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NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) . Vol. 21, n° 124RééducationMention de date : Août 2021 Paru le : 01/08/2021 |
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Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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T009200 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierPlasticité cérébrale : régénération ? réparation ? réorganisation ? ou compensation ? Que savons-nous aujourd’hui ? / I. Npochinto Moumeni in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Plasticité cérébrale : régénération ? réparation ? réorganisation ? ou compensation ? Que savons-nous aujourd’hui ? Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Npochinto Moumeni Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 213-226 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.002Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique ; C:Cerveau ; N:Neurone ; P:Plasticité cérébrale ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéhabilitationRésumé : À la suite d’une lésion cérébrale, le tissu nerveux n’a qu’une capacité limitée de se modifier, se renouveler et se réparer. À la différence de nombreux autres organes, le système nerveux humain ne produit pas de grandes quantités de nouveaux neurones, néanmoins un certain degré d’adaptation du système nerveux est possible. Le modeste potentiel de récupération observé après lésion cérébrale, s’il y a récupération, est attribué à la « réorganisation » des fonctions utilisant les circuits sains restant plutôt qu’à la réparation du tissu lésé. On observe trois types d’ajustement cellulaire après lésion. Le premier, et le plus efficace, est la réorganisation fonctionnelle des neurones et des circuits qui ont survécu durant avec une repousse des axones qui rétablissent les synapses. Le deuxième type de réparation, beaucoup plus limité est la gémination locale ou l’extension plus longue des axones et des dendrites au sein des lésions traumatiques. Les principaux obstacles à cette gémination sont la cicatrice gliale et la mort des neurones endommagés (déprivation trophique, stress, cytokines libérées) pendant la période inflammatoire. Le dernier est la génération (régénération). Une telle neurogénèse chez l’adulte se produit rarement et ses mécanismes sont très controversés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47454
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 213-226[article] Plasticité cérébrale : régénération ? réparation ? réorganisation ? ou compensation ? Que savons-nous aujourd’hui ? [texte imprimé] / I. Npochinto Moumeni . - 2021 . - p. 213-226.
Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.002
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 213-226
Catégories : Alpha
A:Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique ; C:Cerveau ; N:Neurone ; P:Plasticité cérébrale ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéhabilitationRésumé : À la suite d’une lésion cérébrale, le tissu nerveux n’a qu’une capacité limitée de se modifier, se renouveler et se réparer. À la différence de nombreux autres organes, le système nerveux humain ne produit pas de grandes quantités de nouveaux neurones, néanmoins un certain degré d’adaptation du système nerveux est possible. Le modeste potentiel de récupération observé après lésion cérébrale, s’il y a récupération, est attribué à la « réorganisation » des fonctions utilisant les circuits sains restant plutôt qu’à la réparation du tissu lésé. On observe trois types d’ajustement cellulaire après lésion. Le premier, et le plus efficace, est la réorganisation fonctionnelle des neurones et des circuits qui ont survécu durant avec une repousse des axones qui rétablissent les synapses. Le deuxième type de réparation, beaucoup plus limité est la gémination locale ou l’extension plus longue des axones et des dendrites au sein des lésions traumatiques. Les principaux obstacles à cette gémination sont la cicatrice gliale et la mort des neurones endommagés (déprivation trophique, stress, cytokines libérées) pendant la période inflammatoire. Le dernier est la génération (régénération). Une telle neurogénèse chez l’adulte se produit rarement et ses mécanismes sont très controversés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47454 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Plasticité musculaire et traitement physique dans la parésie spastique déformante : physiopathologie de la sous-utilisation et réversibilité par le réentrainement intensif / I. Npochinto Moumeni in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Plasticité musculaire et traitement physique dans la parésie spastique déformante : physiopathologie de la sous-utilisation et réversibilité par le réentrainement intensif Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Npochinto Moumeni ; Y. Njankouo Mapoure ; J.-M. Gracies ; E. Moyse ; M. Temgoua ; J.P. Moulangou Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 227-242 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2021.03.003Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accident vasculaire cérébral ; A:Atteinte motrice ; P:Parésie ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéversibilitéRésumé : Un des problèmes majeurs des patients ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) est la déformation corporelle. Ces patients acceptent plus facilement d’avoir une motricité et une fonctionnalité diminuées que d’avoir un corps déformé. Ils ne consultent pas en raison de la spasticité mais ils viennent se plaindre de raideur, déformations, limitations des capacités fonctionnelles, inconfort, et/ou douleur. L’objectif principal de la réadaptation après un AVC est de restaurer l’indépendance des patients dans leurs activités de vie quotidienne. S’il est vrai que les AVC laissent un contexte de vulnérabilité motrice de type parésie, il n’en est pas moins vrai que la sous-utilisation aggrave cet état et initie une autre pathologie locale sous-jacente, la myopathie spastique, qui apparaît dès les premiers jours post-AVC, et centrale, la dégénérescence neuronale, par une réorganisation des circuits afférents (plasticité mal adaptative) qui augmente la déficience motrice primaire. Ce mécanisme entraîne la parésie spastique déformante qui est réversible à partir du moment où l’on commence à utiliser activement le côté lésé. Les traitements par les exercices ou les thérapies physiques sont plus efficaces que les traitements pharmacologiques lorsqu’il s’agit de la récupération motrice, du maintien ou des adaptations des capacités fonctionnelles des personnes en générale, et des cérébrolésés en particulier. C’est pourquoi il est nécessaire, à côté des traitements pharmacologiques, de proposer une quantité plus importante de traitements physiques focaux des muscles cibles (les antagonistes) par des techniques d’étirement agressif, prolongé, activo-dynamique et des mouvements alternatifs d’amplitude maximale, tant en cabinet avec le patient, qu’à domicile (via un contrat d’auto-rééducation guidée et un registre) afin de non seulement briser le cercle néfaste de la sous-utilisation acquise après un AVC, mais aussi de vaincre ces déformations corporelles inesthétiques qui créent parfois du désespoir dans la vie sociale et professionnelle de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47455
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 227-242[article] Plasticité musculaire et traitement physique dans la parésie spastique déformante : physiopathologie de la sous-utilisation et réversibilité par le réentrainement intensif [texte imprimé] / I. Npochinto Moumeni ; Y. Njankouo Mapoure ; J.-M. Gracies ; E. Moyse ; M. Temgoua ; J.P. Moulangou . - 2021 . - p. 227-242.
Cet article fait partie du dossier "Rééducation".
Doi : 10.1016/j.npg.2021.03.003
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 227-242
Catégories : Alpha
A:Accident vasculaire cérébral ; A:Atteinte motrice ; P:Parésie ; R:Rééducation et réadaptation ; R:RéversibilitéRésumé : Un des problèmes majeurs des patients ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) est la déformation corporelle. Ces patients acceptent plus facilement d’avoir une motricité et une fonctionnalité diminuées que d’avoir un corps déformé. Ils ne consultent pas en raison de la spasticité mais ils viennent se plaindre de raideur, déformations, limitations des capacités fonctionnelles, inconfort, et/ou douleur. L’objectif principal de la réadaptation après un AVC est de restaurer l’indépendance des patients dans leurs activités de vie quotidienne. S’il est vrai que les AVC laissent un contexte de vulnérabilité motrice de type parésie, il n’en est pas moins vrai que la sous-utilisation aggrave cet état et initie une autre pathologie locale sous-jacente, la myopathie spastique, qui apparaît dès les premiers jours post-AVC, et centrale, la dégénérescence neuronale, par une réorganisation des circuits afférents (plasticité mal adaptative) qui augmente la déficience motrice primaire. Ce mécanisme entraîne la parésie spastique déformante qui est réversible à partir du moment où l’on commence à utiliser activement le côté lésé. Les traitements par les exercices ou les thérapies physiques sont plus efficaces que les traitements pharmacologiques lorsqu’il s’agit de la récupération motrice, du maintien ou des adaptations des capacités fonctionnelles des personnes en générale, et des cérébrolésés en particulier. C’est pourquoi il est nécessaire, à côté des traitements pharmacologiques, de proposer une quantité plus importante de traitements physiques focaux des muscles cibles (les antagonistes) par des techniques d’étirement agressif, prolongé, activo-dynamique et des mouvements alternatifs d’amplitude maximale, tant en cabinet avec le patient, qu’à domicile (via un contrat d’auto-rééducation guidée et un registre) afin de non seulement briser le cercle néfaste de la sous-utilisation acquise après un AVC, mais aussi de vaincre ces déformations corporelles inesthétiques qui créent parfois du désespoir dans la vie sociale et professionnelle de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47455 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Évaluation à un an du traitement chirurgical des traumatismes du rachis cervical supérieur chez les sujets de plus de 80ans / M. Faye in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Évaluation à un an du traitement chirurgical des traumatismes du rachis cervical supérieur chez les sujets de plus de 80ans Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Faye ; L.F. Barry ; A. Diop ; E.C.N. Sy ; C. Mualaba ; J.-M. Kaya ; P.-H. Roche Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 243-247 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.001 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cervicalgie ; L:Lésion et blessure ; P:Personne âgée ; R:Rachis ; T:Traumatisme ; V:Vertèbre cervicaleRésumé : Introduction
Les lésions traumatiques du rachis cervical chez le sujet âgé sont fréquentes avec une prédominance des lésions au rachis cervical supérieur et essentiellement de l’odontoïde. Le but de notre étude était d’évaluer à un an la chirurgie des lésions traumatiques du rachis cervical supérieur chez le sujet âgé de plus de 80ans.
Matériels et méthodes
Sur une période de 4ans (de janvier 2015 à décembre 2018), ont été inclus dans cette étude rétrospective monocentrique l’ensemble des patients âgés de 80ans et plus présentant une lésion traumatique du rachis cervical supérieur traitée chirurgicalement après consentement éclairé des patients et de l’entourage et suivi avec un recul minimum d’un an en postopératoire.
Résultats
Sur 11 hommes et 8 femmes, l’âge moyen était de 86ans. Le mécanisme était dominé par les chutes de sa hauteur (73,6 %). La clinique se résumait à la cervicalgie avec un score ASA à 2 chez 63,2 % des patients et à 3 chez 36,8 %. Le suivi moyen était de 11,8 mois. Les fractures de l’odontoïde de type 2 d’Anderson et Alonzo étaient les plus fréquentes (18 patients) avec 76,4 % de trait oblique en bas et en arrière. Nous avons noté un cas de fracture bi-isthmique de C2. Dans 2 cas un traumatisme crânien était associé. Douze patients ont été opérés par vissage antérieur, 5 par la technique de Harms et 2 par voie combinée. L’évolution a été marquée par la consolidation et la régression complète de la cervicalgie dans 15 cas, 2 cas de pseudarthrose avec persistance de la cervicalgie et 2 cas de décès ont été enregistrés.
Conclusion
Cette étude montre l’efficacité de la chirurgie dans la consolidation de ces fractures et dans la régression de la symptomatologie douloureuse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47456
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 243-247[article] Évaluation à un an du traitement chirurgical des traumatismes du rachis cervical supérieur chez les sujets de plus de 80ans [texte imprimé] / M. Faye ; L.F. Barry ; A. Diop ; E.C.N. Sy ; C. Mualaba ; J.-M. Kaya ; P.-H. Roche . - 2021 . - p. 243-247.
Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.001
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 243-247
Catégories : Alpha
C:Cervicalgie ; L:Lésion et blessure ; P:Personne âgée ; R:Rachis ; T:Traumatisme ; V:Vertèbre cervicaleRésumé : Introduction
Les lésions traumatiques du rachis cervical chez le sujet âgé sont fréquentes avec une prédominance des lésions au rachis cervical supérieur et essentiellement de l’odontoïde. Le but de notre étude était d’évaluer à un an la chirurgie des lésions traumatiques du rachis cervical supérieur chez le sujet âgé de plus de 80ans.
Matériels et méthodes
Sur une période de 4ans (de janvier 2015 à décembre 2018), ont été inclus dans cette étude rétrospective monocentrique l’ensemble des patients âgés de 80ans et plus présentant une lésion traumatique du rachis cervical supérieur traitée chirurgicalement après consentement éclairé des patients et de l’entourage et suivi avec un recul minimum d’un an en postopératoire.
Résultats
Sur 11 hommes et 8 femmes, l’âge moyen était de 86ans. Le mécanisme était dominé par les chutes de sa hauteur (73,6 %). La clinique se résumait à la cervicalgie avec un score ASA à 2 chez 63,2 % des patients et à 3 chez 36,8 %. Le suivi moyen était de 11,8 mois. Les fractures de l’odontoïde de type 2 d’Anderson et Alonzo étaient les plus fréquentes (18 patients) avec 76,4 % de trait oblique en bas et en arrière. Nous avons noté un cas de fracture bi-isthmique de C2. Dans 2 cas un traumatisme crânien était associé. Douze patients ont été opérés par vissage antérieur, 5 par la technique de Harms et 2 par voie combinée. L’évolution a été marquée par la consolidation et la régression complète de la cervicalgie dans 15 cas, 2 cas de pseudarthrose avec persistance de la cervicalgie et 2 cas de décès ont été enregistrés.
Conclusion
Cette étude montre l’efficacité de la chirurgie dans la consolidation de ces fractures et dans la régression de la symptomatologie douloureuse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47456 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Recours aux hypnotiques au long cours et gain de temps de sommeil perçu par les patients / M. Rochoy in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Recours aux hypnotiques au long cours et gain de temps de sommeil perçu par les patients Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Rochoy ; V. Pérard ; F. Pérard ; P. Legrand ; J.-M. Lefebvre ; A. Leicht ; J. Favre Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 248-254 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.003 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Dépendance (addiction) ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; S:Sédatif hypnotique ; S:Soins de santé primairesRésumé : Contexte
Les patients surestiment le temps de sommeil gagné grâce aux hypnotiques, rendant compliqué le sevrage en médecine générale. L’objectif principal était de décrire la population de patients consommateurs d’hypnotiques au long cours et le temps gagné « perçu » par ces patients grâce aux hypnotiques.
Méthode
Étude épidémiologique descriptive prospective réalisée à la maison de santé de Blériot-Sangatte de novembre 2015 à janvier 2016. Étaient éligibles les patients de tout âge ayant eu au moins deux prescriptions d’hypnotiques au cours des six derniers mois, n’ayant pas de troubles mnésiques ou psychiatriques gênant la compréhension des questions. Les questionnaires ont été remplis par deux médecins généralistes et un remplaçant.
Résultats
Parmi les 110 patients éligibles, 51 ont consulté sur la période de deux mois ; 50 ont été analysés (un refus) d’âge moyen 71+11,3 ans. Dans 80 % des cas, la primoprescription était effectuée par un médecin généraliste. En moyenne, les patients estimaient dormir 1h22 (écart type : 2h25) sans hypnotique, et 8h03 (écart-type : 1h38) avec le médicament (p <0,05). L’hypnotique était jugé efficace après six mois d’utilisation régulière par 80 % des patients ; 64 % jugeaient cette consommation dangereuse pour la santé. Parmi ces utilisateurs chroniques, 12 % avaient déjà entendu parler de la thérapie cognitivocomportementale.
Conclusion
Les règles d’hygiène et la physiologie du sommeil restent mal appliquées chez les consommateurs chroniques d’hypnotiques. Il convient d’insister sur la faible efficacité transitoire des hypnotiques, avant de prescrire ou renouveler un hypnotique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47457
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 248-254[article] Recours aux hypnotiques au long cours et gain de temps de sommeil perçu par les patients [texte imprimé] / M. Rochoy ; V. Pérard ; F. Pérard ; P. Legrand ; J.-M. Lefebvre ; A. Leicht ; J. Favre . - 2021 . - p. 248-254.
Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.003
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 248-254
Catégories : Alpha
D:Dépendance (addiction) ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; S:Sédatif hypnotique ; S:Soins de santé primairesRésumé : Contexte
Les patients surestiment le temps de sommeil gagné grâce aux hypnotiques, rendant compliqué le sevrage en médecine générale. L’objectif principal était de décrire la population de patients consommateurs d’hypnotiques au long cours et le temps gagné « perçu » par ces patients grâce aux hypnotiques.
Méthode
Étude épidémiologique descriptive prospective réalisée à la maison de santé de Blériot-Sangatte de novembre 2015 à janvier 2016. Étaient éligibles les patients de tout âge ayant eu au moins deux prescriptions d’hypnotiques au cours des six derniers mois, n’ayant pas de troubles mnésiques ou psychiatriques gênant la compréhension des questions. Les questionnaires ont été remplis par deux médecins généralistes et un remplaçant.
Résultats
Parmi les 110 patients éligibles, 51 ont consulté sur la période de deux mois ; 50 ont été analysés (un refus) d’âge moyen 71+11,3 ans. Dans 80 % des cas, la primoprescription était effectuée par un médecin généraliste. En moyenne, les patients estimaient dormir 1h22 (écart type : 2h25) sans hypnotique, et 8h03 (écart-type : 1h38) avec le médicament (p <0,05). L’hypnotique était jugé efficace après six mois d’utilisation régulière par 80 % des patients ; 64 % jugeaient cette consommation dangereuse pour la santé. Parmi ces utilisateurs chroniques, 12 % avaient déjà entendu parler de la thérapie cognitivocomportementale.
Conclusion
Les règles d’hygiène et la physiologie du sommeil restent mal appliquées chez les consommateurs chroniques d’hypnotiques. Il convient d’insister sur la faible efficacité transitoire des hypnotiques, avant de prescrire ou renouveler un hypnotique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47457 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Caractéristiques et mortalité des patients gériatriques infectés au Sars-CoV2 : description et comparaison des patients hospitalisés en unité dédiée COVID et de ceux en unités Alzheimer / J. Houdre in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Caractéristiques et mortalité des patients gériatriques infectés au Sars-CoV2 : description et comparaison des patients hospitalisés en unité dédiée COVID et de ceux en unités Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Houdre ; F. Laaraj ; Adrien Sorrel dejerine ; N. Brunetti ; M. Neiss ; Anne-Laure Vetillard ; M. Mary ; P. Simon ; M. Colas ; N. Houenou-Quenum ; C. Souques ; C. Trivalle ; M. Guichardon ; R. Collarino ; E. Baudouin ; E. Duron Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 255-261 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.001 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; D:Démence ; M:Mortalité ; P:Personne âgéeRésumé : Introduction
Au premier juillet 2020, l’épidémie de SARS-CoV2 avait concerné plus de 200 pays, infecté 10 millions de personnes et était la cause de 508 000 décès dans le monde. Peu de données existent concernant les plus de 75 ans, notamment lorsqu’ils ont des troubles cognitifs et du comportement.
Objectif
Présenter les caractéristiques des symptômes observés dans deux populations de patients hospitalisés : les patients en unités protégées « Alzheimer » et les patients « standards » hospitalisés en unité dédiée COVID, et comparer les taux de mortalité.
Matériel et méthode
Étude rétrospective incluant les patients de plus de 65 ans hospitalisés à Paul-Brousse du 13 mars au 15 avril 2020 en unité Alzheimer et en unité COVID, et ayant une infection au Sars-CoV2 confirmée par RT-PCR ou sérologie. Recueil de données à partir des dossiers médicaux concernant le terrain du patient, les traitements pris au long cours, les données cliniques et biologiques pendant l’infection.
Résultats
Cent soixante-dix-huit patients (87 ans [82 ; 91], 67 % de femmes) ont été inclus dont 60 patients « Alzheimer » (86 ans [81 ; 88,25], 68 % de femmes) et 118 patients « standards » (88 ans [83,25 ; 92], 66 % de femmes). Le groupe standard était plus âgé et avait un score de Charlson plus élevé. Le taux de mortalité n’était pas significativement différent entre les 2 groupes (p =0,09). Cliniquement, le groupe « standard » présentait une infection plus grave que le groupe « Alzheimer » : le score qSOFA et le débit d’oxygène maximum nécessaire étaient plus élevés. De même, biologiquement, le groupe « standard » présentait une lymphopénie non observée dans le groupe « Alzheimer ». En revanche, les patients du groupe « Alzheimer » consommaient significativement plus de neuroleptiques.
Conclusion
Le taux de mortalité était le même chez les patients en unités Alzheimer et en unité COVID, avec cependant une tendance à y avoir plus de décès dans le groupe « standard » (27 % vs 17 %, p =0,09)Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47458
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 255-261[article] Caractéristiques et mortalité des patients gériatriques infectés au Sars-CoV2 : description et comparaison des patients hospitalisés en unité dédiée COVID et de ceux en unités Alzheimer [texte imprimé] / J. Houdre ; F. Laaraj ; Adrien Sorrel dejerine ; N. Brunetti ; M. Neiss ; Anne-Laure Vetillard ; M. Mary ; P. Simon ; M. Colas ; N. Houenou-Quenum ; C. Souques ; C. Trivalle ; M. Guichardon ; R. Collarino ; E. Baudouin ; E. Duron . - 2021 . - p. 255-261.
Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.001
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 255-261
Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; D:Démence ; M:Mortalité ; P:Personne âgéeRésumé : Introduction
Au premier juillet 2020, l’épidémie de SARS-CoV2 avait concerné plus de 200 pays, infecté 10 millions de personnes et était la cause de 508 000 décès dans le monde. Peu de données existent concernant les plus de 75 ans, notamment lorsqu’ils ont des troubles cognitifs et du comportement.
Objectif
Présenter les caractéristiques des symptômes observés dans deux populations de patients hospitalisés : les patients en unités protégées « Alzheimer » et les patients « standards » hospitalisés en unité dédiée COVID, et comparer les taux de mortalité.
Matériel et méthode
Étude rétrospective incluant les patients de plus de 65 ans hospitalisés à Paul-Brousse du 13 mars au 15 avril 2020 en unité Alzheimer et en unité COVID, et ayant une infection au Sars-CoV2 confirmée par RT-PCR ou sérologie. Recueil de données à partir des dossiers médicaux concernant le terrain du patient, les traitements pris au long cours, les données cliniques et biologiques pendant l’infection.
Résultats
Cent soixante-dix-huit patients (87 ans [82 ; 91], 67 % de femmes) ont été inclus dont 60 patients « Alzheimer » (86 ans [81 ; 88,25], 68 % de femmes) et 118 patients « standards » (88 ans [83,25 ; 92], 66 % de femmes). Le groupe standard était plus âgé et avait un score de Charlson plus élevé. Le taux de mortalité n’était pas significativement différent entre les 2 groupes (p =0,09). Cliniquement, le groupe « standard » présentait une infection plus grave que le groupe « Alzheimer » : le score qSOFA et le débit d’oxygène maximum nécessaire étaient plus élevés. De même, biologiquement, le groupe « standard » présentait une lymphopénie non observée dans le groupe « Alzheimer ». En revanche, les patients du groupe « Alzheimer » consommaient significativement plus de neuroleptiques.
Conclusion
Le taux de mortalité était le même chez les patients en unités Alzheimer et en unité COVID, avec cependant une tendance à y avoir plus de décès dans le groupe « standard » (27 % vs 17 %, p =0,09)Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47458 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le sens de la prescription médicale motivée en psychogériatrie / P. Thomas in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Le sens de la prescription médicale motivée en psychogériatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Thomas ; G. Chandès ; Cyril Hazif-Thomas Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 262-271 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.12.003 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Droit / Législation ; E:Ethique ; P:Personne âgée ; P:Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux ; P:Psychiatrie ; S:Sémiotique ; S:SensRésumé : La prescription médicale en psychiatrie de la personne âgée est un acte complexe pour le médecin. Elle est motivée lorsqu’elle a un sens et une direction. Elle concerne tous les actes médicaux destinés au malade ou pour la mise en place d’aide et de soutien à ses aidants familiaux ou professionnels. Elle ne porte pas seulement sur la délivrance d’une ordonnance pour des médicaments. En psychiatrie du sujet âgé, la compréhension et l’adhésion soulèvent parfois le problème du consentement du malade. La prescription vise la restauration d’une condition tendant vers la normalité selon le point de vue du médecin, acteur du faire, et selon la demande du malade qui est dans le subir. Cette distinction formelle des rôles sous-tend une communauté de prescription. L’acceptation de la vulnérabilité humaine pour les deux actants présuppose qu’ils partagent un vécu d’appartenance à une même humanité. Elle réunit médecin et malade alors dans une communauté de destin. Cette condition est nécessaire pour saisir le sens de la souffrance du malade et orienter les choix thérapeutiques en fonction des valeurs en jeu. Nous examinons dans cet article, les processus intervenant chez le médecin dans la construction du sens de la prescription médicale en psychiatrie de la personne âgée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47459
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 262-271[article] Le sens de la prescription médicale motivée en psychogériatrie [texte imprimé] / P. Thomas ; G. Chandès ; Cyril Hazif-Thomas . - 2021 . - p. 262-271.
Doi : 10.1016/j.npg.2020.12.003
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 262-271
Catégories : Alpha
D:Droit / Législation ; E:Ethique ; P:Personne âgée ; P:Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux ; P:Psychiatrie ; S:Sémiotique ; S:SensRésumé : La prescription médicale en psychiatrie de la personne âgée est un acte complexe pour le médecin. Elle est motivée lorsqu’elle a un sens et une direction. Elle concerne tous les actes médicaux destinés au malade ou pour la mise en place d’aide et de soutien à ses aidants familiaux ou professionnels. Elle ne porte pas seulement sur la délivrance d’une ordonnance pour des médicaments. En psychiatrie du sujet âgé, la compréhension et l’adhésion soulèvent parfois le problème du consentement du malade. La prescription vise la restauration d’une condition tendant vers la normalité selon le point de vue du médecin, acteur du faire, et selon la demande du malade qui est dans le subir. Cette distinction formelle des rôles sous-tend une communauté de prescription. L’acceptation de la vulnérabilité humaine pour les deux actants présuppose qu’ils partagent un vécu d’appartenance à une même humanité. Elle réunit médecin et malade alors dans une communauté de destin. Cette condition est nécessaire pour saisir le sens de la souffrance du malade et orienter les choix thérapeutiques en fonction des valeurs en jeu. Nous examinons dans cet article, les processus intervenant chez le médecin dans la construction du sens de la prescription médicale en psychiatrie de la personne âgée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47459 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Stimulation cognitive : suivi de l’évolution d’une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer / Z. Kettani in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Stimulation cognitive : suivi de l’évolution d’une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : Z. Kettani Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 272-277 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.002 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; F:Fonction parentale ; S:Stimulation cognitive ; V:VieillissementRésumé : Cette étude de cas, qui concerne une patiente âgée de 83 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer, est présentée afin de partager le résultat d’une méthode de stimulation cognitive en cours de développement. Ce travail d’une durée de 5 mois a ciblé les différentes fonctions cognitives défaillantes et a pu aboutir à l’amélioration de certaines d’entre elles, notamment l’agnosie visuelle, la dysgraphie et la disparition des délires systématisés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47460
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 272-277[article] Stimulation cognitive : suivi de l’évolution d’une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer [texte imprimé] / Z. Kettani . - 2021 . - p. 272-277.
Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.002
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 272-277
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; F:Fonction parentale ; S:Stimulation cognitive ; V:VieillissementRésumé : Cette étude de cas, qui concerne une patiente âgée de 83 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer, est présentée afin de partager le résultat d’une méthode de stimulation cognitive en cours de développement. Ce travail d’une durée de 5 mois a ciblé les différentes fonctions cognitives défaillantes et a pu aboutir à l’amélioration de certaines d’entre elles, notamment l’agnosie visuelle, la dysgraphie et la disparition des délires systématisés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47460 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Évolution du dessin du bonhomme dans la maladie d’Alzheimer lors d’un programme de stimulation cognitive / Z. Kettani in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21, n° 124 (Août 2021)
[article]
Titre : Évolution du dessin du bonhomme dans la maladie d’Alzheimer lors d’un programme de stimulation cognitive Type de document : texte imprimé Auteurs : Z. Kettani Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 278-283 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2021.05.002 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; C:Fonction cognitive ; D:Dessin ; S:Stimulation cognitive ; T:Test ; V:VieillissementRésumé : Cet article concerne l’observation de l’évolution d’une patiente de 83 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer à l’aide du dessin du bonhomme ou test de Goodenough et ceci après son intégration dans un programme de stimulation cognitive. Ce travail a duré 8 mois et a ciblé les dysfonctionnements cognitifs engendrés par la maladie d’Alzheimer. Nous insisterons spécialement sur l’analyse des dessins du bonhomme de la patiente à l’aide du test de Goodenough. Ce test est habituellement utilisé avec les enfants, mais nous y avons eu recours ici afin de pouvoir comparer l’évolution du développement des capacités cognitives de la patiente tout au long du programme de stimulation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47461
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 278-283[article] Évolution du dessin du bonhomme dans la maladie d’Alzheimer lors d’un programme de stimulation cognitive [texte imprimé] / Z. Kettani . - 2021 . - p. 278-283.
Doi : 10.1016/j.npg.2021.05.002
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21, n° 124 (Août 2021) . - p. 278-283
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; C:Fonction cognitive ; D:Dessin ; S:Stimulation cognitive ; T:Test ; V:VieillissementRésumé : Cet article concerne l’observation de l’évolution d’une patiente de 83 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer à l’aide du dessin du bonhomme ou test de Goodenough et ceci après son intégration dans un programme de stimulation cognitive. Ce travail a duré 8 mois et a ciblé les dysfonctionnements cognitifs engendrés par la maladie d’Alzheimer. Nous insisterons spécialement sur l’analyse des dessins du bonhomme de la patiente à l’aide du test de Goodenough. Ce test est habituellement utilisé avec les enfants, mais nous y avons eu recours ici afin de pouvoir comparer l’évolution du développement des capacités cognitives de la patiente tout au long du programme de stimulation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47461 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009200 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible