Titre : |
Chroniques de vies ordinaires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Valérie Agha, Auteur |
Editeur : |
Paris : Fleuve noir |
Année de publication : |
2010 |
Importance : |
217 p. |
Format : |
19cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-265-09080-4 |
Catégories : |
Assistantes sociales -- Récits personnels Travail social:Travailleurs sociaux
|
Index. décimale : |
364-43 Travailleurs sociaux. Assistants sociaux. Fonctionnaires de la sécurité sociale |
Résumé : |
Dans la lignée des Tribulations d'une caissière d'Anna Sam, Valérie Agha nous livre une radiographie sans concession, mais non sans humour, de ces Français qui ne font jamais l'ouverture du JT.
Sylvie, Félicien, Marcel, Ginette, M. Abdoulaye...
Autant de noms que vous ne pourrez plus oublier en refermant cet ouvrage écrit à la première personne, depuis le terrain, avec un ton lucide et décalé, mais toujours respectueux. Qu'elles soient hilarantes ou tristes à pleurer, ces Chroniques de vies ordinaires interpellent souvent et émeuvent toujours. Parce que c'est l'instantané d'un milieu, d'un univers, d'une époque, qui s'en dégage.
Bref, notre monde vu depuis une salle d'attente. |
Chroniques de vies ordinaires [texte imprimé] / Valérie Agha, Auteur . - Paris : Fleuve noir, 2010 . - 217 p. ; 19cm. ISBN : 978-2-265-09080-4
Catégories : |
Assistantes sociales -- Récits personnels Travail social:Travailleurs sociaux
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Index. décimale : |
364-43 Travailleurs sociaux. Assistants sociaux. Fonctionnaires de la sécurité sociale |
Résumé : |
Dans la lignée des Tribulations d'une caissière d'Anna Sam, Valérie Agha nous livre une radiographie sans concession, mais non sans humour, de ces Français qui ne font jamais l'ouverture du JT.
Sylvie, Félicien, Marcel, Ginette, M. Abdoulaye...
Autant de noms que vous ne pourrez plus oublier en refermant cet ouvrage écrit à la première personne, depuis le terrain, avec un ton lucide et décalé, mais toujours respectueux. Qu'elles soient hilarantes ou tristes à pleurer, ces Chroniques de vies ordinaires interpellent souvent et émeuvent toujours. Parce que c'est l'instantané d'un milieu, d'un univers, d'une époque, qui s'en dégage.
Bref, notre monde vu depuis une salle d'attente. |
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