Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Paru le : 19/12/2013 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierDrainage lymphatique manuel selon la « méthode Leduc » / Olivier Leduc in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Décembre 2013)
[article]
Titre : Drainage lymphatique manuel selon la « méthode Leduc » Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Leduc Année de publication : 2013 Article en page(s) : 26-132-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphatique Drainage lymphatique manuel Œdème Traitement physique Résumé : La pratique du drainage lymphatique manuel (DLM), méthode Leduc, consiste en des manipulations classées selon deux modalités principales. L'une comprend les manœuvres d'appel qui entretiennent l'activité contractile des vaisseaux collecteurs, tandis que l'autre est représentée par les manœuvres de résorption qui facilitent les mécanismes de résorption des éléments constitutifs de l'œdème. Le DLM d'entretien ainsi que le DLM thérapeutique sont décrits pour les différentes parties du corps. Le traitement par DLM concerne tant les œdèmes primaires que secondaires. Les indications et contre-indications du DLM sont résumées. Note de contenu : Introduction
Description du drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Attitude du patient lors du drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Manœuvres de drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Manœuvres d'appel ou manœuvres d'entretien
Manœuvres de résorption
Déroulement d'une séance de drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Drainage lymphatique manuel d'entretien du visage
Drainage lymphatique manuel thérapeutique du visage
Drainage lymphatique manuel d'entretien du membre inférieur
Drainage lymphatique manuel thérapeutique du membre inférieur
Drainage lymphatique manuel d'entretien du membre supérieur
Drainage lymphatique manuel thérapeutique du membre supérieur
Drainage lymphatique manuel du tronc
Indications et contre-indications du drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Indications
Contre-indicationsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43549
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2013) . - 26-132-A-10[article] Drainage lymphatique manuel selon la « méthode Leduc » [texte imprimé] / Olivier Leduc . - 2013 . - 26-132-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2013) . - 26-132-A-10
Mots-clés : Lymphatique Drainage lymphatique manuel Œdème Traitement physique Résumé : La pratique du drainage lymphatique manuel (DLM), méthode Leduc, consiste en des manipulations classées selon deux modalités principales. L'une comprend les manœuvres d'appel qui entretiennent l'activité contractile des vaisseaux collecteurs, tandis que l'autre est représentée par les manœuvres de résorption qui facilitent les mécanismes de résorption des éléments constitutifs de l'œdème. Le DLM d'entretien ainsi que le DLM thérapeutique sont décrits pour les différentes parties du corps. Le traitement par DLM concerne tant les œdèmes primaires que secondaires. Les indications et contre-indications du DLM sont résumées. Note de contenu : Introduction
Description du drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Attitude du patient lors du drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Manœuvres de drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Manœuvres d'appel ou manœuvres d'entretien
Manœuvres de résorption
Déroulement d'une séance de drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Drainage lymphatique manuel d'entretien du visage
Drainage lymphatique manuel thérapeutique du visage
Drainage lymphatique manuel d'entretien du membre inférieur
Drainage lymphatique manuel thérapeutique du membre inférieur
Drainage lymphatique manuel d'entretien du membre supérieur
Drainage lymphatique manuel thérapeutique du membre supérieur
Drainage lymphatique manuel du tronc
Indications et contre-indications du drainage lymphatique manuel selon la « méthode »
Indications
Contre-indicationsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43549 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Amputation du membre supérieur / F. Lamandé in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Décembre 2013)
[article]
Titre : Amputation du membre supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Lamandé, Auteur ; J.-C. Dupré, Auteur ; Pauline Talbot, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 26-221-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Amputation de membre supérieur, Prothèse myoélectrique, Rééducation, Réadaptation, Sport et handicap, Pédagogie par objectifs Résumé : L'amputation de membre supérieur, du fait de son origine traumatique, principalement, ne représente qu'une très faible partie de l'ensemble des amputations. Les prothèses myoélectriques ou myoélectroniques sont actuellement les plus employées et sont décrites succinctement. La rééducation (qui s'étale sur deux mois dans les cas les plus simples) est totalement différente de celle de l'amputation de membre inférieur : dans le premier cas le patient est jeune et traumatique, et dans l'autre il est âgé et polypathologique. Elle est aussi appuyée sur un grand temps de rééducation sur la journée (8 à 10heures par jour). La prise en charge, basée sur les bilans, notamment myoélectriques et de qualité musculaire, se décline en trois parties : la rééducation préprothétique, où l'aspect psychologique, la rééducation orthopédique et le travail en vue de l'appareillage sont les trois objectifs essentiels ; la rééducation avec appareillage, en trois phases, fondée sur l'acquisition d'une forte base technique, en n'omettant pas le développement de la « sensibilité » et de la « vitesse » avec la prothèse ; la réadaptation, où le patient doit mettre en pratique ses acquis dans sa vie quotidienne et professionnelle, la conduite automobile et la pratique sportive. Les deux dernières parties sont appuyées sur la pédagogie par objectifs, qui permet de parfaire la rééducation et la réadaptation en assurant un suivi précis du patient et une tenue parfaite de son dossier. Cette prothèse de membre supérieur, vue comme un excellent « étau sophistiqué portable » et non comme une main, qu'elle ne sera jamais, et une équipe restreinte et soudée, avec le médecin, l'appareilleur et les rééducateurs, qui doit faire preuve de disponibilité, d'enthousiasme et d'exigence, permettent de passer un contrat moral très positif avec le patient. Note de contenu : Introduction
Prothèse myoélectrique
Bilans
Bilans généraux
Bilans myoélectriques
Conclusion des bilans
Rééducation préprothétique
Préparation psychologique
Rééducation orthopédique
Travail myoélectrique
Importance de la rééducation préprothétique
Rééducation avec appareillage
Buts
Phase analytique
Phase de transition
Phase fonctionnelle
Conclusion de cette étape de la rééducation
Réadaptation
Activités de détente
Complément de réadaptation
Base de la rééducation/réadaptation : la pédagogie par objectifs
Principe
Finalité et buts
Objectifs généraux
Conclusion de cette pédagogie
Cas particuliers
Amputation côté dominant
Amputation bilatérale
Amputation congénitale et chez le jeune enfant
Amputation ancienne
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43569
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2013) . - 26-221-A-10[article] Amputation du membre supérieur [texte imprimé] / F. Lamandé, Auteur ; J.-C. Dupré, Auteur ; Pauline Talbot, Auteur . - 2013 . - 26-221-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2013) . - 26-221-A-10
Mots-clés : Amputation de membre supérieur, Prothèse myoélectrique, Rééducation, Réadaptation, Sport et handicap, Pédagogie par objectifs Résumé : L'amputation de membre supérieur, du fait de son origine traumatique, principalement, ne représente qu'une très faible partie de l'ensemble des amputations. Les prothèses myoélectriques ou myoélectroniques sont actuellement les plus employées et sont décrites succinctement. La rééducation (qui s'étale sur deux mois dans les cas les plus simples) est totalement différente de celle de l'amputation de membre inférieur : dans le premier cas le patient est jeune et traumatique, et dans l'autre il est âgé et polypathologique. Elle est aussi appuyée sur un grand temps de rééducation sur la journée (8 à 10heures par jour). La prise en charge, basée sur les bilans, notamment myoélectriques et de qualité musculaire, se décline en trois parties : la rééducation préprothétique, où l'aspect psychologique, la rééducation orthopédique et le travail en vue de l'appareillage sont les trois objectifs essentiels ; la rééducation avec appareillage, en trois phases, fondée sur l'acquisition d'une forte base technique, en n'omettant pas le développement de la « sensibilité » et de la « vitesse » avec la prothèse ; la réadaptation, où le patient doit mettre en pratique ses acquis dans sa vie quotidienne et professionnelle, la conduite automobile et la pratique sportive. Les deux dernières parties sont appuyées sur la pédagogie par objectifs, qui permet de parfaire la rééducation et la réadaptation en assurant un suivi précis du patient et une tenue parfaite de son dossier. Cette prothèse de membre supérieur, vue comme un excellent « étau sophistiqué portable » et non comme une main, qu'elle ne sera jamais, et une équipe restreinte et soudée, avec le médecin, l'appareilleur et les rééducateurs, qui doit faire preuve de disponibilité, d'enthousiasme et d'exigence, permettent de passer un contrat moral très positif avec le patient. Note de contenu : Introduction
Prothèse myoélectrique
Bilans
Bilans généraux
Bilans myoélectriques
Conclusion des bilans
Rééducation préprothétique
Préparation psychologique
Rééducation orthopédique
Travail myoélectrique
Importance de la rééducation préprothétique
Rééducation avec appareillage
Buts
Phase analytique
Phase de transition
Phase fonctionnelle
Conclusion de cette étape de la rééducation
Réadaptation
Activités de détente
Complément de réadaptation
Base de la rééducation/réadaptation : la pédagogie par objectifs
Principe
Finalité et buts
Objectifs généraux
Conclusion de cette pédagogie
Cas particuliers
Amputation côté dominant
Amputation bilatérale
Amputation congénitale et chez le jeune enfant
Amputation ancienne
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43569 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Prise en charge et rééducation des lésions nerveuses périphériques / P. Liverneaux in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Décembre 2013)
[article]
Titre : Prise en charge et rééducation des lésions nerveuses périphériques Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Liverneaux, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 26-465-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Nerf Suture nerveuse Greffe nerveuse Hyposensibilité Paralysie Dextérité Résumé : La prise en charge et la rééducation des lésions nerveuses périphériques nécessitent une étroite collaboration entre chirurgien et rééducateur, tous deux spécialisés, l'un en microchirurgie et l'autre en rééducation sensitivomotrice. Sur le plan chirurgical, les lésions des nerfs périphériques doivent être réparées sous grossissement optique, soit par suture directe, soit par greffe ou guide de repousse nerveuse. Une immobilisation après réparation chirurgicale est recommandée pendant trois semaines. L'évaluation intéresse principalement la sensibilité et la motricité. Pour la sensibilité, on recherche le territoire hypo- ou dysesthésique, et on en qualifie le déficit avec notamment des tests de discrimination. Pour la motricité, on recherche les muscles atteints et on en quantifie le déficit par une cotation musculaire évolutive. Sur le plan de la rééducation, l'entretien de la trophicité musculaire et de la souplesse articulaire est le premier objectif. Secondairement, la rééducation se complexifie et s'intensifie en fonction des progrès sensitifs et moteurs jusqu'au moment de la réinsertion. L'idéal est le retour à l'état antérieur. Lorsqu'il n'est pas possible, tout est mis en œuvre pour recouvrer une activité professionnelle compatible avec les nouvelles aptitudes du patient. Le pronostic est habituellement bon, mais il existe souvent des séquelles fonctionnelles sensitives et/ou motrices dont il faut tenir compte pour mettre en œuvre une réinsertion socioprofessionnelle optimale. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique
Prise en charge d'une forme typique : lésions nerveuses périphériques du poignet et de la main
Diagnostic
Réparation
Évaluation après réparation
Rééducation
Éducation thérapeutique
Réinsertion socioprofessionnelle
Prise en charge des névromes post-traumatiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43599
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2013) . - 26-465-A-10[article] Prise en charge et rééducation des lésions nerveuses périphériques [texte imprimé] / P. Liverneaux, Auteur . - 2013 . - 26-465-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2013) . - 26-465-A-10
Mots-clés : Nerf Suture nerveuse Greffe nerveuse Hyposensibilité Paralysie Dextérité Résumé : La prise en charge et la rééducation des lésions nerveuses périphériques nécessitent une étroite collaboration entre chirurgien et rééducateur, tous deux spécialisés, l'un en microchirurgie et l'autre en rééducation sensitivomotrice. Sur le plan chirurgical, les lésions des nerfs périphériques doivent être réparées sous grossissement optique, soit par suture directe, soit par greffe ou guide de repousse nerveuse. Une immobilisation après réparation chirurgicale est recommandée pendant trois semaines. L'évaluation intéresse principalement la sensibilité et la motricité. Pour la sensibilité, on recherche le territoire hypo- ou dysesthésique, et on en qualifie le déficit avec notamment des tests de discrimination. Pour la motricité, on recherche les muscles atteints et on en quantifie le déficit par une cotation musculaire évolutive. Sur le plan de la rééducation, l'entretien de la trophicité musculaire et de la souplesse articulaire est le premier objectif. Secondairement, la rééducation se complexifie et s'intensifie en fonction des progrès sensitifs et moteurs jusqu'au moment de la réinsertion. L'idéal est le retour à l'état antérieur. Lorsqu'il n'est pas possible, tout est mis en œuvre pour recouvrer une activité professionnelle compatible avec les nouvelles aptitudes du patient. Le pronostic est habituellement bon, mais il existe souvent des séquelles fonctionnelles sensitives et/ou motrices dont il faut tenir compte pour mettre en œuvre une réinsertion socioprofessionnelle optimale. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique
Prise en charge d'une forme typique : lésions nerveuses périphériques du poignet et de la main
Diagnostic
Réparation
Évaluation après réparation
Rééducation
Éducation thérapeutique
Réinsertion socioprofessionnelle
Prise en charge des névromes post-traumatiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43599 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire