Accueillir les mineurs étrangers non reconnus par l'Aide sociale à l'enfance : Les paradoxes d'une prise en charge à la marge des CHRS et des dispositifs de l'ASE / Frédérique Stévenin in VST - Vie sociale et traitements, 133 (1er trimestre 2017)

Public ISBD [article]  inVST - Vie sociale et traitements > 133 (1er trimestre 2017) . - p. 26 - 31 Titre : Accueillir les mineurs étrangers non reconnus par l'Aide sociale à l'enfance : Les paradoxes d'une prise en charge à la marge des CHRS et des dispositifs de l'ASE Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédérique Stévenin ; Jean-Pierre Martin Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 26 - 31 Note générale : Issu du dossier: "Où va la protection de l'enfance?" Langues : Français (fre) Catégories : Jeunes étrangers isolés -- Protection, assistance, etc. -- France Jeunesse -- Protection, assistance, etc. -- France Résumé : "En décembre 2014, un mouvement militant composé d'élus, de bénévoles d'associations de parents d'élèves et de lycéens dénonçait la présence d'une centaine de jeunes dans les rues parisiennes. Il s'agissait de jeunes mineurs, ou récemment majeurs, dont la minorité était contestée par la justice. Néanmoins, la Permanence d'accueil et d'orientation des mineurs isolés étrangers les avait pris en charge sur le plan d'hébergement, le temps de la procédure. Puis l'ADJIE avait demandé qu'ils soient scolarisés, ce qui fut fait par le CASNAV, dans les classes d'accueil parisiennes." [article] Accueillir les mineurs étrangers non reconnus par l'Aide sociale à l'enfance : Les paradoxes d'une prise en charge à la marge des CHRS et des dispositifs de l'ASE [texte imprimé] / Frédérique Stévenin ; Jean-Pierre Martin . - 2017 . - p. 26 - 31. Issu du dossier: "Où va la protection de l'enfance?" Langues : Français (fre) in VST - Vie sociale et traitements > 133 (1er trimestre 2017) . - p. 26 - 31 Catégories : Jeunes étrangers isolés -- Protection, assistance, etc. -- France Jeunesse -- Protection, assistance, etc. -- France Résumé : "En décembre 2014, un mouvement militant composé d'élus, de bénévoles d'associations de parents d'élèves et de lycéens dénonçait la présence d'une centaine de jeunes dans les rues parisiennes. Il s'agissait de jeunes mineurs, ou récemment majeurs, dont la minorité était contestée par la justice. Néanmoins, la Permanence d'accueil et d'orientation des mineurs isolés étrangers les avait pris en charge sur le plan d'hébergement, le temps de la procédure. Puis l'ADJIE avait demandé qu'ils soient scolarisés, ce qui fut fait par le CASNAV, dans les classes d'accueil parisiennes."

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