Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur FRANCESCHI J.-P. |
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Conséquences biomécaniques d'une gonarthrose unilatérale sur le membre inférieur opposé / J.-M. Viton in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°4 (mai 2003)
[article]
Titre : Conséquences biomécaniques d'une gonarthrose unilatérale sur le membre inférieur opposé Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-M. Viton ; BERTERA-BLANCHARD C. ; A. Delarque ; FRANCESCHI J.-P. ; GIMET G. ; GUEGEN N. ; Serge Mesure ; MOUCHNINO L. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 191-197 Mots-clés : démarche Résumé : Le but de ce travail est d'analyser les compensations développées par les patients présentant une gonarthrose unilatérale au cours de la descente d'une marche afin de déterminer si ces compensations induisent des contraintes supplémentaires sur le genou controlatéral. Population.-Onze patients porteurs d'une gonarthrose unilatérale symptomatique, indemnes de toute autre pathologie et 14 sujets contrôles ont été inclus dans cette étude. Matériel.-Les enregistrements étaient réalisés grâce à un système d'analyse du mouvement et à deux plate-formes de force. Le pic des forces verticales de réaction du sol lors de l'atterrissage sur la plate-forme de réception, le temps mis pour atteindre le pic d'impact et la durée des différentes phases de la descente d'une marche étaient analysées. Résultats.-Le pic d'impact était plus important pour la descente en réception sur le membre inférieur sain que pour la descente en réception sur le membre inférieur gonarthrosique. Le temps mis pour atteindre le pic d'impact était plus long chez les patients que chez les témoins quel que soit le côté de réception. Le temps d'appui monopodal de réception était plus court sur le côté gonarthrosique que sur le côté sain. Discussion et conclusion.-Ce travail a montré qu'une population de patients présentant une gonarthrose unilatérale symptomatique développait une nouvelle stratégie de descente d'une marche d'escalier. Cette stratégie implique une augmentation des sollicitations du membre inférieur considéré comme sain et pourrait favoriser la bilatéralisation des lésions. Ces résultats suggèrent l'intérêt de la rééducation du membre inférieur controlatéral à une gonarthrose unilatérale symptomatique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13067
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°4 (mai 2003) . - p. 191-197[article] Conséquences biomécaniques d'une gonarthrose unilatérale sur le membre inférieur opposé [texte imprimé] / J.-M. Viton ; BERTERA-BLANCHARD C. ; A. Delarque ; FRANCESCHI J.-P. ; GIMET G. ; GUEGEN N. ; Serge Mesure ; MOUCHNINO L. . - 2003 . - p. 191-197.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°4 (mai 2003) . - p. 191-197
Mots-clés : démarche Résumé : Le but de ce travail est d'analyser les compensations développées par les patients présentant une gonarthrose unilatérale au cours de la descente d'une marche afin de déterminer si ces compensations induisent des contraintes supplémentaires sur le genou controlatéral. Population.-Onze patients porteurs d'une gonarthrose unilatérale symptomatique, indemnes de toute autre pathologie et 14 sujets contrôles ont été inclus dans cette étude. Matériel.-Les enregistrements étaient réalisés grâce à un système d'analyse du mouvement et à deux plate-formes de force. Le pic des forces verticales de réaction du sol lors de l'atterrissage sur la plate-forme de réception, le temps mis pour atteindre le pic d'impact et la durée des différentes phases de la descente d'une marche étaient analysées. Résultats.-Le pic d'impact était plus important pour la descente en réception sur le membre inférieur sain que pour la descente en réception sur le membre inférieur gonarthrosique. Le temps mis pour atteindre le pic d'impact était plus long chez les patients que chez les témoins quel que soit le côté de réception. Le temps d'appui monopodal de réception était plus court sur le côté gonarthrosique que sur le côté sain. Discussion et conclusion.-Ce travail a montré qu'une population de patients présentant une gonarthrose unilatérale symptomatique développait une nouvelle stratégie de descente d'une marche d'escalier. Cette stratégie implique une augmentation des sollicitations du membre inférieur considéré comme sain et pourrait favoriser la bilatéralisation des lésions. Ces résultats suggèrent l'intérêt de la rééducation du membre inférieur controlatéral à une gonarthrose unilatérale symptomatique.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRécidive d’entorse après reconstruction du LCA. Diagnostic et facteurs de risque / SCHLATTERER B. in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/1 (mars 2009)
[article]
Titre : Récidive d’entorse après reconstruction du LCA. Diagnostic et facteurs de risque Type de document : texte imprimé Auteurs : SCHLATTERER B. ; FRANCESCHI J.-P. ; ROGER B ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 54-67 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réimplantation Ligament croisé antérieur Entorse Résumé : Les récidives d’entorse après ligamentoplastie du ligament croisé antérieur (LCA) posent le difficile problème de leur diagnostic étiologique. Les genoux dont le LCA a été reconstruit présentent fréquemment une laxité antérieure résiduelle ou contrôlent parfois insuffisamment la stabilité rotatoire. L’examen ligamentaire des genoux sain et lésé juste avant le nouveau traumatisme constitue une double référence à laquelle doit se référer le praticien pour définir les différentes entités anatomocliniques. Le seuil de la laxité antérieure comparative attestant l’incompétence du transplant se situe à 5mm selon les critères du groupe examen ligamentaire de la fiche IKDC. Une ré-rupture traumatique se différencie en fonction du contexte clinique, d’un échec anatomique précoce ou d’une distension progressive. Un transplant continu et perçu en hyposignal à l’IRM doit être confronté à l’examen clinique, aux mesures instrumentales (KT1000™) et radiographiques de la laxité avant d’affirmer son intégrité. Le macrotraumatisme n’est que révélateur de l’échec en cas d’erreurs techniques liées à un mauvais positionnement des tunnels osseux. Les hypersignaux intra-osseux ou méniscaux persistants après le premier traumatisme peuvent simuler une lésion récente. Certains facteurs prédisposant aux récidives d’entorse ont été analysés en tenant compte de l’expérience des auteurs et des données récentes de la littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17504
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/1 (mars 2009) . - p. 54-67[article] Récidive d’entorse après reconstruction du LCA. Diagnostic et facteurs de risque [texte imprimé] / SCHLATTERER B. ; FRANCESCHI J.-P. ; ROGER B ; et al. . - 2009 . - p. 54-67.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/1 (mars 2009) . - p. 54-67
Mots-clés : Réimplantation Ligament croisé antérieur Entorse Résumé : Les récidives d’entorse après ligamentoplastie du ligament croisé antérieur (LCA) posent le difficile problème de leur diagnostic étiologique. Les genoux dont le LCA a été reconstruit présentent fréquemment une laxité antérieure résiduelle ou contrôlent parfois insuffisamment la stabilité rotatoire. L’examen ligamentaire des genoux sain et lésé juste avant le nouveau traumatisme constitue une double référence à laquelle doit se référer le praticien pour définir les différentes entités anatomocliniques. Le seuil de la laxité antérieure comparative attestant l’incompétence du transplant se situe à 5mm selon les critères du groupe examen ligamentaire de la fiche IKDC. Une ré-rupture traumatique se différencie en fonction du contexte clinique, d’un échec anatomique précoce ou d’une distension progressive. Un transplant continu et perçu en hyposignal à l’IRM doit être confronté à l’examen clinique, aux mesures instrumentales (KT1000™) et radiographiques de la laxité avant d’affirmer son intégrité. Le macrotraumatisme n’est que révélateur de l’échec en cas d’erreurs techniques liées à un mauvais positionnement des tunnels osseux. Les hypersignaux intra-osseux ou méniscaux persistants après le premier traumatisme peuvent simuler une lésion récente. Certains facteurs prédisposant aux récidives d’entorse ont été analysés en tenant compte de l’expérience des auteurs et des données récentes de la littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17504 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLes tendinopathies de la pointe de la rotule / Marie-Laure LOUIS in Journal de traumatologie du sport, vol. 25/4 (decembre 2008)
[article]
Titre : Les tendinopathies de la pointe de la rotule : traitement arthroscopique versus traitement à ciel ouvert Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Laure LOUIS ; FRANCESCHI J.-P. ; SBIHI A. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 184-191 Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthroscopie Tendinite Tendon Patella Traitement Chirurgie Résumé : Le traitement chirurgical à ciel ouvert des tendinopathies de la pointe de la rotule a donné de bons résultats, mais au prix d’une longue période de récupération fonctionnelle. Les traitements arthroscopiques se sont développés pour accélérer la période de récupération fonctionnelle et de reprise des activités sportives, tout en diminuant le risque de complications. Le but de notre étude était de comparer, pour les tendinopathies de la pointe de la rotule, les résultats du traitement chirurgical à ciel ouvert aux résultats de l’arthroscopie. Nous avons réalisé une étude comparative, rétrospective des patients suivis et opérés d’une tendinopathie chronique récalcitrante de la pointe de la rotule. Notre série est composée de 20 patients, âgés en moyenne de 32,3 ans. Dix patients ont été opérés à ciel ouvert (groupe 1) et dix sous arthroscopie (groupe 2). Le recul moyen pour l’ensemble de la série a été de 29 mois, avec un intervalle de quatre mois à neuf ans et huit mois. Nous avons observé, pour l’ensemble des patients, une amélioration progressive des stades de Blazina et de Leadbetter entre le troisième mois postopératoire et le dernier recul. La récupération de la pratique sportive a augmenté progressivement de 1,7heures par semaine en moyenne au troisième mois postopératoire jusqu’à 6,4heures par semaine en moyenne au dernier recul.
Nous n’avons pas trouvé, au cours du suivi, de différence significative entre les deux groupes, en ce qui concerne les résultats chirurgicaux et la récupération fonctionnelle et sportive.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17492
in Journal de traumatologie du sport > vol. 25/4 (decembre 2008) . - p. 184-191[article] Les tendinopathies de la pointe de la rotule : traitement arthroscopique versus traitement à ciel ouvert [texte imprimé] / Marie-Laure LOUIS ; FRANCESCHI J.-P. ; SBIHI A. . - 2008 . - p. 184-191.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 25/4 (decembre 2008) . - p. 184-191
Mots-clés : Arthroscopie Tendinite Tendon Patella Traitement Chirurgie Résumé : Le traitement chirurgical à ciel ouvert des tendinopathies de la pointe de la rotule a donné de bons résultats, mais au prix d’une longue période de récupération fonctionnelle. Les traitements arthroscopiques se sont développés pour accélérer la période de récupération fonctionnelle et de reprise des activités sportives, tout en diminuant le risque de complications. Le but de notre étude était de comparer, pour les tendinopathies de la pointe de la rotule, les résultats du traitement chirurgical à ciel ouvert aux résultats de l’arthroscopie. Nous avons réalisé une étude comparative, rétrospective des patients suivis et opérés d’une tendinopathie chronique récalcitrante de la pointe de la rotule. Notre série est composée de 20 patients, âgés en moyenne de 32,3 ans. Dix patients ont été opérés à ciel ouvert (groupe 1) et dix sous arthroscopie (groupe 2). Le recul moyen pour l’ensemble de la série a été de 29 mois, avec un intervalle de quatre mois à neuf ans et huit mois. Nous avons observé, pour l’ensemble des patients, une amélioration progressive des stades de Blazina et de Leadbetter entre le troisième mois postopératoire et le dernier recul. La récupération de la pratique sportive a augmenté progressivement de 1,7heures par semaine en moyenne au troisième mois postopératoire jusqu’à 6,4heures par semaine en moyenne au dernier recul.
Nous n’avons pas trouvé, au cours du suivi, de différence significative entre les deux groupes, en ce qui concerne les résultats chirurgicaux et la récupération fonctionnelle et sportive.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17492 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt