Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
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Men Who Were Sexually Abused in Childhood and Subsequent Suicidal Ideation : Community Comparison, Explanations and Practice Implications / Patrick O'Leary in The british journal of social work, 5, vol. 39 (July 2009)
[article]
Titre : Men Who Were Sexually Abused in Childhood and Subsequent Suicidal Ideation : Community Comparison, Explanations and Practice Implications Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick O'Leary, Auteur ; Nick Gould, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 950-968 Langues : Anglais (eng) Catégories : Cardijn
Homme
TS
Crimes sexuels # Suicide # VictimesRésumé : "In the Western world, men are particularly vulnerable to suicide, so it is important to undertake research that helps explain the manifestation of suicidality. This is one of the few studies to date that have researched men who were sexually abused in childhood and their presentation of suicidal ideation, much of the previous research with this focus having been restricted to women. The study draws on a clinical sample of 147 Australian men who were sexually abused in childhood, of whom thirty-nine also gave open-ended interviews, and comparisons are made with a community sample of 1,231 men. It was found that the sexually abused men were up to ten times more likely to report suicidal ideation than the controls. To understand risk factors for suicidal ideation, a predictive regression model was constructed, the most important variables in this model being self-blame, isolation and physical injuries sustained from the abuse. These variables are further explored and illuminated from the qualitative data. Key implications of the study for social work practice include the need for screening and assessment of men in clinical populations as well as in other vulnerable populations. Limitations of the study and future areas of inquiry are also outlined." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14322
in The british journal of social work > 5, vol. 39 (July 2009) . - pp. 950-968[article] Men Who Were Sexually Abused in Childhood and Subsequent Suicidal Ideation : Community Comparison, Explanations and Practice Implications [texte imprimé] / Patrick O'Leary, Auteur ; Nick Gould, Auteur . - 2009 . - pp. 950-968.
Langues : Anglais (eng)
in The british journal of social work > 5, vol. 39 (July 2009) . - pp. 950-968
Catégories : Cardijn
Homme
TS
Crimes sexuels # Suicide # VictimesRésumé : "In the Western world, men are particularly vulnerable to suicide, so it is important to undertake research that helps explain the manifestation of suicidality. This is one of the few studies to date that have researched men who were sexually abused in childhood and their presentation of suicidal ideation, much of the previous research with this focus having been restricted to women. The study draws on a clinical sample of 147 Australian men who were sexually abused in childhood, of whom thirty-nine also gave open-ended interviews, and comparisons are made with a community sample of 1,231 men. It was found that the sexually abused men were up to ten times more likely to report suicidal ideation than the controls. To understand risk factors for suicidal ideation, a predictive regression model was constructed, the most important variables in this model being self-blame, isolation and physical injuries sustained from the abuse. These variables are further explored and illuminated from the qualitative data. Key implications of the study for social work practice include the need for screening and assessment of men in clinical populations as well as in other vulnerable populations. Limitations of the study and future areas of inquiry are also outlined." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14322 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER BJS 39/5 (2009) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Réserve Périodiques Disponible
Titre : Peut-on demander à la justice qu'elle nous venge ? Type de document : enregistrement sonore non musical Editeur : Bruxelles [Belgique] : Parresia media Année de publication : 2023 Importance : 40 min Langues : Français (fre) Catégories : TS
Attentats # Justice réparatrice # Terrorisme # Victimes # Victimes du terrorisme # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "32 personnes sont mortes. 32 vies ont été pulvérisées par les visses, boulons et écrous des bombes artisanales construites par les terroristes. Ces personnes étaient de multiples nationalités : belge bien sûr, mais aussi néerlandaise, congolaise, suédoise, libérienne, britannique, marocaine, italienne, indienne, polonaise, chinoise et américaine. Parmi elles, aucune n’était directement concernée par Daesh ou impliquée dans le conflit en Syrie. Aucune n’était personnellement visée par les actes meurtriers. Elles avaient en commun d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Toutes également malchanceuses, 296 personnes ont été blessées, et un nombre encore bien plus grand ont été profondément traumatisées. Au final, c’est l’ensemble de notre société qui a été ébranlé, au point que, 7 années plus tard, le procès des attentats de Bruxelles arrive comme un événement, une partie de cette tragédie historique, une étape du deuil que nous avons à traverser. Dans pareille situation, un des rôles de la justice est d’éviter que les victimes encore vivantes ne soient prises d’un désir de vengeance. Elles en auraient pourtant toutes les raisons. La barbarie des actes justifie amplement le déploiement d’une colère sans limites. Cette colère n’est d’ailleurs pas circonscrite aux personnes directement lésées. Même si elles sont de multiples nationalités, ces victimes sont aussi les nôtres. Chacun d’entre nous aurait pu être à Zaventem ou à Maelbeek, ou y perdre des proches. A travers les personnes fauchées, c’est nous tous qui avons été attaqués, et sommes potentiellement habités du désir de nous venger. Y consentir reviendrait cependant à sortir de l’État de droits et c’est pour cela qu’il faut agir avec tous les moyens nécessaires pour que les victimes et la population saisissent que justice va être rendue. Dans le cas contraire, en plus de l’injustice des faits, se développera un autre malaise : le sentiment de l’injustice d’un système. Est-ce que, pour autant, on peut demander à l’État de « venger » les victimes dans le sens d’une punition qui dépendrait de l’ampleur des émotions en présence ? Est-ce que l’on peut demander vengeance dans le sens de traitements qui feraient ressentir aux coupables ce qu’ils ont causé aux victimes ? quelque chose qui leur permette de comprendre la violence, la déshumanisation et l’absurdité de ce qu’ils ont pu faire endurer ? La tentation est grande et on voit bien que ses effets ont déjà commencé. En construisant des cages démesurées, en faisant subir aux accusés des fouilles quotidiennes et humiliantes, en présumant coupable toute personne qui, de près ou de loin, était en contact avec les terroristes… l’histoire récente du procès illustre une dynamique de compensation émotionnelle bien plus qu’une recherche de principes et de droits humains. Les droits humains d’ailleurs, les coupables ont bien montré qu’ils s’en « lavaient les mains ». Serait-il juste que ces droits les protègent alors qu’eux-mêmes s’en sont détournés pour rejoindre Daesh ? Serait-il juste qu’ils en bénéficient alors qu’ils les ont volontairement bafoués en planifiant et perpétrant ces massacres ? En outre, certes la gestion des accusés est teintée de revanche, mais cela reste très mesuré au regard de ce que les victimes ont subi. Avalanche de questions et de sentiments, tous à mes yeux légitimes. En sens inverse pourtant et en guise d’édito, permettez-moi de souligner plusieurs pistes que je trouve intéressantes à ce niveau. La première est de prendre le temps de reconnaître le plus justement possible les faits, les dégâts et les injustices endurées. Il s’agit d’écouter, et de faire comprendre que rien ne sera oublié. Par l’ampleur de son dispositif, l’action de la justice doit répondre à la gravité de ce qui s’est passé. En plus de l’écoute des victimes, les moyens doivent ici permettre d’établir toutes les culpabilités : celle des auteurs directs, celle de leur complices plus ou moins actifs, celle de Daesh et de ses stratégies manipulatrices. Dans l’identification des culpabilités, le ressentiment évoqué plus haut peut cependant jouer un mauvais rôle. Nos émotions ont en effet tendance à réfléchir en miroir : comme les victimes individuelles sont connues, nous sommes souvent conduits à penser que les individus incriminables sont tout aussi faciles à identifier. Nos sentiments nous amènent à croire que leur culpabilité est à la mesure de l’innocence des victimes. Dans sa dynamique émotionnelle, le procès comporte une logique transformationnelle : convertissant l’innocence d’individus victimes en une culpabilité, de même intensité, des accusés. Mais, penser de la sorte, n’est-ce pas risquer de minimiser les culpabilités ? N’est-ce pas une manière de défendre les accusés pour qu’ils soient moins sanctionnés ? Non, car il n’est pas question de minimiser. Il est tout à fait possible de reconnaître la responsabilités des auteurs des attentats, tout en reconnaissant en même temps que d’autres aussi ont « leur part », tout en reconnaissant que certains mécanismes collectifs ont contribué à ce qui s’est passé. Peut-être d’ailleurs que c’est de cette manière que l’on rend le plus hommage à la mémoire des victimes. Établir les responsabilités individuelles du passé prémunit peu des dangers à venir. A l’inverse, en identifiant les forces collectives qui ont influencé la personnalité et le chemin des individus, on comprend mieux ce qu’il y a à changer. Pour éviter que l’Histoire ne « bégaie », il est indispensable de se demander, de tous ces événements, quelles sont les leçons à tirer. En menant cette réflexion, on se rend par exemple compte que le projet et la communication de Daesh ont joué un rôle. On se rend compte que notre police et la collaboration avec son homologue français auraient aussi pu mieux fonctionner. On se rend compte que les jeunes qui se sont fait exploser étaient des jeunes d’ici, qui ont grandi dans nos quartiers. Réfléchir à ce drame, c’est réaliser que, si les victimes sont les nôtres, les coupables le sont aussi. C’est pour cette raison qu’il est important de se demander tout ce qui, dans notre société, peut expliquer les trajectoires terroristes d’une partie de notre jeunesse. C’est pour cela aussi que, 7 années plus tard, il est fondamental de reprendre ces fragilités et de vérifier si, à leur niveau, nous avons réussi à avancer." En ligne : https://www.parresia.media/editions/peut-on-demander-a-la-justice-quelle-nous-ve [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38376 Peut-on demander à la justice qu'elle nous venge ? [enregistrement sonore non musical] . - Bruxelles (Belgique) : Parresia media, 2023 . - 40 min.
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Attentats # Justice réparatrice # Terrorisme # Victimes # Victimes du terrorisme # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "32 personnes sont mortes. 32 vies ont été pulvérisées par les visses, boulons et écrous des bombes artisanales construites par les terroristes. Ces personnes étaient de multiples nationalités : belge bien sûr, mais aussi néerlandaise, congolaise, suédoise, libérienne, britannique, marocaine, italienne, indienne, polonaise, chinoise et américaine. Parmi elles, aucune n’était directement concernée par Daesh ou impliquée dans le conflit en Syrie. Aucune n’était personnellement visée par les actes meurtriers. Elles avaient en commun d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Toutes également malchanceuses, 296 personnes ont été blessées, et un nombre encore bien plus grand ont été profondément traumatisées. Au final, c’est l’ensemble de notre société qui a été ébranlé, au point que, 7 années plus tard, le procès des attentats de Bruxelles arrive comme un événement, une partie de cette tragédie historique, une étape du deuil que nous avons à traverser. Dans pareille situation, un des rôles de la justice est d’éviter que les victimes encore vivantes ne soient prises d’un désir de vengeance. Elles en auraient pourtant toutes les raisons. La barbarie des actes justifie amplement le déploiement d’une colère sans limites. Cette colère n’est d’ailleurs pas circonscrite aux personnes directement lésées. Même si elles sont de multiples nationalités, ces victimes sont aussi les nôtres. Chacun d’entre nous aurait pu être à Zaventem ou à Maelbeek, ou y perdre des proches. A travers les personnes fauchées, c’est nous tous qui avons été attaqués, et sommes potentiellement habités du désir de nous venger. Y consentir reviendrait cependant à sortir de l’État de droits et c’est pour cela qu’il faut agir avec tous les moyens nécessaires pour que les victimes et la population saisissent que justice va être rendue. Dans le cas contraire, en plus de l’injustice des faits, se développera un autre malaise : le sentiment de l’injustice d’un système. Est-ce que, pour autant, on peut demander à l’État de « venger » les victimes dans le sens d’une punition qui dépendrait de l’ampleur des émotions en présence ? Est-ce que l’on peut demander vengeance dans le sens de traitements qui feraient ressentir aux coupables ce qu’ils ont causé aux victimes ? quelque chose qui leur permette de comprendre la violence, la déshumanisation et l’absurdité de ce qu’ils ont pu faire endurer ? La tentation est grande et on voit bien que ses effets ont déjà commencé. En construisant des cages démesurées, en faisant subir aux accusés des fouilles quotidiennes et humiliantes, en présumant coupable toute personne qui, de près ou de loin, était en contact avec les terroristes… l’histoire récente du procès illustre une dynamique de compensation émotionnelle bien plus qu’une recherche de principes et de droits humains. Les droits humains d’ailleurs, les coupables ont bien montré qu’ils s’en « lavaient les mains ». Serait-il juste que ces droits les protègent alors qu’eux-mêmes s’en sont détournés pour rejoindre Daesh ? Serait-il juste qu’ils en bénéficient alors qu’ils les ont volontairement bafoués en planifiant et perpétrant ces massacres ? En outre, certes la gestion des accusés est teintée de revanche, mais cela reste très mesuré au regard de ce que les victimes ont subi. Avalanche de questions et de sentiments, tous à mes yeux légitimes. En sens inverse pourtant et en guise d’édito, permettez-moi de souligner plusieurs pistes que je trouve intéressantes à ce niveau. La première est de prendre le temps de reconnaître le plus justement possible les faits, les dégâts et les injustices endurées. Il s’agit d’écouter, et de faire comprendre que rien ne sera oublié. Par l’ampleur de son dispositif, l’action de la justice doit répondre à la gravité de ce qui s’est passé. En plus de l’écoute des victimes, les moyens doivent ici permettre d’établir toutes les culpabilités : celle des auteurs directs, celle de leur complices plus ou moins actifs, celle de Daesh et de ses stratégies manipulatrices. Dans l’identification des culpabilités, le ressentiment évoqué plus haut peut cependant jouer un mauvais rôle. Nos émotions ont en effet tendance à réfléchir en miroir : comme les victimes individuelles sont connues, nous sommes souvent conduits à penser que les individus incriminables sont tout aussi faciles à identifier. Nos sentiments nous amènent à croire que leur culpabilité est à la mesure de l’innocence des victimes. Dans sa dynamique émotionnelle, le procès comporte une logique transformationnelle : convertissant l’innocence d’individus victimes en une culpabilité, de même intensité, des accusés. Mais, penser de la sorte, n’est-ce pas risquer de minimiser les culpabilités ? N’est-ce pas une manière de défendre les accusés pour qu’ils soient moins sanctionnés ? Non, car il n’est pas question de minimiser. Il est tout à fait possible de reconnaître la responsabilités des auteurs des attentats, tout en reconnaissant en même temps que d’autres aussi ont « leur part », tout en reconnaissant que certains mécanismes collectifs ont contribué à ce qui s’est passé. Peut-être d’ailleurs que c’est de cette manière que l’on rend le plus hommage à la mémoire des victimes. Établir les responsabilités individuelles du passé prémunit peu des dangers à venir. A l’inverse, en identifiant les forces collectives qui ont influencé la personnalité et le chemin des individus, on comprend mieux ce qu’il y a à changer. Pour éviter que l’Histoire ne « bégaie », il est indispensable de se demander, de tous ces événements, quelles sont les leçons à tirer. En menant cette réflexion, on se rend par exemple compte que le projet et la communication de Daesh ont joué un rôle. On se rend compte que notre police et la collaboration avec son homologue français auraient aussi pu mieux fonctionner. On se rend compte que les jeunes qui se sont fait exploser étaient des jeunes d’ici, qui ont grandi dans nos quartiers. Réfléchir à ce drame, c’est réaliser que, si les victimes sont les nôtres, les coupables le sont aussi. C’est pour cette raison qu’il est important de se demander tout ce qui, dans notre société, peut expliquer les trajectoires terroristes d’une partie de notre jeunesse. C’est pour cela aussi que, 7 années plus tard, il est fondamental de reprendre ces fragilités et de vérifier si, à leur niveau, nous avons réussi à avancer." En ligne : https://www.parresia.media/editions/peut-on-demander-a-la-justice-quelle-nous-ve [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38376 Est accompagné deExemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Plus de place à la victime... Une société en mutation... Création d'un nouvel outil de sensibilisation aux victimes à destination des jeunes / Hannelore Malempré in Droit en +, 75 (nov 2004)
[article]
Titre : Plus de place à la victime... Une société en mutation... Création d'un nouvel outil de sensibilisation aux victimes à destination des jeunes Type de document : texte imprimé Auteurs : Hannelore Malempré, Auteur ; Frédéric Launoy, Auteur Editeur : Liège : Jeunesse et droit Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 3-6 Note générale : MALEMPRE HANNELORE, Launoy Frédéric Langues : Français (fre) Catégories : Cardijn
Délinquance # Intervention sociale # Justice
TS
Délinquance juvénile # VictimesMots-clés : Délinquance Victime Justice Délinquance juvénile Intervention sociale Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11276
in Droit en + > 75 (nov 2004) . - pp. 3-6[article] Plus de place à la victime... Une société en mutation... Création d'un nouvel outil de sensibilisation aux victimes à destination des jeunes [texte imprimé] / Hannelore Malempré, Auteur ; Frédéric Launoy, Auteur . - Liège : Jeunesse et droit, 2004 . - pp. 3-6.
MALEMPRE HANNELORE, Launoy Frédéric
Langues : Français (fre)
in Droit en + > 75 (nov 2004) . - pp. 3-6
Catégories : Cardijn
Délinquance # Intervention sociale # Justice
TS
Délinquance juvénile # VictimesMots-clés : Délinquance Victime Justice Délinquance juvénile Intervention sociale Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11276 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER DRO 75 (2004) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Réserve Périodiques Disponible portrait : Nathalie Cavaillès : Des interrogations qui hantent les victimes / Thomas Sévignon in Lien social, 1345 (19 septembre au 2 octobre 2023)
[article]
Titre : portrait : Nathalie Cavaillès : Des interrogations qui hantent les victimes Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Sévignon Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 23 Note générale : Issu du dossier "Justice restaurative : Des débuts encourageants" Langues : Français (fre) Catégories : TS
Accès à la justice # Justice réparatrice # Relations humaines # Victimes # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Nathalie Cavaillès est chargée de mission Aide aux victimes au sein de l’association Viffil Sos Femmes. Elle a activement pris part à la mise en place d’un dispositif de justice restaurative dans le Rhône." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38019
in Lien social > 1345 (19 septembre au 2 octobre 2023) . - p. 23[article] portrait : Nathalie Cavaillès : Des interrogations qui hantent les victimes [texte imprimé] / Thomas Sévignon . - 2023 . - p. 23.
Issu du dossier "Justice restaurative : Des débuts encourageants"
Langues : Français (fre)
in Lien social > 1345 (19 septembre au 2 octobre 2023) . - p. 23
Catégories : TS
Accès à la justice # Justice réparatrice # Relations humaines # Victimes # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Nathalie Cavaillès est chargée de mission Aide aux victimes au sein de l’association Viffil Sos Femmes. Elle a activement pris part à la mise en place d’un dispositif de justice restaurative dans le Rhône." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38019 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER LSO 1345 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Psychologie et justice : paroles d'experts / Pluralité d'auteurs in Le journal des psychologues, 238 (juin 2006)
[article]
Titre : Psychologie et justice : paroles d'experts Type de document : texte imprimé Auteurs : Pluralité d'auteurs, Auteur Editeur : Revigny : Martin média Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 23-49 Note générale : Dossier Langues : Français (fre) Catégories : Cardijn
Délinquance # Justice # Psychologie
TS
Psychiatrie # VictimesMots-clés : Psychologie Psychiatrie Justice Délinquance Victime Résumé : "A l’origine, seul le recours à l’expertise psychiatrique trouvait sa pertinence aux yeux des juges, portant exclusivement sur les présumés coupables et se centrant sur la personne. Actuellement, psychologues et psychiatres sont sollicités chacun dans leur discipline par les juges d’instruction, et la demande d’expertise porte également sur le contexte social et psychologique du délinquant et, au-delà, sur les victimes.
La parole des experts psychologues ou psychiatres est désormais très attendue comme délivrant un savoir pouvant aller jusqu’à être perçu comme quasiment magique, toute-puissance révélant l’intimité psychique mystérieuse et inaccessible des présumés coupables ou victimes."Note de contenu : Questions d'éthique pour l'expertise judiciaire (C. Rizet) / Les paradoxes de l'expertise (J.-L. Viaux) / Réformer l'expertise psychologique et l'expertise psychiatrique: une impérieuse nécessité pour la justice (J.-P. Bouchard) / Traitement judiciaire des affaires de violence sexuelle à enfants: réflexions et propositions de réformes (Ch. Condamin) / Suspicion d'abus sexuel chez les enfants de moins de 4 ans: à propos des fausses allégations (H. Romano) / Les expertises psychologiques: côté jardin et côté cour (M.-A. Hélie) En ligne : https://www.cairn.info/revue-le-journal-des-psychologues-2006-5.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12084
in Le journal des psychologues > 238 (juin 2006) . - pp. 23-49[article] Psychologie et justice : paroles d'experts [texte imprimé] / Pluralité d'auteurs, Auteur . - Revigny : Martin média, 2006 . - pp. 23-49.
Dossier
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 238 (juin 2006) . - pp. 23-49
Catégories : Cardijn
Délinquance # Justice # Psychologie
TS
Psychiatrie # VictimesMots-clés : Psychologie Psychiatrie Justice Délinquance Victime Résumé : "A l’origine, seul le recours à l’expertise psychiatrique trouvait sa pertinence aux yeux des juges, portant exclusivement sur les présumés coupables et se centrant sur la personne. Actuellement, psychologues et psychiatres sont sollicités chacun dans leur discipline par les juges d’instruction, et la demande d’expertise porte également sur le contexte social et psychologique du délinquant et, au-delà, sur les victimes.
La parole des experts psychologues ou psychiatres est désormais très attendue comme délivrant un savoir pouvant aller jusqu’à être perçu comme quasiment magique, toute-puissance révélant l’intimité psychique mystérieuse et inaccessible des présumés coupables ou victimes."Note de contenu : Questions d'éthique pour l'expertise judiciaire (C. Rizet) / Les paradoxes de l'expertise (J.-L. Viaux) / Réformer l'expertise psychologique et l'expertise psychiatrique: une impérieuse nécessité pour la justice (J.-P. Bouchard) / Traitement judiciaire des affaires de violence sexuelle à enfants: réflexions et propositions de réformes (Ch. Condamin) / Suspicion d'abus sexuel chez les enfants de moins de 4 ans: à propos des fausses allégations (H. Romano) / Les expertises psychologiques: côté jardin et côté cour (M.-A. Hélie) En ligne : https://www.cairn.info/revue-le-journal-des-psychologues-2006-5.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12084 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER JPS 238 (2006) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Réserve Périodiques Disponible Les psychologues sapeurs-pompiers / Valérie Cornaille in Le journal des psychologues, 220 (septembre 2004)
PermalinkPunir l'horreur? / Diane Bernard in La revue nouvelle, 1 (Janvier 2015)
PermalinkRegards croisés sur les phénomènes de violence en milieu scolaire : élèves et équipes éducatives / Benoît Galand in Journal du droit des jeunes, 241 (jan 2005)
PermalinkLa relation d’emprise / Christelle Dossios in Le journal des psychologues, 337 (Mai 2016)
PermalinkRetour sur un tsunami : une épopée de la bienfaisance / Jérémie Detober in Politique, 39 (avril 2005)
PermalinkSensibilisation des éducateurs français aux démarches de la Justice Restaurative (JR) : de la réticence à l'acceptation de la victime / Jessica Filippi in Journal du droit des jeunes, 353 (Mars 2016)
PermalinkSignalement d'enfants aux services de protection de la jeunesse : quels acteurs sont influencés par la couverture journalistique de la maltraitance / Marie-Christine Saint-Jacques in Déviance et société, 4, vol. 33 (Décembre 2009)
PermalinkSur le bon usage des enquêtes de victimisation / BRUINSMA G.J.N in Déviance et société, 1 (mars 1992)
PermalinkL'utilisation et l'impact des auditions video-filmées des enfants présumés victimes d'abus sexuels / Laetitia Van Caloen in Journal du droit des jeunes, 231 (janvier 2004)
PermalinkVictimation et climat scolaire au collège : les vestiaires d’éducation physique et sportive / Isabelle Joing in Déviance et société, 1, vol. 39 (Mars 2015)
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