Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Février 2012
Paru le : 22/02/2012 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierIndications de l'arthroscopie du poignet / Monique Rongières in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Indications de l'arthroscopie du poignet Type de document : texte imprimé Auteurs : Monique Rongières ; Christophe Mathoulin Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-001-P-20 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthroscopie Poignet Résumé : L'arthroscopie du poignet est une technique relativement récente décrite dans les années 1970. Dans les années 1980 elle est devenue un élément complémentaire du diagnostic de certaines pathologies du poignet. Ce n'est que dans les années 1990 qu'elle a permis la réalisation de gestes thérapeutiques qui ont amélioré la compréhension des pathologies du poignet et modifié les suites opératoires et les résultats. Les deux articulations radio- et médiocarpienne sont le plus souvent explorées en commençant par la radiocarpienne et toujours par le côté radial. Note de contenu : Introduction
Indications
Assistance arthroscopique aux traitements des fractures
Traitement arthroscopique des lésions du ligament triangulaire ou TFCC
Traitements des lésions des ligaments intrinsèques
Résections osseuses
Autres indicationsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43647
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-001-P-20 [Tome 1][article] Indications de l'arthroscopie du poignet [texte imprimé] / Monique Rongières ; Christophe Mathoulin . - 2012 . - 14-001-P-20 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-001-P-20 [Tome 1]
Mots-clés : Arthroscopie Poignet Résumé : L'arthroscopie du poignet est une technique relativement récente décrite dans les années 1970. Dans les années 1980 elle est devenue un élément complémentaire du diagnostic de certaines pathologies du poignet. Ce n'est que dans les années 1990 qu'elle a permis la réalisation de gestes thérapeutiques qui ont amélioré la compréhension des pathologies du poignet et modifié les suites opératoires et les résultats. Les deux articulations radio- et médiocarpienne sont le plus souvent explorées en commençant par la radiocarpienne et toujours par le côté radial. Note de contenu : Introduction
Indications
Assistance arthroscopique aux traitements des fractures
Traitement arthroscopique des lésions du ligament triangulaire ou TFCC
Traitements des lésions des ligaments intrinsèques
Résections osseuses
Autres indicationsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43647 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique / E. Legrand in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Legrand ; M. Bouvard ; E. Hoppé Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-024-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoporose Fracture vertébrale Fracture de l'extrémité supérieure du fémur Handicap neurosensoriel Endocrinopathie Corticothérapie Résumé : L'ostéoporose est définie comme une affection diffuse du squelette, caractérisée par une masse osseuse basse et des altérations microarchitecturales du tissu osseux, conduisant à une augmentation de la fragilité osseuse et à un risque accru de fractures. Les fractures vertébrales, fémorales, humérales et celles du bassin, complications les plus graves de cette maladie osseuse, sont associées avec une augmentation de la morbidité, du nombre des hospitalisations et de la mortalité à court et moyen termes dans les deux sexes. On admet actuellement que 50 % des femmes et 20 % des hommes de plus de 50ans présenteront avant la fin de leur vie au moins une fracture ostéoporotique. La découverte d'une ostéoporose, qu'elle soit diagnostiquée devant une densité osseuse basse ou devant une première fracture, oblige à une enquête diagnostique dont les trois objectifs sont de vérifier l'absence d'une autre pathologie osseuse pouvant simuler une ostéoporose (en particulier le myélome) ; de rechercher une ostéoporose secondaire à une endocrinopathie ou à une maladie générale ; de prendre en compte l'ensemble des facteurs de risque de fracture en particulier ceux qui sont modifiables ou améliorables (tabac, alcool, maladie inflammatoire, corticothérapie, thérapeutiques anti-estrogénique ou anti-androgénique, dénutrition, carence en vitamine D, consommation de psychotropes responsables de chutes). À partir de 70ans, la recherche d'un handicap neurosensoriel, hautement associé au risque de fracture de l'extrémité supérieure du fémur, est indispensable afin de l'inclure dans l'évaluation du risque et dans le programme thérapeutique. Au-delà de cette phase diagnostique initiale, l'évaluation de la gravité de la maladie, socle du choix thérapeutique, doit prendre en compte l'âge élevé du patient, le nombre et la gravité des fractures vertébrales visibles sur les radiographies, le nombre et les circonstances de survenue des fractures périphériques, l'importance de la diminution de la densité osseuse et de nouveau la présence ou non de chutes répétées liées à un handicap neurosensoriel. Note de contenu : Introduction
Définition
Ostéoporoses primitives et secondaires
Ostéoporoses postménopausique et sénile
Ostéoporose : maladie multifactorielle
Stratégie générale du diagnostic
Diagnostic avant la fracture
Diagnostic après la fracture
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43693
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-024-A-10 [Tome 1][article] Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique [texte imprimé] / E. Legrand ; M. Bouvard ; E. Hoppé . - 2012 . - 14-024-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-024-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Ostéoporose Fracture vertébrale Fracture de l'extrémité supérieure du fémur Handicap neurosensoriel Endocrinopathie Corticothérapie Résumé : L'ostéoporose est définie comme une affection diffuse du squelette, caractérisée par une masse osseuse basse et des altérations microarchitecturales du tissu osseux, conduisant à une augmentation de la fragilité osseuse et à un risque accru de fractures. Les fractures vertébrales, fémorales, humérales et celles du bassin, complications les plus graves de cette maladie osseuse, sont associées avec une augmentation de la morbidité, du nombre des hospitalisations et de la mortalité à court et moyen termes dans les deux sexes. On admet actuellement que 50 % des femmes et 20 % des hommes de plus de 50ans présenteront avant la fin de leur vie au moins une fracture ostéoporotique. La découverte d'une ostéoporose, qu'elle soit diagnostiquée devant une densité osseuse basse ou devant une première fracture, oblige à une enquête diagnostique dont les trois objectifs sont de vérifier l'absence d'une autre pathologie osseuse pouvant simuler une ostéoporose (en particulier le myélome) ; de rechercher une ostéoporose secondaire à une endocrinopathie ou à une maladie générale ; de prendre en compte l'ensemble des facteurs de risque de fracture en particulier ceux qui sont modifiables ou améliorables (tabac, alcool, maladie inflammatoire, corticothérapie, thérapeutiques anti-estrogénique ou anti-androgénique, dénutrition, carence en vitamine D, consommation de psychotropes responsables de chutes). À partir de 70ans, la recherche d'un handicap neurosensoriel, hautement associé au risque de fracture de l'extrémité supérieure du fémur, est indispensable afin de l'inclure dans l'évaluation du risque et dans le programme thérapeutique. Au-delà de cette phase diagnostique initiale, l'évaluation de la gravité de la maladie, socle du choix thérapeutique, doit prendre en compte l'âge élevé du patient, le nombre et la gravité des fractures vertébrales visibles sur les radiographies, le nombre et les circonstances de survenue des fractures périphériques, l'importance de la diminution de la densité osseuse et de nouveau la présence ou non de chutes répétées liées à un handicap neurosensoriel. Note de contenu : Introduction
Définition
Ostéoporoses primitives et secondaires
Ostéoporoses postménopausique et sénile
Ostéoporose : maladie multifactorielle
Stratégie générale du diagnostic
Diagnostic avant la fracture
Diagnostic après la fracture
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43693 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndrome de Sjögren primitif / D. Cornec in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Syndrome de Sjögren primitif Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Cornec ; J.-O. Pers ; V. Devauchelle-Pensec Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-233-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome de Sjögren primitif Scores d'activité Lymphocytes B Biothérapies Résumé : Le syndrome de Sjögren primitif est une maladie auto-immune systémique qui se caractérise principalement par une atteinte inflammatoire des glandes salivaires et lacrymales conduisant à un syndrome sec oculaire et buccal, mais qui peut également toucher de multiples organes. Il peut parfois être associé à une autre maladie de système, on le désigne alors syndrome de Sjögren secondaire. Une de ses complications les plus graves est la survenue d'un lymphome, en général après plusieurs années d'évolution. La prévalence du syndrome de Sjögren primitif est estimée entre 0,01 % et 3 %, la prédominance féminine est marquée, avec un pic de fréquence vers 50ans. Sa physiopathologie est complexe, et fait intervenir des facteurs génétiques, environnementaux, et immunologiques, avec une place centrale attribuée aux lymphocytes B depuis quelques années. Le diagnostic repose sur des critères de classification publiés en 2002, mais qui seront probablement bientôt révisés en incluant de nouveaux examens complémentaires, notamment l'échographie des glandes salivaires. Des scores spécifiques évaluant le retentissement fonctionnel et l'activité ont été développés récemment, qui devraient permettre de prouver plus facilement l'effet des traitements. La prise en charge était essentiellement symptomatique jusqu'à présent, avec des substituts de larmes et de salive ou des médicaments stimulant leur production, et le traitement des complications systémiques reposait sur la corticothérapie et les immunosuppresseurs. L'avènement des biothérapies promet des progrès thérapeutiques dans les prochaines années. Si les anti-TNF-α (anti-tumor necrosis factor alpha) ne semblent pas efficaces, les traitements ciblant les lymphocytes B, notamment le rituximab et les anti-BAFF (B cell activating factor belonging to the TNF family) ont donné des résultats encourageants dans des études ouvertes ou de petits effectifs, et des essais thérapeutiques scientifiques de forte puissance sont en cours. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie et diagnostic
Épidémiologie
Diagnostic
Physiopathogénie
Terrain génétique prédisposant
Épithélite auto-immune
Infiltrat lymphocytaire
Cytokine BAFF
Évaluation de la maladie
Des outils d'évaluation de la gêne et du risque oculobuccal
Outils d'évaluation de l'activité et des séquelles de la maladie
Outils d'évaluation du pronostic
Examens complémentaires en pratique
Traitement
Traitement symptomatique de la sécheresse
Traitement des signes généraux
Traitement des atteintes extraglandulaires
Perspectives thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43983
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-233-A-10 [Tome 4][article] Syndrome de Sjögren primitif [texte imprimé] / D. Cornec ; J.-O. Pers ; V. Devauchelle-Pensec . - 2012 . - 14-233-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-233-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Syndrome de Sjögren primitif Scores d'activité Lymphocytes B Biothérapies Résumé : Le syndrome de Sjögren primitif est une maladie auto-immune systémique qui se caractérise principalement par une atteinte inflammatoire des glandes salivaires et lacrymales conduisant à un syndrome sec oculaire et buccal, mais qui peut également toucher de multiples organes. Il peut parfois être associé à une autre maladie de système, on le désigne alors syndrome de Sjögren secondaire. Une de ses complications les plus graves est la survenue d'un lymphome, en général après plusieurs années d'évolution. La prévalence du syndrome de Sjögren primitif est estimée entre 0,01 % et 3 %, la prédominance féminine est marquée, avec un pic de fréquence vers 50ans. Sa physiopathologie est complexe, et fait intervenir des facteurs génétiques, environnementaux, et immunologiques, avec une place centrale attribuée aux lymphocytes B depuis quelques années. Le diagnostic repose sur des critères de classification publiés en 2002, mais qui seront probablement bientôt révisés en incluant de nouveaux examens complémentaires, notamment l'échographie des glandes salivaires. Des scores spécifiques évaluant le retentissement fonctionnel et l'activité ont été développés récemment, qui devraient permettre de prouver plus facilement l'effet des traitements. La prise en charge était essentiellement symptomatique jusqu'à présent, avec des substituts de larmes et de salive ou des médicaments stimulant leur production, et le traitement des complications systémiques reposait sur la corticothérapie et les immunosuppresseurs. L'avènement des biothérapies promet des progrès thérapeutiques dans les prochaines années. Si les anti-TNF-α (anti-tumor necrosis factor alpha) ne semblent pas efficaces, les traitements ciblant les lymphocytes B, notamment le rituximab et les anti-BAFF (B cell activating factor belonging to the TNF family) ont donné des résultats encourageants dans des études ouvertes ou de petits effectifs, et des essais thérapeutiques scientifiques de forte puissance sont en cours. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie et diagnostic
Épidémiologie
Diagnostic
Physiopathogénie
Terrain génétique prédisposant
Épithélite auto-immune
Infiltrat lymphocytaire
Cytokine BAFF
Évaluation de la maladie
Des outils d'évaluation de la gêne et du risque oculobuccal
Outils d'évaluation de l'activité et des séquelles de la maladie
Outils d'évaluation du pronostic
Examens complémentaires en pratique
Traitement
Traitement symptomatique de la sécheresse
Traitement des signes généraux
Traitement des atteintes extraglandulaires
Perspectives thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43983 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatisme à apatite / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Rhumatisme à apatite Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; S. Alasanne Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-272-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hydroxyapatite Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le rhumatisme à apatite est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'hydroxyapatite, soit extra-articulaires, à l'origine de fréquentes pathologies périarticulaires sous forme de poussées très aiguës, soit intra-articulaires, moins fréquents et moins bien reconnus, pouvant se manifester par une arthrite aiguë ou une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités périarticulaire et articulaire de cette pathologie microcristalline affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent en être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale avec hémodialyse, un diabète, des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses. Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. Leur identification certaine repose sur des techniques chères de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X. D'autres techniques sont en voie de développement. Il n'existe pas de traitement étiologique du rhumatisme à apatite, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Note de contenu : Généralités
Historique
Pathogénie
Le RhAP est-il une entité propre ?
Origine génétique du RhAP
Fréquence. Facteurs favorisants
Les microcristaux de PCB sont-ils arthrogènes ?
Critères diagnostiques
Diagnostic différentiel
Formes cliniques
Épaule
Coude
Poignet et main
Hanche
Genou
Cheville, pied et orteils
Rachis
Sacrum et sacro-iliaques
Autres formes cliniques
Examens complémentaires
Radiologie conventionnelle
Autres examens
Pathologie apatitique dans les prothèses
Traitement
Traitement médical
Traitement local
Traitement chirurgical
Prise en charge particulière de formes localisées abarticulaires
Localisation intra-articulaire : arthropathie apatitique
Formes à localisations multiplesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43999
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-272-A-10 [Tome 5][article] Rhumatisme à apatite [texte imprimé] / D. Baron ; S. Alasanne . - 2012 . - 14-272-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-272-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hydroxyapatite Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le rhumatisme à apatite est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'hydroxyapatite, soit extra-articulaires, à l'origine de fréquentes pathologies périarticulaires sous forme de poussées très aiguës, soit intra-articulaires, moins fréquents et moins bien reconnus, pouvant se manifester par une arthrite aiguë ou une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités périarticulaire et articulaire de cette pathologie microcristalline affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent en être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale avec hémodialyse, un diabète, des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses. Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. Leur identification certaine repose sur des techniques chères de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X. D'autres techniques sont en voie de développement. Il n'existe pas de traitement étiologique du rhumatisme à apatite, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Note de contenu : Généralités
Historique
Pathogénie
Le RhAP est-il une entité propre ?
Origine génétique du RhAP
Fréquence. Facteurs favorisants
Les microcristaux de PCB sont-ils arthrogènes ?
Critères diagnostiques
Diagnostic différentiel
Formes cliniques
Épaule
Coude
Poignet et main
Hanche
Genou
Cheville, pied et orteils
Rachis
Sacrum et sacro-iliaques
Autres formes cliniques
Examens complémentaires
Radiologie conventionnelle
Autres examens
Pathologie apatitique dans les prothèses
Traitement
Traitement médical
Traitement local
Traitement chirurgical
Prise en charge particulière de formes localisées abarticulaires
Localisation intra-articulaire : arthropathie apatitique
Formes à localisations multiplesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43999 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Spécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant / S. Pannier in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Spécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Pannier, Auteur ; Eric Mascard, Auteur ; C. Glorion, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-697 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs osseuses malignes de l'enfant Transferts épiphysaires Prothèse de croissance Membrane induite Amputation Résumé : Les résections segmentaires larges des tumeurs osseuses malignes des membres chez l'enfant ont ouvert une nécessité de reconstruction du segment qui a été enlevé de façon carcinologique. De nombreuses techniques prothétiques et biologiques sont maintenant utilisées. La capacité de l'enfant à réparer et reconstruire permet parfois des reconstructions de qualité étonnante. Parmi les spécificités de reconstructions chez l'enfant, retenir surtout : les transferts épiphysaires, les prothèses de croissance, la technique de la greffe en deux temps après fabrication d'une membrane induite autour d'un cylindre de méthylmétacrylate. Ces techniques vont être développées et illustrées. Note de contenu : Introduction
Transferts épiphysaires
Choix du transfert
Rappel anatomique
Indications
Complications
Prothèses de croissance
Greffes vascularisées
Reconstructions diaphysaires par membrane induite
AmputationPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44041
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-697 [Tome 5][article] Spécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant [texte imprimé] / S. Pannier, Auteur ; Eric Mascard, Auteur ; C. Glorion, Auteur . - 2012 . - 14-697 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-697 [Tome 5]
Mots-clés : Tumeurs osseuses malignes de l'enfant Transferts épiphysaires Prothèse de croissance Membrane induite Amputation Résumé : Les résections segmentaires larges des tumeurs osseuses malignes des membres chez l'enfant ont ouvert une nécessité de reconstruction du segment qui a été enlevé de façon carcinologique. De nombreuses techniques prothétiques et biologiques sont maintenant utilisées. La capacité de l'enfant à réparer et reconstruire permet parfois des reconstructions de qualité étonnante. Parmi les spécificités de reconstructions chez l'enfant, retenir surtout : les transferts épiphysaires, les prothèses de croissance, la technique de la greffe en deux temps après fabrication d'une membrane induite autour d'un cylindre de méthylmétacrylate. Ces techniques vont être développées et illustrées. Note de contenu : Introduction
Transferts épiphysaires
Choix du transfert
Rappel anatomique
Indications
Complications
Prothèses de croissance
Greffes vascularisées
Reconstructions diaphysaires par membrane induite
AmputationPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44041 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Adamantinome / R. Turcotte in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Adamantinome Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Turcotte, Auteur ; N. Fabbri, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-727 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Adamantinome Sarcome Tibia Dysplasie ostéofibreuse Dysplasie fibreuse Résumé : L'adamantinome est une tumeur maligne primitive rare de l'os qui touche préférentiellement le tibia du jeune adulte. C'est un sarcome de bas grade et d'évolution lente. Il se caractérise par la présence de cellules épithéliales malignes dans un stroma fibreux ou ostéofibreux. Le diagnostic peut être difficile à confirmer histologiquement et l'adamantinome se doit d'être différencié de la dysplasie ostéofibreuse à laquelle il pourrait être relié. Le traitement est essentiellement chirurgical et consiste en l'ablation du segment d'os malade et à la reconstruction du déficit osseux. Les métastases sont pulmonaires, ganglionnaires ou osseuses et peuvent survenir plus de 10ans après le diagnostic. La survie à 10ans est estimée à 85 %. Note de contenu : Introduction
Démographie
Localisation
Symptomatologie
Examen physique
Imagerie médicale
Radiographies simples
Tomodensitométrie
Résonance magnétique
Médecine nucléaire
Biopsie
Anatomopathologie
Examen macroscopique
Examen microscopique
Microscopie électronique
Bilan d'extension
Traitement
Traitement chirurgical
Radiothérapie
Chimiothérapie
Suivi
Évolution et pronostic
Relation entre l'adamantinome et la dysplasie ostéofibreuse
Relation entre l'adamantinome et le sarcome d'Ewing
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44045
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-727 [Tome 5][article] Adamantinome [texte imprimé] / R. Turcotte, Auteur ; N. Fabbri, Auteur . - 2012 . - 14-727 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-727 [Tome 5]
Mots-clés : Adamantinome Sarcome Tibia Dysplasie ostéofibreuse Dysplasie fibreuse Résumé : L'adamantinome est une tumeur maligne primitive rare de l'os qui touche préférentiellement le tibia du jeune adulte. C'est un sarcome de bas grade et d'évolution lente. Il se caractérise par la présence de cellules épithéliales malignes dans un stroma fibreux ou ostéofibreux. Le diagnostic peut être difficile à confirmer histologiquement et l'adamantinome se doit d'être différencié de la dysplasie ostéofibreuse à laquelle il pourrait être relié. Le traitement est essentiellement chirurgical et consiste en l'ablation du segment d'os malade et à la reconstruction du déficit osseux. Les métastases sont pulmonaires, ganglionnaires ou osseuses et peuvent survenir plus de 10ans après le diagnostic. La survie à 10ans est estimée à 85 %. Note de contenu : Introduction
Démographie
Localisation
Symptomatologie
Examen physique
Imagerie médicale
Radiographies simples
Tomodensitométrie
Résonance magnétique
Médecine nucléaire
Biopsie
Anatomopathologie
Examen macroscopique
Examen microscopique
Microscopie électronique
Bilan d'extension
Traitement
Traitement chirurgical
Radiothérapie
Chimiothérapie
Suivi
Évolution et pronostic
Relation entre l'adamantinome et la dysplasie ostéofibreuse
Relation entre l'adamantinome et le sarcome d'Ewing
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44045 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tendinopathies : étiopathogénie, diagnostic et traitement / H. Bard in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Tendinopathies : étiopathogénie, diagnostic et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Bard, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 15-146-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tendon Réparation tendineuse Tendinopathies Étiopathogénie des tendinopathies Traitement Injections Résumé : Les tendinopathies sont très fréquentes en pratique courante et bénéficient d'une part d'une meilleure connaissance de l'étiopathogénie et des processus de réparation tendineuse et, d'autre part, des progrès de l'imagerie, notamment de l'échographie et de la résonance magnétique (IRM), débouchant sur des nouveaux traitements en plein développement. Cette pathologie bénigne, le plus souvent d'origine mécanique ou dégénérative, qu'elle soit mono- ou pluritendineuse, peut être très invalidante et évoluer sur de nombreux mois. La guérison clinique laisse souvent un tendon vulnérable, exposé aux rechutes qui peuvent aboutir à une rupture tendineuse dont les séquelles fonctionnelles sont plus ou moins importantes selon le tendon en cause. C'est souligner l'importance dans ces tendinopathies mécaniques d'un diagnostic et d'une prise en charge précoces, du respect des délais de réparation tendineuse et d'une réadaptation à l'effort, en réduisant les facteurs favorisant les récidives. Toutefois, contrairement à d'autres domaines de la rhumatologie, le traitement des tendinopathies ne fait pas encore l'objet de recommandations de sociétés savantes et les études contrôlées randomisées bénéficiant d'une méthodologie satisfaisant aux critères actuels sont rares. En conséquence, les méta-analyses, peu nombreuses, se heurtent habituellement à la faiblesse méthodologique de la majorité des études. Note de contenu : Introduction
Étiopathogénie
Mécanismes lésionnels
Régénération et réparation tendineuses
Lésions anatomiques
Classification des tendinopathies mécaniques
Classification lésionnelle
Diagnostic
Diagnostic clinique
Diagnostic paraclinique
Diagnostic étiologique
Diagnostic différentiel
Traitement des tendinopathies
Traitement des tendinopathies mécaniques
Traitement des tendinopathies non mécaniques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44070
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 15-146-A-10 [Tome 6][article] Tendinopathies : étiopathogénie, diagnostic et traitement [texte imprimé] / H. Bard, Auteur . - 2012 . - 15-146-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 15-146-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Tendon Réparation tendineuse Tendinopathies Étiopathogénie des tendinopathies Traitement Injections Résumé : Les tendinopathies sont très fréquentes en pratique courante et bénéficient d'une part d'une meilleure connaissance de l'étiopathogénie et des processus de réparation tendineuse et, d'autre part, des progrès de l'imagerie, notamment de l'échographie et de la résonance magnétique (IRM), débouchant sur des nouveaux traitements en plein développement. Cette pathologie bénigne, le plus souvent d'origine mécanique ou dégénérative, qu'elle soit mono- ou pluritendineuse, peut être très invalidante et évoluer sur de nombreux mois. La guérison clinique laisse souvent un tendon vulnérable, exposé aux rechutes qui peuvent aboutir à une rupture tendineuse dont les séquelles fonctionnelles sont plus ou moins importantes selon le tendon en cause. C'est souligner l'importance dans ces tendinopathies mécaniques d'un diagnostic et d'une prise en charge précoces, du respect des délais de réparation tendineuse et d'une réadaptation à l'effort, en réduisant les facteurs favorisant les récidives. Toutefois, contrairement à d'autres domaines de la rhumatologie, le traitement des tendinopathies ne fait pas encore l'objet de recommandations de sociétés savantes et les études contrôlées randomisées bénéficiant d'une méthodologie satisfaisant aux critères actuels sont rares. En conséquence, les méta-analyses, peu nombreuses, se heurtent habituellement à la faiblesse méthodologique de la majorité des études. Note de contenu : Introduction
Étiopathogénie
Mécanismes lésionnels
Régénération et réparation tendineuses
Lésions anatomiques
Classification des tendinopathies mécaniques
Classification lésionnelle
Diagnostic
Diagnostic clinique
Diagnostic paraclinique
Diagnostic étiologique
Diagnostic différentiel
Traitement des tendinopathies
Traitement des tendinopathies mécaniques
Traitement des tendinopathies non mécaniques
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