Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Volume 10 numéro 3Paru le : 01/07/2015 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierBlessures des membres et du rachis par projectiles balistiques / OLLAT D. in EMC : Appareil locomoteur, Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Blessures des membres et du rachis par projectiles balistiques Type de document : texte imprimé Auteurs : OLLAT D., Auteur ; VERSIER G, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.1-14 [14-032-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgie Guerre Plaie par projectile Plaie par arme à feu Membres Résumé : La prise en charge des lésions balistiques répond à des règles spécifiques et précises qui doivent être connues car elles diffèrent de la traumatologie habituelle. Autrefois l'apanage des médecins militaires, le terrorisme et le banditisme ont rendu ces lésions «universelles». Tout praticien peut donc y être confronté. La recherche et l'analyse des orifices balistiques doivent être rigoureuses pour comprendre le trajet lésionnel. Le parage est l'étape essentielle de la prise en charge chirurgicale. Il permet de lutter efficacement contre l'infection omniprésente. Le concept de damage control orthopaedic s'est imposé comme un traitement séquentiel. Le fixateur externe reste encore le moyen de stabilisation osseux principal. Cependant, l'ostéosynthèse interne secondaire précoce est parfois possible. La fermeture cutanée est toujours différée mais doit être néanmoins précoce. Les gestes de couverture notamment par lambeaux sont souvent nécessaires. La réparation vasculaire s'impose parfois en urgence. Il est donc nécessaire de posséder des compétences «élargies». Malgré tous les progrès réalisés, les séquelles sont encore souvent importantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41045
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-14 [14-032-A-10][article] Blessures des membres et du rachis par projectiles balistiques [texte imprimé] / OLLAT D., Auteur ; VERSIER G, Auteur . - 2015 . - p.1-14 [14-032-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-14 [14-032-A-10]
Mots-clés : Chirurgie Guerre Plaie par projectile Plaie par arme à feu Membres Résumé : La prise en charge des lésions balistiques répond à des règles spécifiques et précises qui doivent être connues car elles diffèrent de la traumatologie habituelle. Autrefois l'apanage des médecins militaires, le terrorisme et le banditisme ont rendu ces lésions «universelles». Tout praticien peut donc y être confronté. La recherche et l'analyse des orifices balistiques doivent être rigoureuses pour comprendre le trajet lésionnel. Le parage est l'étape essentielle de la prise en charge chirurgicale. Il permet de lutter efficacement contre l'infection omniprésente. Le concept de damage control orthopaedic s'est imposé comme un traitement séquentiel. Le fixateur externe reste encore le moyen de stabilisation osseux principal. Cependant, l'ostéosynthèse interne secondaire précoce est parfois possible. La fermeture cutanée est toujours différée mais doit être néanmoins précoce. Les gestes de couverture notamment par lambeaux sont souvent nécessaires. La réparation vasculaire s'impose parfois en urgence. Il est donc nécessaire de posséder des compétences «élargies». Malgré tous les progrès réalisés, les séquelles sont encore souvent importantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41045 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tuberculose osseuse et articulaire des membres / E. Pertuiset in EMC : Appareil locomoteur, Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Tuberculose osseuse et articulaire des membres Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Pertuiset, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.1-12 [14-185-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tuberculose Arthrite Ostéite Tuberculose ostéoarticulaire Résumé : Les localisations extravertébrales représentent la moitié des tuberculoses ostéoarticulaires. Cette pathologie reste fréquente dans les zones d'endémie tuberculeuse et n'est pas exceptionnelle dans les pays développés chez l'immigrant ou le sujet immunodéprimé. Il s'agit d'une tuberculose paucibacillaire, le plus souvent due à la réactivation de bacilles de Kock (BK) latents. On distingue les arthrites ou ostéoarthrites et les ostéomyélites. Toutes les localisations sont possibles. Les principales caractéristiques sont: tableau clinique subaigu ou chronique, caractère inconstant des signes généraux et du syndrome inflammatoire, radiologie souvent évocatrice, abcès froid, voire fistule. La tuberculose articulaire entraîne une atteinte progressivement destructrice. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est un examen performant pour le bilan local. Le diagnostic peut être porté devant la mise en évidence d'une tuberculose viscérale ou ganglionnaire associée. Dans la majorité des cas, il repose sur un prélèvement local avec preuve bactériologique et/ou anatomopathologique. La valeur diagnostique de la polymerase chain reaction (PCR) nécessite d'être mieux évaluée. Le pronostic dépend de la précocité du diagnostic, de la bonne observance thérapeutique et du terrain. La majorité des experts recommandent une durée d'antibiothérapie antituberculeuse de 9 à 12 mois. La chirurgie, devenue plus rare, peut être précoce ou tardive. La mise en place d'une prothèse de hanche ou de genou doit être encadrée par une antibiothérapie antituberculeuse mais peut être réalisée si nécessaire à un stade précoce. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41046
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-12 [14-185-A-10][article] Tuberculose osseuse et articulaire des membres [texte imprimé] / E. Pertuiset, Auteur . - 2015 . - p.1-12 [14-185-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-12 [14-185-A-10]
Mots-clés : Tuberculose Arthrite Ostéite Tuberculose ostéoarticulaire Résumé : Les localisations extravertébrales représentent la moitié des tuberculoses ostéoarticulaires. Cette pathologie reste fréquente dans les zones d'endémie tuberculeuse et n'est pas exceptionnelle dans les pays développés chez l'immigrant ou le sujet immunodéprimé. Il s'agit d'une tuberculose paucibacillaire, le plus souvent due à la réactivation de bacilles de Kock (BK) latents. On distingue les arthrites ou ostéoarthrites et les ostéomyélites. Toutes les localisations sont possibles. Les principales caractéristiques sont: tableau clinique subaigu ou chronique, caractère inconstant des signes généraux et du syndrome inflammatoire, radiologie souvent évocatrice, abcès froid, voire fistule. La tuberculose articulaire entraîne une atteinte progressivement destructrice. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est un examen performant pour le bilan local. Le diagnostic peut être porté devant la mise en évidence d'une tuberculose viscérale ou ganglionnaire associée. Dans la majorité des cas, il repose sur un prélèvement local avec preuve bactériologique et/ou anatomopathologique. La valeur diagnostique de la polymerase chain reaction (PCR) nécessite d'être mieux évaluée. Le pronostic dépend de la précocité du diagnostic, de la bonne observance thérapeutique et du terrain. La majorité des experts recommandent une durée d'antibiothérapie antituberculeuse de 9 à 12 mois. La chirurgie, devenue plus rare, peut être précoce ou tardive. La mise en place d'une prothèse de hanche ou de genou doit être encadrée par une antibiothérapie antituberculeuse mais peut être réalisée si nécessaire à un stade précoce. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41046 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Polyarthrite rhumatoïde de l'adulte : épidémiologie, clinique et diagnostic / B. Combe in EMC : Appareil locomoteur, Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Polyarthrite rhumatoïde de l'adulte : épidémiologie, clinique et diagnostic Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Combe, Auteur ; C. Lukas, Auteur ; J. Morel, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.1-16 [14-220-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Diagnostic de la polyarthrite rhumatoïde Pronostic de la polyarthrite rhumatoïde Érosion osseuse Progression structurale Résumé : La polyarthrite rhumatoïde (PR) est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires chroniques. Comme beaucoup de maladies auto-immunes, c'est une affection polyfactorielle relevant de facteurs environnementaux, génétiques, immunologiques, psychologiques et endocriniens. Le diagnostic de la PR est parfois difficile et repose sur la confrontation de manifestations cliniques et de tests biologiques (autoanticorps, biologie inflammatoire). Des critères de classification ont été révisés récemment par le Collège américain de rhumatologie et la Ligue européenne contre les rhumatismes. La PR est la maladie chronique qui a bénéficié des plus importants progrès au cours de ces dernières années, que cela soit dans les domaines de la physiopathologie, du diagnostic ou des traitements. Ceci a permis d'en améliorer considérablement la prise charge et le pronostic à tel point que la PR est maintenant considérée comme une pathologie moins sévère: rémissions cliniques plus fréquentes, diminution du handicap, moindre destruction articulaire, moindre recours à la chirurgie orthopédique palliative et amélioration de la qualité de vie. L'objectif de prise en charge unanimement admis est maintenant d'atteindre la rémission clinique, ou à défaut un faible niveau d'activité afin de prévenir les complications à moyen et long terme que sont la destruction articulaire, le handicap fonctionnel et les complications systémiques notamment cardiovasculaires, pulmonaires, métaboliques ou osseuses. Les principes qui accompagnent cet objectif tels que diagnostiquer tôt pour traiter tôt et traiter avec un contrôle étroit pour adapter au plus tôt la stratégie doivent maintenant être appliqués en pratique courante. Les manifestations sévères qui étaient fréquentes dans les années 1990 existent toujours mais sont devenues plus rares. Le dépistage et la prise charge des comorbidités associées à la PR sont maintenant reconnus comme un problème majeur comme dans toute maladie chronique (diabète, cardiopathies, insuffisance respiratoire, etc.). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41047
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-16 [14-220-A-10][article] Polyarthrite rhumatoïde de l'adulte : épidémiologie, clinique et diagnostic [texte imprimé] / B. Combe, Auteur ; C. Lukas, Auteur ; J. Morel, Auteur . - 2015 . - p.1-16 [14-220-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-16 [14-220-A-10]
Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Diagnostic de la polyarthrite rhumatoïde Pronostic de la polyarthrite rhumatoïde Érosion osseuse Progression structurale Résumé : La polyarthrite rhumatoïde (PR) est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires chroniques. Comme beaucoup de maladies auto-immunes, c'est une affection polyfactorielle relevant de facteurs environnementaux, génétiques, immunologiques, psychologiques et endocriniens. Le diagnostic de la PR est parfois difficile et repose sur la confrontation de manifestations cliniques et de tests biologiques (autoanticorps, biologie inflammatoire). Des critères de classification ont été révisés récemment par le Collège américain de rhumatologie et la Ligue européenne contre les rhumatismes. La PR est la maladie chronique qui a bénéficié des plus importants progrès au cours de ces dernières années, que cela soit dans les domaines de la physiopathologie, du diagnostic ou des traitements. Ceci a permis d'en améliorer considérablement la prise charge et le pronostic à tel point que la PR est maintenant considérée comme une pathologie moins sévère: rémissions cliniques plus fréquentes, diminution du handicap, moindre destruction articulaire, moindre recours à la chirurgie orthopédique palliative et amélioration de la qualité de vie. L'objectif de prise en charge unanimement admis est maintenant d'atteindre la rémission clinique, ou à défaut un faible niveau d'activité afin de prévenir les complications à moyen et long terme que sont la destruction articulaire, le handicap fonctionnel et les complications systémiques notamment cardiovasculaires, pulmonaires, métaboliques ou osseuses. Les principes qui accompagnent cet objectif tels que diagnostiquer tôt pour traiter tôt et traiter avec un contrôle étroit pour adapter au plus tôt la stratégie doivent maintenant être appliqués en pratique courante. Les manifestations sévères qui étaient fréquentes dans les années 1990 existent toujours mais sont devenues plus rares. Le dépistage et la prise charge des comorbidités associées à la PR sont maintenant reconnus comme un problème majeur comme dans toute maladie chronique (diabète, cardiopathies, insuffisance respiratoire, etc.). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41047 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Arthrites juvéniles idiopathiques / C. Job-Deslandre in EMC : Appareil locomoteur, Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Arthrites juvéniles idiopathiques Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Job-Deslandre, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.1-14 [14-225-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique Oligoarthrite juvénile Arthrite et enthésite Arthrite juvénile systémique Polyarthrite juvénile Résumé : L'arthrite juvénile idiopathique (AJI) regroupe l'ensemble des maladies articulaires inflammatoires débutant avant l'âge de 16 ans, de durée supérieure à six semaines et sans cause identifiée. Il s'agit d'un groupe de six affections distinctes sur le plan clinique, pathogénique et évolutif (classification ILAR [International League of Associations for Rheumatology] 2001). La plus fréquente est l'oligoarthrite, à début précoce (2-4 ans) et à prédominance féminine, dont 30 % des formes comportent une uvéite, dont la latence impose la recherche systématique par examen à la lampe à fente. Les arthrites avec enthésites, ou spondyloarthrites juvéniles, sont à prédominance masculine et débutent vers l'âge de 10 ans; contrairement aux formes de l'adulte elles sont essentiellement périphériques, touchent les membres inférieurs et notamment la hanche. Les polyarthrites sont chez l'enfant séparées en deux groupes avec et sans facteur rhumatoïde; les formes avec facteur rhumatoïde sont superposables à la polyarthrite rhumatoïde de l'adulte avec quelques spécificités liées à l'âge de début (10-12 ans) sur un organisme encore en croissance. L'arthrite juvénile systémique est particulière par sa pathogénie proche de celle des maladies auto-inflammatoires; le sex-ratio est de 1; le début est précoce, les manifestations systémiques (fièvre et éruption) sont au premier plan, mais la présence d'arthrite est indispensable au diagnostic. Les traitements biologiques (anti-TNF-α [tumor necrosis factor alpha], abatacept et tocilizumab) ont modifié la stratégie thérapeutique des AJI et devraient permettre à moyen et à long terme une amélioration du pronostic et du handicap fonctionnel; celui-ci dépend non seulement des éventuelles destructions ostéocartilagineuses, mais aussi des troubles de croissance localisés et du possible retard de croissance staturale. À l'âge adulte, environ 50 % des AJI restent évolutives, mais le pronostic dépend de la forme initiale, qui est inchangée tout au long de l'évolution (pas de passage d'une forme à l'autre); il est meilleur pour les oligoarthrites et plus péjoratif pour les polyarthrites avec facteur rhumatoïde. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41048
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-14 [14-225-A-10][article] Arthrites juvéniles idiopathiques [texte imprimé] / C. Job-Deslandre, Auteur . - 2015 . - p.1-14 [14-225-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-14 [14-225-A-10]
Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique Oligoarthrite juvénile Arthrite et enthésite Arthrite juvénile systémique Polyarthrite juvénile Résumé : L'arthrite juvénile idiopathique (AJI) regroupe l'ensemble des maladies articulaires inflammatoires débutant avant l'âge de 16 ans, de durée supérieure à six semaines et sans cause identifiée. Il s'agit d'un groupe de six affections distinctes sur le plan clinique, pathogénique et évolutif (classification ILAR [International League of Associations for Rheumatology] 2001). La plus fréquente est l'oligoarthrite, à début précoce (2-4 ans) et à prédominance féminine, dont 30 % des formes comportent une uvéite, dont la latence impose la recherche systématique par examen à la lampe à fente. Les arthrites avec enthésites, ou spondyloarthrites juvéniles, sont à prédominance masculine et débutent vers l'âge de 10 ans; contrairement aux formes de l'adulte elles sont essentiellement périphériques, touchent les membres inférieurs et notamment la hanche. Les polyarthrites sont chez l'enfant séparées en deux groupes avec et sans facteur rhumatoïde; les formes avec facteur rhumatoïde sont superposables à la polyarthrite rhumatoïde de l'adulte avec quelques spécificités liées à l'âge de début (10-12 ans) sur un organisme encore en croissance. L'arthrite juvénile systémique est particulière par sa pathogénie proche de celle des maladies auto-inflammatoires; le sex-ratio est de 1; le début est précoce, les manifestations systémiques (fièvre et éruption) sont au premier plan, mais la présence d'arthrite est indispensable au diagnostic. Les traitements biologiques (anti-TNF-α [tumor necrosis factor alpha], abatacept et tocilizumab) ont modifié la stratégie thérapeutique des AJI et devraient permettre à moyen et à long terme une amélioration du pronostic et du handicap fonctionnel; celui-ci dépend non seulement des éventuelles destructions ostéocartilagineuses, mais aussi des troubles de croissance localisés et du possible retard de croissance staturale. À l'âge adulte, environ 50 % des AJI restent évolutives, mais le pronostic dépend de la forme initiale, qui est inchangée tout au long de l'évolution (pas de passage d'une forme à l'autre); il est meilleur pour les oligoarthrites et plus péjoratif pour les polyarthrites avec facteur rhumatoïde. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41048 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Anomalies rotationnelles des membres inférieurs chez l'enfant / F. Accadbled in EMC : Appareil locomoteur, Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Anomalies rotationnelles des membres inférieurs chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Accadbled, Auteur ; A. Ibnoulkhatib, Auteur ; CAHUZAC J.-P., Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 15-320 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Morphotype torsionnel Croissance Évolution naturelle Ostéotomie de dérotation Résumé : Les anomalies rotationnelles des membres inférieurs de l'enfant sont liées à l'excès ou à l'insuffisance des torsions physiologiques du squelette fémoral et/ou du squelette jambier. Elles se traduisent par six tableaux cliniques facilement analysables par les positions des genoux et des pieds lors du début de la phase d'appui pendant le cycle de marche. Ainsi, la marche «pieds en dedans» relève d'une antétorsion fémorale exagérée et/ou d'une torsion tibiale externe insuffisante, alors que la marche les «pieds en dehors» relève d'un défaut d'antétorsion fémorale, et/ou d'une torsion tibiale externe exagérée. Ces anomalies sont le plus souvent bilatérales. Il est nécessaire d'analyser ces troubles torsionnels par un examen clinique standardisé et de comparer les résultats avec les données physiologiques en fonction de l'âge et du sexe. La surveillance de ces enfants montre que le « morphotype torsionnel » évolue pendant toute la croissance. Si la majorité de ces troubles de la marche sont idiopathiques, l'examen doit cependant chercher à éliminer une anomalie sous-jacente, notamment neurologique (paralysie cérébrale a minima). La plupart de ces anomalies sont considérées comme bénignes, soit parce qu'elles se résolvent avec la croissance, soit parce que les patients s'en accommodent avec le temps. Cependant, une faible proportion de ces morphotypes marginaux, issus d'une association d'anomalies dans les trois plans de l'espace, peut favoriser une pathologie articulaire. L'indication chirurgicale est exceptionnelle et ne concerne qu'un patient pour 1000. Les indications reposent sur une description précise des symptômes et des troubles torsionnels associés. Ce traitement repose sur les ostéotomies de dérotation fémorale et/ou tibiale. Note de contenu : Introduction
Torsions physiologiques des membres inférieurs
Torsion fémorale
Méthodes de mesure
Méthodes radiographiques
Autres méthodes
Validité des mesures
Évolution de la torsion fémorale
Torsion du squelette jambier
Méthodes de mesure
Méthodes radiographiques
Autres méthodes
Validité des mesures
Évolution de la torsion du squelette jambier
Siège de la torsion tibiale
Rotations articulaires du membre inférieur
Facteurs déterminant l'évolution des torsions
Morphotype frontal
Conséquences des torsions physiologiques : l'angle du pas et la marche
Conclusions sur les torsions physiologiques
Anomalies rotationnelles des membres inférieurs
Origine
Examen
Classification des anomalies rotationnelles
Diagnostic différentiel
Conséquences
Conséquences cliniques sur le pied
Conclusions sur les anomalies rotationnelles
Traitement
But
Méthodes de traitement
Indications et résultats
Conclusions sur le traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41049
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - 15-320 [Tome 6][article] Anomalies rotationnelles des membres inférieurs chez l'enfant [texte imprimé] / F. Accadbled, Auteur ; A. Ibnoulkhatib, Auteur ; CAHUZAC J.-P., Auteur . - 2015 . - 15-320 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - 15-320 [Tome 6]
Mots-clés : Morphotype torsionnel Croissance Évolution naturelle Ostéotomie de dérotation Résumé : Les anomalies rotationnelles des membres inférieurs de l'enfant sont liées à l'excès ou à l'insuffisance des torsions physiologiques du squelette fémoral et/ou du squelette jambier. Elles se traduisent par six tableaux cliniques facilement analysables par les positions des genoux et des pieds lors du début de la phase d'appui pendant le cycle de marche. Ainsi, la marche «pieds en dedans» relève d'une antétorsion fémorale exagérée et/ou d'une torsion tibiale externe insuffisante, alors que la marche les «pieds en dehors» relève d'un défaut d'antétorsion fémorale, et/ou d'une torsion tibiale externe exagérée. Ces anomalies sont le plus souvent bilatérales. Il est nécessaire d'analyser ces troubles torsionnels par un examen clinique standardisé et de comparer les résultats avec les données physiologiques en fonction de l'âge et du sexe. La surveillance de ces enfants montre que le « morphotype torsionnel » évolue pendant toute la croissance. Si la majorité de ces troubles de la marche sont idiopathiques, l'examen doit cependant chercher à éliminer une anomalie sous-jacente, notamment neurologique (paralysie cérébrale a minima). La plupart de ces anomalies sont considérées comme bénignes, soit parce qu'elles se résolvent avec la croissance, soit parce que les patients s'en accommodent avec le temps. Cependant, une faible proportion de ces morphotypes marginaux, issus d'une association d'anomalies dans les trois plans de l'espace, peut favoriser une pathologie articulaire. L'indication chirurgicale est exceptionnelle et ne concerne qu'un patient pour 1000. Les indications reposent sur une description précise des symptômes et des troubles torsionnels associés. Ce traitement repose sur les ostéotomies de dérotation fémorale et/ou tibiale. Note de contenu : Introduction
Torsions physiologiques des membres inférieurs
Torsion fémorale
Méthodes de mesure
Méthodes radiographiques
Autres méthodes
Validité des mesures
Évolution de la torsion fémorale
Torsion du squelette jambier
Méthodes de mesure
Méthodes radiographiques
Autres méthodes
Validité des mesures
Évolution de la torsion du squelette jambier
Siège de la torsion tibiale
Rotations articulaires du membre inférieur
Facteurs déterminant l'évolution des torsions
Morphotype frontal
Conséquences des torsions physiologiques : l'angle du pas et la marche
Conclusions sur les torsions physiologiques
Anomalies rotationnelles des membres inférieurs
Origine
Examen
Classification des anomalies rotationnelles
Diagnostic différentiel
Conséquences
Conséquences cliniques sur le pied
Conclusions sur les anomalies rotationnelles
Traitement
But
Méthodes de traitement
Indications et résultats
Conclusions sur le traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41049 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Malformations de la paroi thoracique / A. Wurtz in EMC : Appareil locomoteur, Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Malformations de la paroi thoracique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Wurtz, Auteur ; I. Hysi, Auteur ; R. Neviere, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 15-748-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Malformation de la paroi thoracique Pectus excavatum Pectus carinatum Pectus arcuatum Fente sternale Syndrome de Poland Syndrome de Jeune Dystrophie thoracique asphyxiante Anomalies des cartilages costaux Aplasie des côtes Résumé : Les malformations de la paroi thoracique les plus fréquentes intéressent la paroi antérieure. Elles ont pour cause un développement excessif et/ou une distorsion des cartilages costaux, qui refoulent et déforment le corps sternal: en arrière, pectus excavatum (ou thorax en entonnoir); en avant, pectus carinatum (ou thorax en carène) et pectus arcuatum. Il existe également des malformations isolées du sternum: ce sont les fentes sternales consécutives à un défaut de fusion, sur la ligne médiane, des ébauches sternales, au cours de la vie embryonnaire. D'autres malformations sont plus rares, ou exceptionnelles : le syndrome de Poland caractérisé, dans les formes complètes, par une hypoplasie unilatérale de la paroi thoracique, et une brachysyndactylie ipsilatérale; le syndrome de Jeune qui est une dystrophie thoracique asphyxiante liée à un défaut de développement de la cage thoracique d'origine congénitale; la dystrophie thoracique acquise, séquelle d'intervention pour pectus excavatum dans la petite enfance. Enfin, sont décrites des malformations diverses, des cartilages à type d'hyperplasie localisée; et des côtes, à type d'aplasie, de synostose ou de bifidité. Note de contenu : Introduction
Déformations du plastron chondrosternal
Plastron chondrosternal : rappel anatomique
Histoire naturelle des déformations du plastron chondrosternal
Classifications
Formes anatomocliniques
Conséquences fonctionnelles cardiorespiratoires
Évaluation clinique, morphologique et fonctionnelle
Traitement chirurgical
Fente sternale
Définition
Formes anatomocliniques
Traitement chirurgical
Syndrome de Poland
Clinique
Traitement chirurgical
Syndrome de Jeune
Clinique
Traitement chirurgical
Dystrophie thoracique restrictive acquise
Clinique
Traitement
Malformations diverses
Hypertrophie localisée des cartilages costaux
Incurvations postérieures des cartilages costaux
Malformations des côtesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41050
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - 15-748-A-10 [Tome 7][article] Malformations de la paroi thoracique [texte imprimé] / A. Wurtz, Auteur ; I. Hysi, Auteur ; R. Neviere, Auteur . - 2015 . - 15-748-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - 15-748-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Malformation de la paroi thoracique Pectus excavatum Pectus carinatum Pectus arcuatum Fente sternale Syndrome de Poland Syndrome de Jeune Dystrophie thoracique asphyxiante Anomalies des cartilages costaux Aplasie des côtes Résumé : Les malformations de la paroi thoracique les plus fréquentes intéressent la paroi antérieure. Elles ont pour cause un développement excessif et/ou une distorsion des cartilages costaux, qui refoulent et déforment le corps sternal: en arrière, pectus excavatum (ou thorax en entonnoir); en avant, pectus carinatum (ou thorax en carène) et pectus arcuatum. Il existe également des malformations isolées du sternum: ce sont les fentes sternales consécutives à un défaut de fusion, sur la ligne médiane, des ébauches sternales, au cours de la vie embryonnaire. D'autres malformations sont plus rares, ou exceptionnelles : le syndrome de Poland caractérisé, dans les formes complètes, par une hypoplasie unilatérale de la paroi thoracique, et une brachysyndactylie ipsilatérale; le syndrome de Jeune qui est une dystrophie thoracique asphyxiante liée à un défaut de développement de la cage thoracique d'origine congénitale; la dystrophie thoracique acquise, séquelle d'intervention pour pectus excavatum dans la petite enfance. Enfin, sont décrites des malformations diverses, des cartilages à type d'hyperplasie localisée; et des côtes, à type d'aplasie, de synostose ou de bifidité. Note de contenu : Introduction
Déformations du plastron chondrosternal
Plastron chondrosternal : rappel anatomique
Histoire naturelle des déformations du plastron chondrosternal
Classifications
Formes anatomocliniques
Conséquences fonctionnelles cardiorespiratoires
Évaluation clinique, morphologique et fonctionnelle
Traitement chirurgical
Fente sternale
Définition
Formes anatomocliniques
Traitement chirurgical
Syndrome de Poland
Clinique
Traitement chirurgical
Syndrome de Jeune
Clinique
Traitement chirurgical
Dystrophie thoracique restrictive acquise
Clinique
Traitement
Malformations diverses
Hypertrophie localisée des cartilages costaux
Incurvations postérieures des cartilages costaux
Malformations des côtesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41050 Exemplaires
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