Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
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Auteur Jesse Berwouts |
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Évolution des antibiotiques remboursés de 2015 à 2021 : Impact des récentes mesures gouvernementales et du COVID-19 sur l’usage des antibiotiques et spécificités chez les dentistes / Jesse Berwouts in Santé & Société, 2 (juillet 2022)
[article]
Titre : Évolution des antibiotiques remboursés de 2015 à 2021 : Impact des récentes mesures gouvernementales et du COVID-19 sur l’usage des antibiotiques et spécificités chez les dentistes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jesse Berwouts ; Rose-Marie Ntahonganyira ; Kris Van haecht ; Denis Delvenne Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 38-59 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Consommateurs -- Comportement # Covid-19 # Économie de la santé # Médicaments:Médicaments -- Usage # Politique sanitaire # Soins médicaux:Soins médicaux -- CoûtRésumé : "La surconsommation d’antibiotiques en Belgique constitue une menace sérieuse pour la santé publique. Les antibiotiques conduisent en effet à l’apparition de bactéries résistantes, ce qui rend le traitement de certaines maladies de plus en plus difficile. Par conséquent, leur utilisation doit être limitée aux cas où ils sont absolument nécessaires. Pour endiguer le problème de la résistance aux antimicrobiens, les règles de remboursement ont été renforcées en 2017 et 2018, et les gouvernements ont lancé un plan d’action en 2019 pour encourager une utilisation moindre et meilleure des antibiotiques. Dans cette étude, nous examinons l’efficacité de ces initiatives en suivant l’évolution du nombre d’utilisateurs et du volume d’antibiotiques (remboursés). Nous étudions également l’impact de la pandémie de coronavirus sur l’utilisation des antibiotiques et accordons une attention particulière à certains groupes spécifiques d’antibiotiques. Enfin, nous analysons spécifiquement le comportement de prescription des dentistes concernant certains antibiotiques qui ne sont pas recommandés pour l’usage dentaire. Les résultats de nos analyses montrent que les incitations purement financières ne sont pas suffisantes pour encourager un usage moindre et plus correct des antibiotiques. De plus, il semble que les baisses des antibiotiques remboursés aient été beaucoup plus fortes après les mesures de confinement pendant la pandémie, que les baisses consécutives aux mesures
politiques. Enfin, nous constatons que les dentistes prescrivent encore beaucoup d’antibiotiques non recommandés. Il est donc nécessaire de sensibiliser davantage les médecins et les utilisateurs finaux."Note de contenu : Bibliographie p. 58-59 En ligne : https://www.mc.be/media/sante-et-societe-2_tcm49-75838.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=34733
in Santé & Société > 2 (juillet 2022) . - p. 38-59[article] Évolution des antibiotiques remboursés de 2015 à 2021 : Impact des récentes mesures gouvernementales et du COVID-19 sur l’usage des antibiotiques et spécificités chez les dentistes [texte imprimé] / Jesse Berwouts ; Rose-Marie Ntahonganyira ; Kris Van haecht ; Denis Delvenne . - 2022 . - p. 38-59.
Langues : Français (fre)
in Santé & Société > 2 (juillet 2022) . - p. 38-59
Catégories : TS
Consommateurs -- Comportement # Covid-19 # Économie de la santé # Médicaments:Médicaments -- Usage # Politique sanitaire # Soins médicaux:Soins médicaux -- CoûtRésumé : "La surconsommation d’antibiotiques en Belgique constitue une menace sérieuse pour la santé publique. Les antibiotiques conduisent en effet à l’apparition de bactéries résistantes, ce qui rend le traitement de certaines maladies de plus en plus difficile. Par conséquent, leur utilisation doit être limitée aux cas où ils sont absolument nécessaires. Pour endiguer le problème de la résistance aux antimicrobiens, les règles de remboursement ont été renforcées en 2017 et 2018, et les gouvernements ont lancé un plan d’action en 2019 pour encourager une utilisation moindre et meilleure des antibiotiques. Dans cette étude, nous examinons l’efficacité de ces initiatives en suivant l’évolution du nombre d’utilisateurs et du volume d’antibiotiques (remboursés). Nous étudions également l’impact de la pandémie de coronavirus sur l’utilisation des antibiotiques et accordons une attention particulière à certains groupes spécifiques d’antibiotiques. Enfin, nous analysons spécifiquement le comportement de prescription des dentistes concernant certains antibiotiques qui ne sont pas recommandés pour l’usage dentaire. Les résultats de nos analyses montrent que les incitations purement financières ne sont pas suffisantes pour encourager un usage moindre et plus correct des antibiotiques. De plus, il semble que les baisses des antibiotiques remboursés aient été beaucoup plus fortes après les mesures de confinement pendant la pandémie, que les baisses consécutives aux mesures
politiques. Enfin, nous constatons que les dentistes prescrivent encore beaucoup d’antibiotiques non recommandés. Il est donc nécessaire de sensibiliser davantage les médecins et les utilisateurs finaux."Note de contenu : Bibliographie p. 58-59 En ligne : https://www.mc.be/media/sante-et-societe-2_tcm49-75838.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=34733 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER SSO 2 (2022) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Les inégalités de santé commencent dès la naissance : Analyse quantitative des facteurs influençant le risque de réadmission des nouveau-nés à l’hôpital / Jesse Berwouts in Santé & Société, 5 (Avril 2023)
[article]
Titre : Les inégalités de santé commencent dès la naissance : Analyse quantitative des facteurs influençant le risque de réadmission des nouveau-nés à l’hôpital Type de document : texte imprimé Auteurs : Jesse Berwouts ; Gauthier Vandeleene ; Hervé Avalosse Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 34-49 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Droit à la santé # Femmes:Femmes enceintes # Grossesse # Hôpitaux # Inégalités sociales de santé # Maternité # Naissance # Période périnatale # Petite enfance # Petite enfance:Petite enfance -- Santé et hygiène # Petite enfance:Petite enfance -- Soins # Souffrance -- Chez le nouveau-néRésumé : "Dans notre étude précédente, nous avons analysé le lien entre la politique de réduction du séjour en maternité et le risque de réadmission à l’hôpital des femmes et leurs nouveau-nés (Vandeleene & Avalosse, 2021c). Il en est ressorti que ce type de décision politique devrait tenir compte du fait que plusieurs facteurs peuvent influencer le risque de retourner à l’hôpital des nouveau-nés. Dans la présente étude, nous évaluons lesquels parmi ces facteurs ont une influence significative sur le risque de réadmission des nouveau-nés. Pour cela nous construisons un modèle de régression logistique multiniveau, afin d’identifier les effets de facteurs tels que le statut de Bénéficiaire de l’Intervention Majorée (BIM) et la durée du séjour en maternité, entre autres. Grâce à cette analyse, nous montrons que le risque de réadmission est en premier lieu déterminé socialement : les nouveau-nés BIM sont plus à risque d’être réadmis, indépendamment des autres facteurs de risque. Si avant l’introduction de la politique de raccourcissement de la durée de séjour en maternité, un court séjour était associé à un risque plus élevé de réadmission, après la réforme en 2015, ce n’est plus le cas, en raison de la prise en charge plus systématique par un suivi postnatal. Nous constatons également que les différences de risque de réadmission entre les hôpitaux sont négligeables. Les hôpitaux et les séjours écourtés en maternité ne semblent donc pas les principaux responsables des réadmissions, mais bien les inégalités sociales. Nous insistons sur le fait que pour les familles qui présentent un risque de précarité économique, il est important de s’assurer que la famille sera en mesure d’avoir des suivis prénatals et postnatals suffisants, grâce à, entre autres, un trajet de soins standardisé." Note de contenu : Bibliographie p. 49 En ligne : https://www.mc.be/media/sante-et-societe-5_tcm49-78097.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36667
in Santé & Société > 5 (Avril 2023) . - p. 34-49[article] Les inégalités de santé commencent dès la naissance : Analyse quantitative des facteurs influençant le risque de réadmission des nouveau-nés à l’hôpital [texte imprimé] / Jesse Berwouts ; Gauthier Vandeleene ; Hervé Avalosse . - 2023 . - p. 34-49.
Langues : Français (fre)
in Santé & Société > 5 (Avril 2023) . - p. 34-49
Catégories : TS
Droit à la santé # Femmes:Femmes enceintes # Grossesse # Hôpitaux # Inégalités sociales de santé # Maternité # Naissance # Période périnatale # Petite enfance # Petite enfance:Petite enfance -- Santé et hygiène # Petite enfance:Petite enfance -- Soins # Souffrance -- Chez le nouveau-néRésumé : "Dans notre étude précédente, nous avons analysé le lien entre la politique de réduction du séjour en maternité et le risque de réadmission à l’hôpital des femmes et leurs nouveau-nés (Vandeleene & Avalosse, 2021c). Il en est ressorti que ce type de décision politique devrait tenir compte du fait que plusieurs facteurs peuvent influencer le risque de retourner à l’hôpital des nouveau-nés. Dans la présente étude, nous évaluons lesquels parmi ces facteurs ont une influence significative sur le risque de réadmission des nouveau-nés. Pour cela nous construisons un modèle de régression logistique multiniveau, afin d’identifier les effets de facteurs tels que le statut de Bénéficiaire de l’Intervention Majorée (BIM) et la durée du séjour en maternité, entre autres. Grâce à cette analyse, nous montrons que le risque de réadmission est en premier lieu déterminé socialement : les nouveau-nés BIM sont plus à risque d’être réadmis, indépendamment des autres facteurs de risque. Si avant l’introduction de la politique de raccourcissement de la durée de séjour en maternité, un court séjour était associé à un risque plus élevé de réadmission, après la réforme en 2015, ce n’est plus le cas, en raison de la prise en charge plus systématique par un suivi postnatal. Nous constatons également que les différences de risque de réadmission entre les hôpitaux sont négligeables. Les hôpitaux et les séjours écourtés en maternité ne semblent donc pas les principaux responsables des réadmissions, mais bien les inégalités sociales. Nous insistons sur le fait que pour les familles qui présentent un risque de précarité économique, il est important de s’assurer que la famille sera en mesure d’avoir des suivis prénatals et postnatals suffisants, grâce à, entre autres, un trajet de soins standardisé." Note de contenu : Bibliographie p. 49 En ligne : https://www.mc.be/media/sante-et-societe-5_tcm49-78097.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36667 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER SSO 5 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible