Dépouillements

Le cholécalciférol (la vitamine D3) ne doit pas être inclus dans la liste des perturbateurs endocriniens / Jean-Claude Souberbielle ; Justine Bacchetta ; Philippe Chanson ; Bernard Cortet ; Marie Courbebaisse ; Jean-Michel Lecerf ; Agnès Linglart ; Cédric Annweiler in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 151-161 Titre : Le cholécalciférol (la vitamine D3) ne doit pas être inclus dans la liste des perturbateurs endocriniens Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Souberbielle ; Justine Bacchetta ; Philippe Chanson ; Bernard Cortet ; Marie Courbebaisse ; Jean-Michel Lecerf ; Agnès Linglart ; Cédric Annweiler Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 151-161 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1031 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha P:Perturbateur endocrinien ; V:Vitamine D3 (cholécalciférol) Résumé : Un projet d’arrêté ministériel inscrivant le cholécalciférol, c’est-à-dire la vitamine D3 (VD3), dans la liste des perturbateurs endocriniens (PE) est à l’origine de débats en France. L’objectif de notre article était de préciser les arguments scientifiques pour et contre l’inscription de la VD3 dans la liste des PE, qui semble être initialement due à son utilisation à très forte dose comme raticide/rodenticide dans certains pays. Premièrement, le cholécalciférol ne peut être défini comme une substance exogène, terme utilisé dans les différentes définitions des PE, car il est largement synthétisé dans la peau suite à l’exposition aux UVB. Deuxièmement, il n’existe aucune publication dans la base de données PubMed en faveur d’une inscription de la VD3 dans la liste des PE. La requête « vitamin D AND endocrine disruptor » retrouvait 33 références au 10 mars 2022, la plupart évoquant des perturbations du métabolisme de la vitamine D par les PE. Troisièmement, un grand nombre d’études concluent, au contraire, que la VD3 a des effets bénéfiques sur de nombreuses fonctions altérées par les PE. Plus largement, nous alertons sur le fait qu’apprendre que la VD3 pourrait être règlementairement considérée comme un PE pourrait occasionner, auprès du grand public, une défiance vis-à-vis de la supplémentation en vitamine D, ce qui n’est pas souhaitable en termes de santé publique car de nature à aggraver la prévalence déjà trop élevée des individus carencés en vitamine D. Il est encore temps d’éviter cette décision aberrante et non fondée. Note de contenu : Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49961 [article] Le cholécalciférol (la vitamine D3) ne doit pas être inclus dans la liste des perturbateurs endocriniens [texte imprimé] / Jean-Claude Souberbielle ; Justine Bacchetta ; Philippe Chanson ; Bernard Cortet ; Marie Courbebaisse ; Jean-Michel Lecerf ; Agnès Linglart ; Cédric Annweiler . - 2022 . - p. 151-161. DOI : 10.1684/pnv.2022.1031 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 151-161 Catégories : Alpha P:Perturbateur endocrinien ; V:Vitamine D3 (cholécalciférol) Résumé : Un projet d’arrêté ministériel inscrivant le cholécalciférol, c’est-à-dire la vitamine D3 (VD3), dans la liste des perturbateurs endocriniens (PE) est à l’origine de débats en France. L’objectif de notre article était de préciser les arguments scientifiques pour et contre l’inscription de la VD3 dans la liste des PE, qui semble être initialement due à son utilisation à très forte dose comme raticide/rodenticide dans certains pays. Premièrement, le cholécalciférol ne peut être défini comme une substance exogène, terme utilisé dans les différentes définitions des PE, car il est largement synthétisé dans la peau suite à l’exposition aux UVB. Deuxièmement, il n’existe aucune publication dans la base de données PubMed en faveur d’une inscription de la VD3 dans la liste des PE. La requête « vitamin D AND endocrine disruptor » retrouvait 33 références au 10 mars 2022, la plupart évoquant des perturbations du métabolisme de la vitamine D par les PE. Troisièmement, un grand nombre d’études concluent, au contraire, que la VD3 a des effets bénéfiques sur de nombreuses fonctions altérées par les PE. Plus largement, nous alertons sur le fait qu’apprendre que la VD3 pourrait être règlementairement considérée comme un PE pourrait occasionner, auprès du grand public, une défiance vis-à-vis de la supplémentation en vitamine D, ce qui n’est pas souhaitable en termes de santé publique car de nature à aggraver la prévalence déjà trop élevée des individus carencés en vitamine D. Il est encore temps d’éviter cette décision aberrante et non fondée. Note de contenu : Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49961

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La méthode Snoezelen : une alternative thérapeutique chez les patients ayant des troubles cognitifs ? / Julien Nizard ; Chloé Barbier ; Alain Blanchet ; Véronique Suissa ; Serge Guérin ; Pascal Derkinderen ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Guillaume Chapelet in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 167-172 Titre : La méthode Snoezelen : une alternative thérapeutique chez les patients ayant des troubles cognitifs ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Nizard ; Chloé Barbier ; Alain Blanchet ; Véronique Suissa ; Serge Guérin ; Pascal Derkinderen ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Guillaume Chapelet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 167-172 Note générale : 10.1684/pnv.2022.1032 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Activité thérapeutique ; B:Bien-être ; E:Efficacité ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; Q:Qualité de vie ; S:Snoezelen ; S:Stimulation sensorielle ; T:Trouble cognitif Résumé : La prise en soin des symptômes neuropsychiatriques de patients ayant des troubles neurocognitifs est basée sur des traitements non médicamenteux. Certains auteurs suggèrent que la méthode Snoezelen pourrait être une alternative thérapeutique. L’objectif de cette revue de littérature était de faire une recherche systématique des essais contrôlés et randomisés ayant analysé l’effet de la méthode Snoezelen sur les patients âgés ayant des troubles cognitifs. Le processus de sélection a permis d’inclure 18 études, ayant des méthodologies hétérogènes. Dans plusieurs études, la méthode Snoezelen pourrait avoir un effet bénéfique, à court terme, sur les troubles du comportement, sur l’humeur, la cognition, ou les capacités fonctionnelles. Cependant, la méthode Snoezelen ne semblait pas être supérieure à d’autres interventions non médicamenteuses et certaines études montraient des résultats discordants. Finalement, le niveau de preuve d’efficacité de la méthode Snoezelen reste faible et des études mixtes (quantitatives et qualitatives) seraient intéressantes à mener pour évaluer l’intérêt de la méthode Snoezelen sur des profils spécifiques de patients ayant des troubles neurocognitifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49962 [article] La méthode Snoezelen : une alternative thérapeutique chez les patients ayant des troubles cognitifs ? [texte imprimé] / Julien Nizard ; Chloé Barbier ; Alain Blanchet ; Véronique Suissa ; Serge Guérin ; Pascal Derkinderen ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Guillaume Chapelet . - 2022 . - p. 167-172. 10.1684/pnv.2022.1032 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 167-172 Catégories : Alpha A:Activité thérapeutique ; B:Bien-être ; E:Efficacité ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; Q:Qualité de vie ; S:Snoezelen ; S:Stimulation sensorielle ; T:Trouble cognitif Résumé : La prise en soin des symptômes neuropsychiatriques de patients ayant des troubles neurocognitifs est basée sur des traitements non médicamenteux. Certains auteurs suggèrent que la méthode Snoezelen pourrait être une alternative thérapeutique. L’objectif de cette revue de littérature était de faire une recherche systématique des essais contrôlés et randomisés ayant analysé l’effet de la méthode Snoezelen sur les patients âgés ayant des troubles cognitifs. Le processus de sélection a permis d’inclure 18 études, ayant des méthodologies hétérogènes. Dans plusieurs études, la méthode Snoezelen pourrait avoir un effet bénéfique, à court terme, sur les troubles du comportement, sur l’humeur, la cognition, ou les capacités fonctionnelles. Cependant, la méthode Snoezelen ne semblait pas être supérieure à d’autres interventions non médicamenteuses et certaines études montraient des résultats discordants. Finalement, le niveau de preuve d’efficacité de la méthode Snoezelen reste faible et des études mixtes (quantitatives et qualitatives) seraient intéressantes à mener pour évaluer l’intérêt de la méthode Snoezelen sur des profils spécifiques de patients ayant des troubles neurocognitifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49962

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Impact immédiat d’une infection liée à la Covid-19 et du confinement consécutif sur les résidents d’un Ehpad / Jean-Pierre Jacus in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 173-181 Titre : Impact immédiat d’une infection liée à la Covid-19 et du confinement consécutif sur les résidents d’un Ehpad Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Jacus ; Clémentine Tournier ; Gilles Bernard ; Nicolas Sanchez ; Elisabeth Audoye ; Estelle Betirac ; Jean-Christophe Charet ; Christine-Vanessa Cuervo-Lombard ; Martine Barbet ; Nicolas Connord Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 173-181 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1034 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Confinement ; D:Dénutrition ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; T:Trouble du comportement Résumé : Introduction Suite à une épidémie de Covid-19 ayant affecté 76 des 97 résidents d’un Ehpad, nous avons évalué l’impact de cette période de cluster sur la santé physique et psycho-cognitive des résidents pronostiquant notamment une altération en fonction de leur dépendance cognitivo-comportementale. Méthodes Nous avons retenus vingt-deux variables relatives : aux données démographiques (5) ; aux prises en charge spécifiques liées à l’infection (6) ; aux pathologies somatiques et troubles psycho-comportementaux avant l’épidémie (6) et après la période de cluster (5). Résultats Onze résidents diagnostiqués positifs sont décédés. Neuf ont été transférés en unité Covid et 35 étaient asymptomatiques. Les troubles consécutifs à la période de cluster concernaient la majoration des comportements perturbateurs et la dénutrition lorsque des antécédents existaient déjà (respectivement : RR = 3,9, IC95 % = 1,38–11,02, p = 0,0042 ; RR = 2,07, IC95 % = 1,14–3,74, p = 0,02), ainsi que la réduction des capacités motrices. Nous n’avons pu objectiver d’autres facteurs explicatifs spécifiques à ces altérations. Conclusion Notre hypothèse principale en lien avec la dépendance cognitivo-comportementale n’apparaît pas totalement validée. L’impact de la période de cluster est resté modéré notamment grâce aux moyens médico-soignants dont l’Ehpad disposait. L’avantage d’un dispositif médicalisé et l’inconvénient des restrictions liées au confinement est discuté au regard de questions éthiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49963 [article] Impact immédiat d’une infection liée à la Covid-19 et du confinement consécutif sur les résidents d’un Ehpad [texte imprimé] / Jean-Pierre Jacus ; Clémentine Tournier ; Gilles Bernard ; Nicolas Sanchez ; Elisabeth Audoye ; Estelle Betirac ; Jean-Christophe Charet ; Christine-Vanessa Cuervo-Lombard ; Martine Barbet ; Nicolas Connord . - 2022 . - p. 173-181. DOI : 10.1684/pnv.2022.1034 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 173-181 Catégories : Alpha C:Confinement ; D:Dénutrition ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; T:Trouble du comportement Résumé : Introduction Suite à une épidémie de Covid-19 ayant affecté 76 des 97 résidents d’un Ehpad, nous avons évalué l’impact de cette période de cluster sur la santé physique et psycho-cognitive des résidents pronostiquant notamment une altération en fonction de leur dépendance cognitivo-comportementale. Méthodes Nous avons retenus vingt-deux variables relatives : aux données démographiques (5) ; aux prises en charge spécifiques liées à l’infection (6) ; aux pathologies somatiques et troubles psycho-comportementaux avant l’épidémie (6) et après la période de cluster (5). Résultats Onze résidents diagnostiqués positifs sont décédés. Neuf ont été transférés en unité Covid et 35 étaient asymptomatiques. Les troubles consécutifs à la période de cluster concernaient la majoration des comportements perturbateurs et la dénutrition lorsque des antécédents existaient déjà (respectivement : RR = 3,9, IC95 % = 1,38–11,02, p = 0,0042 ; RR = 2,07, IC95 % = 1,14–3,74, p = 0,02), ainsi que la réduction des capacités motrices. Nous n’avons pu objectiver d’autres facteurs explicatifs spécifiques à ces altérations. Conclusion Notre hypothèse principale en lien avec la dépendance cognitivo-comportementale n’apparaît pas totalement validée. L’impact de la période de cluster est resté modéré notamment grâce aux moyens médico-soignants dont l’Ehpad disposait. L’avantage d’un dispositif médicalisé et l’inconvénient des restrictions liées au confinement est discuté au regard de questions éthiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49963

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Intérêt du dépistage individuel du cancer du sein par mammographie chez la femme âgée de plus de 75 ans / Guillaume Pelofi ; X. Martin ; Jérémy Barben ; Pierre Jouanny in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 182-189 Titre : Intérêt du dépistage individuel du cancer du sein par mammographie chez la femme âgée de plus de 75 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Pelofi ; X. Martin ; Jérémy Barben ; Pierre Jouanny Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 182-189 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1035 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cancer ; D:Dépistage ; M:Mammographie ; P:Personne âgée ; S:Sein Résumé : Le dépistage du cancer du sein par mammographie est recommandé jusqu’à 74 ans alors que fréquence et gravité de ce cancer augmentent après 75 ans. Le but de ce travail est d’évaluer les bénéfices potentiels de l’extension du dépistage individuel par mammographie. Méthodologie Étude rétrospective d’une série continue monocentrique de femmes de plus de 75 ans ayant consulté pour cancer du sein. Résultats Cent-quatre-vingt-cinq femmes âgées (82,8 ± 5,2 ans [75-95]) ont été inclues. Cent-soixante-quatre (87,7 %) patientes ont bénéficié d’une chirurgie (115 tumorectomies (61,2 %), 49 mastectomies (26,5 %) et 51 curages ganglionnaires (27,6 %) avec traitement adjuvant (chimiothérapie 21,1 % ; radiothérapie 68,6 % ; ou hormonothérapie 79,5 %). Quarante-neuf cancers du sein ont été découverts après dépistage individuel par mammographie (26,5 %) chez des femmes moins âgées (79,5 ± 3,6 vs 84 ± 5,3 ans ; p < 0,0001), à un stade moins avancé (stade I-II vs III-IV : OR = 5,6 [1,5–19,8] ; p = 0,0078) avec une chirurgie plus conservatrice (tumorectomie vs mastectomie : OR = 2,6 [1,1–6,5] ; p = 0,0333). Conclusion Le dépistage individuel du cancer du sein par mammographie permet une prise en charge moins lourde, à un stade moins avancé et devrait être poursuivi après 75 ans. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49964 [article] Intérêt du dépistage individuel du cancer du sein par mammographie chez la femme âgée de plus de 75 ans [texte imprimé] / Guillaume Pelofi ; X. Martin ; Jérémy Barben ; Pierre Jouanny . - 2022 . - p. 182-189. DOI : 10.1684/pnv.2022.1035 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 182-189 Catégories : Alpha C:Cancer ; D:Dépistage ; M:Mammographie ; P:Personne âgée ; S:Sein Résumé : Le dépistage du cancer du sein par mammographie est recommandé jusqu’à 74 ans alors que fréquence et gravité de ce cancer augmentent après 75 ans. Le but de ce travail est d’évaluer les bénéfices potentiels de l’extension du dépistage individuel par mammographie. Méthodologie Étude rétrospective d’une série continue monocentrique de femmes de plus de 75 ans ayant consulté pour cancer du sein. Résultats Cent-quatre-vingt-cinq femmes âgées (82,8 ± 5,2 ans [75-95]) ont été inclues. Cent-soixante-quatre (87,7 %) patientes ont bénéficié d’une chirurgie (115 tumorectomies (61,2 %), 49 mastectomies (26,5 %) et 51 curages ganglionnaires (27,6 %) avec traitement adjuvant (chimiothérapie 21,1 % ; radiothérapie 68,6 % ; ou hormonothérapie 79,5 %). Quarante-neuf cancers du sein ont été découverts après dépistage individuel par mammographie (26,5 %) chez des femmes moins âgées (79,5 ± 3,6 vs 84 ± 5,3 ans ; p < 0,0001), à un stade moins avancé (stade I-II vs III-IV : OR = 5,6 [1,5–19,8] ; p = 0,0078) avec une chirurgie plus conservatrice (tumorectomie vs mastectomie : OR = 2,6 [1,1–6,5] ; p = 0,0333). Conclusion Le dépistage individuel du cancer du sein par mammographie permet une prise en charge moins lourde, à un stade moins avancé et devrait être poursuivi après 75 ans. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49964

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COVID-19 and cardiovascular disease: characteristic features in older patients / Anne-Sophie Boureau in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 141-148 Titre : COVID-19 and cardiovascular disease: characteristic features in older patients Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Sophie Boureau ; Olivier Hanon ; Laure De Decker ; Gilles Berrut Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 141-148 Langues : Anglais (eng) Catégories : Alpha C:Covid-19 ; M:Maladie cardiovasculaire ; M:Myocardiopathie ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaire ; S:Symptôme Résumé : Le coronavirus disease 2019 (Covid-19) est une maladie infectieuse secondaire au severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2). Le lien entre les maladies cardiovasculaires et l’infection par SARS-CoV2 entraînant le Covid semble double. Tout d’abord, les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire ou des pathologies cardiovasculaires préexistantes seraient plus à risque de développer des formes graves de l’infection par Covid-19. De plus, l’infection par SARS-CoV2 peut se compliquer de lésions cardiovasculaires potentiellement mortelles, et dont les séquelles cardiorespiratoires à moyen terme demeurent inconnues. Malgré l’évolution rapide des données sur cette pandémie, cet article a pour objectif de résumer les liens entre Covid-19 et les pathologies cardiovasculaires que ce soit en tant que comorbidités incluant le questionnement de la place des bloqueurs du système rénine angiotensine ou que ce soit lié aux complications cardiovasculaires aiguës. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49965 [article] COVID-19 and cardiovascular disease: characteristic features in older patients [texte imprimé] / Anne-Sophie Boureau ; Olivier Hanon ; Laure De Decker ; Gilles Berrut . - 2022 . - p. 141-148. Langues : Anglais (eng) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 141-148 Catégories : Alpha C:Covid-19 ; M:Maladie cardiovasculaire ; M:Myocardiopathie ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaire ; S:Symptôme Résumé : Le coronavirus disease 2019 (Covid-19) est une maladie infectieuse secondaire au severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2). Le lien entre les maladies cardiovasculaires et l’infection par SARS-CoV2 entraînant le Covid semble double. Tout d’abord, les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire ou des pathologies cardiovasculaires préexistantes seraient plus à risque de développer des formes graves de l’infection par Covid-19. De plus, l’infection par SARS-CoV2 peut se compliquer de lésions cardiovasculaires potentiellement mortelles, et dont les séquelles cardiorespiratoires à moyen terme demeurent inconnues. Malgré l’évolution rapide des données sur cette pandémie, cet article a pour objectif de résumer les liens entre Covid-19 et les pathologies cardiovasculaires que ce soit en tant que comorbidités incluant le questionnement de la place des bloqueurs du système rénine angiotensine ou que ce soit lié aux complications cardiovasculaires aiguës. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49965

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Incidence, criticality and typology of care-related adverse events in nursing homes based on initial epidemiological characteristics and possible prevention measures in France / Delphine Teigné in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 157-166 Titre : Incidence, criticality and typology of care-related adverse events in nursing homes based on initial epidemiological characteristics and possible prevention measures in France Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Teigné ; Aurélie Gaultier ; Marion Lucas ; Delphine Mouret ; Brice Leclère ; Leïla Moret ; Noémie Terrien Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 157-166 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2020.0904 Langues : Anglais (eng) Catégories : Alpha E:Epidémiologie ; E:Evénement indésirable associé aux soins ; M:Maison de repos et de soins ; P:Prévention ; T:Typologie Résumé : En France, les connaissances épidémiologiques des évènements indésirables associés aux soins dans le secteur des Ehpad sont parcellaires. Une étude observationnelle descriptive a été menée au sein de 25 Ehpad pendant 15 jours entre 2016 et 2017. Elle avait pour objectif de décrire les types d’évènements indésirables associés aux soins et d’en évaluer leur gravité, fréquence de survenue et criticité. Quatre-vingt-six types d’évènements indésirables associés aux soins appartenant à 13 domaines de risques ont été identifiés (dont 31 par un médecin-enquêteur). Parmi ces types d’évènements, 11 présentaient une criticité « non acceptable » en l’état et 39 une criticité « à surveiller ». Le travail des Ehpad devrait s’orienter autour des types d’évènements indésirables associés aux soins : perte/altération de dispositif médical, défaut d’administration de médicament, défaut de coordination inter structures, défaut de planification/continuité des soins, défaillance du système d’information, perte/altération du linge et sortie inopinée. La préconisation d’axes prioritaires de prévention et d’amélioration dans les Ehpad doit être étudiée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49966 [article] Incidence, criticality and typology of care-related adverse events in nursing homes based on initial epidemiological characteristics and possible prevention measures in France [texte imprimé] / Delphine Teigné ; Aurélie Gaultier ; Marion Lucas ; Delphine Mouret ; Brice Leclère ; Leïla Moret ; Noémie Terrien . - 2022 . - p. 157-166. DOI : 10.1684/pnv.2020.0904 Langues : Anglais (eng) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 157-166 Catégories : Alpha E:Epidémiologie ; E:Evénement indésirable associé aux soins ; M:Maison de repos et de soins ; P:Prévention ; T:Typologie Résumé : En France, les connaissances épidémiologiques des évènements indésirables associés aux soins dans le secteur des Ehpad sont parcellaires. Une étude observationnelle descriptive a été menée au sein de 25 Ehpad pendant 15 jours entre 2016 et 2017. Elle avait pour objectif de décrire les types d’évènements indésirables associés aux soins et d’en évaluer leur gravité, fréquence de survenue et criticité. Quatre-vingt-six types d’évènements indésirables associés aux soins appartenant à 13 domaines de risques ont été identifiés (dont 31 par un médecin-enquêteur). Parmi ces types d’évènements, 11 présentaient une criticité « non acceptable » en l’état et 39 une criticité « à surveiller ». Le travail des Ehpad devrait s’orienter autour des types d’évènements indésirables associés aux soins : perte/altération de dispositif médical, défaut d’administration de médicament, défaut de coordination inter structures, défaut de planification/continuité des soins, défaillance du système d’information, perte/altération du linge et sortie inopinée. La préconisation d’axes prioritaires de prévention et d’amélioration dans les Ehpad doit être étudiée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49966

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La relation au visage : du sujet normal au malade Alzheimer, du visage nu au visage masqué, d’une neuropsychologie humaniste à une éthique incarnée / Roger Gil in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 219-233 Titre : La relation au visage : du sujet normal au malade Alzheimer, du visage nu au visage masqué, d’une neuropsychologie humaniste à une éthique incarnée Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Gil ; E.-M. Arroyo-Anllo Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 219-233 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1038 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cognition ; C:Covid-19 ; E:Emotion ; E:Empathie ; E:Ethique ; M:Masque ; N:Neuropsychologie ; P:Prosopagnosie ; R:Relation interpersonnelle ; R:Relation sociale ; V:Visage Résumé : La relation au visage tisse des liens étroits avec l’identité et avec l’altérité. Elle n’est pas qu’un dispositif de connaissance interhumaine ; elle est aussi un dispositif majeur de la communication soi-autrui sous-tendue par ces réseaux de mentalisation qui ouvrent à l’attribution à autrui d’intentions et d’émotions (théorie de l’esprit) comme à cette disposition particulière qu’est l’empathie, qui permet de se mettre à la place d’autrui en ressentant et en comprenant ce qu’il éprouve tout en restant soi. La neuropsychologie tente d’éclairer les processus cérébraux qui sous-tendent cette rencontre du visage et qui peuvent être altérés par les maladies neurodégénératives, et en particulier par la maladie d’Alzheimer. La période pandémique conduit aussi à s’interroger sur les conséquences cliniques du port du masque tant chez les sujets normaux que chez les sujets atteints de maladies qui affecte la relation au visage d’autrui. Une neuropsychologie humaniste doit intégrer une éthique incarnée qui tente de discerner ce qui, dans la perception d’autrui, contribue à entraver l’expression de l’altérité, indissociable de la condition humaine. Dans le contexte pandémique lié à la Covid-19, la neuropsychologie, avec ses exigences cliniques, et l’éthique, avec sa visée performative sur les pratiques de soins, peuvent ainsi se féconder mutuellement pour proposer des compromis attentifs certes à la santé publique mais aussi au bien-être de chaque être humain et notamment des plus vulnérables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49967 [article] La relation au visage : du sujet normal au malade Alzheimer, du visage nu au visage masqué, d’une neuropsychologie humaniste à une éthique incarnée [texte imprimé] / Roger Gil ; E.-M. Arroyo-Anllo . - 2022 . - p. 219-233. DOI : 10.1684/pnv.2022.1038 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 219-233 Catégories : Alpha C:Cognition ; C:Covid-19 ; E:Emotion ; E:Empathie ; E:Ethique ; M:Masque ; N:Neuropsychologie ; P:Prosopagnosie ; R:Relation interpersonnelle ; R:Relation sociale ; V:Visage Résumé : La relation au visage tisse des liens étroits avec l’identité et avec l’altérité. Elle n’est pas qu’un dispositif de connaissance interhumaine ; elle est aussi un dispositif majeur de la communication soi-autrui sous-tendue par ces réseaux de mentalisation qui ouvrent à l’attribution à autrui d’intentions et d’émotions (théorie de l’esprit) comme à cette disposition particulière qu’est l’empathie, qui permet de se mettre à la place d’autrui en ressentant et en comprenant ce qu’il éprouve tout en restant soi. La neuropsychologie tente d’éclairer les processus cérébraux qui sous-tendent cette rencontre du visage et qui peuvent être altérés par les maladies neurodégénératives, et en particulier par la maladie d’Alzheimer. La période pandémique conduit aussi à s’interroger sur les conséquences cliniques du port du masque tant chez les sujets normaux que chez les sujets atteints de maladies qui affecte la relation au visage d’autrui. Une neuropsychologie humaniste doit intégrer une éthique incarnée qui tente de discerner ce qui, dans la perception d’autrui, contribue à entraver l’expression de l’altérité, indissociable de la condition humaine. Dans le contexte pandémique lié à la Covid-19, la neuropsychologie, avec ses exigences cliniques, et l’éthique, avec sa visée performative sur les pratiques de soins, peuvent ainsi se féconder mutuellement pour proposer des compromis attentifs certes à la santé publique mais aussi au bien-être de chaque être humain et notamment des plus vulnérables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49967

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Avoir l’esprit vagabond : un signe de vieillissement ? / Philippe Blondé in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 234-247 Titre : Avoir l’esprit vagabond : un signe de vieillissement ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Blondé ; Jean-Charles Girardeau ; Marco Sperduti ; Pascale Piolino Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 234-247 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1039 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cognition ; P:Pensée ; V:Vieillissement Résumé : Le vagabondage de l’esprit occupe une part importante de notre vie éveillée et concerne toutes les pensées spontanées qui ne sont pas liées à une activité en cours. Les recherches effectuées en laboratoire ont étudié cet état mental lors de la réalisation de tâches précises mesurant les conditions d’émergence, la fréquence et le contenu des pensées spontanées et les conséquences, généralement délétères, sur les performances testées. L’objectif de cette mini-revue est tout d’abord de définir le phénomène et ses conséquences néfastes sur les performances, d’examiner néanmoins les atouts de l’esprit vagabond, et enfin de présenter la littérature sur les effets du vieillissement cognitif dans l’incidence et les caractéristiques du vagabondage de l’esprit. Différentes études mettent en évidence, chez les sujets âgés, une réduction des pensées non liées à la tâche associée à une augmentation des pensées interférentes liées à la tâche. Plusieurs pistes explicatives sont proposées, comme la réduction des ressources cognitives ou l’augmentation de la motivation dans le cadre du vieillissement normal. La nature de contenu du vagabondage de l’esprit semble cruciale pour comprendre la manière dont ce phénomène évolue dans le cadre du vieillissement. Ainsi, dans l’avenir, une évaluation des caractéristiques des pensées (émotion, temporalité, lien avec les stimuli, etc.) permettra d’approfondir notre connaissance du lien entre vagabondage de l’esprit et vieillissement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49968 [article] Avoir l’esprit vagabond : un signe de vieillissement ? [texte imprimé] / Philippe Blondé ; Jean-Charles Girardeau ; Marco Sperduti ; Pascale Piolino . - 2022 . - p. 234-247. DOI : 10.1684/pnv.2022.1039 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 234-247 Catégories : Alpha C:Cognition ; P:Pensée ; V:Vieillissement Résumé : Le vagabondage de l’esprit occupe une part importante de notre vie éveillée et concerne toutes les pensées spontanées qui ne sont pas liées à une activité en cours. Les recherches effectuées en laboratoire ont étudié cet état mental lors de la réalisation de tâches précises mesurant les conditions d’émergence, la fréquence et le contenu des pensées spontanées et les conséquences, généralement délétères, sur les performances testées. L’objectif de cette mini-revue est tout d’abord de définir le phénomène et ses conséquences néfastes sur les performances, d’examiner néanmoins les atouts de l’esprit vagabond, et enfin de présenter la littérature sur les effets du vieillissement cognitif dans l’incidence et les caractéristiques du vagabondage de l’esprit. Différentes études mettent en évidence, chez les sujets âgés, une réduction des pensées non liées à la tâche associée à une augmentation des pensées interférentes liées à la tâche. Plusieurs pistes explicatives sont proposées, comme la réduction des ressources cognitives ou l’augmentation de la motivation dans le cadre du vieillissement normal. La nature de contenu du vagabondage de l’esprit semble cruciale pour comprendre la manière dont ce phénomène évolue dans le cadre du vieillissement. Ainsi, dans l’avenir, une évaluation des caractéristiques des pensées (émotion, temporalité, lien avec les stimuli, etc.) permettra d’approfondir notre connaissance du lien entre vagabondage de l’esprit et vieillissement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49968

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Le clown comme intervention thérapeutique auprès de personnes âgées : revue de la littérature / Judith Rousseau in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 248-55 Titre : Le clown comme intervention thérapeutique auprès de personnes âgées : revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Judith Rousseau ; Christine-Vanessa Cuervo-Lombard Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 248-55 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1040 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Agitation ; C:Clown ; E:Expression ; H:Humour ; I:Interaction sociale ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; Q:Qualité de vie ; R:Retrait relationnel Résumé : Les interventions de clowns auprès d’un public âgé sont devenues un champ d’études depuis une vingtaine d’années. Cette revue de la littérature propose un état des connaissances sur les modalités et les effets de ce type d’intervention. Chez des personnes présentant des troubles cognitifs et/ou des troubles du comportement, les interventions clownées auraient un effet sur l’agitation et l’agressivité, comme sur la qualité de vie et le repli sur soi. Dans les services de soins palliatifs, l’aspect poétique et décalé du clown faciliterait l’expression de soi et l’humour permettrait de reconnaître la personne en fin de vie dans son humanité. Les écrits sur les clowns intervenant dans un cadre thérapeutique analysent soit l’effet de l’humour, soit les qualités relationnelles du clown. Cette synthèse de la littérature prend en considération toutes les caractéristiques et effets possibles de cette pratique et propose des pistes de recherches complémentaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49969 [article] Le clown comme intervention thérapeutique auprès de personnes âgées : revue de la littérature [texte imprimé] / Judith Rousseau ; Christine-Vanessa Cuervo-Lombard . - 2022 . - p. 248-55. DOI : 10.1684/pnv.2022.1040 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 248-55 Catégories : Alpha A:Agitation ; C:Clown ; E:Expression ; H:Humour ; I:Interaction sociale ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; Q:Qualité de vie ; R:Retrait relationnel Résumé : Les interventions de clowns auprès d’un public âgé sont devenues un champ d’études depuis une vingtaine d’années. Cette revue de la littérature propose un état des connaissances sur les modalités et les effets de ce type d’intervention. Chez des personnes présentant des troubles cognitifs et/ou des troubles du comportement, les interventions clownées auraient un effet sur l’agitation et l’agressivité, comme sur la qualité de vie et le repli sur soi. Dans les services de soins palliatifs, l’aspect poétique et décalé du clown faciliterait l’expression de soi et l’humour permettrait de reconnaître la personne en fin de vie dans son humanité. Les écrits sur les clowns intervenant dans un cadre thérapeutique analysent soit l’effet de l’humour, soit les qualités relationnelles du clown. Cette synthèse de la littérature prend en considération toutes les caractéristiques et effets possibles de cette pratique et propose des pistes de recherches complémentaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49969

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Actualités thérapeutiques dans la maladie d’Alzheimer : bientôt un traitement de fond ? / Nicolas Villain in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 256-260 Titre : Actualités thérapeutiques dans la maladie d’Alzheimer : bientôt un traitement de fond ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Villain Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 256-260 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1042 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; B:Bénéfice/risque ; I:Immunothérapie ; T:Traitement médicamenteux Résumé : La recherche de traitements de fond (disease modifiers) de la maladie d’Alzheimer s’est soldée depuis 20 ans par une série d’échecs. Ces quatre dernières années, cinq molécules ont néanmoins présenté, lors d’essais de phase II ou III, des effets significatifs sur des critères cliniques (c’est-à-dire sur le ralentissement du déclin cognitif). Parmi ces cinq molécules, trois sont des immunothérapies anti-amyloïdes (l’aducanumab, le donanemab et le lecanemab) entraînant une clairance majeure des dépôts amyloïdes cérébraux. Néanmoins, ces résultats attendent encore confirmation afin de mettre fin à la controverse quant à la décision de la Food and Drug Administration de donner d’ores et déjà une autorisation conditionnelle à l’aducanumab, jugée prématurée par de nombreux spécialistes, et de pouvoir juger de la balance bénéfice (amplitude du ralentissement du déclin cognitif)-risque (œdèmes et hémorragies cérébrales induites par ces traitements) de ces molécules qui semble pour le moment discutable. Le masitinib, un traitement dont le mécanisme d’action probable est celui de la neuroinflammation, a aussi montré des effets positifs à confirmer. Quant aux traitements ciblant la protéine tau, leur développement est moins avancé mais des signaux faibles émergent d’immunothérapies aux stades modérés de la maladie (semorinemab). L’espoir renaît donc pour les patients avec la possibilité non déraisonnable de voir apparaître des traitements de fond de maladie d’Alzheimer au sein de l’arsenal thérapeutique français dans les 5 années à venir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49970 [article] Actualités thérapeutiques dans la maladie d’Alzheimer : bientôt un traitement de fond ? [texte imprimé] / Nicolas Villain . - 2022 . - p. 256-260. DOI : 10.1684/pnv.2022.1042 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 256-260 Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; B:Bénéfice/risque ; I:Immunothérapie ; T:Traitement médicamenteux Résumé : La recherche de traitements de fond (disease modifiers) de la maladie d’Alzheimer s’est soldée depuis 20 ans par une série d’échecs. Ces quatre dernières années, cinq molécules ont néanmoins présenté, lors d’essais de phase II ou III, des effets significatifs sur des critères cliniques (c’est-à-dire sur le ralentissement du déclin cognitif). Parmi ces cinq molécules, trois sont des immunothérapies anti-amyloïdes (l’aducanumab, le donanemab et le lecanemab) entraînant une clairance majeure des dépôts amyloïdes cérébraux. Néanmoins, ces résultats attendent encore confirmation afin de mettre fin à la controverse quant à la décision de la Food and Drug Administration de donner d’ores et déjà une autorisation conditionnelle à l’aducanumab, jugée prématurée par de nombreux spécialistes, et de pouvoir juger de la balance bénéfice (amplitude du ralentissement du déclin cognitif)-risque (œdèmes et hémorragies cérébrales induites par ces traitements) de ces molécules qui semble pour le moment discutable. Le masitinib, un traitement dont le mécanisme d’action probable est celui de la neuroinflammation, a aussi montré des effets positifs à confirmer. Quant aux traitements ciblant la protéine tau, leur développement est moins avancé mais des signaux faibles émergent d’immunothérapies aux stades modérés de la maladie (semorinemab). L’espoir renaît donc pour les patients avec la possibilité non déraisonnable de voir apparaître des traitements de fond de maladie d’Alzheimer au sein de l’arsenal thérapeutique français dans les 5 années à venir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49970

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T-DAV : Test de dénomination d’actions par visionnement de vidéos. Développement, validation et normalisation / Manon Spigarelli in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 261-270 Titre : T-DAV : Test de dénomination d’actions par visionnement de vidéos. Développement, validation et normalisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Spigarelli ; Maximiliano A. Wilson Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 261-270 Note générale : DOI : 10.1684/pnv.2022.1043 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; A:Aphasie ; I:Image ; S:Sémantique ; V:Vidéo Résumé : Le manque du verbe est un symptôme clinique présent chez les patients aphasiques post-accident vasculaire cérébral et atteints de maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer (MA). L’évaluation du manque du verbe se fait souvent avec des tâches de dénomination d’actions portant sur des images. Or, le support vidéo semble être plus adapté que les images pour la dénomination d’actions. À ce jour, aucun test français n’évalue la dénomination d’actions par vidéos. L’objectif de cet article est de présenter le Test de dénomination d’actions par vidéos (T-DAV) et l’étude de ses propriétés psychométriques (validité et fiabilité). Le T-DAV est composé de 20 vidéos (10 actions de haute fréquence et 10 de basse fréquence), appariées par plusieurs variables psycholinguistiques. La performance au T-DAV est associée à celle du test DVL-38 pour la dénomination d’actions avec images (validité concurrente). Les scores au T-DAV permettent de différencier la performance des personnes saines et celles atteintes de la MA (validité discriminante). Les items du T-DAV montrent une bonne consistance interne (fiabilité). En somme, le T-DAV montre de très bonnes propriétés psychométriques et présente des normes pour une population francophone adulte. Le T-DAV comble ainsi le manque de tests francophones de dénominations d’actions par vidéos. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49971 [article] T-DAV : Test de dénomination d’actions par visionnement de vidéos. Développement, validation et normalisation [texte imprimé] / Manon Spigarelli ; Maximiliano A. Wilson . - 2022 . - p. 261-270. DOI : 10.1684/pnv.2022.1043 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 261-270 Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; A:Aphasie ; I:Image ; S:Sémantique ; V:Vidéo Résumé : Le manque du verbe est un symptôme clinique présent chez les patients aphasiques post-accident vasculaire cérébral et atteints de maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer (MA). L’évaluation du manque du verbe se fait souvent avec des tâches de dénomination d’actions portant sur des images. Or, le support vidéo semble être plus adapté que les images pour la dénomination d’actions. À ce jour, aucun test français n’évalue la dénomination d’actions par vidéos. L’objectif de cet article est de présenter le Test de dénomination d’actions par vidéos (T-DAV) et l’étude de ses propriétés psychométriques (validité et fiabilité). Le T-DAV est composé de 20 vidéos (10 actions de haute fréquence et 10 de basse fréquence), appariées par plusieurs variables psycholinguistiques. La performance au T-DAV est associée à celle du test DVL-38 pour la dénomination d’actions avec images (validité concurrente). Les scores au T-DAV permettent de différencier la performance des personnes saines et celles atteintes de la MA (validité discriminante). Les items du T-DAV montrent une bonne consistance interne (fiabilité). En somme, le T-DAV montre de très bonnes propriétés psychométriques et présente des normes pour une population francophone adulte. Le T-DAV comble ainsi le manque de tests francophones de dénominations d’actions par vidéos. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49971

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