Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Volume 9 numéro 4Paru le : 01/10/2014 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierLupus érythémateux systémique / E. Lazaro in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Lupus érythémateux systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Lazaro, Auteur ; C. Richez, Auteur ; J. Seneschal, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1-16 [14-244-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthrite Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Corticostéroïdes Immunosuppresseurs Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue deux types de tableau clinique : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise initialement par une hypergammaglobulinémie polyclonale, ainsi que par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence d'anticorps antinucléaires à taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles bien que plus inconstants : anti-Sm, antiribosomes. Les anticorps antiphospholipides sont associés une fois sur trois à des complications thrombotiques artérielles ou veineuses ou à des accidents obstétricaux. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté, avec une mortalité ramenée à 1 % par année d'ancienneté de la maladie. Le traitement repose sur les corticoïdes dont le dosage est adapté à la gravité des manifestations cliniques, les immunomodulateurs conventionnels (antimalariques de synthèse, méthotrexate, etc.), les immunosuppresseurs (cyclophosphamide, azathioprine, mycophénolate) pour les manifestations viscérales et les traitements des comorbidités (vaccinations, aspirine, antihypertenseurs, hypolipémiants, anticoagulants). Une biothérapie visant le lymphocyte B (le bélimumab) a récemment démontré son efficacité par rapport au placebo. D'autres sont en cours de développement. L'évolution des stratégies et l'optimisation des traitements sont au cœur des nouvelles problématiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41028
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p. 1-16 [14-244-A-10][article] Lupus érythémateux systémique [texte imprimé] / E. Lazaro, Auteur ; C. Richez, Auteur ; J. Seneschal, Auteur . - 2014 . - p. 1-16 [14-244-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p. 1-16 [14-244-A-10]
Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthrite Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Corticostéroïdes Immunosuppresseurs Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue deux types de tableau clinique : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise initialement par une hypergammaglobulinémie polyclonale, ainsi que par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence d'anticorps antinucléaires à taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles bien que plus inconstants : anti-Sm, antiribosomes. Les anticorps antiphospholipides sont associés une fois sur trois à des complications thrombotiques artérielles ou veineuses ou à des accidents obstétricaux. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté, avec une mortalité ramenée à 1 % par année d'ancienneté de la maladie. Le traitement repose sur les corticoïdes dont le dosage est adapté à la gravité des manifestations cliniques, les immunomodulateurs conventionnels (antimalariques de synthèse, méthotrexate, etc.), les immunosuppresseurs (cyclophosphamide, azathioprine, mycophénolate) pour les manifestations viscérales et les traitements des comorbidités (vaccinations, aspirine, antihypertenseurs, hypolipémiants, anticoagulants). Une biothérapie visant le lymphocyte B (le bélimumab) a récemment démontré son efficacité par rapport au placebo. D'autres sont en cours de développement. L'évolution des stratégies et l'optimisation des traitements sont au cœur des nouvelles problématiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41028 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Polymyosites, dermatomyosites et autres myopathies inflammatoires idiopathiques / Y. Allenbach in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Polymyosites, dermatomyosites et autres myopathies inflammatoires idiopathiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Allenbach, Auteur ; O. Benveniste, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.1-10 [14-245-B-50] Langues : Français (fre) Mots-clés : Myosite Myosite de chevauchement Polymyosite Dermatomyosite Myosite à inclusions Myopathie nécrosante auto-immune Résumé : Les myopathies acquises inflammatoires idiopathiques (MAI) sont des myopathies mettant en jeu des mécanismes dysimmunitaires. On distingue : la polymyosite (PM), la dermatomyosite (DM), la myopathie nécrosante auto-immune (MNAI) et la myosite à inclusions (MI). Les MAI sont responsables d'un déficit musculaire proximal bilatéral et symétrique, à l'exception de la MI où le déficit est asymétrique et aussi distal. Elles peuvent s'accompagner de manifestations extramusculaires pouvant menacer le pronostic vital. La découverte des autoanticorps (Ac) spécifiques des MAI a profondément modifié la prise en charge des MAI. Ils sont déterminants pour le diagnostic de MAI et pour isoler des sous-groupes homogènes de patients avec un phénotype et un pronostic communs. La PM est le plus souvent associée à l'Ac anti-Jo-1 sous la forme du syndrome des antisynthétases associant, outre la myosite, des arthralgies, un phénomène de Raynaud, des mains de mécanicien et une pneumopathie interstitielle. La DM est définie par des signes cutanés spécifiques et caractérisée par une formule histologique associant atrophie périfasciculaire, vasculopathie et infiltrat inflammatoire périvasculaire. Cette forme classique est associée à l'Ac spécifique anti-Mi2. L'anticorps anti-melanoma differenciation-associated gene 5 (MDA5) est associé fréquemment à des ulcères cutanés et à une pneumopathie interstitielle. L'anticorps anti-transcriptional intermediary factor 1-γ (TIF1γ) est fortement associé à la présence d'un cancer. Les MNAI ont peu ou pas de manifestations extramusculaires. Histologiquement, on observe peu ou pas d'inflammation alors que la nécrose prédomine. Elles sont associées aux Ac anti-signal recognition particle (SRP) ou antihydroxyméthylglutaryl-CoA (HMGCR). Les MI touchent essentiellement les sujets de plus de 50 ans et présentent histologiquement, en plus de l'inflammation, des signes de dégénérescence musculaire. Les MI ne répondent pas à la corticothérapie ni aux immunosuppresseurs classiques. Pour les autres MAI, il est recommandé une corticothérapie en association avec un immunosuppresseur. En cas de signes de gravité, l'utilisation d'immunoglobulines (gravité musculaire) et/ou de cyclophosphamide (gravité respiratoire) doit être proposée. Dans les cas réfractaires, les immunoglobulines intraveineuses et les biothérapies comme le rituximab peuvent être discutées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41029
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p.1-10 [14-245-B-50][article] Polymyosites, dermatomyosites et autres myopathies inflammatoires idiopathiques [texte imprimé] / Y. Allenbach, Auteur ; O. Benveniste, Auteur . - 2014 . - p.1-10 [14-245-B-50].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p.1-10 [14-245-B-50]
Mots-clés : Myosite Myosite de chevauchement Polymyosite Dermatomyosite Myosite à inclusions Myopathie nécrosante auto-immune Résumé : Les myopathies acquises inflammatoires idiopathiques (MAI) sont des myopathies mettant en jeu des mécanismes dysimmunitaires. On distingue : la polymyosite (PM), la dermatomyosite (DM), la myopathie nécrosante auto-immune (MNAI) et la myosite à inclusions (MI). Les MAI sont responsables d'un déficit musculaire proximal bilatéral et symétrique, à l'exception de la MI où le déficit est asymétrique et aussi distal. Elles peuvent s'accompagner de manifestations extramusculaires pouvant menacer le pronostic vital. La découverte des autoanticorps (Ac) spécifiques des MAI a profondément modifié la prise en charge des MAI. Ils sont déterminants pour le diagnostic de MAI et pour isoler des sous-groupes homogènes de patients avec un phénotype et un pronostic communs. La PM est le plus souvent associée à l'Ac anti-Jo-1 sous la forme du syndrome des antisynthétases associant, outre la myosite, des arthralgies, un phénomène de Raynaud, des mains de mécanicien et une pneumopathie interstitielle. La DM est définie par des signes cutanés spécifiques et caractérisée par une formule histologique associant atrophie périfasciculaire, vasculopathie et infiltrat inflammatoire périvasculaire. Cette forme classique est associée à l'Ac spécifique anti-Mi2. L'anticorps anti-melanoma differenciation-associated gene 5 (MDA5) est associé fréquemment à des ulcères cutanés et à une pneumopathie interstitielle. L'anticorps anti-transcriptional intermediary factor 1-γ (TIF1γ) est fortement associé à la présence d'un cancer. Les MNAI ont peu ou pas de manifestations extramusculaires. Histologiquement, on observe peu ou pas d'inflammation alors que la nécrose prédomine. Elles sont associées aux Ac anti-signal recognition particle (SRP) ou antihydroxyméthylglutaryl-CoA (HMGCR). Les MI touchent essentiellement les sujets de plus de 50 ans et présentent histologiquement, en plus de l'inflammation, des signes de dégénérescence musculaire. Les MI ne répondent pas à la corticothérapie ni aux immunosuppresseurs classiques. Pour les autres MAI, il est recommandé une corticothérapie en association avec un immunosuppresseur. En cas de signes de gravité, l'utilisation d'immunoglobulines (gravité musculaire) et/ou de cyclophosphamide (gravité respiratoire) doit être proposée. Dans les cas réfractaires, les immunoglobulines intraveineuses et les biothérapies comme le rituximab peuvent être discutées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41029 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Coccygodynies communes / Jean-Yves Maigne in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Coccygodynies communes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Maigne, Auteur ; L. Doursounian, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.1-8 [14-305-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Coccyx Coccygodynie Radiographies fonctionnelles Luxation Hypermobilité Instabilité Manipulation Coccygectomie Résumé : La coccygodynie est une douleur localisée au coccyx et déclenchée ou majorée par la station assise ou le relever d'un siège. La pratique de radiographies dynamiques (debout puis assis dans la position douloureuse) a permis son démembrement en quatre entités : luxations, coccyx hypermobiles, épines coccygiennes, coccyx sans anomalie radiologique. Plus que la présence ou non d'un traumatisme, c'est l'indice de masse corporelle (IMC) qui est l'élément déterminant le type de lésion en raison de ses conséquences sur la mobilité du bassin lors du passage de debout à assis. Cependant, un élément causal est loin d'être toujours trouvé. Le traitement comporte avant tout les infiltrations intradiscales ou de l'apex, les manipulations et massages des releveurs et la chirurgie. Les indications sont fonction de la lésion observée. Malgré ce protocole précis, environ 20 % des cas de coccygodynie ne reçoivent pas d'explication satisfaisante et restent difficiles à prendre en charge.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41030
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p.1-8 [14-305-A-10][article] Coccygodynies communes [texte imprimé] / Jean-Yves Maigne, Auteur ; L. Doursounian, Auteur . - 2014 . - p.1-8 [14-305-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p.1-8 [14-305-A-10]
Mots-clés : Coccyx Coccygodynie Radiographies fonctionnelles Luxation Hypermobilité Instabilité Manipulation Coccygectomie Résumé : La coccygodynie est une douleur localisée au coccyx et déclenchée ou majorée par la station assise ou le relever d'un siège. La pratique de radiographies dynamiques (debout puis assis dans la position douloureuse) a permis son démembrement en quatre entités : luxations, coccyx hypermobiles, épines coccygiennes, coccyx sans anomalie radiologique. Plus que la présence ou non d'un traumatisme, c'est l'indice de masse corporelle (IMC) qui est l'élément déterminant le type de lésion en raison de ses conséquences sur la mobilité du bassin lors du passage de debout à assis. Cependant, un élément causal est loin d'être toujours trouvé. Le traitement comporte avant tout les infiltrations intradiscales ou de l'apex, les manipulations et massages des releveurs et la chirurgie. Les indications sont fonction de la lésion observée. Malgré ce protocole précis, environ 20 % des cas de coccygodynie ne reçoivent pas d'explication satisfaisante et restent difficiles à prendre en charge.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41030 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Sciatiques d'origine non discale et diagnostic différentiel des sciatiques / Jean-Michel Berthelot in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Sciatiques d'origine non discale et diagnostic différentiel des sciatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Berthelot (1945-....), Auteur ; J. Delecrin, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-840-E-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sciatique Sciatalgies Tronculaire Diagnostic différentiel Douleurs projetées Résumé : Ce chapitre traite des sciatiques non discales, et des pathologies pouvant simuler une sciatique. Une mise au point sur la micro-anatomie des racines et les mécanismes de la souffrance radiculaire rappelle l'importance des phénomènes de traction et de congestion veineuse dans la pathogénie de certaines sciatiques, tant discales que non discales. Un préambule plaide pour un examen clinique rigoureux, afin de différencier une sciatique discale d'une autre étiologie de sciatalgie, sans tout attendre de l'imagerie. Celle-ci n'objective en effet ni les micro-inflammations, ni les tractions excessives sur les nerfs, ni l'hyperpression, ni la congestion veineuse autour de ceux-ci. Les autres causes de souffrance radiculaire sont le plus souvent cherchées d'abord: gaz et kystes épiduraux, hernie de la racine à travers la dure-mère; sténoses lombaires et leur perte de réserve péridurale; spondylolisthésis; adhérences du tissu péridural et arachnoïdites; varices péridurales et fistules artérioveineuses méningées; atrésie de la veine cave; claudications artérielles et anévrismes aortiques; méningoradiculites; épidurites; tumeurs intradurales et extradurales. Il faut ensuite considérer la possibilité de douleurs projetées à partir des disques ou des constituants de l'arc postérieur du rachis, puis des sacro-iliaques, tendons pelvitrochantériens et ischio-jambiers, ainsi que les sciatalgies projetées de certaines pathologies viscérales. Si aucun de ces diagnostics ne s'impose, l'éventualité de sciatiques cordonnales, plexulaires, et tronculaires doit être évoquée: syndrome du tunnel lombosacré et de la traversée fessière; endométriose; vascularites, et tumeurs variées, dont celles siégeant au sein du nerf lui-même. Note de contenu : Introduction
Éléments sémiologiques pouvant orienter vers une sciatique non discale ou discale
Caractéristiques de la douleur
Reproduction de la douleur par les manœuvres de mise en tension radiculaire
Recherche de signes neurologiques subjectifs ou objectifs
Éléments pouvant orienter d'emblée vers une sciatique non discale
Diagnostic différentiel d'une sciatique discale
Douleurs projetées simulant une radiculalgie
Sciatiques radiculaires mais non discales
Sciatiques non radiculairesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41031
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-840-E-10 [Tome 7][article] Sciatiques d'origine non discale et diagnostic différentiel des sciatiques [texte imprimé] / Jean-Michel Berthelot (1945-....), Auteur ; J. Delecrin, Auteur . - 2014 . - 15-840-E-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-840-E-10 [Tome 7]
Mots-clés : Sciatique Sciatalgies Tronculaire Diagnostic différentiel Douleurs projetées Résumé : Ce chapitre traite des sciatiques non discales, et des pathologies pouvant simuler une sciatique. Une mise au point sur la micro-anatomie des racines et les mécanismes de la souffrance radiculaire rappelle l'importance des phénomènes de traction et de congestion veineuse dans la pathogénie de certaines sciatiques, tant discales que non discales. Un préambule plaide pour un examen clinique rigoureux, afin de différencier une sciatique discale d'une autre étiologie de sciatalgie, sans tout attendre de l'imagerie. Celle-ci n'objective en effet ni les micro-inflammations, ni les tractions excessives sur les nerfs, ni l'hyperpression, ni la congestion veineuse autour de ceux-ci. Les autres causes de souffrance radiculaire sont le plus souvent cherchées d'abord: gaz et kystes épiduraux, hernie de la racine à travers la dure-mère; sténoses lombaires et leur perte de réserve péridurale; spondylolisthésis; adhérences du tissu péridural et arachnoïdites; varices péridurales et fistules artérioveineuses méningées; atrésie de la veine cave; claudications artérielles et anévrismes aortiques; méningoradiculites; épidurites; tumeurs intradurales et extradurales. Il faut ensuite considérer la possibilité de douleurs projetées à partir des disques ou des constituants de l'arc postérieur du rachis, puis des sacro-iliaques, tendons pelvitrochantériens et ischio-jambiers, ainsi que les sciatalgies projetées de certaines pathologies viscérales. Si aucun de ces diagnostics ne s'impose, l'éventualité de sciatiques cordonnales, plexulaires, et tronculaires doit être évoquée: syndrome du tunnel lombosacré et de la traversée fessière; endométriose; vascularites, et tumeurs variées, dont celles siégeant au sein du nerf lui-même. Note de contenu : Introduction
Éléments sémiologiques pouvant orienter vers une sciatique non discale ou discale
Caractéristiques de la douleur
Reproduction de la douleur par les manœuvres de mise en tension radiculaire
Recherche de signes neurologiques subjectifs ou objectifs
Éléments pouvant orienter d'emblée vers une sciatique non discale
Diagnostic différentiel d'une sciatique discale
Douleurs projetées simulant une radiculalgie
Sciatiques radiculaires mais non discales
Sciatiques non radiculairesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41031 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Aspects physiopathologiques de la douleur en rhumatologie / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Aspects physiopathologiques de la douleur en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-918-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Physiopathologie de la douleur Neurophysiologie de la douleur Mécanismes de la douleur Résumé : L'évolution des connaissances sur les bases neurophysiologiques de la douleur permet de mieux saisir la complexité du phénomène douloureux, très fréquent en rhumatologie. La physiopathologie de la douleur conduit à séparer classiquement trois grands types de douleur: les douleurs nociceptives caractérisées par une stimulation anormale des nocicepteurs périphériques dans un système nerveux normal; les douleurs neuropathiques caractérisées par une lésion du système nerveux à l'origine des phénomènes douloureux, qu'il s'agisse du système nerveux périphérique ou du système nerveux central; les douleurs inclassées ou dysfonctionnelles qui ne relèvent ni d'une stimulation périphérique des nocicepteurs, ni d'une lésion caractérisée du système nerveux. Par ailleurs, les lésions périphériques, par exemple articulaires, peuvent entraîner une hyperexcitabilité des nocicepteurs, pouvant induire secondairement une hyperexcitabilité centrale médullaire. Par ailleurs, la dichotomie entre ces différents types de douleur n'est pas toujours réelle et un bon nombre de douleurs, notamment en rhumatologie, sont mixtes, pouvant associer par exemple une composante nociceptive et une composante neuropathique. Une meilleure connaissance de la physiopathologie des douleurs permet de déterminer des cibles thérapeutiques et d'adapter au mieux la prise en charge thérapeutique.
Note de contenu : Introduction
Mécanismes périphériques
Fibres afférentes
Genèse de la douleur ostéoarticulaire
Projection médullaire des fibres afférentes primaires
Premiers neurones centraux
Neuromédiateurs de la première synapse
Voies ascendantes
Faisceau spinothalamique
Faisceau spinoréticulaire
Faisceau spinomésencéphalique
Structures supraspinales
Formation réticulée bulbaire
Structures thalamiques
Cortex cérébral
Mécanismes de contrôle de la nociception
Contrôles segmentaires
Contrôles d'origine supraspinale
Trois grands types de douleur en rhumatologie
Douleurs nociceptives et sensibilisation secondaire
Physiopathologie de la douleur neuropathique
Douleurs inclassées ou dysfonctionnelles
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41032
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-10 [Tome 7][article] Aspects physiopathologiques de la douleur en rhumatologie [texte imprimé] / P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur . - 2014 . - 15-918-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Physiopathologie de la douleur Neurophysiologie de la douleur Mécanismes de la douleur Résumé : L'évolution des connaissances sur les bases neurophysiologiques de la douleur permet de mieux saisir la complexité du phénomène douloureux, très fréquent en rhumatologie. La physiopathologie de la douleur conduit à séparer classiquement trois grands types de douleur: les douleurs nociceptives caractérisées par une stimulation anormale des nocicepteurs périphériques dans un système nerveux normal; les douleurs neuropathiques caractérisées par une lésion du système nerveux à l'origine des phénomènes douloureux, qu'il s'agisse du système nerveux périphérique ou du système nerveux central; les douleurs inclassées ou dysfonctionnelles qui ne relèvent ni d'une stimulation périphérique des nocicepteurs, ni d'une lésion caractérisée du système nerveux. Par ailleurs, les lésions périphériques, par exemple articulaires, peuvent entraîner une hyperexcitabilité des nocicepteurs, pouvant induire secondairement une hyperexcitabilité centrale médullaire. Par ailleurs, la dichotomie entre ces différents types de douleur n'est pas toujours réelle et un bon nombre de douleurs, notamment en rhumatologie, sont mixtes, pouvant associer par exemple une composante nociceptive et une composante neuropathique. Une meilleure connaissance de la physiopathologie des douleurs permet de déterminer des cibles thérapeutiques et d'adapter au mieux la prise en charge thérapeutique.
Note de contenu : Introduction
Mécanismes périphériques
Fibres afférentes
Genèse de la douleur ostéoarticulaire
Projection médullaire des fibres afférentes primaires
Premiers neurones centraux
Neuromédiateurs de la première synapse
Voies ascendantes
Faisceau spinothalamique
Faisceau spinoréticulaire
Faisceau spinomésencéphalique
Structures supraspinales
Formation réticulée bulbaire
Structures thalamiques
Cortex cérébral
Mécanismes de contrôle de la nociception
Contrôles segmentaires
Contrôles d'origine supraspinale
Trois grands types de douleur en rhumatologie
Douleurs nociceptives et sensibilisation secondaire
Physiopathologie de la douleur neuropathique
Douleurs inclassées ou dysfonctionnelles
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41032 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-918-A-12 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Évaluation de la douleur Évaluation unidimensionnelle de la douleur Évaluation pluridimensionnelle de la douleur Autoévaluation de la douleur Évaluation de la douleur chronique Résumé : La douleur est le motif majeur de consultation en rhumatologie et plus de la moitié des douleurs chroniques concernent l'appareil musculosquelettique. L'évaluation est une étape primordiale dans la prise en charge de toute douleur. Dans la douleur aiguë, elle repose sur l'autoévaluation unidimensionnelle de l'intensité douloureuse qui doit être répétée pour permettre une adaptation rapide du traitement. Dans la douleur chronique, symptomatique d'une affection chronique ou autonomisée (douleur maladie), l'évaluation est plus complexe, pluridimensionnelle faisant intervenir les composantes sensorielle, mais également émotionnelle, cognitive, comportementale, ainsi que le contexte familial et socioprofessionnel. L'évaluation bien conduite et précise permet d'établir une relation empathique avec le patient. Dans la douleur chronique, elle permet d'orienter la prise en charge thérapeutique du patient en isolant les diverses composantes d'une douleur et en évaluant leur poids respectif. Ainsi elle orientera vers certains traitements médicamenteux ou plutôt vers des techniques antalgiques non médicamenteuses. L'évaluation doit être répétée pour un ajustement de la prise en charge thérapeutique, de façon très rapprochée dans une douleur aiguë, et régulièrement dans une douleur chronique dont le poids respectif des différentes composantes peut se modifier dans le temps. Note de contenu : Introduction
Évaluation de la douleur aiguë
Évaluation de la douleur chronique
Échelles d'hétéroévaluation
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41033
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-12 [Tome 7][article] Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie [texte imprimé] / P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur . - 2014 . - 15-918-A-12 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-12 [Tome 7]
Mots-clés : Évaluation de la douleur Évaluation unidimensionnelle de la douleur Évaluation pluridimensionnelle de la douleur Autoévaluation de la douleur Évaluation de la douleur chronique Résumé : La douleur est le motif majeur de consultation en rhumatologie et plus de la moitié des douleurs chroniques concernent l'appareil musculosquelettique. L'évaluation est une étape primordiale dans la prise en charge de toute douleur. Dans la douleur aiguë, elle repose sur l'autoévaluation unidimensionnelle de l'intensité douloureuse qui doit être répétée pour permettre une adaptation rapide du traitement. Dans la douleur chronique, symptomatique d'une affection chronique ou autonomisée (douleur maladie), l'évaluation est plus complexe, pluridimensionnelle faisant intervenir les composantes sensorielle, mais également émotionnelle, cognitive, comportementale, ainsi que le contexte familial et socioprofessionnel. L'évaluation bien conduite et précise permet d'établir une relation empathique avec le patient. Dans la douleur chronique, elle permet d'orienter la prise en charge thérapeutique du patient en isolant les diverses composantes d'une douleur et en évaluant leur poids respectif. Ainsi elle orientera vers certains traitements médicamenteux ou plutôt vers des techniques antalgiques non médicamenteuses. L'évaluation doit être répétée pour un ajustement de la prise en charge thérapeutique, de façon très rapprochée dans une douleur aiguë, et régulièrement dans une douleur chronique dont le poids respectif des différentes composantes peut se modifier dans le temps. Note de contenu : Introduction
Évaluation de la douleur aiguë
Évaluation de la douleur chronique
Échelles d'hétéroévaluation
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41033 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traitements de la douleur en rhumatologie / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Traitements de la douleur en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-918-A-14 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Traitements antalgiques Coanalgésiques Traitements non médicamenteux de la douleur Prise en charge des douleurs Résumé : La prise en charge thérapeutique de la douleur en rhumatologie repose avant tout sur le traitement étiologique lorsque cela est possible, mais aussi sur les traitements symptomatiques de la douleur regroupant les antalgiques, les coanalgésiques et les techniques antalgiques non médicamenteuses. La prise en charge d'une douleur aiguë ne devrait plus reposer sur les paliers de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais être adaptée rapidement à son intensité pour obtenir une antalgie rapide quitte à débuter d'emblée par un palier II ou III. L'optimisation de la prise en charge thérapeutique d'une douleur chronique est obtenue en recherchant soigneusement les mécanismes de la douleur parfois très différents chez les patients consultant en rhumatologie. En effet, les douleurs nociceptives répondent mieux aux antalgiques, les douleurs neuropathiques ou mixtes nécessitent dans la majorité des cas d'associer des coanalgésiques, d'où l'importance de reconnaître la composante neuropathique. Dans les douleurs chroniques, l'évaluation multidimensionnelle permet de cibler les interventions thérapeutiques et conduit fréquemment à associer thérapeutiques médicamenteuses et techniques antalgiques non médicamenteuses qui prennent une place croissante dans la prise en charge des patients. Seront abordés successivement les différents traitements de la douleur à la fois médicamenteux et non médicamenteux, puis la stratégie thérapeutique dans certaines situations spécifiques comme les rhumatismes inflammatoires, l'arthrose, les rachialgies, l'ostéoporose fracturaire, les douleurs neuropathiques et les syndromes douloureux chroniques.
Note de contenu : Thérapeutiques antalgiques médicamenteuses
Antalgiques de palier I
Antalgiques opioïdes faibles de palier II
Antalgiques opioïdes forts de palier III
Antalgique central non opiacé : le néfopam
Antiépileptiques
Antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline
Traitements locaux
Autres thérapeutiques
Vers une nouvelle classification des antalgiques
Thérapeutiques antalgiques non médicamenteuses
Techniques cognitivo-comportementales
Prise en charge psychologique
Neurostimulation transcutanée
Recours à un centre de la douleur
Stratégies thérapeutiques de prise en charge de la douleur
Douleurs des rhumatismes inflammatoires
Douleurs de l'arthrose
Douleurs du rachis
Douleur de l'ostéoporose fracturaire
Douleurs neuropathiques ou mixtes
Syndromes douloureux chroniquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41034
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-14 [Tome 7][article] Traitements de la douleur en rhumatologie [texte imprimé] / P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur . - 2014 . - 15-918-A-14 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-14 [Tome 7]
Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Traitements antalgiques Coanalgésiques Traitements non médicamenteux de la douleur Prise en charge des douleurs Résumé : La prise en charge thérapeutique de la douleur en rhumatologie repose avant tout sur le traitement étiologique lorsque cela est possible, mais aussi sur les traitements symptomatiques de la douleur regroupant les antalgiques, les coanalgésiques et les techniques antalgiques non médicamenteuses. La prise en charge d'une douleur aiguë ne devrait plus reposer sur les paliers de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais être adaptée rapidement à son intensité pour obtenir une antalgie rapide quitte à débuter d'emblée par un palier II ou III. L'optimisation de la prise en charge thérapeutique d'une douleur chronique est obtenue en recherchant soigneusement les mécanismes de la douleur parfois très différents chez les patients consultant en rhumatologie. En effet, les douleurs nociceptives répondent mieux aux antalgiques, les douleurs neuropathiques ou mixtes nécessitent dans la majorité des cas d'associer des coanalgésiques, d'où l'importance de reconnaître la composante neuropathique. Dans les douleurs chroniques, l'évaluation multidimensionnelle permet de cibler les interventions thérapeutiques et conduit fréquemment à associer thérapeutiques médicamenteuses et techniques antalgiques non médicamenteuses qui prennent une place croissante dans la prise en charge des patients. Seront abordés successivement les différents traitements de la douleur à la fois médicamenteux et non médicamenteux, puis la stratégie thérapeutique dans certaines situations spécifiques comme les rhumatismes inflammatoires, l'arthrose, les rachialgies, l'ostéoporose fracturaire, les douleurs neuropathiques et les syndromes douloureux chroniques.
Note de contenu : Thérapeutiques antalgiques médicamenteuses
Antalgiques de palier I
Antalgiques opioïdes faibles de palier II
Antalgiques opioïdes forts de palier III
Antalgique central non opiacé : le néfopam
Antiépileptiques
Antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline
Traitements locaux
Autres thérapeutiques
Vers une nouvelle classification des antalgiques
Thérapeutiques antalgiques non médicamenteuses
Techniques cognitivo-comportementales
Prise en charge psychologique
Neurostimulation transcutanée
Recours à un centre de la douleur
Stratégies thérapeutiques de prise en charge de la douleur
Douleurs des rhumatismes inflammatoires
Douleurs de l'arthrose
Douleurs du rachis
Douleur de l'ostéoporose fracturaire
Douleurs neuropathiques ou mixtes
Syndromes douloureux chroniquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41034 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire