Centre de Documentation du Campus Mons
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[article]
| Titre : |
La construction du suicide des personnes âgées comme problème public |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Frédéric Balard ; Ingrid Voléry ; Élodie Fornezzo |
| Année de publication : |
2020 |
| Article en page(s) : |
p. 187-204 |
| Note générale : |
Issu du dossier : "Finir sa vie, hâter sa mort au grand âge" |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Personnes âgées -- Comportement suicidaire
|
| Résumé : |
"Partant de l’analyse de la littérature d’expertise et d’observations de réunions et de formations sur la prévention du suicide des âgés en France, cet article étudie la manière dont le suicide des personnes âgées, fait statistique ancien mais jusqu’alors invisibilisé, a été constitué comme problème public au cours des deux dernières décennies. Il montre tout d’abord comment la suicidologie a construit une lecture du suicide assise sur une démarche rétrospective – l’autopsie psychologique – qui implique la recherche de troubles ou de souffrances psychiques dans une optique de prévention et de soin. Le suicide s’y est vu durablement associé à un sous-diagnostic des troubles psychiques et en particulier de la dépression qui pourrait revêtir des formes spécifiques dans l’âge avancé. L’article explique ensuite comment le suicide des âgés se trouve aujourd’hui mis en exergue comme fléau sociétal tout en étant utilisé par certains experts pour défendre des positions institutionnelles." |
in Gérontologie et société > 163 (2020) . - p. 187-204
[article] La construction du suicide des personnes âgées comme problème public [texte imprimé] / Frédéric Balard ; Ingrid Voléry ; Élodie Fornezzo . - 2020 . - p. 187-204. Issu du dossier : "Finir sa vie, hâter sa mort au grand âge" Langues : Français ( fre) in Gérontologie et société > 163 (2020) . - p. 187-204
| Catégories : |
Personnes âgées -- Comportement suicidaire
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| Résumé : |
"Partant de l’analyse de la littérature d’expertise et d’observations de réunions et de formations sur la prévention du suicide des âgés en France, cet article étudie la manière dont le suicide des personnes âgées, fait statistique ancien mais jusqu’alors invisibilisé, a été constitué comme problème public au cours des deux dernières décennies. Il montre tout d’abord comment la suicidologie a construit une lecture du suicide assise sur une démarche rétrospective – l’autopsie psychologique – qui implique la recherche de troubles ou de souffrances psychiques dans une optique de prévention et de soin. Le suicide s’y est vu durablement associé à un sous-diagnostic des troubles psychiques et en particulier de la dépression qui pourrait revêtir des formes spécifiques dans l’âge avancé. L’article explique ensuite comment le suicide des âgés se trouve aujourd’hui mis en exergue comme fléau sociétal tout en étant utilisé par certains experts pour défendre des positions institutionnelles." |
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Exemplaires
[article]
| Titre : |
Finir sa vie, hâter sa mort au grand âge [Dossier] |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Frédéric Balard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Pierre Moulin, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Cherry Schrecker, Directeur de publication, rédacteur en chef |
| Année de publication : |
2020 |
| Article en page(s) : |
p. 11-204 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Accompagnement de la fin de vie
Mort
|
| Résumé : |
"La fin de vie et la mort des personnes âgées font souvent l’objet de préconceptions non explicites, parfois contradictoires, visant tantôt à normaliser le rapport à la mort voire à considérer que l’âge permettrait une plus grande sérénité face au trépas ou au contraire à présenter la proximité (chronologique) à la mort comme génératrice ou révélatrice d’une angoisse voire d’un désir de mort. Bien que l’expression « tabou de la mort » se retrouve encore fréquemment employée aujourd’hui dans les médias et que certains voient une nécessité de lever le « déni social » qui accompagnerait ce tabou en Ehpad, il nous semble au contraire que depuis l’époque où les thèses du « tabou occidental de la mort » ont été développées – des années 1950 jusque dans les années 1980 –, les choses ont grandement évolué." |
in Gérontologie et société > 163 (2020) . - p. 11-204
[article] Finir sa vie, hâter sa mort au grand âge [Dossier] [texte imprimé] / Frédéric Balard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Pierre Moulin, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Cherry Schrecker, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2020 . - p. 11-204. Langues : Français ( fre) in Gérontologie et société > 163 (2020) . - p. 11-204
| Catégories : |
Accompagnement de la fin de vie
Mort
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| Résumé : |
"La fin de vie et la mort des personnes âgées font souvent l’objet de préconceptions non explicites, parfois contradictoires, visant tantôt à normaliser le rapport à la mort voire à considérer que l’âge permettrait une plus grande sérénité face au trépas ou au contraire à présenter la proximité (chronologique) à la mort comme génératrice ou révélatrice d’une angoisse voire d’un désir de mort. Bien que l’expression « tabou de la mort » se retrouve encore fréquemment employée aujourd’hui dans les médias et que certains voient une nécessité de lever le « déni social » qui accompagnerait ce tabou en Ehpad, il nous semble au contraire que depuis l’époque où les thèses du « tabou occidental de la mort » ont été développées – des années 1950 jusque dans les années 1980 –, les choses ont grandement évolué." |
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Exemplaires
[article]
| Titre : |
Longévité et immortalité ? Aux frontières de la gérontologie et au-delà… |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Frédéric Balard |
| Année de publication : |
2016 |
| Article en page(s) : |
p. 9-19 |
| Note générale : |
Issu du dossier: "Longévité et immortalité": en-quêtes de sciences, en-quêtes de sens |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Démographie
Longévité
Personnes âgées
Vieillissement
|
| Résumé : |
"Entre 1750 et aujourd’hui, l’espérance de vie à la naissance en France a plus que triplé puisqu’elle était de 25 ans et qu’elle dépasse à présent 85 ans pour les femmes. En 2015, le pays comptait 738 603 personnes de 90 ans ou plus dont 20 669 personnes de 100 ans ou plus (Ined, 2016) alors qu’en 1950, les centenaires n’étaient que 200 et les nonagénaires 35 000 (Allard et Robine, 1990)." |
in Gérontologie et société > 151 (Novembre 2016) . - p. 9-19
[article] Longévité et immortalité ? Aux frontières de la gérontologie et au-delà… [texte imprimé] / Frédéric Balard . - 2016 . - p. 9-19. Issu du dossier: "Longévité et immortalité": en-quêtes de sciences, en-quêtes de sens Langues : Français ( fre) in Gérontologie et société > 151 (Novembre 2016) . - p. 9-19
| Catégories : |
Démographie
Longévité
Personnes âgées
Vieillissement
|
| Résumé : |
"Entre 1750 et aujourd’hui, l’espérance de vie à la naissance en France a plus que triplé puisqu’elle était de 25 ans et qu’elle dépasse à présent 85 ans pour les femmes. En 2015, le pays comptait 738 603 personnes de 90 ans ou plus dont 20 669 personnes de 100 ans ou plus (Ined, 2016) alors qu’en 1950, les centenaires n’étaient que 200 et les nonagénaires 35 000 (Allard et Robine, 1990)." |
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Exemplaires
: en-quêtes de sciences, en-quêtes de sens [dossier]
[article]
| Titre : |
"Longévité et immortalité" : en-quêtes de sciences, en-quêtes de sens [dossier] |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Frédéric Balard, Directeur de publication, rédacteur en chef |
| Année de publication : |
2016 |
| Article en page(s) : |
p. 9-181 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Gérontologie
Vieillissement
|
| Résumé : |
"La longévité constitue un enjeu gérontologique majeur qui génère nombre de débats scientifiques, sociaux, politiques et éthiques. En Occident, l’allongement de la vie humaine est essentiellement le fruit du recul de la mortalité aux grands âges. Ce temps de vie gagné sur la mort, par des nonagénaires et des centenaires chaque année plus nombreux, questionne le sens que les individus lui donnent à la fois pour eux-mêmes, par rapport à autrui et à la société plus généralement.
Les progrès sociaux, (bio)-médicaux et technoscientifiques qui permettent au XXIe siècle de vivre plus longtemps interrogent, tant dans leurs fondements éthiques – est-il légitime de faire tout ce qui est possible pour prolonger la vie humaine ? – que dans leurs conséquences politiques. Le modèle du centenaire d’aujourd’hui doit-il devenir la norme de demain ? La manière dont la biomédecine exerce une forme de « contrôle de la mortalité » sur la vieillesse ne constitue-t-elle pas un type d’« obstination déraisonnable » ?
Ce numéro se décompose en trois parties. La première s’inscrit dans une approche démographique de la longévité et ouvre une réflexion relative à la manière dont les recherches épidémiologiques sur la longévité peuvent faire l’objet de « récupérations » publiques et privées. La deuxième propose une analyse des fondements du courant prolongéviste/transhumaniste en mobilisant la notion d’immortalité. Enfin, la dernière partie propose une réflexion sur le désir et le sens d’une vie plus longue avec un autre regard sur l’immortalité." |
in Gérontologie et société > 151 (Novembre 2016) . - p. 9-181
[article] "Longévité et immortalité" : en-quêtes de sciences, en-quêtes de sens [dossier] [texte imprimé] / Frédéric Balard, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2016 . - p. 9-181. Langues : Français ( fre) in Gérontologie et société > 151 (Novembre 2016) . - p. 9-181
| Catégories : |
Gérontologie
Vieillissement
|
| Résumé : |
"La longévité constitue un enjeu gérontologique majeur qui génère nombre de débats scientifiques, sociaux, politiques et éthiques. En Occident, l’allongement de la vie humaine est essentiellement le fruit du recul de la mortalité aux grands âges. Ce temps de vie gagné sur la mort, par des nonagénaires et des centenaires chaque année plus nombreux, questionne le sens que les individus lui donnent à la fois pour eux-mêmes, par rapport à autrui et à la société plus généralement.
Les progrès sociaux, (bio)-médicaux et technoscientifiques qui permettent au XXIe siècle de vivre plus longtemps interrogent, tant dans leurs fondements éthiques – est-il légitime de faire tout ce qui est possible pour prolonger la vie humaine ? – que dans leurs conséquences politiques. Le modèle du centenaire d’aujourd’hui doit-il devenir la norme de demain ? La manière dont la biomédecine exerce une forme de « contrôle de la mortalité » sur la vieillesse ne constitue-t-elle pas un type d’« obstination déraisonnable » ?
Ce numéro se décompose en trois parties. La première s’inscrit dans une approche démographique de la longévité et ouvre une réflexion relative à la manière dont les recherches épidémiologiques sur la longévité peuvent faire l’objet de « récupérations » publiques et privées. La deuxième propose une analyse des fondements du courant prolongéviste/transhumaniste en mobilisant la notion d’immortalité. Enfin, la dernière partie propose une réflexion sur le désir et le sens d’une vie plus longue avec un autre regard sur l’immortalité." |
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Exemplaires
: temps de vie supplémentaire ou vie hors du temps?
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