Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Août 2011
Paru le : 09/08/2011 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierDescription et évaluation de l'efficacité des traitements pour la récupération motrice chez le sujet hémiplégique : une approche justifiée / Johanna V.G. Robertson in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Août 2011)
[article]
Titre : Description et évaluation de l'efficacité des traitements pour la récupération motrice chez le sujet hémiplégique : une approche justifiée Type de document : texte imprimé Auteurs : Johanna V.G. Robertson, Auteur ; Jean-Philippe Regnaux, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 26-320--A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rééducation Hémiplégie Motricité Entraînement Évaluation Efficacité Résumé : L'objectif de cet article est de présenter différentes techniques de rééducation qui peuvent être proposées pour améliorer la motricité et la mobilité des patients après accident vasculaire cérébral (AVC), d'examiner les preuves de leur efficacité et de distinguer des indications pour la pratique. Au total, neuf techniques ont été décrites : la contrainte du membre supérieur, la contrainte du tronc, les orthèses mécaniques de marche et/ou suspension, les dispositifs robotisés et mécanisés pour le membre supérieur, le mouvement imaginé, les stimulations électriques, la rééducation en atelier, la thérapie par miroir et le travail en bilatéral. Certaines techniques ont fait l'objet de plusieurs travaux scientifiques alors que d'autres ont été moins étudiées. Pour la plupart des traitements, il n'est pas possible de conclure sur leur efficacité ou l'absence d'effets. La nature complexe des interventions en rééducation, le nombre et la qualité des études restent souvent insuffisants. Cependant, certains principes peuvent être dégagés : les traitements incorporant une intensité importante semblent avoir une efficacité plus importante, par exemple la rééducation par système mécanisé/robotisé, en atelier ou par contrainte induite. Au niveau de la marche, l'utilisation de systèmes mécanisés semble plus pertinente pour les patients n'ayant pas encore acquis la marche. Certaines techniques pour la rééducation des patients ayant un déficit sévère du membre supérieur sont dégagées, tels la thérapie par miroir ou le mouvement imaginé, qui peuvent être pratiqués lorsque la récupération motrice est limitée. Pour nombre de techniques il n'est pas encore possible de distinguer des indications cliniques, car les données concernant la description des protocoles d'entraînement, la dose de traitement, la durée, la population cible ou le moment optimal de l'effet sont insuffisantes. Des fiches cliniques résument les doses décrites par des études scientifiques afin d'informer (evidence informed practice) au mieux le thérapeute et le patient des choix thérapeutiques possibles. Note de contenu : Introduction
Description de la rééducation pour les patients après AVC
Description des traitements pour favoriser la récupération motrice
Comment ces traitements fonctionnent-ils ?
Intérêt de cet article
Efficacité des techniques de rééducation
Place de la contrainte dans l'entraînement moteur
Orthèses mécaniques de marche et/ou suspension
Systèmes mécanisés pour le membre supérieur
Stimulation électrique
Ateliers/rééducation en groupe
Thérapie par miroir
Travail en bilatéral
Mouvement imaginé
Discussion-conclusion
Impacts pour la pratique
Impacts pour la recherchePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43585
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Août 2011) . - 26-320--A-10[article] Description et évaluation de l'efficacité des traitements pour la récupération motrice chez le sujet hémiplégique : une approche justifiée [texte imprimé] / Johanna V.G. Robertson, Auteur ; Jean-Philippe Regnaux, Auteur . - 2011 . - 26-320--A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Août 2011) . - 26-320--A-10
Mots-clés : Rééducation Hémiplégie Motricité Entraînement Évaluation Efficacité Résumé : L'objectif de cet article est de présenter différentes techniques de rééducation qui peuvent être proposées pour améliorer la motricité et la mobilité des patients après accident vasculaire cérébral (AVC), d'examiner les preuves de leur efficacité et de distinguer des indications pour la pratique. Au total, neuf techniques ont été décrites : la contrainte du membre supérieur, la contrainte du tronc, les orthèses mécaniques de marche et/ou suspension, les dispositifs robotisés et mécanisés pour le membre supérieur, le mouvement imaginé, les stimulations électriques, la rééducation en atelier, la thérapie par miroir et le travail en bilatéral. Certaines techniques ont fait l'objet de plusieurs travaux scientifiques alors que d'autres ont été moins étudiées. Pour la plupart des traitements, il n'est pas possible de conclure sur leur efficacité ou l'absence d'effets. La nature complexe des interventions en rééducation, le nombre et la qualité des études restent souvent insuffisants. Cependant, certains principes peuvent être dégagés : les traitements incorporant une intensité importante semblent avoir une efficacité plus importante, par exemple la rééducation par système mécanisé/robotisé, en atelier ou par contrainte induite. Au niveau de la marche, l'utilisation de systèmes mécanisés semble plus pertinente pour les patients n'ayant pas encore acquis la marche. Certaines techniques pour la rééducation des patients ayant un déficit sévère du membre supérieur sont dégagées, tels la thérapie par miroir ou le mouvement imaginé, qui peuvent être pratiqués lorsque la récupération motrice est limitée. Pour nombre de techniques il n'est pas encore possible de distinguer des indications cliniques, car les données concernant la description des protocoles d'entraînement, la dose de traitement, la durée, la population cible ou le moment optimal de l'effet sont insuffisantes. Des fiches cliniques résument les doses décrites par des études scientifiques afin d'informer (evidence informed practice) au mieux le thérapeute et le patient des choix thérapeutiques possibles. Note de contenu : Introduction
Description de la rééducation pour les patients après AVC
Description des traitements pour favoriser la récupération motrice
Comment ces traitements fonctionnent-ils ?
Intérêt de cet article
Efficacité des techniques de rééducation
Place de la contrainte dans l'entraînement moteur
Orthèses mécaniques de marche et/ou suspension
Systèmes mécanisés pour le membre supérieur
Stimulation électrique
Ateliers/rééducation en groupe
Thérapie par miroir
Travail en bilatéral
Mouvement imaginé
Discussion-conclusion
Impacts pour la pratique
Impacts pour la recherchePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43585 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rééducation de la maladie de Parkinson / Jean-Pierre Bleton in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Août 2011)
[article]
Titre : Rééducation de la maladie de Parkinson Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Bleton, Auteur ; Marc Ziégler, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 26-451-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie de Parkinson idiopathique L-Dopa Fluctuations d'effet Effet on-off Dyskinésies Rééducation Résumé : La maladie de Parkinson idiopathique (MP) est une maladie dégénérative du système nerveux central. Les premiers signes apparaissent vers l'âge de 60 ans. La principale anomalie biochimique est un déficit en dopamine au niveau du striatum. Le traitement par la L-Dopa, très efficace les premières années, laisse apparaître ensuite des complications, dominées par les fluctuations d'effet et les dyskinésies puis, plus tardivement, par un déclin cognitif. Le handicap progresse probablement de façon linéaire. Parallèlement, les signes axiaux s'accentuent, devenant peu sensibles à la L-Dopa, et la maladie « s'enrichit » de nouveaux signes au cours de son évolution, en particulier de troubles non moteurs. Les traitements actuels permettent néanmoins aux patients d'avoir une espérance de vie peu différente de celle de la population générale. L'évolution est lentement progressive, la durée d'évolution est en moyenne de 18 ans, mais avec de grandes variations individuelles. Deuxième cause de handicap neurologique après l'accident vasculaire cérébral, ses conséquences sont physiques, fonctionnelles, psychologiques et sociales. Avec le vieillissement de la population, la MP est devenue un enjeu de santé publique. Note de contenu : Introduction
Rappel
Rééducation à la période initiale de la maladie
Modalités de prise en charge à la période de maladie débutante
Évaluation de la maladie de Parkinson : UPDRS le « gold standard »
Rééducation des principaux signes inauguraux de la MP
Rééducation à la période de maladie installée
Fluctuations motrices
Fluctuations non motrices
Autoévaluation des blocages moteurs
Akinésie
Modalités de prise en charge à la période de maladie installée
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43590
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Août 2011) . - 26-451-A-10[article] Rééducation de la maladie de Parkinson [texte imprimé] / Jean-Pierre Bleton, Auteur ; Marc Ziégler, Auteur . - 2011 . - 26-451-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Août 2011) . - 26-451-A-10
Mots-clés : Maladie de Parkinson idiopathique L-Dopa Fluctuations d'effet Effet on-off Dyskinésies Rééducation Résumé : La maladie de Parkinson idiopathique (MP) est une maladie dégénérative du système nerveux central. Les premiers signes apparaissent vers l'âge de 60 ans. La principale anomalie biochimique est un déficit en dopamine au niveau du striatum. Le traitement par la L-Dopa, très efficace les premières années, laisse apparaître ensuite des complications, dominées par les fluctuations d'effet et les dyskinésies puis, plus tardivement, par un déclin cognitif. Le handicap progresse probablement de façon linéaire. Parallèlement, les signes axiaux s'accentuent, devenant peu sensibles à la L-Dopa, et la maladie « s'enrichit » de nouveaux signes au cours de son évolution, en particulier de troubles non moteurs. Les traitements actuels permettent néanmoins aux patients d'avoir une espérance de vie peu différente de celle de la population générale. L'évolution est lentement progressive, la durée d'évolution est en moyenne de 18 ans, mais avec de grandes variations individuelles. Deuxième cause de handicap neurologique après l'accident vasculaire cérébral, ses conséquences sont physiques, fonctionnelles, psychologiques et sociales. Avec le vieillissement de la population, la MP est devenue un enjeu de santé publique. Note de contenu : Introduction
Rappel
Rééducation à la période initiale de la maladie
Modalités de prise en charge à la période de maladie débutante
Évaluation de la maladie de Parkinson : UPDRS le « gold standard »
Rééducation des principaux signes inauguraux de la MP
Rééducation à la période de maladie installée
Fluctuations motrices
Fluctuations non motrices
Autoévaluation des blocages moteurs
Akinésie
Modalités de prise en charge à la période de maladie installée
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43590 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire