Centre de Documentation du Campus Mons
Le centre de documentation vous accueille du lundi au jeudi de 8 h à 18 h et le vendredi de 8 h à 17 h.
Exceptionnellement, le Centre de documentation ouvrira ses portes à 9 h ce mardi et à 8 h 30 mercredi et jeudi.
Mercredi, il sera fermé à 17 h 30. A bientôt
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du Campus Mons
HELHa - Artistique - Économique - Pédagogique - Social - Technique
Catégories
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche

[article]
Titre : |
Chronique d'une pénurie annoncée |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anne Gillet-Verhaegen |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 19-21 |
Note générale : |
Issu du dossier : "La première ligne manque de bras" |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Médecins -- Stress lié au travail Médecins généralistes
|
Mots-clés : |
Métiers en pénurie |
Résumé : |
"Un tiers des habitants de Bruxelles n'a pas de médecin de famille. Près d'un médecin sur trois a entre 55 et 64 ans. Le nombre de médecins de 65 ans et plus, encore actifs, est presque aussi important que le nombre des médecins de 45 à 54 ans. Ce qui signifie que beaucoup d'entre eux partiront à la retraite au cours des dix prochaines années. Quelle sera la situation de la première ligne bruxelloise dans dix ans ? Et en Wallonie où sévit le même phénomène ? Quelle menace pour la première ligne essentielle comme premier échelon dans l'organisation des soins de santé ?" |
Note de contenu : |
Notes bibliographiques |
in Santé conjuguée > 103 (Juin 2023) . - p. 19-21
[article] Chronique d'une pénurie annoncée [texte imprimé] / Anne Gillet-Verhaegen . - 2023 . - p. 19-21. Issu du dossier : "La première ligne manque de bras" Langues : Français ( fre) in Santé conjuguée > 103 (Juin 2023) . - p. 19-21
Catégories : |
Médecins -- Stress lié au travail Médecins généralistes
|
Mots-clés : |
Métiers en pénurie |
Résumé : |
"Un tiers des habitants de Bruxelles n'a pas de médecin de famille. Près d'un médecin sur trois a entre 55 et 64 ans. Le nombre de médecins de 65 ans et plus, encore actifs, est presque aussi important que le nombre des médecins de 45 à 54 ans. Ce qui signifie que beaucoup d'entre eux partiront à la retraite au cours des dix prochaines années. Quelle sera la situation de la première ligne bruxelloise dans dix ans ? Et en Wallonie où sévit le même phénomène ? Quelle menace pour la première ligne essentielle comme premier échelon dans l'organisation des soins de santé ?" |
Note de contenu : |
Notes bibliographiques |
|
Exemplaires

[article]
Titre : |
Pratique diversifiée en médecine générale : menace ou opportunité ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Paul De Munck |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 29-30 |
Note générale : |
Issu du dossier : "La première ligne manque de bras" |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Autorisations Centres de santé Médecins généralistes
|
Résumé : |
"En 2013, en Belgique, des médecins ont risqué de perdre leur agrément sous prétexte qu'ils n'exerçaient plus la médecine générale omnipraticienne à titre principal et qu'ils ne participaient pas à la garde. Il s'agissait de généralistes engagés à temps plein dans les centres de planning familial, dans les centres pour usagers de drogues et à l'ONE, entre autres. Le GBO/Cartel a pris leur défense, convaincu qu'avec ces pratiques parfois appelées "de niches", ils avaient un rôle très important à jouer au sein de la première ligne de soins ensemble avec les "omnipraticiens" à temps plein." |
Note de contenu : |
Notes bibliographiques |
in Santé conjuguée > 103 (Juin 2023) . - p. 29-30
[article] Pratique diversifiée en médecine générale : menace ou opportunité ? [texte imprimé] / Paul De Munck . - 2023 . - p. 29-30. Issu du dossier : "La première ligne manque de bras" Langues : Français ( fre) in Santé conjuguée > 103 (Juin 2023) . - p. 29-30
Catégories : |
Autorisations Centres de santé Médecins généralistes
|
Résumé : |
"En 2013, en Belgique, des médecins ont risqué de perdre leur agrément sous prétexte qu'ils n'exerçaient plus la médecine générale omnipraticienne à titre principal et qu'ils ne participaient pas à la garde. Il s'agissait de généralistes engagés à temps plein dans les centres de planning familial, dans les centres pour usagers de drogues et à l'ONE, entre autres. Le GBO/Cartel a pris leur défense, convaincu qu'avec ces pratiques parfois appelées "de niches", ils avaient un rôle très important à jouer au sein de la première ligne de soins ensemble avec les "omnipraticiens" à temps plein." |
Note de contenu : |
Notes bibliographiques |
|
Exemplaires
