Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur J. Cottalorda |
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Consommation énergétique à la vitesse de confort au sol et sur tapis roulant / J. Cottalorda in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 43, n°1 (janvier 2000)
[article]
Titre : Consommation énergétique à la vitesse de confort au sol et sur tapis roulant Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Cottalorda ; GEYSSANT A. ; Vincent Gautheron ; DURST C. ; BELLI A. ; AUBAIL R. Année de publication : 2000 Article en page(s) : p. 30-35 Mots-clés : Examen clinique Test cardiaque Bilan santé Locomotion Résumé : Objectif : Comparer les vitesses de confort lors de la marche sur le sol et sur tapis roulant par une analyse de la réponse cardiaque (et donc de la consommation énergétique). Matériel et méthode : L'étude a porté sur 20 sujets sains de sexe masculin, âgés de 20 à 40 ans. Leur vitesse de confort a été calculée sur le sol. La vitesse moyenne de confort du groupe était de 4,36 km h + 0,80. Pour chaque sujet, sa vitesse de confort lui a ensuite été imposée sur tapis roulant, en la faisant varier de-0,8 à + 0,4 km h. Sa consommation énergétique a été calculée en utilisant l'index de coût cardiaque (PCI) de Mc Gregor. La valeur minimale du PCI sur tapis a été obtenue pour la vitesse de confort qui avait été déterminée au sol. Cependant, pour cette même vitesse, la moyenne des PCI était plus élevée sur le tapis que sur le sol. Résultats : n'a pas été noté de différence statistiquement significative du PCI sur tapis quand la vitesse de marche variait de + 0,4 km h par rapport à la vitesse de confort qui avait été déterminée au sol. Conclusion : II semble donc exister une " zone " de vitesse de confort où la dépense énergétique varie peu. De manière subjective, tous les sujets sauf un ont trouvé la vitesse de confort déterminée au sol trop rapide sur le tapis.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13071
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 43, n°1 (janvier 2000) . - p. 30-35[article] Consommation énergétique à la vitesse de confort au sol et sur tapis roulant [texte imprimé] / J. Cottalorda ; GEYSSANT A. ; Vincent Gautheron ; DURST C. ; BELLI A. ; AUBAIL R. . - 2000 . - p. 30-35.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 43, n°1 (janvier 2000) . - p. 30-35
Mots-clés : Examen clinique Test cardiaque Bilan santé Locomotion Résumé : Objectif : Comparer les vitesses de confort lors de la marche sur le sol et sur tapis roulant par une analyse de la réponse cardiaque (et donc de la consommation énergétique). Matériel et méthode : L'étude a porté sur 20 sujets sains de sexe masculin, âgés de 20 à 40 ans. Leur vitesse de confort a été calculée sur le sol. La vitesse moyenne de confort du groupe était de 4,36 km h + 0,80. Pour chaque sujet, sa vitesse de confort lui a ensuite été imposée sur tapis roulant, en la faisant varier de-0,8 à + 0,4 km h. Sa consommation énergétique a été calculée en utilisant l'index de coût cardiaque (PCI) de Mc Gregor. La valeur minimale du PCI sur tapis a été obtenue pour la vitesse de confort qui avait été déterminée au sol. Cependant, pour cette même vitesse, la moyenne des PCI était plus élevée sur le tapis que sur le sol. Résultats : n'a pas été noté de différence statistiquement significative du PCI sur tapis quand la vitesse de marche variait de + 0,4 km h par rapport à la vitesse de confort qui avait été déterminée au sol. Conclusion : II semble donc exister une " zone " de vitesse de confort où la dépense énergétique varie peu. De manière subjective, tous les sujets sauf un ont trouvé la vitesse de confort déterminée au sol trop rapide sur le tapis.
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Exclu du prêtÉtude radiologique de la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter / A. ALDEMIR in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/4 (2000)
[article]
Titre : Étude radiologique de la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter Type de document : texte imprimé Auteurs : A. ALDEMIR ; CHAVRIER Y ; J. Cottalorda ; S. BOURELLE Année de publication : 2000 Article en page(s) : P. 203-207 Résumé : La maladie d'Osgood-Schlatter est très fréquente chez l'enfant sportif. De nombreuses méthodes ont été décrites dans la littérature pour mesurer la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter avec des résultats contradictoires. Nous avons utilisé deux techniques différentes pour la mesurer sur 34 genoux : la technique décrite par Blackburne et Peel et celle utilisée par Caton-Deschamps. Nous n'avons retrouvé aucune rotule haute selon la méthode de Blackburne et Peel et seulement six selon la méthode de Caton-Deschamps, ce qui correspond à la normale dans une population témoin. Nous n'avons jamais noté de rotule basse. Il ne semble donc pas exister de relation évidente entre patella alta et Osgood-Schlatter chez les enfants sportifs.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14354
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 203-207[article] Étude radiologique de la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter [texte imprimé] / A. ALDEMIR ; CHAVRIER Y ; J. Cottalorda ; S. BOURELLE . - 2000 . - P. 203-207.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 203-207
Résumé : La maladie d'Osgood-Schlatter est très fréquente chez l'enfant sportif. De nombreuses méthodes ont été décrites dans la littérature pour mesurer la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter avec des résultats contradictoires. Nous avons utilisé deux techniques différentes pour la mesurer sur 34 genoux : la technique décrite par Blackburne et Peel et celle utilisée par Caton-Deschamps. Nous n'avons retrouvé aucune rotule haute selon la méthode de Blackburne et Peel et seulement six selon la méthode de Caton-Deschamps, ce qui correspond à la normale dans une population témoin. Nous n'avons jamais noté de rotule basse. Il ne semble donc pas exister de relation évidente entre patella alta et Osgood-Schlatter chez les enfants sportifs.
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Exclu du prêtInfluence de la vitesse et de l'âge sur la variabilité intrasujet des forces de réaction et des paramètres spatiotemporels de la marche de l'enfant sain / DIOP M. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 47, n°2 (mars 2004)
[article]
Titre : Influence de la vitesse et de l'âge sur la variabilité intrasujet des forces de réaction et des paramètres spatiotemporels de la marche de l'enfant sain Type de document : texte imprimé Auteurs : DIOP M. ; RAHMANI A. ; GEYSSANT A. ; Vincent Gautheron ; J. Cottalorda ; P. CALMELS ; BELLI A. Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 72-80 Langues : Français (fre) Mots-clés : Evaluation Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectifs.-Évaluer l'effet de l'âge et de la vitesse de marche sur la variabilité des forces de réaction au sol et des paramètres spatiotemporels de la marche chez l'enfant. Matériel et méthode.-Quarante-sept enfants âgés de quatre à dix ans ont été répartis en trois groupes d'âge. Chaque enfant a marché à trois vitesses constantes sur un tapis roulant (ADAL). 30 pas consécutifs sur chaque pied ont été enregistrés. Pour chaque enfant les paramètres moyens ont été calculés à partir des 30 pas enregistrés. Les valeurs moyennes de chaque enfant ont été choisies pour calculer les paramètres moyens du groupe. La variabilité a été évaluée par le coefficient de variation (CV). Les effets de l'âge et de la vitesse sur la variabilité ont été évalués par une analyse de variance à deux facteurs. Résultats.-L'effet croisé de l'âge et de la vitesse sur la variabilité n'est pas significatif. La variabilité des forces de réaction et des paramètres spatiotemporels diminue significativement avec l'âge entre quatre et huit ans. La variabilité des forces verticales augmente significativement avec la vitesse (entre 2,7 et 4,5 km heure) tandis que celle des forces antéropostérieures, de la durée du cycle et de la durée de l'appui diminue entre 2,7 et 3,6 km heure. La variabilité de la durée du double appui n'est pas significativement influencée par la variation de la vitesse de 2,7 à 4,5 km heure. À l'exception du temps de production de la force verticale de propulsion (T), la variabilité des paramètres temporels verticaux diminue significativement quand la vitesse varie de 2,7 à 4,5 km heure tandis que celle des paramètres temporels antéropostérieurs diminue significativement quand la vitesse passe de 2,7 à 3,6 km heure. Discussion-conclusion.-La variabilité des forces et des paramètres spatiotemporels est influencée par l'âge et la vitesse de marche, de manière prédominante entre quatre et huit ans et entre 2,7 et 3,6 km heure. L'effet de l'âge sur les forces de réaction persiste même après l'âge de huit ans. La variabilité du temps d'apparition de la force maximale de propulsion antéropostérieure (T) et la variabilité de la durée d'appui sont les plus faibles. Ces deux paramètres pourraient être les plus fiables pour l'évaluation de la marche des enfants de quatre-dix ans à des vitesses comprises entre 2,7 et 4,5 km heure.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13232
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°2 (mars 2004) . - p. 72-80[article] Influence de la vitesse et de l'âge sur la variabilité intrasujet des forces de réaction et des paramètres spatiotemporels de la marche de l'enfant sain [texte imprimé] / DIOP M. ; RAHMANI A. ; GEYSSANT A. ; Vincent Gautheron ; J. Cottalorda ; P. CALMELS ; BELLI A. . - 2004 . - p. 72-80.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°2 (mars 2004) . - p. 72-80
Mots-clés : Evaluation Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectifs.-Évaluer l'effet de l'âge et de la vitesse de marche sur la variabilité des forces de réaction au sol et des paramètres spatiotemporels de la marche chez l'enfant. Matériel et méthode.-Quarante-sept enfants âgés de quatre à dix ans ont été répartis en trois groupes d'âge. Chaque enfant a marché à trois vitesses constantes sur un tapis roulant (ADAL). 30 pas consécutifs sur chaque pied ont été enregistrés. Pour chaque enfant les paramètres moyens ont été calculés à partir des 30 pas enregistrés. Les valeurs moyennes de chaque enfant ont été choisies pour calculer les paramètres moyens du groupe. La variabilité a été évaluée par le coefficient de variation (CV). Les effets de l'âge et de la vitesse sur la variabilité ont été évalués par une analyse de variance à deux facteurs. Résultats.-L'effet croisé de l'âge et de la vitesse sur la variabilité n'est pas significatif. La variabilité des forces de réaction et des paramètres spatiotemporels diminue significativement avec l'âge entre quatre et huit ans. La variabilité des forces verticales augmente significativement avec la vitesse (entre 2,7 et 4,5 km heure) tandis que celle des forces antéropostérieures, de la durée du cycle et de la durée de l'appui diminue entre 2,7 et 3,6 km heure. La variabilité de la durée du double appui n'est pas significativement influencée par la variation de la vitesse de 2,7 à 4,5 km heure. À l'exception du temps de production de la force verticale de propulsion (T), la variabilité des paramètres temporels verticaux diminue significativement quand la vitesse varie de 2,7 à 4,5 km heure tandis que celle des paramètres temporels antéropostérieurs diminue significativement quand la vitesse passe de 2,7 à 3,6 km heure. Discussion-conclusion.-La variabilité des forces et des paramètres spatiotemporels est influencée par l'âge et la vitesse de marche, de manière prédominante entre quatre et huit ans et entre 2,7 et 3,6 km heure. L'effet de l'âge sur les forces de réaction persiste même après l'âge de huit ans. La variabilité du temps d'apparition de la force maximale de propulsion antéropostérieure (T) et la variabilité de la durée d'appui sont les plus faibles. Ces deux paramètres pourraient être les plus fiables pour l'évaluation de la marche des enfants de quatre-dix ans à des vitesses comprises entre 2,7 et 4,5 km heure.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13232 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtL'INFORMATIQUE AU SERVICE DE LA CONFECTION DES ORTHESES DU TRONC / J. Cottalorda in Kinésithérapie scientifique, 371 (1997)
[article]
Titre : L'INFORMATIQUE AU SERVICE DE LA CONFECTION DES ORTHESES DU TRONC Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Cottalorda ; GARIN C. ; KOHLER R. ; LECANTE P. ; POURRET S. ; ROLET G. Année de publication : 1997 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=51156
in Kinésithérapie scientifique > 371 (1997)[article] L'INFORMATIQUE AU SERVICE DE LA CONFECTION DES ORTHESES DU TRONC [texte imprimé] / J. Cottalorda ; GARIN C. ; KOHLER R. ; LECANTE P. ; POURRET S. ; ROLET G. . - 1997.
in Kinésithérapie scientifique > 371 (1997)
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=51156 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtKyste osseux anévrismal / J. Cottalorda in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Kyste osseux anévrismal Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Cottalorda ; D. Louahem ; C. Jeandel ; M. Delpont Année de publication : 2021 Article en page(s) : 114-771 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Tumeur osseuse bénigne Traitement Résumé : Le kyste osseux anévrismal (KOA) est une tumeur bénigne, généralement solitaire. Il représente 1 % des tumeurs bénignes. Le KOA est primitif (70 % des cas) ou secondaire (30 % des cas), se développant sur une lésion préexistante qu'il peut masquer. Une translocation chromosomique spécifique, 17p11-13 ou 16q22 est caractéristique du KOA primitif. Bien qu'étant une tumeur bénigne, le KOA a un potentiel d'aggressivité important. La grande majorité des cas survient entre 10 et 20 ans. La clinique est dominée par la douleur et une tuméfaction. La fracture pathologique est rare dans le KOA. Radiologiquement, le KOA correspond à une lésion lytique métaphysaire, arrondie, excentrée, souvent de grande taille. Cette lésion souffle le périoste en érodant progressivement la corticale. En imagerie par résonance magnétique (IRM), une lésion osseuse expansive bien limitée, une diminution de signal en T1 avec une augmentation de ce signal en T2, un liseré périphérique de bas signal rehaussé par l'injection de produit de contraste, de nombreuses logettes délimitées par des septas et la présence de niveaux liquides, sont très évocateurs de KOA. Le diagnostic par imagerie reste un diagnostic de probabilité et doit toujours être confirmé par une biopsie. La résection chirurgicale en bloc et la résection intralésionnelle (curetage ou saucérisation)±utilisation d'adjuvants locaux ont été pendant longtemps le traitement de choix. Depuis quelques années, les traitements moins invasifs (embolisation artérielle sélective [EAS], sclérothérapie) prennent le pas sur les traitements chirurgicaux. Ils sont efficaces, présentent peu de complications et ont une morbidité bien moindre que la chirurgie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98218
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 114-771 [Tome 6][article] Kyste osseux anévrismal [texte imprimé] / J. Cottalorda ; D. Louahem ; C. Jeandel ; M. Delpont . - 2021 . - 114-771 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 114-771 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Tumeur osseuse bénigne Traitement Résumé : Le kyste osseux anévrismal (KOA) est une tumeur bénigne, généralement solitaire. Il représente 1 % des tumeurs bénignes. Le KOA est primitif (70 % des cas) ou secondaire (30 % des cas), se développant sur une lésion préexistante qu'il peut masquer. Une translocation chromosomique spécifique, 17p11-13 ou 16q22 est caractéristique du KOA primitif. Bien qu'étant une tumeur bénigne, le KOA a un potentiel d'aggressivité important. La grande majorité des cas survient entre 10 et 20 ans. La clinique est dominée par la douleur et une tuméfaction. La fracture pathologique est rare dans le KOA. Radiologiquement, le KOA correspond à une lésion lytique métaphysaire, arrondie, excentrée, souvent de grande taille. Cette lésion souffle le périoste en érodant progressivement la corticale. En imagerie par résonance magnétique (IRM), une lésion osseuse expansive bien limitée, une diminution de signal en T1 avec une augmentation de ce signal en T2, un liseré périphérique de bas signal rehaussé par l'injection de produit de contraste, de nombreuses logettes délimitées par des septas et la présence de niveaux liquides, sont très évocateurs de KOA. Le diagnostic par imagerie reste un diagnostic de probabilité et doit toujours être confirmé par une biopsie. La résection chirurgicale en bloc et la résection intralésionnelle (curetage ou saucérisation)±utilisation d'adjuvants locaux ont été pendant longtemps le traitement de choix. Depuis quelques années, les traitements moins invasifs (embolisation artérielle sélective [EAS], sclérothérapie) prennent le pas sur les traitements chirurgicaux. Ils sont efficaces, présentent peu de complications et ont une morbidité bien moindre que la chirurgie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98218 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Place de la chirurgie dans la prise en charge des hanches spastiques chez l'enfant infirme moteur cérébral / J. Cottalorda in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 43, n°4 (mai 2000)
PermalinkLes ténotomies des adducteurs chez l'enfant infirme moteur cérébral tétraparétique spastique. Revue de 59 cas à sept ans de recul / J. Cottalorda in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 43, n°4 (mai 2000)
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