Centre de Documentation du Campus Mons
Le centre de documentation est ouvert du lundi au jeudi de 8 h à 18 h sans interruption et le vendredi de 8 h à 17 h sans interruption. A bientôt !
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du Campus Mons
HELHa - Artistique - Économique - Pédagogique - Social - Technique
HELHa - Artistique - Économique - Pédagogique - Social - Technique
Catégories
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
L’intersubjectivité, vecteur de la relation / Jacky Merkling in Santé mentale, 230 (Septembre 2018)
[article]
Titre : L’intersubjectivité, vecteur de la relation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacky Merkling Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 30-35 Langues : Français (fre) Catégories : Empathie
Phénoménologie
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : La relation de soin consiste à rendre féconds les moments présents partagés. Ils constituent les conditions d’un changement d’état (apaisement, valorisation, stimulation), qui reste au fondement du soin.
in Santé mentale > 230 (Septembre 2018) . - p. 30-35[article] L’intersubjectivité, vecteur de la relation [texte imprimé] / Jacky Merkling . - 2018 . - p. 30-35.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 230 (Septembre 2018) . - p. 30-35
Catégories : Empathie
Phénoménologie
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : La relation de soin consiste à rendre féconds les moments présents partagés. Ils constituent les conditions d’un changement d’état (apaisement, valorisation, stimulation), qui reste au fondement du soin. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « J’ai plus d’érection ! C’est vos cachetons… » / Valery Clouet in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : « J’ai plus d’érection ! C’est vos cachetons… » Type de document : texte imprimé Auteurs : Valery Clouet Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 56-59 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Intimité (psychologie)
Patients dans les hôpitaux psychiatriques
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : À 28 ans, Xavier, qui souffre de schizophrénie, se plaint que les psychotropes impactent fortement sa vie sexuelle. Les soignants sont démunis, au risque d'une non-observance et d'une rechute. Comment dépasser ce tabou de la sexualité des patients et être à l'écoute ?
Infirmier en santé mentale depuis de nombreuses années, j’ai constaté que la place des usagers a évolué, passant d’objets de soin à partenaires, voire décisionnaires de leur projet de soins. Ils demandent aujourd’hui à être entendus, notamment à propos de leur qualité de vie, ce qui bouscule nos pratiques.
J’exerce actuellement en tant qu’infirmier en pratique avancée (IPA) dans un service de psychiatrie axé sur la réhabilitation psychosociale et le rétablissement. Dans ce contexte, j’ai été sollicité par une équipe soignante sur la plainte d’ordre sexuelle d’un patient souffrant de schizophrénie. L’occasion de mesurer les réticences des professionnels à aborder ce sujet et ma propre difficulté à accompagner ce patient dans sa réflexion sur ce point sensible.
Pour aborder cette situation, j’ai tout d’abord exploré la littérature sur la santé sexuelle, la qualité de vie et les effets indésirables des psychotropes, puis envisagé les freins qui empêchent les soignants d’évoquer ou d’entendre ce type de plaintes. Cet article présente ces éléments et leur mise en perspective via un cas clinique [...]
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 56-59[article] « J’ai plus d’érection ! C’est vos cachetons… » [texte imprimé] / Valery Clouet . - 2024 . - p. 56-59.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 56-59
Catégories : Intimité (psychologie)
Patients dans les hôpitaux psychiatriques
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : À 28 ans, Xavier, qui souffre de schizophrénie, se plaint que les psychotropes impactent fortement sa vie sexuelle. Les soignants sont démunis, au risque d'une non-observance et d'une rechute. Comment dépasser ce tabou de la sexualité des patients et être à l'écoute ?
Infirmier en santé mentale depuis de nombreuses années, j’ai constaté que la place des usagers a évolué, passant d’objets de soin à partenaires, voire décisionnaires de leur projet de soins. Ils demandent aujourd’hui à être entendus, notamment à propos de leur qualité de vie, ce qui bouscule nos pratiques.
J’exerce actuellement en tant qu’infirmier en pratique avancée (IPA) dans un service de psychiatrie axé sur la réhabilitation psychosociale et le rétablissement. Dans ce contexte, j’ai été sollicité par une équipe soignante sur la plainte d’ordre sexuelle d’un patient souffrant de schizophrénie. L’occasion de mesurer les réticences des professionnels à aborder ce sujet et ma propre difficulté à accompagner ce patient dans sa réflexion sur ce point sensible.
Pour aborder cette situation, j’ai tout d’abord exploré la littérature sur la santé sexuelle, la qualité de vie et les effets indésirables des psychotropes, puis envisagé les freins qui empêchent les soignants d’évoquer ou d’entendre ce type de plaintes. Cet article présente ces éléments et leur mise en perspective via un cas clinique [...]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Je me bats pour me sentir vivant » / Slimane Zerrouk in Santé mentale, 243 (Décembre 2019)
[article]
Titre : « Je me bats pour me sentir vivant » Type de document : texte imprimé Auteurs : Slimane Zerrouk Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 46-51 Langues : Français (fre) Catégories : Alliance thérapeutique
Confiance
Paranoïa
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : "La cinquantaine, Bertrand, un patient paranoïaque, arrive à l’Unité pour malades difficiles (UMD), précédé d’une réputation de grande dangerosité. Comment créer des liens et construire une relation de confiance dans un tel contexte d’hostilité aux soins ?"
in Santé mentale > 243 (Décembre 2019) . - p. 46-51[article] « Je me bats pour me sentir vivant » [texte imprimé] / Slimane Zerrouk . - 2019 . - p. 46-51.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 243 (Décembre 2019) . - p. 46-51
Catégories : Alliance thérapeutique
Confiance
Paranoïa
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : "La cinquantaine, Bertrand, un patient paranoïaque, arrive à l’Unité pour malades difficiles (UMD), précédé d’une réputation de grande dangerosité. Comment créer des liens et construire une relation de confiance dans un tel contexte d’hostilité aux soins ?" Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? / Louis Hector in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Hector Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 24-28 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Ecoute (psychologie)
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Rien de plus simple, en apparence, que d’inviter une personne à s’exprimer mais dès que l’on déplie ce « Je vous écoute… », on est saisi par sa complexité, le nombre de mécanismes en jeu et ce que cela engage pour ce « je » qui écoute…
Trois mots tout simples, suivis de trois points de suspension. Une phrase sans chichi destinée à apaiser. « Je », une première personne, traduit l’engagement, la présence, l’écoutant ; « vous », la deuxième personne, tout aussi singulière que la première, nomme le destinataire qui est aussi l’émetteur potentiel, l’écouté ; puis le verbe, l’action, « écoute » signifie tout autant « je vous vois, je suis là, vous pouvez parler en confiance, je ne vous jugerai pas ». Les points de suspension ne sont pas moins importants. Ils disent l’ouverture à ce qui se dit, à ce qui vient, à ce qui se noue, là, ici et maintenant. Ils disent le possible. L’écouté peut s’en saisir et dire ce qu’il a à dire, ce qui lui pèse, ce qu’il ne supporte pas d’avoir en tête, aux tripes, au coeur en tâtonnant ou, au contraire, en s’en débarrassant le plus vite possible. Il peut aussi tout aussi bien se taire, rester silencieux, en attente, en refus. La présence, l’engagement sont de mise chez l’un et chez l’autre [...]
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 24-28[article] « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? [texte imprimé] / Louis Hector . - 2024 . - p. 24-28.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 24-28
Catégories : Ecoute (psychologie)
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Rien de plus simple, en apparence, que d’inviter une personne à s’exprimer mais dès que l’on déplie ce « Je vous écoute… », on est saisi par sa complexité, le nombre de mécanismes en jeu et ce que cela engage pour ce « je » qui écoute…
Trois mots tout simples, suivis de trois points de suspension. Une phrase sans chichi destinée à apaiser. « Je », une première personne, traduit l’engagement, la présence, l’écoutant ; « vous », la deuxième personne, tout aussi singulière que la première, nomme le destinataire qui est aussi l’émetteur potentiel, l’écouté ; puis le verbe, l’action, « écoute » signifie tout autant « je vous vois, je suis là, vous pouvez parler en confiance, je ne vous jugerai pas ». Les points de suspension ne sont pas moins importants. Ils disent l’ouverture à ce qui se dit, à ce qui vient, à ce qui se noue, là, ici et maintenant. Ils disent le possible. L’écouté peut s’en saisir et dire ce qu’il a à dire, ce qui lui pèse, ce qu’il ne supporte pas d’avoir en tête, aux tripes, au coeur en tâtonnant ou, au contraire, en s’en débarrassant le plus vite possible. Il peut aussi tout aussi bien se taire, rester silencieux, en attente, en refus. La présence, l’engagement sont de mise chez l’un et chez l’autre [...]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le lait de la tendresse humaine / Dominique Friard in Santé mentale, 224 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Le lait de la tendresse humaine Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Friard Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 56-61 Langues : Français (fre) Catégories : Malades mentaux -- Soins en institutions
Maladies mentales:Psychiatrie
Maternité
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
TendresseRésumé : "Attribut du maternel, la tendresse est un sentiment, hélas, très controversé en psychiatrie où l’on privilégie des attitudes plus viriles. Le soin est malgré tout au bout du chemin.
La tendresse apparaît être une notion très controversée qui est associée à la fonction maternelle et qui subit les discriminations de genre. L’auteur suit cette piste de réflexion à partir de l’étymologie, de l’histoire de la philosophie et de la littérature. En s’appuyant sur son vécu d’infirmier et sur les théories de Bion et de Winnicott, il centre le soin sur la préoccupation maternelle primaire, décrite comme à la racine du soin et de toute tendresse."
in Santé mentale > 224 (Janvier 2018) . - p. 56-61[article] Le lait de la tendresse humaine [texte imprimé] / Dominique Friard . - 2018 . - p. 56-61.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 224 (Janvier 2018) . - p. 56-61
Catégories : Malades mentaux -- Soins en institutions
Maladies mentales:Psychiatrie
Maternité
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
TendresseRésumé : "Attribut du maternel, la tendresse est un sentiment, hélas, très controversé en psychiatrie où l’on privilégie des attitudes plus viriles. Le soin est malgré tout au bout du chemin.
La tendresse apparaît être une notion très controversée qui est associée à la fonction maternelle et qui subit les discriminations de genre. L’auteur suit cette piste de réflexion à partir de l’étymologie, de l’histoire de la philosophie et de la littérature. En s’appuyant sur son vécu d’infirmier et sur les théories de Bion et de Winnicott, il centre le soin sur la préoccupation maternelle primaire, décrite comme à la racine du soin et de toute tendresse."Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Un massage des mains ? Pour quoi faire ?... / Corinne Schaub in Santé mentale, 274 (janvier 2023)
PermalinkMathilde sur le chemin du rétablissement / Olivier DUCOURANT in Santé mentale, 232 (Novembre 2018)
PermalinkMettre en acte le soin relationnel / Jacky Merkling in Santé mentale, 230 (Septembre 2018)
PermalinkLes mots dans la clinique [Dossier] / Patrick Conrath in Le journal des psychologues, 410 (Mai-juin 2024)
PermalinkLes mots "fragiles" du prendre soin / Walter Hesbeen in Santé mentale, 224 (Janvier 2018)
PermalinkLa neutralité affective du soignant n'existe pas / Karl-Leo Schwering in Santé mentale, 280 (septembre 2023)
Permalink"On était scotché de voir leurs capacités" / Alexandra Nguyen in Santé mentale, 221 (Octobre 2017)
PermalinkOser la relation ! / Dominique Friard in Santé mentale, 234 (Janvier 2019)
PermalinkOser la relation pour moins de violence / Michel Combret in Santé mentale, 230 (Septembre 2018)
PermalinkOutils et stratégies pour communiquer avec le patient / Jonathan Silverman
Permalink