Centre de Documentation Campus Montignies
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Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Volume 9 numéro 3Paru le : 01/07/2014 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierImmunopathologie de la polyarthrite rhumatoïde / J. Morel in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014)
[article]
Titre : Immunopathologie de la polyarthrite rhumatoïde Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Morel Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-220-A-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : Auto-immune Citrullination Anticorps Antipeptide citrulliné Cytokine Système immunitaire Érosion osseuse Résumé : La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie auto-immune non spécifique d'organe dont la manifestation la plus fréquente et généralement inaugurale est un rhumatisme inflammatoire. Cette arthrite est responsable au cours de son évolution d'une destruction de l'articulation qui contribue à une impotence fonctionnelle parfois majeure. Les auto-anticorps identifiés dans la PR sont les facteurs rhumatoïdes et surtout les anticorps antipeptides citrullinés (ACPA). La forte spécificité des ACPA pour la PR suggère qu'un ou plusieurs peptides citrullinés soient le ou les antigènes à l'origine de la maladie. La citrullination des protéines correspond à une modification post-traductionnelle médiée par une enzyme : la peptidylarginine déiminase. Des facteurs environnementaux (par exemple : tabac, infections) favorisent la citrullination des peptides. Sur un terrain génétique prédisposé, la reconnaissance de ces peptides du soi entraîne une réponse immunitaire innée et acquise incontrôlée qui se traduit par une réaction inflammatoire exagérée affectant tout particulièrement la membrane synoviale. Cette synovite rhumatoïde se caractérise aussi par une prolifération des synoviocytes fibroblastiques et forme le « pannus ». Celui-ci participe à la destruction articulaire qui se caractérise par des érosions osseuses et une chondrolyse. Les érosions osseuses observées dans la PR sont secondaires à l'activation des ostéoclastes par la cytokine RANKL et à un défaut de formation osseuse par inhibition de la voie Wnt ; la chondrolyse est induite par les métalloprotéinases. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42929
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-220-A-15[article] Immunopathologie de la polyarthrite rhumatoïde [texte imprimé] / J. Morel . - 2014 . - 14-220-A-15.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-220-A-15
Mots-clés : Auto-immune Citrullination Anticorps Antipeptide citrulliné Cytokine Système immunitaire Érosion osseuse Résumé : La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie auto-immune non spécifique d'organe dont la manifestation la plus fréquente et généralement inaugurale est un rhumatisme inflammatoire. Cette arthrite est responsable au cours de son évolution d'une destruction de l'articulation qui contribue à une impotence fonctionnelle parfois majeure. Les auto-anticorps identifiés dans la PR sont les facteurs rhumatoïdes et surtout les anticorps antipeptides citrullinés (ACPA). La forte spécificité des ACPA pour la PR suggère qu'un ou plusieurs peptides citrullinés soient le ou les antigènes à l'origine de la maladie. La citrullination des protéines correspond à une modification post-traductionnelle médiée par une enzyme : la peptidylarginine déiminase. Des facteurs environnementaux (par exemple : tabac, infections) favorisent la citrullination des peptides. Sur un terrain génétique prédisposé, la reconnaissance de ces peptides du soi entraîne une réponse immunitaire innée et acquise incontrôlée qui se traduit par une réaction inflammatoire exagérée affectant tout particulièrement la membrane synoviale. Cette synovite rhumatoïde se caractérise aussi par une prolifération des synoviocytes fibroblastiques et forme le « pannus ». Celui-ci participe à la destruction articulaire qui se caractérise par des érosions osseuses et une chondrolyse. Les érosions osseuses observées dans la PR sont secondaires à l'activation des ostéoclastes par la cytokine RANKL et à un défaut de formation osseuse par inhibition de la voie Wnt ; la chondrolyse est induite par les métalloprotéinases. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42929 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Chirurgie de la polyarthrite rhumatoïde / C. Fontaine in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014)
[article]
Titre : Chirurgie de la polyarthrite rhumatoïde Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Fontaine Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-222-B-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Rhumatisme inflammatoires Arthroplastie prothétique Synovectomie Arthrodèse Résumé : Les nouveaux traitements de la polyarthrite rhumatoïde (PR) ont amené une réduction drastique des indications chirurgicales et ont modifié la présentation clinique des patients. Seuls ceux qui échappent au traitement médical, ou ceux chez lesquels le traitement doit être arrêté pour intolérance ou complication infectieuse, se présentent encore comme les polyarthritiques du siècle dernier et bénéficient des mêmes schémas thérapeutiques. Si le traitement médical est efficace, l'évolution est stoppée ou ralentie, le chirurgien est confronté à des atteintes où la part mécanique prédomine sur la part inflammatoire, qui évoluent comme des arthroses et qui bénéficient des mêmes gestes que celles-ci. Les synovectomies isolées sont de plus en plus rares et sont au mieux réalisées sous arthroscopie. Les arthroplasties prothétiques sont très utilisées aux articulations proximales (hanche et genou, épaule et coude, métacarpophalangiennes) ; elles entrent en compétition avec les arthrodèses aux articulations distales (cheville et poignet, interphalangiennes proximales) ; l'arthrodèse est encore largement utilisée au rachis, à l'arrière-pied, au gros orteil. Le polyarthritique est un patient plus fragile, plus exposé aux complications infectieuses et mécaniques. Les indications thérapeutiques doivent être posées en commun avec le rhumatologue et, si possible, un spécialiste de rééducation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42931
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-222-B-10[article] Chirurgie de la polyarthrite rhumatoïde [texte imprimé] / C. Fontaine . - 2014 . - 14-222-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-222-B-10
Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Rhumatisme inflammatoires Arthroplastie prothétique Synovectomie Arthrodèse Résumé : Les nouveaux traitements de la polyarthrite rhumatoïde (PR) ont amené une réduction drastique des indications chirurgicales et ont modifié la présentation clinique des patients. Seuls ceux qui échappent au traitement médical, ou ceux chez lesquels le traitement doit être arrêté pour intolérance ou complication infectieuse, se présentent encore comme les polyarthritiques du siècle dernier et bénéficient des mêmes schémas thérapeutiques. Si le traitement médical est efficace, l'évolution est stoppée ou ralentie, le chirurgien est confronté à des atteintes où la part mécanique prédomine sur la part inflammatoire, qui évoluent comme des arthroses et qui bénéficient des mêmes gestes que celles-ci. Les synovectomies isolées sont de plus en plus rares et sont au mieux réalisées sous arthroscopie. Les arthroplasties prothétiques sont très utilisées aux articulations proximales (hanche et genou, épaule et coude, métacarpophalangiennes) ; elles entrent en compétition avec les arthrodèses aux articulations distales (cheville et poignet, interphalangiennes proximales) ; l'arthrodèse est encore largement utilisée au rachis, à l'arrière-pied, au gros orteil. Le polyarthritique est un patient plus fragile, plus exposé aux complications infectieuses et mécaniques. Les indications thérapeutiques doivent être posées en commun avec le rhumatologue et, si possible, un spécialiste de rééducation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42931 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pseudopolyarthrite rhizomélique et maladie de Horton / Michel De Bandt in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014)
[article]
Titre : Pseudopolyarthrite rhizomélique et maladie de Horton Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel De Bandt Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-243-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Artérite à cellules géantes Artérite temporale segmentaire et focale Corticothérapie Épargne stéroïdienne Maladie de Horton PMR-DAS Polymyalgia rheumatica Pseudopolyarthrite rhizomélique Syndrome inflammatoire biologique Résumé : La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) est caractérisée par des manifestations douloureuses inflammatoires des ceintures. C'est une maladie assez fréquente chez les sujets âgés. Il n'y a pas de test diagnostique spécifique, et de nombreuses affections peuvent se présenter sous le masque d'une PPR, obligeant le clinicien à utiliser des critères diagnostiques. Le traitement fait appel à la corticothérapie à faible dose, ajustée en fonction de l'évolution clinique. Au sein de ce groupe de patients, il existe un petit groupe de patients qui souffrent d'une « PPR maladie » que les nouveaux critères de classification, récemment proposés, identifient. Par ailleurs, des outils mesurant l'activité de la maladie tel le PPR-DAS (pseudopolyarthrite rhizomélique-Disease Activity Score), et de nouvelles recommandations guident la prise en charge. L'artérite gigantocellulaire de Horton est une artérite inflammatoire touchant principalement les branches de la carotide externe, des sujets âgés, s'associant à un syndrome inflammatoire biologique et une altération de l'état général. Elle s'associe parfois à la PPR. Le diagnostic repose sur la biopsie d'artère temporale. La gravité de la maladie de Horton tient aux complications ischémiques potentielles. De nouveaux outils d'imagerie permettent une meilleure évaluation initiale et un meilleur suivi de l'affection. Le traitement repose sur la corticothérapie au long cours initialement à forte dose, souvent délétère, mais des alternatives thérapeutiques (anti-interleukine 6 [anti-IL-6]) pourraient apporter un peu d'espoir comme épargneur de stéroïdes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42932
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-243-A-10[article] Pseudopolyarthrite rhizomélique et maladie de Horton [texte imprimé] / Michel De Bandt . - 2014 . - 14-243-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-243-A-10
Mots-clés : Artérite à cellules géantes Artérite temporale segmentaire et focale Corticothérapie Épargne stéroïdienne Maladie de Horton PMR-DAS Polymyalgia rheumatica Pseudopolyarthrite rhizomélique Syndrome inflammatoire biologique Résumé : La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) est caractérisée par des manifestations douloureuses inflammatoires des ceintures. C'est une maladie assez fréquente chez les sujets âgés. Il n'y a pas de test diagnostique spécifique, et de nombreuses affections peuvent se présenter sous le masque d'une PPR, obligeant le clinicien à utiliser des critères diagnostiques. Le traitement fait appel à la corticothérapie à faible dose, ajustée en fonction de l'évolution clinique. Au sein de ce groupe de patients, il existe un petit groupe de patients qui souffrent d'une « PPR maladie » que les nouveaux critères de classification, récemment proposés, identifient. Par ailleurs, des outils mesurant l'activité de la maladie tel le PPR-DAS (pseudopolyarthrite rhizomélique-Disease Activity Score), et de nouvelles recommandations guident la prise en charge. L'artérite gigantocellulaire de Horton est une artérite inflammatoire touchant principalement les branches de la carotide externe, des sujets âgés, s'associant à un syndrome inflammatoire biologique et une altération de l'état général. Elle s'associe parfois à la PPR. Le diagnostic repose sur la biopsie d'artère temporale. La gravité de la maladie de Horton tient aux complications ischémiques potentielles. De nouveaux outils d'imagerie permettent une meilleure évaluation initiale et un meilleur suivi de l'affection. Le traitement repose sur la corticothérapie au long cours initialement à forte dose, souvent délétère, mais des alternatives thérapeutiques (anti-interleukine 6 [anti-IL-6]) pourraient apporter un peu d'espoir comme épargneur de stéroïdes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42932 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Diagnostic d'un genou douloureux non traumatique de l'adulte / B. Mazières in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014)
[article]
Titre : Diagnostic d'un genou douloureux non traumatique de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Mazières Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-325-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou douloureux Diagnostic Arthrose fémoropatellaire Arthrose fémorotibial Ménisque Entorse Rupture ligaments croisés Résumé : Le genou est une articulation volumineuse mais fragile de par sa situation et son anatomie. Elle est le siège de nombreuses pathologies, soit dans le cadre de rhumatismes polyarticulaires, soit du fait d'atteintes propres, volontiers post-traumatiques. Une approche raisonnée, pas à pas, fondée sur une sémiologie simple mais précise, d'abord clinique, puis aidée de l'imagerie, permet d'aboutir à un diagnostic étiologique. L'examen clinique précise au mieux les circonstances de survenue de la douleur, en explore les différentes facettes. L'examen proprement dit cherche un épanchement de synovie, explore tour à tour les différents compartiments du genou (compartiment antérieur, fémoropatellaire et les deux compartiments latéraux, fémorotibiaux interne et externe), teste l'état des ménisques, des ligaments croisés et collatéraux. Cette démarche clinique oriente les examens complémentaires parmi lesquels l'imagerie tient la première place : radiographie standard toujours de première intention, puis imagerie par résonance magnétique (IRM) si nécessaire pour une pathologie intra-articulaire, échographie pour une pathologie péri-articulaire. La biologie recherche confirmation d'un éventuel syndrome inflammatoire (rhumatismes inflammatoires tels que polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, rhumatisme psoriasique) et surtout analyse le liquide synovial qui peut, à lui seul, faire le diagnostic de certains rhumatismes touchant le genou (arthrite septique, goutte, chondrocalcinose). Les pathologies les plus fréquentes sont post-traumatiques (lésions des ligaments ou des ménisques) ou, après la cinquantaine, l'arthrose. Chez le sujet jeune, la chondromalacie rotulienne avec son syndrome rotulien occupe une part importante des causes de douleurs du genou. Les pathologies tendineuses sont fréquentes, notamment en milieu sportif, et facilement identifiables par leurs atteintes péri-articulaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42933
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-325-A-10[article] Diagnostic d'un genou douloureux non traumatique de l'adulte [texte imprimé] / B. Mazières . - 2014 . - 14-325-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 14-325-A-10
Mots-clés : Genou douloureux Diagnostic Arthrose fémoropatellaire Arthrose fémorotibial Ménisque Entorse Rupture ligaments croisés Résumé : Le genou est une articulation volumineuse mais fragile de par sa situation et son anatomie. Elle est le siège de nombreuses pathologies, soit dans le cadre de rhumatismes polyarticulaires, soit du fait d'atteintes propres, volontiers post-traumatiques. Une approche raisonnée, pas à pas, fondée sur une sémiologie simple mais précise, d'abord clinique, puis aidée de l'imagerie, permet d'aboutir à un diagnostic étiologique. L'examen clinique précise au mieux les circonstances de survenue de la douleur, en explore les différentes facettes. L'examen proprement dit cherche un épanchement de synovie, explore tour à tour les différents compartiments du genou (compartiment antérieur, fémoropatellaire et les deux compartiments latéraux, fémorotibiaux interne et externe), teste l'état des ménisques, des ligaments croisés et collatéraux. Cette démarche clinique oriente les examens complémentaires parmi lesquels l'imagerie tient la première place : radiographie standard toujours de première intention, puis imagerie par résonance magnétique (IRM) si nécessaire pour une pathologie intra-articulaire, échographie pour une pathologie péri-articulaire. La biologie recherche confirmation d'un éventuel syndrome inflammatoire (rhumatismes inflammatoires tels que polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, rhumatisme psoriasique) et surtout analyse le liquide synovial qui peut, à lui seul, faire le diagnostic de certains rhumatismes touchant le genou (arthrite septique, goutte, chondrocalcinose). Les pathologies les plus fréquentes sont post-traumatiques (lésions des ligaments ou des ménisques) ou, après la cinquantaine, l'arthrose. Chez le sujet jeune, la chondromalacie rotulienne avec son syndrome rotulien occupe une part importante des causes de douleurs du genou. Les pathologies tendineuses sont fréquentes, notamment en milieu sportif, et facilement identifiables par leurs atteintes péri-articulaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42933 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie des gaines synoviales et des rétinaculums / H. Bard in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014)
[article]
Titre : Pathologie des gaines synoviales et des rétinaculums Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Bard ; V. Vuillemin ; H. Guerini Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-146-C-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Gaines tendineuses Pathologie abarticulaire Ténosynovite Ténosynovite sténosante Rétinaculum Poulies des doigts Résumé : L'appareil locomoteur assure sa motricité grâce à l'unité tendinomusculaire. Le muscle étant le moteur, le tendon non seulement assure la transmission au squelette, mais a des fonctions importantes d'absorption des contraintes et de restitution de l'énergie grâce à son élastoviscosité. Le tendon a besoin de structures de glissement, dont les gaines synoviales pour certains tendons, des bourses séreuses et des rétinaculums. Les rétinaculums sont des poulies de réflexion et de maintien du tendon et de sa gaine, facilitant son glissement sur un autre tendon qui le croise ou sur une surface osseuse, lors d'un trajet intra-articulaire ou couvrant plusieurs articulations avec des changements de direction. Ces structures de glissement font l'objet de pathologies multiples liées à des traumatismes ou microtraumatismes, ou secondaires à une pathologie générale, pouvant retentir sur la fonction ou la structure du tendon, sources de douleurs ou d'impotence fonctionnelle plus ou moins importantes. Leur étude est donc indissociable de celle des tendinopathies et des bursites qui ont fait l'objet d'articles récemment publiés. Si la pathologie des bourses séreuses, qui a fait l'objet de deux articles précédents, et celle des gaines synoviales sont bien connues et sans avancées majeures sur le plan thérapeutique depuis une vingtaine d'années, celle des rétinaculums est mieux connue grâce aux progrès de l'échographie et de l'imagerie par résonance magnétique. Bien que les causes mécaniques soient les plus fréquentes, il ne faut pas perdre de vue la grande variété étiologique de ces affections presque toujours bénignes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42934
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 15-146-C-10 [Tome 6][article] Pathologie des gaines synoviales et des rétinaculums [texte imprimé] / H. Bard ; V. Vuillemin ; H. Guerini . - 2014 . - 15-146-C-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 15-146-C-10 [Tome 6]
Mots-clés : Gaines tendineuses Pathologie abarticulaire Ténosynovite Ténosynovite sténosante Rétinaculum Poulies des doigts Résumé : L'appareil locomoteur assure sa motricité grâce à l'unité tendinomusculaire. Le muscle étant le moteur, le tendon non seulement assure la transmission au squelette, mais a des fonctions importantes d'absorption des contraintes et de restitution de l'énergie grâce à son élastoviscosité. Le tendon a besoin de structures de glissement, dont les gaines synoviales pour certains tendons, des bourses séreuses et des rétinaculums. Les rétinaculums sont des poulies de réflexion et de maintien du tendon et de sa gaine, facilitant son glissement sur un autre tendon qui le croise ou sur une surface osseuse, lors d'un trajet intra-articulaire ou couvrant plusieurs articulations avec des changements de direction. Ces structures de glissement font l'objet de pathologies multiples liées à des traumatismes ou microtraumatismes, ou secondaires à une pathologie générale, pouvant retentir sur la fonction ou la structure du tendon, sources de douleurs ou d'impotence fonctionnelle plus ou moins importantes. Leur étude est donc indissociable de celle des tendinopathies et des bursites qui ont fait l'objet d'articles récemment publiés. Si la pathologie des bourses séreuses, qui a fait l'objet de deux articles précédents, et celle des gaines synoviales sont bien connues et sans avancées majeures sur le plan thérapeutique depuis une vingtaine d'années, celle des rétinaculums est mieux connue grâce aux progrès de l'échographie et de l'imagerie par résonance magnétique. Bien que les causes mécaniques soient les plus fréquentes, il ne faut pas perdre de vue la grande variété étiologique de ces affections presque toujours bénignes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42934 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Luxation congénitale de la hanche / P. Wicart in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014)
[article]
Titre : Luxation congénitale de la hanche Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Wicart ; C. Adamsbaum ; R. Seringe Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-226-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation congénitale de hanche Posture luxante Dysplasie acétabulaire Réduction orthopédique Réduction chirurgicale Ostéotomie fémorale Ostéotomie pelvienne Résumé : La fréquence de la luxation congénitale de la hanche est de 6 à 20 pour 1000 naissances vivantes. Il s'agit par conséquent d'un problème de pédiatrie quotidien. La théorie de la « posture luxante » intra-utérine explique l'apparition de cette pathologie pendant la grossesse. Des facteurs génétiques, en particulier une hyperlaxité articulaire, sont des éléments prédisposants. La luxation coxofémorale entraîne une dysplasie acétabulaire de topographie postérosupérieure. Le dépistage au cours des premiers mois de vie est basé sur l'examen clinique qui évalue l'abduction de hanche et recherche une instabilité. L'échographie, prescrite à l'âge de 1 à 2 mois, constitue une aide au dépistage. Une radiographie, prescrite à l'âge de 4 mois, réalise le dernier rempart du dépistage. Ces examens radiologiques sont prescrits s'il existe un facteur de risque, mais deux tiers des luxations surviennent en l'absence de facteur de risque. Une arthrographie ou une imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent être prescrites dans des cas particuliers. La réduction de la luxation peut être orthopédique, faisant appel à des méthodes ambulatoires et à des méthodes requérant une hospitalisation. Une réduction chirurgicale est indiquée en cas d'échec des méthodes orthopédiques. Des ostéotomies pelviennes et/ou fémorales permettent, quand cela est nécessaire, de corriger les anomalies d'orientation osseuse. Une surveillance régulière pendant toute la croissance est nécessaire. Note de contenu : Introduction
Embryologie et anatomie de la hanche
Vascularisation de l'extrémité proximale du fémur
Anatomie pathologique
Chez le fœtus et le nouveau-né
Classification anatomique
Chez l'enfant
Épidémiologie
Étiologie
Conception classique
Concept de posture luxante anténatale
Travaux expérimentaux
Facteurs anatomiques
Facteurs étiologiques
À quel moment se produit la luxation ?
Comment se constitue la luxation ?
Conséquences musculaires de la position fœtale des membres inférieurs
Facteurs expliquant les différentes formes anatomiques
Évolution spontanée des hanches instables
Problème des luxations de siège antérieur
Application du principe de la posture luxante à la posture de recentrage
Histoire naturelle après la naissance
Dépistage
Estimation de la posture fœtale des membres inférieurs
Étude de l'abduction
À l'issue de l'étude de l'abduction
Instabilité
Craquements
Résultats de l'examen clinique
Examens complémentaires
Traitement de la luxation congénitale de la hanche
Traitement orthopédique
Correction des anomalies d'orientation osseuse acétabulaire ou fémorale
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42935
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 15-226-A-10 [Tome 6][article] Luxation congénitale de la hanche [texte imprimé] / P. Wicart ; C. Adamsbaum ; R. Seringe . - 2014 . - 15-226-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 3 (Juillet 2014) . - 15-226-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Luxation congénitale de hanche Posture luxante Dysplasie acétabulaire Réduction orthopédique Réduction chirurgicale Ostéotomie fémorale Ostéotomie pelvienne Résumé : La fréquence de la luxation congénitale de la hanche est de 6 à 20 pour 1000 naissances vivantes. Il s'agit par conséquent d'un problème de pédiatrie quotidien. La théorie de la « posture luxante » intra-utérine explique l'apparition de cette pathologie pendant la grossesse. Des facteurs génétiques, en particulier une hyperlaxité articulaire, sont des éléments prédisposants. La luxation coxofémorale entraîne une dysplasie acétabulaire de topographie postérosupérieure. Le dépistage au cours des premiers mois de vie est basé sur l'examen clinique qui évalue l'abduction de hanche et recherche une instabilité. L'échographie, prescrite à l'âge de 1 à 2 mois, constitue une aide au dépistage. Une radiographie, prescrite à l'âge de 4 mois, réalise le dernier rempart du dépistage. Ces examens radiologiques sont prescrits s'il existe un facteur de risque, mais deux tiers des luxations surviennent en l'absence de facteur de risque. Une arthrographie ou une imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent être prescrites dans des cas particuliers. La réduction de la luxation peut être orthopédique, faisant appel à des méthodes ambulatoires et à des méthodes requérant une hospitalisation. Une réduction chirurgicale est indiquée en cas d'échec des méthodes orthopédiques. Des ostéotomies pelviennes et/ou fémorales permettent, quand cela est nécessaire, de corriger les anomalies d'orientation osseuse. Une surveillance régulière pendant toute la croissance est nécessaire. Note de contenu : Introduction
Embryologie et anatomie de la hanche
Vascularisation de l'extrémité proximale du fémur
Anatomie pathologique
Chez le fœtus et le nouveau-né
Classification anatomique
Chez l'enfant
Épidémiologie
Étiologie
Conception classique
Concept de posture luxante anténatale
Travaux expérimentaux
Facteurs anatomiques
Facteurs étiologiques
À quel moment se produit la luxation ?
Comment se constitue la luxation ?
Conséquences musculaires de la position fœtale des membres inférieurs
Facteurs expliquant les différentes formes anatomiques
Évolution spontanée des hanches instables
Problème des luxations de siège antérieur
Application du principe de la posture luxante à la posture de recentrage
Histoire naturelle après la naissance
Dépistage
Estimation de la posture fœtale des membres inférieurs
Étude de l'abduction
À l'issue de l'étude de l'abduction
Instabilité
Craquements
Résultats de l'examen clinique
Examens complémentaires
Traitement de la luxation congénitale de la hanche
Traitement orthopédique
Correction des anomalies d'orientation osseuse acétabulaire ou fémorale
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42935 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire