étiopathogénie, la lyse isthmique admet un facteur génétique puisque la population de race blanche est plus touchée que la population de race noire, mais nettement moins affectée que certaines populations comme les Esquimaux par exemple. Le facteur mécanique de constitution de la lyse est évident puisque seuls les bipèdes lordosés en région lombaire sont touchés après l'acquisition de la marche et que la répétition des microtraumatismes sportifs en hyperextension augmente considérablement la fréquence de la lyse. Sur le plan clinique, les formes asymptomatiques sont fréquentes. La lombalgie aiguë peut correspondre à l'épisode de fracture initiale. À un stade plus tardif, on observe une lombalgie chronique basse, parfois une sciatalgie, par compression de la racine L5 le plus souvent. Dans les formes graves dysplasiques, on peut observer une véritable cyphose lombosacrée avec rétroversion du bassin, rétraction des ischiojambiers et flessum des genoux. Sur le plan radiologique, le diagnostic de lyse isthmique se fait sur des clichés lombaires de trois quarts, des coupes tomodensitométriques perpendiculaires à l'isthme et une scintigraphie osseuse en phase précoce. Le spondylolisthésis est évalué sur des clichés de profil qui apprécient, dans un but pronostique, autant le degré de glissement que l'angle de cyphose lombosacrée. L'imagerie par résonance magnétique permet de suspecter une lyse récente, d'évaluer l'état des disques encadrant le spondylolisthésis et de reconnaître une cause compressive radiculaire. L'évolution naturelle du spondylolisthésis par lyse isthmique dépend de l'affaissement éventuel du disque intervertébral ; celle du spondylolisthésis dysplasique est plus sévère car elle touche des jeunes peu matures et la déformation suit les lois de croissance ostéocartilagineuse. Enfin, sur le plan thérapeutique, le traitement orthopédique avec corset immobilisant une cuisse pour éviter le mouvement de la charnière lombosacrée peut être proposé dans les formes récentes. La reconstruction isthmique peut être envisagée chez des jeunes sportifs peu enclins à la réduction d'activité physique. Au stade de spondylolisthésis, le traitement conservateur avec immobilisation par simple corset, infiltrations et traitement physique peut toujours être proposé. En cas d'échec ou en présence de radiculalgie compressive, on propose une chirurgie de décompression-arthrodèse réalisée le plus souvent par voie postérieure. Le double abord antérieur et postérieur doit être discuté dans les formes graves dysplasiques de l'adolescent, à fort potentiel d'aggravation en cyphose. Note de contenu : Introduction
Classification des
Classification de Wiltse et Newman
Classification de Marchetti
Étiologies, mécanismes des lombaires bas
Clinique
Dystocie
Lombalgie basse
Tension des ischiojambiers
Radiculalgies
Déformation en cyphose lombosacrée
Marche
Radiologie et autres examens complémentaires
Bilan radiologique
Paramètres sur le cliché de profil ou sagittaux
Spondylolisthésis et équilibre sagittal
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Autres examens
Situations anatomiques particulières
Évolution naturelle
Études longitudinales
Évolution dans les formes lytiques vers le glissement
Évolution dans les formes dysplasiques
Prise en charge thérapeutique
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
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in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-835-A-10 [Tome 7][article] Spondylolisthésis par lyse isthmique [texte imprimé] / J.-M. Vital ; M. Pedram . - 2005 . - 15-835-A-10 [Tome 7].
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in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-835-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Lyse isthmique Spondylolisthésis par lyse Spondylolisthésis dysplasique Résumé : Le mot spondylolisthésis signifie glissement antérieur permanent du corps vertébral, le plus souvent de L5, plus rarement de L4 ou des vertèbres lombaires plus hautes. Dans les classifications, on oppose les spondylolisthésis par lyse isthmique avec fracture de la pars interarticularis, acquis le plus souvent par microtraumatismes répétés subis pendant l'enfance, et les spondylolisthésis congénitaux où des anomalies de formation de l'arc postérieur se compliquent souvent d'une fracture isthmique. D'autres causes de spondylolisthésis lombaire bas (macrotraumatique, dégénérative, tumorale ou iatrogène chirurgicale) ne sont pas décrites ici. En termes d'étiopathogénie, la lyse isthmique admet un facteur génétique puisque la population de race blanche est plus touchée que la population de race noire, mais nettement moins affectée que certaines populations comme les Esquimaux par exemple. Le facteur mécanique de constitution de la lyse est évident puisque seuls les bipèdes lordosés en région lombaire sont touchés après l'acquisition de la marche et que la répétition des microtraumatismes sportifs en hyperextension augmente considérablement la fréquence de la lyse. Sur le plan clinique, les formes asymptomatiques sont fréquentes. La lombalgie aiguë peut correspondre à l'épisode de fracture initiale. À un stade plus tardif, on observe une lombalgie chronique basse, parfois une sciatalgie, par compression de la racine L5 le plus souvent. Dans les formes graves dysplasiques, on peut observer une véritable cyphose lombosacrée avec rétroversion du bassin, rétraction des ischiojambiers et flessum des genoux. Sur le plan radiologique, le diagnostic de lyse isthmique se fait sur des clichés lombaires de trois quarts, des coupes tomodensitométriques perpendiculaires à l'isthme et une scintigraphie osseuse en phase précoce. Le spondylolisthésis est évalué sur des clichés de profil qui apprécient, dans un but pronostique, autant le degré de glissement que l'angle de cyphose lombosacrée. L'imagerie par résonance magnétique permet de suspecter une lyse récente, d'évaluer l'état des disques encadrant le spondylolisthésis et de reconnaître une cause compressive radiculaire. L'évolution naturelle du spondylolisthésis par lyse isthmique dépend de l'affaissement éventuel du disque intervertébral ; celle du spondylolisthésis dysplasique est plus sévère car elle touche des jeunes peu matures et la déformation suit les lois de croissance ostéocartilagineuse. Enfin, sur le plan thérapeutique, le traitement orthopédique avec corset immobilisant une cuisse pour éviter le mouvement de la charnière lombosacrée peut être proposé dans les formes récentes. La reconstruction isthmique peut être envisagée chez des jeunes sportifs peu enclins à la réduction d'activité physique. Au stade de spondylolisthésis, le traitement conservateur avec immobilisation par simple corset, infiltrations et traitement physique peut toujours être proposé. En cas d'échec ou en présence de radiculalgie compressive, on propose une chirurgie de décompression-arthrodèse réalisée le plus souvent par voie postérieure. Le double abord antérieur et postérieur doit être discuté dans les formes graves dysplasiques de l'adolescent, à fort potentiel d'aggravation en cyphose. Note de contenu : Introduction
Classification des
Classification de Wiltse et Newman
Classification de Marchetti
Étiologies, mécanismes des lombaires bas
Clinique
Dystocie
Lombalgie basse
Tension des ischiojambiers
Radiculalgies
Déformation en cyphose lombosacrée
Marche
Radiologie et autres examens complémentaires
Bilan radiologique
Paramètres sur le cliché de profil ou sagittaux
Spondylolisthésis et équilibre sagittal
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Autres examens
Situations anatomiques particulières
Évolution naturelle
Études longitudinales
Évolution dans les formes lytiques vers le glissement
Évolution dans les formes dysplasiques
Prise en charge thérapeutique
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44094 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Cyphoses pathologiques / C. Garreau de Loubresse in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Cyphoses pathologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Garreau de Loubresse ; Raphaël Vialle ; S. Wolff Année de publication : 2005 Article en page(s) : 15-869-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Cyphose rachidienne Déformation du rachis Cyphose congénitale Neurofibromatose Cyphose iatrogène Résumé : La cyphose se définit comme une courbure rachidienne à concavité antérieure. Le rachis présente normalement dans le plan sagittal une succession de courbures harmonieuses de sens inverse : lordose lombaire, cyphose thoracique, lordose cervicale. Ces courbures se constituent au cours de la croissance et leurs amplitudes varient d'un individu à l'autre. Pour chaque individu, l'équilibre sagittal du rachis est une combinaison compensée aboutissant à une posture « économique » dite physiologique. Les variabilités sont grandes dans la population pour aboutir à cet équilibre sagittal et de multiples facteurs d'ordre psychologique, social ou historique sont susceptibles de venir interférer. Il est nécessaire de tenir compte de cette grande variabilité dans l'équilibre sagittal du rachis avant de qualifier telle ou telle courbure de « pathologique ». Les cyphoses pathologiques se répartissent en deux grands groupes. Les cyphoses régulières sont étendues de manière harmonieuse sur plusieurs vertèbres. Leur caractère « pathologique » repose sur l'importance de la courbure, sa raideur, son évolutivité ou sa localisation sur un segment rachidien habituellement en lordose. Les cyphoses angulaires sont constituées sur un petit nombre de vertèbres. Il s'agit de déformations souvent importantes et raides dont le caractère « pathologique » est incontestable. De multiples causes, congénitales ou acquises, sont responsables du développement d'une cyphose rachidienne pathologique. L'analyse de la déformation et la connaissance de son histoire naturelle sont le préalable indispensable à tout projet thérapeutique. Les principales étapes diagnostiques et thérapeutiques sont résumées et analysées de manière didactique pour chacune des causes les plus fréquentes de cyphose rachidienne pathologique. Note de contenu : Introduction
Courbures sagittales du rachis
Développement des courbures
Analyse clinique du profil rachidien
Analyse radiologique du profil rachidien
Formes étiologiques
Cyphoses « posturales »
Maladie de Scheuermann
Cyphoses congénitales
Cyphoses par atteinte des lignées tissulaires mésenchymateuses
Cyphose et neurofibromatose
Cyphoses d'origine infectieuse
Cyphoses d'origine tumorale
Cyphoses post-traumatiques
Cyphoses iatrogènesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44106
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-869-A-10 [Tome 7][article] Cyphoses pathologiques [texte imprimé] / C. Garreau de Loubresse ; Raphaël Vialle ; S. Wolff . - 2005 . - 15-869-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 15-869-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Cyphose rachidienne Déformation du rachis Cyphose congénitale Neurofibromatose Cyphose iatrogène Résumé : La cyphose se définit comme une courbure rachidienne à concavité antérieure. Le rachis présente normalement dans le plan sagittal une succession de courbures harmonieuses de sens inverse : lordose lombaire, cyphose thoracique, lordose cervicale. Ces courbures se constituent au cours de la croissance et leurs amplitudes varient d'un individu à l'autre. Pour chaque individu, l'équilibre sagittal du rachis est une combinaison compensée aboutissant à une posture « économique » dite physiologique. Les variabilités sont grandes dans la population pour aboutir à cet équilibre sagittal et de multiples facteurs d'ordre psychologique, social ou historique sont susceptibles de venir interférer. Il est nécessaire de tenir compte de cette grande variabilité dans l'équilibre sagittal du rachis avant de qualifier telle ou telle courbure de « pathologique ». Les cyphoses pathologiques se répartissent en deux grands groupes. Les cyphoses régulières sont étendues de manière harmonieuse sur plusieurs vertèbres. Leur caractère « pathologique » repose sur l'importance de la courbure, sa raideur, son évolutivité ou sa localisation sur un segment rachidien habituellement en lordose. Les cyphoses angulaires sont constituées sur un petit nombre de vertèbres. Il s'agit de déformations souvent importantes et raides dont le caractère « pathologique » est incontestable. De multiples causes, congénitales ou acquises, sont responsables du développement d'une cyphose rachidienne pathologique. L'analyse de la déformation et la connaissance de son histoire naturelle sont le préalable indispensable à tout projet thérapeutique. Les principales étapes diagnostiques et thérapeutiques sont résumées et analysées de manière didactique pour chacune des causes les plus fréquentes de cyphose rachidienne pathologique. Note de contenu : Introduction
Courbures sagittales du rachis
Développement des courbures
Analyse clinique du profil rachidien
Analyse radiologique du profil rachidien
Formes étiologiques
Cyphoses « posturales »
Maladie de Scheuermann
Cyphoses congénitales
Cyphoses par atteinte des lignées tissulaires mésenchymateuses
Cyphose et neurofibromatose
Cyphoses d'origine infectieuse
Cyphoses d'origine tumorale
Cyphoses post-traumatiques
Cyphoses iatrogènesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44106 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire