Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur P. Moretto |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Analyse des asymétries baropodométriques lors de la marche chez le sujet valide : application à l'étude des asymétries chez l'enfant infirme moteur cérébral / FEMERY V. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°3 (mars 2002)
[article]
Titre : Analyse des asymétries baropodométriques lors de la marche chez le sujet valide : application à l'étude des asymétries chez l'enfant infirme moteur cérébral Type de document : texte imprimé Auteurs : FEMERY V. ; LENSEL G. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 114-122 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : OBJECTIFS : Le but de cette étude est d'analyser, dans un premier temps, la distribution des pressions plantaires chez les sujets valides afin de confirmer ou infirmer les résultats de travaux précédents sur la nature asymétrique de la phase d'appui. L'étude des dissymétries est basée sur l'identification d'un pied amortisseur et d'un pied propulseur suivant un concept introduit par Viel. Dans un deuxième temps, l'approche a été appliquée à l'étude des asymétries de la marche chez deux enfants hémiplégiques atteints d'infirmité motrice cérébrale. MATÉRIEL ET MÉTHODE : Trente sujets valides et deux enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile (H1 et H2) ont participé à un test de marche à allure libre. L'enregistrement des paramètres baropodométriques est réalisé grâce à un système de semelles embarquées (Parotec, by Paromed Medizintechnik, GMBH, Germany). Les pics de pression ont été étudiés à partir de l'enregistrement des pressions sous huit zones de l'empreinte plantaire. Un programme a calculé la somme des forces sous le talon et déterminé le pied amortisseur. Par défaut le pied controlatéral est dit propulseur. RÉSULTATS : La nature asymétrique de la phase d'appui des sujets valides est confirmée. Au talon, des pics de pression inférieurs de 28 % sont notés sous le pied amortisseur comparé au pied propulseur. A l'inverse, sous les têtes métatarsiennes et l'hallux, les pics de pression sont supérieurs de 32 % en moyenne sous le pied propulseur. Pour les deux sujets hémiplégiques, le profil de distribution des pressions plantaires met également en évidence des différences significatives entre pied non-atteint et atteint. Les pics de pression sous le talon du pied atteint sont respectivement inférieurs de 21 % et 97 % pour H1 et H2. La fonction d'amortissement est retrouvée et associée au membre atteint. La fonction de propulsion n'est pas systématiquement retrouvée sous le pied non-atteint. DISCUSSION-CONCLUSION : L'analyse des mesures baropodométriques de la marche des sujets valides met en évidence des différences entre les deux membres inférieurs. Ces asymétries baropodométriques émergent d'une organisation fonctionnelle naturelle des appuis distinguant un pied amortisseur et un pied propulseur et corroborant le concept introduit par Viel. La marche hémiplégique présente également des asymétries baropodométriques en accord, en partie, avec une logique fonctionnelle personnalisée d'amorti et de propulsion. Toutefois, le profil asymétrique peut aussi résulter d'une stratégie d'auto-optimisation de la marche compensant les perturbations biomécaniques, anatomiques et physiologiques secondaires à la lésion cérébrale.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13018
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°3 (mars 2002) . - p. 114-122[article] Analyse des asymétries baropodométriques lors de la marche chez le sujet valide : application à l'étude des asymétries chez l'enfant infirme moteur cérébral [texte imprimé] / FEMERY V. ; LENSEL G. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon . - 2002 . - p. 114-122.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°3 (mars 2002) . - p. 114-122
Mots-clés : Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : OBJECTIFS : Le but de cette étude est d'analyser, dans un premier temps, la distribution des pressions plantaires chez les sujets valides afin de confirmer ou infirmer les résultats de travaux précédents sur la nature asymétrique de la phase d'appui. L'étude des dissymétries est basée sur l'identification d'un pied amortisseur et d'un pied propulseur suivant un concept introduit par Viel. Dans un deuxième temps, l'approche a été appliquée à l'étude des asymétries de la marche chez deux enfants hémiplégiques atteints d'infirmité motrice cérébrale. MATÉRIEL ET MÉTHODE : Trente sujets valides et deux enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile (H1 et H2) ont participé à un test de marche à allure libre. L'enregistrement des paramètres baropodométriques est réalisé grâce à un système de semelles embarquées (Parotec, by Paromed Medizintechnik, GMBH, Germany). Les pics de pression ont été étudiés à partir de l'enregistrement des pressions sous huit zones de l'empreinte plantaire. Un programme a calculé la somme des forces sous le talon et déterminé le pied amortisseur. Par défaut le pied controlatéral est dit propulseur. RÉSULTATS : La nature asymétrique de la phase d'appui des sujets valides est confirmée. Au talon, des pics de pression inférieurs de 28 % sont notés sous le pied amortisseur comparé au pied propulseur. A l'inverse, sous les têtes métatarsiennes et l'hallux, les pics de pression sont supérieurs de 32 % en moyenne sous le pied propulseur. Pour les deux sujets hémiplégiques, le profil de distribution des pressions plantaires met également en évidence des différences significatives entre pied non-atteint et atteint. Les pics de pression sous le talon du pied atteint sont respectivement inférieurs de 21 % et 97 % pour H1 et H2. La fonction d'amortissement est retrouvée et associée au membre atteint. La fonction de propulsion n'est pas systématiquement retrouvée sous le pied non-atteint. DISCUSSION-CONCLUSION : L'analyse des mesures baropodométriques de la marche des sujets valides met en évidence des différences entre les deux membres inférieurs. Ces asymétries baropodométriques émergent d'une organisation fonctionnelle naturelle des appuis distinguant un pied amortisseur et un pied propulseur et corroborant le concept introduit par Viel. La marche hémiplégique présente également des asymétries baropodométriques en accord, en partie, avec une logique fonctionnelle personnalisée d'amorti et de propulsion. Toutefois, le profil asymétrique peut aussi résulter d'une stratégie d'auto-optimisation de la marche compensant les perturbations biomécaniques, anatomiques et physiologiques secondaires à la lésion cérébrale.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13018 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtDétermination d'un seuil de pression plantaire attendu : utilisation de l'approche adimensionnelle pour réduire la variabilité des pressions plantaires / BISIAUX M. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°8 (novembre 2003)
[article]
Titre : Détermination d'un seuil de pression plantaire attendu : utilisation de l'approche adimensionnelle pour réduire la variabilité des pressions plantaires Type de document : texte imprimé Auteurs : BISIAUX M. ; LENSEL G. ; P. Moretto ; André Thevenon Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 539-544 Mots-clés : démarche Résumé : Objectif.-Le but de cette étude est de vérifier que la détermination de vitesses proportionnelles à la longueur segmentaire des sujets et l'expression adimensionnelle des résultats permet de réduire la variabilité et de déterminer un seuil de pression plantaire. Matériel et méthode.-Quinze sujets masculins ont participé à deux tests de marche réalisés sur tapis roulant à vitesses imposées (V et V) puis à vitesses similaires (V et V). Les vitesses similaires (V = N(g.L)) sont déterminées à partir de deux fractions du nombre de Froude (N), de l'accélération gravitationnelle (g) et de la hauteur trochanter-sol des sujets (L). L'enregistrement des paramètres baropodométriques est réalisé grâce à un système de semelles embarquées. L'expression adimensionnelle d'un pic de pression (Dim(P)= p.a2 mg ) consiste à rapporter le pic de pression (P) à l'amplitude du pas (a) et au poids du sujet (mg). Les coefficients de variation (CoV) et les étendues des pics de pressions (E) adimensionnels sont étudiés aux différentes vitesses imposées. Résultats.-Les CoV et E des pics de pressions adimensionnels enregistrés aux vitesses similaires sont respectivement inférieurs de 2 à 9 % et 3 à 22 % à ceux enregistrés à V et V. Discussion-conclusion.-L'analyse des CoV et des E montre que cette méthode doit permettre d'élaborer une base de données utilisable pour détecter les effets d'une pathologie sur la distribution des pressions plantaires. En effet, nos résultats permettent de définir un profil de pression plantaire dont la variabilité est inférieure aux données de la littérature.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13084
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°8 (novembre 2003) . - p. 539-544[article] Détermination d'un seuil de pression plantaire attendu : utilisation de l'approche adimensionnelle pour réduire la variabilité des pressions plantaires [texte imprimé] / BISIAUX M. ; LENSEL G. ; P. Moretto ; André Thevenon . - 2003 . - p. 539-544.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°8 (novembre 2003) . - p. 539-544
Mots-clés : démarche Résumé : Objectif.-Le but de cette étude est de vérifier que la détermination de vitesses proportionnelles à la longueur segmentaire des sujets et l'expression adimensionnelle des résultats permet de réduire la variabilité et de déterminer un seuil de pression plantaire. Matériel et méthode.-Quinze sujets masculins ont participé à deux tests de marche réalisés sur tapis roulant à vitesses imposées (V et V) puis à vitesses similaires (V et V). Les vitesses similaires (V = N(g.L)) sont déterminées à partir de deux fractions du nombre de Froude (N), de l'accélération gravitationnelle (g) et de la hauteur trochanter-sol des sujets (L). L'enregistrement des paramètres baropodométriques est réalisé grâce à un système de semelles embarquées. L'expression adimensionnelle d'un pic de pression (Dim(P)= p.a2 mg ) consiste à rapporter le pic de pression (P) à l'amplitude du pas (a) et au poids du sujet (mg). Les coefficients de variation (CoV) et les étendues des pics de pressions (E) adimensionnels sont étudiés aux différentes vitesses imposées. Résultats.-Les CoV et E des pics de pressions adimensionnels enregistrés aux vitesses similaires sont respectivement inférieurs de 2 à 9 % et 3 à 22 % à ceux enregistrés à V et V. Discussion-conclusion.-L'analyse des CoV et des E montre que cette méthode doit permettre d'élaborer une base de données utilisable pour détecter les effets d'une pathologie sur la distribution des pressions plantaires. En effet, nos résultats permettent de définir un profil de pression plantaire dont la variabilité est inférieure aux données de la littérature.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13084 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtEffets des vitesses de marche similaires et de la classification fonctionnelle de l'appui sur la variabilité de la composante verticale de la force de réaction au sol / LEFEVRE B. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 47, n°4 (mai 2004)
[article]
Titre : Effets des vitesses de marche similaires et de la classification fonctionnelle de l'appui sur la variabilité de la composante verticale de la force de réaction au sol Type de document : texte imprimé Auteurs : LEFEVRE B. ; André Thevenon ; P. Moretto Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.164-168 Langues : Français (fre) Mots-clés : Classification Locomotion Verticalisation démarche Résumé : Introduction.-La variabilité dé la force de réaction normale au sol (F(z)) est un facteur limitant dans l'analyse clinique des paramètres cinétiques enregistrés lors de la marche. Objectif.-L'objet de cette étude est la réduction de la variabilité interindividuelle de la force normale de réaction au sol: F(z). Matériel et méthode.-La méthode testée consiste à imposer une vitesse similaire aux sujets lors de tests de marche, puis à classer les pieds selon leur fonction : amortisseur ou propulseur. Un groupe de sept jeunes adultes valides procède au premier test de marche à vitesse spontanée (V) puis au second à vitesse similaire (V =N. g.l; avec Nfr le nombre de Froude, g l'accélération gravitationnelle et l la longueur du membre inférieur). Deux plateformes de force enregistrent la F(z) de deux pas consécutifs. Les forces normales F(z) et leurs coefficients de variation moyens (CoV) sont retenus afin de tester l'effet de la vitesse (V et V) et de la classification fonctionnelle sur la variabilité interindividuelle. Résultats.- Le CoV de la F(z) diminue de 13 à 8 % lorsque les sujets se déplacent à vitesses similaires plutôt qu'à vitesse spontanée. Cette variabilité diminue encore de 1 à 1,5 % après classement des données selon les fonctions d'amorti et de propulsion. Conclusion.-La variabilité interindividuelle de la F(z) est significativement diminuée par des tests réalisés à vitesses similaires et l'identification de facteurs fonctionnels tels que l'amorti et la propulsion. Le couplage des méthodes décrites doit permettre au clinicien de constituer une base de données qui, entachée d'une moindre variabilité, devrait faciliter la détection des pathologies affectant les forces de réaction au sol.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13101
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°4 (mai 2004) . - p.164-168[article] Effets des vitesses de marche similaires et de la classification fonctionnelle de l'appui sur la variabilité de la composante verticale de la force de réaction au sol [texte imprimé] / LEFEVRE B. ; André Thevenon ; P. Moretto . - 2004 . - p.164-168.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°4 (mai 2004) . - p.164-168
Mots-clés : Classification Locomotion Verticalisation démarche Résumé : Introduction.-La variabilité dé la force de réaction normale au sol (F(z)) est un facteur limitant dans l'analyse clinique des paramètres cinétiques enregistrés lors de la marche. Objectif.-L'objet de cette étude est la réduction de la variabilité interindividuelle de la force normale de réaction au sol: F(z). Matériel et méthode.-La méthode testée consiste à imposer une vitesse similaire aux sujets lors de tests de marche, puis à classer les pieds selon leur fonction : amortisseur ou propulseur. Un groupe de sept jeunes adultes valides procède au premier test de marche à vitesse spontanée (V) puis au second à vitesse similaire (V =N. g.l; avec Nfr le nombre de Froude, g l'accélération gravitationnelle et l la longueur du membre inférieur). Deux plateformes de force enregistrent la F(z) de deux pas consécutifs. Les forces normales F(z) et leurs coefficients de variation moyens (CoV) sont retenus afin de tester l'effet de la vitesse (V et V) et de la classification fonctionnelle sur la variabilité interindividuelle. Résultats.- Le CoV de la F(z) diminue de 13 à 8 % lorsque les sujets se déplacent à vitesses similaires plutôt qu'à vitesse spontanée. Cette variabilité diminue encore de 1 à 1,5 % après classement des données selon les fonctions d'amorti et de propulsion. Conclusion.-La variabilité interindividuelle de la F(z) est significativement diminuée par des tests réalisés à vitesses similaires et l'identification de facteurs fonctionnels tels que l'amorti et la propulsion. Le couplage des méthodes décrites doit permettre au clinicien de constituer une base de données qui, entachée d'une moindre variabilité, devrait faciliter la détection des pathologies affectant les forces de réaction au sol.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13101 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtImpacts au Rugby à XV : suivi longitudinal et distribution par postes en club Elite / F. Lokteff in Science & sports, Vol.37 N°4 (Juin 2022)
[article]
Titre : Impacts au Rugby à XV : suivi longitudinal et distribution par postes en club Elite Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Lokteff ; R. Canet ; S. Drissi ; P. Moretto Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 286-293 Note générale : https://doi : 10.1016/j.scispo.2021.08.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Accéléromètre Impact Intensité Évènement poste Résumé : Objectif
La principale cause de blessure au rugby à XV est l’impact. Les impacts sont enregistrés et classés selon quatre classes d’intensités grâce aux centrales inertielles embarquées avec l’unité GPS portée par les joueurs. Ainsi près de 800 impacts par match sont recensés pour seulement 23 joueurs. Ces impacts sont d’intensités variables suivant les joueurs et les actions au cours du jeu. Notre étude menée sur les données collectées pendant 2 ans de championnat Elite propose de recenser les effets de facteurs environnementaux fluctuant en cours de saison ainsi qu’une discussion sur la distribution des impacts par postes.
Méthodologie
L’étude est basée sur le traitement des rapports de match de 35 joueurs professionnels et 12 joueurs espoirs lors des saisons 2018 et 2019. Chaque joueur portait un GPS attitré de type S5 (Innovations Catapult, Scoresby, VIC, Australia). Les données ont été analysées sur R (v 3.6.1).
Résultats
Les résultats de cette étude démontrent qu’il existe une variation significative du nombre et de l’intensité des impacts entre les groupes de postes alors que l’endroit où se joue le match, le résultat du match, la compétition jouée ou la chronologie des matchs n’ont pas d’influence significative. Il apparaît que les arrières sont impliqués dans moins d’impacts que les avants, mais que l’intensité des impacts est supérieure.
Conclusion
L’évolution du rugby moderne entraîne une aggravation des lésions liées aux impacts. Cette étude a permis de quantifier les différences entre les 4 postes avant et les 5 postes arrière en termes d’intensité et de probabilité. Les joueurs affectés à différents postes ont des morphologies et capacités physiques et techniques différentes qui peuvent expliquer nos observations et pourront être retenues comme critères objectifs de suivi de l’entraînement voire de sélection. Des études complémentaires sont nécessaires pour intégrer les caractéristiques cognitives des joueurs et prendre en compte l’influence des stratégies collectives.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104838
in Science & sports > Vol.37 N°4 (Juin 2022) . - p. 286-293[article] Impacts au Rugby à XV : suivi longitudinal et distribution par postes en club Elite [texte imprimé] / F. Lokteff ; R. Canet ; S. Drissi ; P. Moretto . - 2022 . - p. 286-293.
https://doi : 10.1016/j.scispo.2021.08.005
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.37 N°4 (Juin 2022) . - p. 286-293
Mots-clés : Accéléromètre Impact Intensité Évènement poste Résumé : Objectif
La principale cause de blessure au rugby à XV est l’impact. Les impacts sont enregistrés et classés selon quatre classes d’intensités grâce aux centrales inertielles embarquées avec l’unité GPS portée par les joueurs. Ainsi près de 800 impacts par match sont recensés pour seulement 23 joueurs. Ces impacts sont d’intensités variables suivant les joueurs et les actions au cours du jeu. Notre étude menée sur les données collectées pendant 2 ans de championnat Elite propose de recenser les effets de facteurs environnementaux fluctuant en cours de saison ainsi qu’une discussion sur la distribution des impacts par postes.
Méthodologie
L’étude est basée sur le traitement des rapports de match de 35 joueurs professionnels et 12 joueurs espoirs lors des saisons 2018 et 2019. Chaque joueur portait un GPS attitré de type S5 (Innovations Catapult, Scoresby, VIC, Australia). Les données ont été analysées sur R (v 3.6.1).
Résultats
Les résultats de cette étude démontrent qu’il existe une variation significative du nombre et de l’intensité des impacts entre les groupes de postes alors que l’endroit où se joue le match, le résultat du match, la compétition jouée ou la chronologie des matchs n’ont pas d’influence significative. Il apparaît que les arrières sont impliqués dans moins d’impacts que les avants, mais que l’intensité des impacts est supérieure.
Conclusion
L’évolution du rugby moderne entraîne une aggravation des lésions liées aux impacts. Cette étude a permis de quantifier les différences entre les 4 postes avant et les 5 postes arrière en termes d’intensité et de probabilité. Les joueurs affectés à différents postes ont des morphologies et capacités physiques et techniques différentes qui peuvent expliquer nos observations et pourront être retenues comme critères objectifs de suivi de l’entraînement voire de sélection. Des études complémentaires sont nécessaires pour intégrer les caractéristiques cognitives des joueurs et prendre en compte l’influence des stratégies collectives.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104838 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSpasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile / FEMERY V. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Spasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile Type de document : texte imprimé Auteurs : FEMERY V. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 26-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Spasticité Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectif : Le but de cette étude était d'analyser la distribution des pressions plantaires chez neuf enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile afin de mettre en évidence les perturbations dynamiques lors de la phase d'appui liées au degré de spasticité. Matériel et méthode : L'évaluation de la spasticité de différents muscles des membres inférieurs d'après la méthode d'Aschworth a permis d'identifier deux groupes de sujets hémiplégiques. Les groupes Asch 1 et Asch 3 présentent respectivement une légère et une forte spasticité. Les pics de pression ont été enregistrés à l'aide d'un système de semelles embarquées intégrant 16 capteurs (Parotec by Paromed Medinzintechnik GMBH, Germany) chez 30 sujets valides et pour les deux groupes de sujets hémiplégiques spastiques au cours de cycles de marche consécutifs. Résultats : L'étude statistique a montré une similitude entre les sujets hémiplégiques : les pics de pression sous le médio-pied sont jusqu'à cinq fois supérieurs à ceux du groupe contrôle. En revanche, le profil de distribution des pressions plantaires est très spécifique à chaque groupe sous les autres zones du pied. En présence d'une spasticité importante, les perturbations les plus significatives sont apparues, au niveau du membre atteint, sous la première tête métatarsienne et l'hallux. Discussion-conclusion : La spasticité modifie l'appui du pied au sol et entraîne suivant son intensité des profils de distribution plantaire spécifiques. La position en équin du pied et la griffe des orteils induite par une spasticité importante semble être un facteur non négligeable des perturbations de la phase d'appui terminale. Toutefois le patron de marche adopté par les sujets hémiplégiques semble répondre à certains critères d'optimisation telle que la stabilité.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13439
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 26-34[article] Spasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile [texte imprimé] / FEMERY V. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon . - 2001 . - p. 26-34.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 26-34
Mots-clés : Spasticité Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectif : Le but de cette étude était d'analyser la distribution des pressions plantaires chez neuf enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile afin de mettre en évidence les perturbations dynamiques lors de la phase d'appui liées au degré de spasticité. Matériel et méthode : L'évaluation de la spasticité de différents muscles des membres inférieurs d'après la méthode d'Aschworth a permis d'identifier deux groupes de sujets hémiplégiques. Les groupes Asch 1 et Asch 3 présentent respectivement une légère et une forte spasticité. Les pics de pression ont été enregistrés à l'aide d'un système de semelles embarquées intégrant 16 capteurs (Parotec by Paromed Medinzintechnik GMBH, Germany) chez 30 sujets valides et pour les deux groupes de sujets hémiplégiques spastiques au cours de cycles de marche consécutifs. Résultats : L'étude statistique a montré une similitude entre les sujets hémiplégiques : les pics de pression sous le médio-pied sont jusqu'à cinq fois supérieurs à ceux du groupe contrôle. En revanche, le profil de distribution des pressions plantaires est très spécifique à chaque groupe sous les autres zones du pied. En présence d'une spasticité importante, les perturbations les plus significatives sont apparues, au niveau du membre atteint, sous la première tête métatarsienne et l'hallux. Discussion-conclusion : La spasticité modifie l'appui du pied au sol et entraîne suivant son intensité des profils de distribution plantaire spécifiques. La position en équin du pied et la griffe des orteils induite par une spasticité importante semble être un facteur non négligeable des perturbations de la phase d'appui terminale. Toutefois le patron de marche adopté par les sujets hémiplégiques semble répondre à certains critères d'optimisation telle que la stabilité.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13439 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt