L'action territoriale en réponse au non-recours aux droits sociaux ? / Emmanuelle Lenel in Bis, 180 (Décembre 2022)  

Public ISBD [article]  inBis > 180 (Décembre 2022) . - p. 20-23 Titre : L'action territoriale en réponse au non-recours aux droits sociaux ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuelle Lenel Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 20-23 Note générale : Issu du dossier "Territoire, la nouvelle star du social-santé ?" Langues : Français (fre) Catégories : Aménagement du territoire Espaces publics Espaces publics -- Politique publique Résumé : "Ne pas recourir à certains de ses droits tels que le droit à l’assurance chômage, le droit au revenu minimal d’intégration ou encore le droit à l’assurance obligatoire en soins de santé, alors même qu’on est éligible, est un facteur important de précarisation en région bruxelloise (Noël, 2021). La stratégie territoriale d’action sociale de la Région peut-elle constituer une réponse adéquate à cette problématique ? Retour sur l’histoire et les contours de cette stratégie pour mieux en interroger certains de ses probables effets sur le non-recours aux droits. Résultats mitigés, au vu de son application à Bruxelles." Note de contenu : Bibliographie p. 23 En ligne : https://cbcs.be/wp-content/uploads/2022/12/Bis_180_def_page-page.pdf [article] L'action territoriale en réponse au non-recours aux droits sociaux ? [texte imprimé] / Emmanuelle Lenel . - 2022 . - p. 20-23. Issu du dossier "Territoire, la nouvelle star du social-santé ?" Langues : Français (fre) in Bis > 180 (Décembre 2022) . - p. 20-23 Catégories : Aménagement du territoire Espaces publics Espaces publics -- Politique publique Résumé : "Ne pas recourir à certains de ses droits tels que le droit à l’assurance chômage, le droit au revenu minimal d’intégration ou encore le droit à l’assurance obligatoire en soins de santé, alors même qu’on est éligible, est un facteur important de précarisation en région bruxelloise (Noël, 2021). La stratégie territoriale d’action sociale de la Région peut-elle constituer une réponse adéquate à cette problématique ? Retour sur l’histoire et les contours de cette stratégie pour mieux en interroger certains de ses probables effets sur le non-recours aux droits. Résultats mitigés, au vu de son application à Bruxelles." Note de contenu : Bibliographie p. 23 En ligne : https://cbcs.be/wp-content/uploads/2022/12/Bis_180_def_page-page.pdf

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Les espaces publics et leurs indésirables [Dossier] / Mathieu Berger in Les politiques sociales, 2021/1-2 (Juillet 2021)

Public ISBD [article]  inLes politiques sociales > 2021/1-2 (Juillet 2021) . - p. 4-159 Titre : Les espaces publics et leurs indésirables [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Berger, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sarah Van Hollebeke, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-159 Note générale : Issu du dossier : "Les espaces publics et leurs indésirables" Langues : Français (fre) Catégories : Espaces publics -- Politique publique Résumé : "La problématique des indésirables a souvent été traitée ces dernières années dans l’espace public médiatique et politique à travers le traitement des « nouvelles » questions sociales : la question de l’accueil des migrants, réfugiés, demandeurs d’asile, la « question rom », ou plus généralement la régulation de la pauvreté visible (sans-abrisme, drogue) et entreprenante (mendicité, prostitution). D’un côté, l’indésirable est vu comme celui qui menace la stabilité des fondements de la société depuis l’extérieur ; de l’autre, il renvoie à l’image d’un ennemi intérieur, source d’inquiétude pour les élites et les groupes dominants." [article] Les espaces publics et leurs indésirables [Dossier] [texte imprimé] / Mathieu Berger, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Sarah Van Hollebeke, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2021 . - p. 4-159. Issu du dossier : "Les espaces publics et leurs indésirables" Langues : Français (fre) in Les politiques sociales > 2021/1-2 (Juillet 2021) . - p. 4-159 Catégories : Espaces publics -- Politique publique Résumé : "La problématique des indésirables a souvent été traitée ces dernières années dans l’espace public médiatique et politique à travers le traitement des « nouvelles » questions sociales : la question de l’accueil des migrants, réfugiés, demandeurs d’asile, la « question rom », ou plus généralement la régulation de la pauvreté visible (sans-abrisme, drogue) et entreprenante (mendicité, prostitution). D’un côté, l’indésirable est vu comme celui qui menace la stabilité des fondements de la société depuis l’extérieur ; de l’autre, il renvoie à l’image d’un ennemi intérieur, source d’inquiétude pour les élites et les groupes dominants."

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Les espaces publics et leurs indésirables : interactions, institutions, politiques / Sarah Van Hollebeke in Les politiques sociales, 2021/1-2 (Juillet 2021)

Public ISBD [article]  inLes politiques sociales > 2021/1-2 (Juillet 2021) . - p. 4-26 Titre : Les espaces publics et leurs indésirables : interactions, institutions, politiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah Van Hollebeke ; Mathieu Berger ; Louise Carlier Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-26 Note générale : Issu du dossier : "Les espaces publics et leurs indésirables" Langues : Français (fre) Catégories : Espaces publics -- Politique publique Résumé : "La problématique des indésirables a souvent été traitée ces dernières années dans l’espace public médiatique et politique à travers le traitement des « nouvelles » questions sociales : la question de l’accueil des migrants, réfugiés, demandeurs d’asile, la « question rom », ou plus généralement la régulation de la pauvreté visible (sans-abrisme, drogue) et entreprenante (mendicité, prostitution). D’un côté, l’indésirable est vu comme celui qui menace la stabilité des fondements de la société depuis l’extérieur ; de l’autre, il renvoie à l’image d’un ennemi intérieur, source d’inquiétude pour les élites et les groupes dominants." [article] Les espaces publics et leurs indésirables : interactions, institutions, politiques [texte imprimé] / Sarah Van Hollebeke ; Mathieu Berger ; Louise Carlier . - 2021 . - p. 4-26. Issu du dossier : "Les espaces publics et leurs indésirables" Langues : Français (fre) in Les politiques sociales > 2021/1-2 (Juillet 2021) . - p. 4-26 Catégories : Espaces publics -- Politique publique Résumé : "La problématique des indésirables a souvent été traitée ces dernières années dans l’espace public médiatique et politique à travers le traitement des « nouvelles » questions sociales : la question de l’accueil des migrants, réfugiés, demandeurs d’asile, la « question rom », ou plus généralement la régulation de la pauvreté visible (sans-abrisme, drogue) et entreprenante (mendicité, prostitution). D’un côté, l’indésirable est vu comme celui qui menace la stabilité des fondements de la société depuis l’extérieur ; de l’autre, il renvoie à l’image d’un ennemi intérieur, source d’inquiétude pour les élites et les groupes dominants."

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Good Move: Dépolluer le débat public / Marion Alecian in Imag, 367 (Mai-Juin 2023)  

Public ISBD [article]  inImag > 367 (Mai-Juin 2023) . - p. 12-15 Titre : Good Move: Dépolluer le débat public Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Alecian Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 12-15 Note générale : Issu du dossier "Participation citoyenne: enfumage / déception / en mouvement / autres" Langues : Français (fre) Catégories : Citoyenneté Démocratie participative Espaces publics Espaces publics -- Politique publique Mobilité spatiale Participation sociale Politique urbaine Transport Transports routiers Urbanisme Résumé : "Il est presque moins complexe de s’atteler à la diminution de la place de la voiture dans les plans de mobilité qu’au reformatage, dans les discours, d’une pensée façonnée par les exigences des automobilistes. Et c’est bien là que se situe l’enjeu : dépasser « l’idéologie sociale de la bagnole» au profit d’un débat public et d’une participation citoyenne qui ne soient plus « autocentrés » mais axés sur les besoins d’une ville juste et accessible à tous, sans voiture. " En ligne : https://www.cbai.be/imag367_mai-juin_23/ [article] Good Move: Dépolluer le débat public [texte imprimé] / Marion Alecian . - 2023 . - p. 12-15. Issu du dossier "Participation citoyenne: enfumage / déception / en mouvement / autres" Langues : Français (fre) in Imag > 367 (Mai-Juin 2023) . - p. 12-15 Catégories : Citoyenneté Démocratie participative Espaces publics Espaces publics -- Politique publique Mobilité spatiale Participation sociale Politique urbaine Transport Transports routiers Urbanisme Résumé : "Il est presque moins complexe de s’atteler à la diminution de la place de la voiture dans les plans de mobilité qu’au reformatage, dans les discours, d’une pensée façonnée par les exigences des automobilistes. Et c’est bien là que se situe l’enjeu : dépasser « l’idéologie sociale de la bagnole» au profit d’un débat public et d’une participation citoyenne qui ne soient plus « autocentrés » mais axés sur les besoins d’une ville juste et accessible à tous, sans voiture. " En ligne : https://www.cbai.be/imag367_mai-juin_23/

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Territoire, la nouvelle star du social-santé ? [Dossier] / Pluralité d'auteurs in Bis, 180 (Décembre 2022)  

Public ISBD [article]  inBis > 180 (Décembre 2022) . - p. 5-59 Titre : Territoire, la nouvelle star du social-santé ? [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Pluralité d'auteurs ; Stéphanie Devlésaver, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-59 Langues : Français (fre) Catégories : Aménagement du territoire Démocratie locale Espaces publics Espaces publics -- Politique publique Inégalité sociale Inégalités sociales de santé Interdisciplinarité Politique urbaine Quartiers (urbanisme) Réseaux (circuits de soins) Services de proximité Urbanisme Villes -- Aspect social Mots-clés : intersectorialité Résumé : "Territoire, nom masculin. Étendue de la surface terrestre sur laquelle vit un groupe humain. Habituellement, une définition aide à cerner de quoi on parle. Cette fois, c’est loupé! Appréhender le territoire est périlleux. Telle une truite de rivière, il suffit qu’on croie l’avoir attrapée pour qu’elle nous échappe ! Et le quartier ? Pire encore ! «Subdivision d’une ville ou d’un territoire. C’est aussi souvent une échelle d’appropriation d’une partie de la ville par ses habitants, donc un ensemble urbain comportant certaines caractéristiques particulières ou une certaine unité ». Avant d’aller plus loin, on vous avertit : ne vous attendez pas à des définitions précises et figées sur ce qu’est un territoire, un quartier. Elles n’existent pas en tant que telles. Parce qu’elles s’adaptent continuellement au contexte auquel on les appose, se transforment, évoluent. C’est la raison pour laquelle ces notions sont d’ailleurs si intéressantes à utiliser. Le travail social, face à des formes de vulnérabilités multiples, l’a compris: travailler à partir de ces frontières floues du quartier, «qui se diluent petit à petit», permet d’aller au-delà des frontières institutionnelles, «de s’appuyer sur le tissu social, sur le vécu des gens». (Lire chapitre 2, Bruxelles à l’épreuve des quartiers). A partir de cet espace, il est possible de construire des «modes de collaborations suffisamment standardisés pour pouvoir former rapidement un réseau autour d’une même personne, et à la fois suffisamment flexibles pour épouser les difficultés rencontrées, qui souvent, ne rentrent pas dans les «cases» sectorielles prévues. (lire p. 45) Alors, ce territoire, la nouvelle star du social-santé? C’est sans doute là l’erreur à ne pas commettre: renvoyer systématiquement les problèmes sociaux au niveau local reviendrait à rester «dans une gestion des risques plutôt que de la réparation» . Et nous éviterait de regarder ce qui se passe en termes de classes sociales et d’inégalités. Autrement dit, «Dites-moi où vous habitez, je vous dirai qui vous êtes» , cela ne suffit pas. (Lire p. 42) Autre danger: faire primer la technique sur le débat politique! A force de penser les principes, les objectifs, les modes de fonctionnement, les modes d’attribution de financement, … entre politiques, entre gens « d’en haut», on passerait à côté de tout ce qui constitue justement la richesse du territoire: partir de cette forme vivante, de l’existant, s’appuyer sur la subjectivité des lieux et des personnes, dans une posture de «curiosité non feinte pour l’autre dont on est par définition ignorant. Une position qui n’est pas au-dessus mais à côté, un peu en dessous». (lire p. 6 ) Parce qu’au-delà de l’enjeu de construire une vision politique social-santé intégrée, ancrée dans la réalité et les besoins de ses citoyens, il est plus globalement question de «quelles villes voulons-nous pour habiter ensemble?, «quelle vision de société» souhaitons-nous pour demain" En ligne : https://cbcs.be/wp-content/uploads/2022/12/Bis_180_def_page-page.pdf [article] Territoire, la nouvelle star du social-santé ? [Dossier] [texte imprimé] / Pluralité d'auteurs ; Stéphanie Devlésaver, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2022 . - p. 5-59. Langues : Français (fre) in Bis > 180 (Décembre 2022) . - p. 5-59 Catégories : Aménagement du territoire Démocratie locale Espaces publics Espaces publics -- Politique publique Inégalité sociale Inégalités sociales de santé Interdisciplinarité Politique urbaine Quartiers (urbanisme) Réseaux (circuits de soins) Services de proximité Urbanisme Villes -- Aspect social Mots-clés : intersectorialité Résumé : "Territoire, nom masculin. Étendue de la surface terrestre sur laquelle vit un groupe humain. Habituellement, une définition aide à cerner de quoi on parle. Cette fois, c’est loupé! Appréhender le territoire est périlleux. Telle une truite de rivière, il suffit qu’on croie l’avoir attrapée pour qu’elle nous échappe ! Et le quartier ? Pire encore ! «Subdivision d’une ville ou d’un territoire. C’est aussi souvent une échelle d’appropriation d’une partie de la ville par ses habitants, donc un ensemble urbain comportant certaines caractéristiques particulières ou une certaine unité ». Avant d’aller plus loin, on vous avertit : ne vous attendez pas à des définitions précises et figées sur ce qu’est un territoire, un quartier. Elles n’existent pas en tant que telles. Parce qu’elles s’adaptent continuellement au contexte auquel on les appose, se transforment, évoluent. C’est la raison pour laquelle ces notions sont d’ailleurs si intéressantes à utiliser. Le travail social, face à des formes de vulnérabilités multiples, l’a compris: travailler à partir de ces frontières floues du quartier, «qui se diluent petit à petit», permet d’aller au-delà des frontières institutionnelles, «de s’appuyer sur le tissu social, sur le vécu des gens». (Lire chapitre 2, Bruxelles à l’épreuve des quartiers). A partir de cet espace, il est possible de construire des «modes de collaborations suffisamment standardisés pour pouvoir former rapidement un réseau autour d’une même personne, et à la fois suffisamment flexibles pour épouser les difficultés rencontrées, qui souvent, ne rentrent pas dans les «cases» sectorielles prévues. (lire p. 45) Alors, ce territoire, la nouvelle star du social-santé? C’est sans doute là l’erreur à ne pas commettre: renvoyer systématiquement les problèmes sociaux au niveau local reviendrait à rester «dans une gestion des risques plutôt que de la réparation» . Et nous éviterait de regarder ce qui se passe en termes de classes sociales et d’inégalités. Autrement dit, «Dites-moi où vous habitez, je vous dirai qui vous êtes» , cela ne suffit pas. (Lire p. 42) Autre danger: faire primer la technique sur le débat politique! A force de penser les principes, les objectifs, les modes de fonctionnement, les modes d’attribution de financement, … entre politiques, entre gens « d’en haut», on passerait à côté de tout ce qui constitue justement la richesse du territoire: partir de cette forme vivante, de l’existant, s’appuyer sur la subjectivité des lieux et des personnes, dans une posture de «curiosité non feinte pour l’autre dont on est par définition ignorant. Une position qui n’est pas au-dessus mais à côté, un peu en dessous». (lire p. 6 ) Parce qu’au-delà de l’enjeu de construire une vision politique social-santé intégrée, ancrée dans la réalité et les besoins de ses citoyens, il est plus globalement question de «quelles villes voulons-nous pour habiter ensemble?, «quelle vision de société» souhaitons-nous pour demain" En ligne : https://cbcs.be/wp-content/uploads/2022/12/Bis_180_def_page-page.pdf

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Le territoire pour faire sens commun / Alexandre Moine in Bis, 180 (Décembre 2022)  

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La ville comme un espace humain plutôt que technique ! / Chantal Deckmyn in Bis, 180 (Décembre 2022)  

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