Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur METTON G. |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Bassin oblique, luxation de hanche et scoliose dans une population de 120 adultes polyhandicapés. Etude descriptive / HODGKINSON I. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°2 (février 2002)
[article]
Titre : Bassin oblique, luxation de hanche et scoliose dans une population de 120 adultes polyhandicapés. Etude descriptive Type de document : texte imprimé Auteurs : HODGKINSON I. ; BERARD L. ; JINDRICH M. L. ; METTON G. Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 57-61 Mots-clés : Scoliose Luxation Bassin Adulte Résumé : INTRODUCTION: L'objectif de cette étude est d'apporter des données objectives sur l'état neuro-orthopédique de la population des patients polyhandicapés afin d'améliorer nos pratiques tant médicales que chirurgicales. MATÉRIEL ET MÉTHODE : II s'agit d'une étude transversale multicentrique descriptive de la population des patients polyhandicapées de plus de 15 ans, ne marchant pas. Chaque personne a bénéficié d'un examen clinique et radiographique à la recherche d'une scoliose, d'un bassin oblique et d'une excentration de hanche (subluxation ou luxation) ainsi que des différents facteurs cliniques liés au polyhandicap. Le polyhandicap était défini par un handicap grave associant déficience physique et mentale et entraînant une restriction extrême de l'autonomie. RÉSULTATS : La population étudiée était de 120 personnes. La moyenne d'âge était de 27,2 ans. L'étiologie principale était la souffrance foetale (38,3 % des patients). 69 % des patients avaient des possibilités de retournement. L'état orthopédique était sévère: 75,9 % de scolioses, 65,2 % de bassins obliques (75 % à gauche et 25 % à droite), 19,1 % de luxations de hanche. L'état général était précaire: un patient sur deux avait un poids jugé inférieur à la norme, 32,5 % avaient une escarre, 45,2 % souffraient de la hanche et seulement 13,6 % recevaient un traitement antalgique. DISCUSSION ET CONCLUSION : La description de l'état général et neuro-orthopédique de ces 120 personnes ne peut laisser indifférent. Bien que l'espérance de vie de cette population soit diminuée, nous sommes devant un processus de vie et non dans le cadre d'un accompagnement aux mourants. Il est urgent de revoir les soins rééducatifs préventifs dispensés en terme de qualité et de quantité ainsi que les propositions chirurgicales de traitement de l'hypertonie, chez l'enfant et l'adulte.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13044
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°2 (février 2002) . - p. 57-61[article] Bassin oblique, luxation de hanche et scoliose dans une population de 120 adultes polyhandicapés. Etude descriptive [texte imprimé] / HODGKINSON I. ; BERARD L. ; JINDRICH M. L. ; METTON G. . - 2002 . - p. 57-61.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°2 (février 2002) . - p. 57-61
Mots-clés : Scoliose Luxation Bassin Adulte Résumé : INTRODUCTION: L'objectif de cette étude est d'apporter des données objectives sur l'état neuro-orthopédique de la population des patients polyhandicapés afin d'améliorer nos pratiques tant médicales que chirurgicales. MATÉRIEL ET MÉTHODE : II s'agit d'une étude transversale multicentrique descriptive de la population des patients polyhandicapées de plus de 15 ans, ne marchant pas. Chaque personne a bénéficié d'un examen clinique et radiographique à la recherche d'une scoliose, d'un bassin oblique et d'une excentration de hanche (subluxation ou luxation) ainsi que des différents facteurs cliniques liés au polyhandicap. Le polyhandicap était défini par un handicap grave associant déficience physique et mentale et entraînant une restriction extrême de l'autonomie. RÉSULTATS : La population étudiée était de 120 personnes. La moyenne d'âge était de 27,2 ans. L'étiologie principale était la souffrance foetale (38,3 % des patients). 69 % des patients avaient des possibilités de retournement. L'état orthopédique était sévère: 75,9 % de scolioses, 65,2 % de bassins obliques (75 % à gauche et 25 % à droite), 19,1 % de luxations de hanche. L'état général était précaire: un patient sur deux avait un poids jugé inférieur à la norme, 32,5 % avaient une escarre, 45,2 % souffraient de la hanche et seulement 13,6 % recevaient un traitement antalgique. DISCUSSION ET CONCLUSION : La description de l'état général et neuro-orthopédique de ces 120 personnes ne peut laisser indifférent. Bien que l'espérance de vie de cette population soit diminuée, nous sommes devant un processus de vie et non dans le cadre d'un accompagnement aux mourants. Il est urgent de revoir les soins rééducatifs préventifs dispensés en terme de qualité et de quantité ainsi que les propositions chirurgicales de traitement de l'hypertonie, chez l'enfant et l'adulte.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13044 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtDyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique / PARRATTE B. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Dyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : PARRATTE B. ; BONNIAUD V. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; MONNIER G. ; TATU L. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 319-325 Résumé : Introduction.-Les injections de toxine botulique (TB) dans le sphincter strié urétral représentent un traitement en expansion de la dyssynergie vésico-sphinctérienne (DVS), mais il reste pourtant mal codifié. Méthodologie.-Une revue de la littérature par recherche informatique PubMed, complétée par une recherche dans les Annales de réadaptation et de médecine physique et dans les compte-rendus de la Société internationale francophone d'urodynamique et de l'International Continence Society a permis de sélectionner 12 références avec PubMed, deux articles dans les Annales et deux rapports de congrès. Notre analyse s'est focalisée sur les indications, les protocoles d'utilisation et d'évaluation de TB. Résultats.-Utilisées pour la première fois en 1988 chez des patients blessés médullaires afin de lever un obstacle fonctionnel secondaire à une DSV, les injections de TB ont été dès lors une alternative thérapeutique efficace dans la prise en charge des troubles urinaires avec DSV. Elles ont été proposées chez des patients neurologiques incapables de réaliser des sondages intermittents, après échec des traitements médicamenteux et avant d'envisager une intervention chirurgicale. Les critères d'évaluation sont cliniques (augmentation de l'intervalle intermictionnel, diminution des résidus post-mictionnels), urodynamiques (amélioration de la vidange vésicale, augmentation de la capacité vésicale fonctionnelle et diminution des pressions urétrales) et électromyographiques (dénervation du sphincter strié urétral). Type, doses et méthodologie d'utilisation de TB restent cependant très hétérogènes. La durée d'action diffère de 2 à 12 mois selon les protocoles utilisés. Les injections transurétrales, réalisés sous cystoscopie ou transpérinéales, sous contrôle EMG, sont équivalentes en terme d'efficacité. Conclusion.-Devant des effets indésirables négligeables et des résultats satisfaisants, à moyen terme, nous encourageons l'utilisation de la TB comme un traitement de la DVS. Nous proposons une méthodologie pratique d'utilisation.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13094
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 319-325[article] Dyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique [texte imprimé] / PARRATTE B. ; BONNIAUD V. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; MONNIER G. ; TATU L. . - 2003 . - p. 319-325.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 319-325
Résumé : Introduction.-Les injections de toxine botulique (TB) dans le sphincter strié urétral représentent un traitement en expansion de la dyssynergie vésico-sphinctérienne (DVS), mais il reste pourtant mal codifié. Méthodologie.-Une revue de la littérature par recherche informatique PubMed, complétée par une recherche dans les Annales de réadaptation et de médecine physique et dans les compte-rendus de la Société internationale francophone d'urodynamique et de l'International Continence Society a permis de sélectionner 12 références avec PubMed, deux articles dans les Annales et deux rapports de congrès. Notre analyse s'est focalisée sur les indications, les protocoles d'utilisation et d'évaluation de TB. Résultats.-Utilisées pour la première fois en 1988 chez des patients blessés médullaires afin de lever un obstacle fonctionnel secondaire à une DSV, les injections de TB ont été dès lors une alternative thérapeutique efficace dans la prise en charge des troubles urinaires avec DSV. Elles ont été proposées chez des patients neurologiques incapables de réaliser des sondages intermittents, après échec des traitements médicamenteux et avant d'envisager une intervention chirurgicale. Les critères d'évaluation sont cliniques (augmentation de l'intervalle intermictionnel, diminution des résidus post-mictionnels), urodynamiques (amélioration de la vidange vésicale, augmentation de la capacité vésicale fonctionnelle et diminution des pressions urétrales) et électromyographiques (dénervation du sphincter strié urétral). Type, doses et méthodologie d'utilisation de TB restent cependant très hétérogènes. La durée d'action diffère de 2 à 12 mois selon les protocoles utilisés. Les injections transurétrales, réalisés sous cystoscopie ou transpérinéales, sous contrôle EMG, sont équivalentes en terme d'efficacité. Conclusion.-Devant des effets indésirables négligeables et des résultats satisfaisants, à moyen terme, nous encourageons l'utilisation de la TB comme un traitement de la DVS. Nous proposons une méthodologie pratique d'utilisation.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13094 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtÉtude transversale qualitative de l'indépendance fonctionnelle chez 68 garçons valides âgés de 2 à 13 ans / VALENCIA O. in Journal d'ergothérapie, Vol. 22/4 (décembre 2000)
[article]
Titre : Étude transversale qualitative de l'indépendance fonctionnelle chez 68 garçons valides âgés de 2 à 13 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : VALENCIA O. ; BERARD L. ; HODGKINSON I. ; E. Luc-Pupat ; METTON G. Année de publication : 2000 Article en page(s) : p. 156-162 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enfant Autonomie Evaluation Résumé : Propos : L'évaluation de l'indépendance dans les activités de la vie quotidienne, constitue une base de la prise en charge rééducative d'un enfant. Nous voulons savoir s'il existe un décalage entre ce que l'enfant est capable de faire et ce qu'il fait réellement au quotidien. Méthode : Nous interrogeons les parents des 68 garçons valides âgés de 2 à 13 ans. Résultats : Nous mettons en évidence un décalage significatif entre ce que l'enfant est capable de faire dans son environnement et ce qu'il fait réellement. Conclusion : En nous référant aux définitions trouvées dans la littérature, il s'agit de deux mesures de l'indépendance fonctionnelle. Ces résultats nous invitent à nous interroger sur ce qui relève des compétences de l'enfant, de son indépendance fonctionnelle mais aussi de son autonomie. Les outils d'évaluation doivent être fondés sur des critères bien définis, univoques, standardisés et doivent être spécifiques à l'enfant, tenant compte de son processus d'autonomisation.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53997
in Journal d'ergothérapie > Vol. 22/4 (décembre 2000) . - p. 156-162[article] Étude transversale qualitative de l'indépendance fonctionnelle chez 68 garçons valides âgés de 2 à 13 ans [texte imprimé] / VALENCIA O. ; BERARD L. ; HODGKINSON I. ; E. Luc-Pupat ; METTON G. . - 2000 . - p. 156-162.
Langues : Français (fre)
in Journal d'ergothérapie > Vol. 22/4 (décembre 2000) . - p. 156-162
Mots-clés : Enfant Autonomie Evaluation Résumé : Propos : L'évaluation de l'indépendance dans les activités de la vie quotidienne, constitue une base de la prise en charge rééducative d'un enfant. Nous voulons savoir s'il existe un décalage entre ce que l'enfant est capable de faire et ce qu'il fait réellement au quotidien. Méthode : Nous interrogeons les parents des 68 garçons valides âgés de 2 à 13 ans. Résultats : Nous mettons en évidence un décalage significatif entre ce que l'enfant est capable de faire dans son environnement et ce qu'il fait réellement. Conclusion : En nous référant aux définitions trouvées dans la littérature, il s'agit de deux mesures de l'indépendance fonctionnelle. Ces résultats nous invitent à nous interroger sur ce qui relève des compétences de l'enfant, de son indépendance fonctionnelle mais aussi de son autonomie. Les outils d'évaluation doivent être fondés sur des critères bien définis, univoques, standardisés et doivent être spécifiques à l'enfant, tenant compte de son processus d'autonomisation.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53997 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtHypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique / MONNIER G. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Hypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : MONNIER G. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; PARRATTE B. ; TATU L. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 338-345 Résumé : Objectif-Les premières études cliniques font penser que la toxine botulique est efficace dans le traitement de l'hypersudation et de l'hypersialorrhée. Le but de ce travail est de faire le point sur l'évaluation actuelle d'une telle utilisation. Méthode.-Une revue de la littérature a été effectuée sur la base de données informatique Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages. Les articles nous paraissant les plus attractifs en fonction de notre expérience personnelle, ont été sélectionnés. Résultats.-Malgré l'introduction récente de la toxine botulique dans le traitement de l'hyperhidrose focale, les parutions sont déjà nombreuses à ce sujet depuis 1997. Néanmoins les régions injectées ne sont pas recensées avec la même fréquence. L'hyperhidrose axillaire est le sujet le plus abondamment traité ; c'est aussi dans ce cadre et dans le syndrome de Frey que les meilleurs résultats sont obtenus. Les publications consacrées à l'hyperhidrose palmaire et surtout plantaire sont beaucoup plus rares, voire anecdotiques. L'efficacité des injections de toxine botulique y est moins affirmée. La littérature consacrée à l'hypersialorrhée est encore balbutiante. La réduction de la production de salive consécutive à l'injection intraparenchymateuse de toxine dans les glandes parotide et ou submandibulaire, raréfiant du même coup les phénomènes de bavage, a toutefois été démontrée. Dans l'une et l'autre indications, les techniques d'injection comme les doses optimales restent à préciser. Discussion.-Dans la mesure où la toxine botulique bloque toute transmission cholinergique, y compris du système nerveux autonome, il était plausible d'attendre un effet réducteur de la sudation et de la salivation provoqué par l'injection locale du produit. De fait, les premières publications ont démontré une telle efficacité sans effets secondaires graves. Pour l'hyperhidrose, l'attitude presque consensuelle qui se dégage, consiste à pratiquer des infiltrations strictement intra-épidermiques. Des injections réalisées au niveau des régions axillaires, des paumes de main, des soles plantaires, de la face ou d'autres territoires cutanés, c'est certainement l'hyperhidrose palmoplantaire qui est la moins accessible, en tout cas qui pose le plus de problèmes techniques en raison des difficultés à obtenir une bonne analgésie. Contre la sialorrhée et les phénomènes de bavage qui accompagnent certaines maladies neurologiques chroniques, la toxine botulique paraît avoir des effets très prometteurs. Toutefois l'objectif précis n'a pas encore été déterminé entre la glande parotide, la glande submandibulaire, ou les deux ? Les moyens de ciblage nécessaires et suffisants sont encore imprécis. Le nombre de sites par glande et les doses à injecter restent aussi à déterminer.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13213
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 338-345[article] Hypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique [texte imprimé] / MONNIER G. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; PARRATTE B. ; TATU L. . - 2003 . - p. 338-345.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 338-345
Résumé : Objectif-Les premières études cliniques font penser que la toxine botulique est efficace dans le traitement de l'hypersudation et de l'hypersialorrhée. Le but de ce travail est de faire le point sur l'évaluation actuelle d'une telle utilisation. Méthode.-Une revue de la littérature a été effectuée sur la base de données informatique Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages. Les articles nous paraissant les plus attractifs en fonction de notre expérience personnelle, ont été sélectionnés. Résultats.-Malgré l'introduction récente de la toxine botulique dans le traitement de l'hyperhidrose focale, les parutions sont déjà nombreuses à ce sujet depuis 1997. Néanmoins les régions injectées ne sont pas recensées avec la même fréquence. L'hyperhidrose axillaire est le sujet le plus abondamment traité ; c'est aussi dans ce cadre et dans le syndrome de Frey que les meilleurs résultats sont obtenus. Les publications consacrées à l'hyperhidrose palmaire et surtout plantaire sont beaucoup plus rares, voire anecdotiques. L'efficacité des injections de toxine botulique y est moins affirmée. La littérature consacrée à l'hypersialorrhée est encore balbutiante. La réduction de la production de salive consécutive à l'injection intraparenchymateuse de toxine dans les glandes parotide et ou submandibulaire, raréfiant du même coup les phénomènes de bavage, a toutefois été démontrée. Dans l'une et l'autre indications, les techniques d'injection comme les doses optimales restent à préciser. Discussion.-Dans la mesure où la toxine botulique bloque toute transmission cholinergique, y compris du système nerveux autonome, il était plausible d'attendre un effet réducteur de la sudation et de la salivation provoqué par l'injection locale du produit. De fait, les premières publications ont démontré une telle efficacité sans effets secondaires graves. Pour l'hyperhidrose, l'attitude presque consensuelle qui se dégage, consiste à pratiquer des infiltrations strictement intra-épidermiques. Des injections réalisées au niveau des régions axillaires, des paumes de main, des soles plantaires, de la face ou d'autres territoires cutanés, c'est certainement l'hyperhidrose palmoplantaire qui est la moins accessible, en tout cas qui pose le plus de problèmes techniques en raison des difficultés à obtenir une bonne analgésie. Contre la sialorrhée et les phénomènes de bavage qui accompagnent certaines maladies neurologiques chroniques, la toxine botulique paraît avoir des effets très prometteurs. Toutefois l'objectif précis n'a pas encore été déterminé entre la glande parotide, la glande submandibulaire, ou les deux ? Les moyens de ciblage nécessaires et suffisants sont encore imprécis. Le nombre de sites par glande et les doses à injecter restent aussi à déterminer.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13213 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPlace de la chirurgie dans la prise en charge des hanches spastiques chez l'enfant infirme moteur cérébral / J. Cottalorda in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 43, n°4 (mai 2000)
[article]
Titre : Place de la chirurgie dans la prise en charge des hanches spastiques chez l'enfant infirme moteur cérébral Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Cottalorda ; S. BOURELLE ; CHARMET E. ; Vincent Gautheron ; METTON G. Année de publication : 2000 Article en page(s) : p. 202-203 Mots-clés : Spasticité Chirurgie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13375
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 43, n°4 (mai 2000) . - p. 202-203[article] Place de la chirurgie dans la prise en charge des hanches spastiques chez l'enfant infirme moteur cérébral [texte imprimé] / J. Cottalorda ; S. BOURELLE ; CHARMET E. ; Vincent Gautheron ; METTON G. . - 2000 . - p. 202-203.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 43, n°4 (mai 2000) . - p. 202-203
Mots-clés : Spasticité Chirurgie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13375 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLes ténotomies des adducteurs chez l'enfant infirme moteur cérébral tétraparétique spastique. Revue de 59 cas à sept ans de recul / J. Cottalorda in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 43, n°4 (mai 2000)
Permalink