Dépouillements

État des lieux de la gériatrie au Sénégal : évaluation d’une année d’activité au centre national gériatrique de l’institution de prévoyance retraite du Sénégal de Dakar / K. Diallo in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 140-146 Titre : État des lieux de la gériatrie au Sénégal : évaluation d’une année d’activité au centre national gériatrique de l’institution de prévoyance retraite du Sénégal de Dakar Type de document : texte imprimé Auteurs : K. Diallo ; M. Bâ ; M. Coumé ; P. Couturier Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 140-146 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.006 Cet article fait partie du dossier : "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Afrique subsaharienne ; C:Comorbidité ; G:Gériatrie ; P:Personne âgée ; S:Sénégal ; V:Vieillissement Résumé : Objectif Déterminer les aspects épidémiologiques, cliniques et évolutifs des patients âgés hospitalisés au centre de gériatrie de Dakar, et identifier les syndromes gériatriques les plus fréquents. Patients et méthodes Étude rétrospective descriptive portant sur une population de 60 ans et plus. Les données sociodémographiques et cliniques comportant une évaluation gériatrique ont été analysées chez 132 patients hospitalisés en 2017. Résultats Parmi les 227 patients hospitalisés durant la période de notre étude, 132 patients avaient 60 ans et plus, soit une prévalence d’hospitalisation de 58,27 %. L’âge moyen était de 74 ans+8,8. Le sexe ratio était de 3,1 en faveur des hommes. Il s’agissait d’hommes mariés dans 66,7 % des cas. Les patients résidaient essentiellement en banlieue dakaroise (58,3 %). Soixante-dix-neuf patients admis en médecine (87,7 %) présentaient des comorbidités cardiovasculaires dominées par l’HTA (53,3 %) et le diabète (25,6 %). Vingt et un étaient polypathologiques (23 %). La polymédication a concerné trois patients (3,4 %,). Sur quatre-vingt-dix patients admis en médecine, les principales affections aiguës retrouvées étaient infectieuses (39 %), cardiovasculaires (27,8 %) et des troubles métaboliques (24,4 %). En chirurgie, les pathologies herniaire (47,6 %) et prostatique (47,6 %) étaient les plus fréquentes. Cinq principaux syndromes gériatriques ont été identifiés : altération de l’état général, confusion, chute, escarres et troubles cognitifs. Lors du suivi, des complications métaboliques (23,3 %) et infectieuses (14,4 %) ont été observées. En chirurgie, trois patients avaient présenté un syndrome confusionnel postopératoire (7 %). La mortalité globale était de 3,78 %. Conclusion Une meilleure connaissance de l’épidémiologie, de la morbidité, du repérage et de l’identification des syndromes gériatriques permettrait d’améliorer la prise en charge des personnes âgées sénégalaises. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47179 [article] État des lieux de la gériatrie au Sénégal : évaluation d’une année d’activité au centre national gériatrique de l’institution de prévoyance retraite du Sénégal de Dakar [texte imprimé] / K. Diallo ; M. Bâ ; M. Coumé ; P. Couturier . - 2021 . - p. 140-146. Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.006 Cet article fait partie du dossier : "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 140-146 Catégories : Alpha A:Afrique subsaharienne ; C:Comorbidité ; G:Gériatrie ; P:Personne âgée ; S:Sénégal ; V:Vieillissement Résumé : Objectif Déterminer les aspects épidémiologiques, cliniques et évolutifs des patients âgés hospitalisés au centre de gériatrie de Dakar, et identifier les syndromes gériatriques les plus fréquents. Patients et méthodes Étude rétrospective descriptive portant sur une population de 60 ans et plus. Les données sociodémographiques et cliniques comportant une évaluation gériatrique ont été analysées chez 132 patients hospitalisés en 2017. Résultats Parmi les 227 patients hospitalisés durant la période de notre étude, 132 patients avaient 60 ans et plus, soit une prévalence d’hospitalisation de 58,27 %. L’âge moyen était de 74 ans+8,8. Le sexe ratio était de 3,1 en faveur des hommes. Il s’agissait d’hommes mariés dans 66,7 % des cas. Les patients résidaient essentiellement en banlieue dakaroise (58,3 %). Soixante-dix-neuf patients admis en médecine (87,7 %) présentaient des comorbidités cardiovasculaires dominées par l’HTA (53,3 %) et le diabète (25,6 %). Vingt et un étaient polypathologiques (23 %). La polymédication a concerné trois patients (3,4 %,). Sur quatre-vingt-dix patients admis en médecine, les principales affections aiguës retrouvées étaient infectieuses (39 %), cardiovasculaires (27,8 %) et des troubles métaboliques (24,4 %). En chirurgie, les pathologies herniaire (47,6 %) et prostatique (47,6 %) étaient les plus fréquentes. Cinq principaux syndromes gériatriques ont été identifiés : altération de l’état général, confusion, chute, escarres et troubles cognitifs. Lors du suivi, des complications métaboliques (23,3 %) et infectieuses (14,4 %) ont été observées. En chirurgie, trois patients avaient présenté un syndrome confusionnel postopératoire (7 %). La mortalité globale était de 3,78 %. Conclusion Une meilleure connaissance de l’épidémiologie, de la morbidité, du repérage et de l’identification des syndromes gériatriques permettrait d’améliorer la prise en charge des personnes âgées sénégalaises. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47179

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Prévention du vieillissement pathologique au Sénégal / O. Ka in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 147-155 Titre : Prévention du vieillissement pathologique au Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Ka ; C. Tacko Diop ; Makhtar Mbacké Leye M. ; A. Aziz Ndiaye ; M. Elimane Dia ; B. Guéye ; M. Coly Bop Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 147-155 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.10.007 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Autonomie ; M:Morbidité ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; S:Sénégal Résumé : Le Sénégal ne sera pas épargné par le phénomène du vieillissement de sa population puisque la croissance des personnes âgées (3,5 %), dépasse largement la moyenne nationale (2,7 %). Ainsi, ce phénomène de vieillissement aura des conséquences sociales, sanitaires et économiques si aucune action n’est entreprise. Les problèmes gérontologiques seront aggravés par cet effet démographique et par le sous-développement dont nous ne sommes pas encore sortis. Le vieillissement n’est pas une maladie mais un processus physiologique qui démarre dès la naissance. Avec le vieillissement, il y a une diminution des capacités de défense de l’organisme qui devient vulnérable aux agressions même banales, pouvant être responsables d’enchaînements pathologiques en cascade. S’il n’est pas possible de prévenir le vieillissement physiologique qui est un processus irréversible, par contre il est possible de mettre en place des mesures préventives pour éviter le vieillissement pathologique, caractérisé par la survenue de facteurs de risques, de pathologies et/ou d’incapacités. Elles doivent démarrer le plus tôt possible et impliquer une triple responsabilité : personne âgée, communauté, pouvoir public. Elles reposent sur la lutte contre les facteurs favorisant les pathologies tropicales, l’érosion du statut social par une politique de la famille, la pollution atmosphérique par des mesures législatives, et la prévention des affections intercurrentes et dégénératives. Sur le plan individuel, il est à souligner le rôle préventif de l’activité physique et d’une alimentation équilibrée grâce à une politique d’éducation nutritionnelle et d’autosuffisance alimentaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47180 [article] Prévention du vieillissement pathologique au Sénégal [texte imprimé] / O. Ka ; C. Tacko Diop ; Makhtar Mbacké Leye M. ; A. Aziz Ndiaye ; M. Elimane Dia ; B. Guéye ; M. Coly Bop . - 2021 . - p. 147-155. Doi : 10.1016/j.npg.2020.10.007 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 147-155 Catégories : Alpha A:Autonomie ; M:Morbidité ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; S:Sénégal Résumé : Le Sénégal ne sera pas épargné par le phénomène du vieillissement de sa population puisque la croissance des personnes âgées (3,5 %), dépasse largement la moyenne nationale (2,7 %). Ainsi, ce phénomène de vieillissement aura des conséquences sociales, sanitaires et économiques si aucune action n’est entreprise. Les problèmes gérontologiques seront aggravés par cet effet démographique et par le sous-développement dont nous ne sommes pas encore sortis. Le vieillissement n’est pas une maladie mais un processus physiologique qui démarre dès la naissance. Avec le vieillissement, il y a une diminution des capacités de défense de l’organisme qui devient vulnérable aux agressions même banales, pouvant être responsables d’enchaînements pathologiques en cascade. S’il n’est pas possible de prévenir le vieillissement physiologique qui est un processus irréversible, par contre il est possible de mettre en place des mesures préventives pour éviter le vieillissement pathologique, caractérisé par la survenue de facteurs de risques, de pathologies et/ou d’incapacités. Elles doivent démarrer le plus tôt possible et impliquer une triple responsabilité : personne âgée, communauté, pouvoir public. Elles reposent sur la lutte contre les facteurs favorisant les pathologies tropicales, l’érosion du statut social par une politique de la famille, la pollution atmosphérique par des mesures législatives, et la prévention des affections intercurrentes et dégénératives. Sur le plan individuel, il est à souligner le rôle préventif de l’activité physique et d’une alimentation équilibrée grâce à une politique d’éducation nutritionnelle et d’autosuffisance alimentaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47180

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Dépression du sujet âgé au Sénégal : déterminants actuels et particularités de la prise en charge / M. Coumé in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 156-162 Titre : Dépression du sujet âgé au Sénégal : déterminants actuels et particularités de la prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Coumé ; E.M. Toure ; M. Bâ ; C.T. Diop Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 156-162 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.005 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Afrique subsaharienne ; D:Dépression ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaire ; S:Sénégal Résumé : Contexte La dépression, préoccupation majeure de santé mentale pour l’OMS, est particulièrement fréquente et sous diagnostiquée chez les personnes âgées. Les études sur la dépression du sujet âgé sont rares en Afrique subsaharienne et en particulier au Sénégal. Objectif Le but de cette étude était de déterminer les caractéristiques de la dépression dans une population de personnes âgées sénégalaises reçues en consultation. Malades et méthode Il s’agit d’une étude rétrospective, descriptive à visée analytique, chez des patients âgés de 65 ans et plus vus en consultation de gériatrie au CHU de Fann du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2018. Les caractéristiques sociodémographiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives ont été analysées. Résultats Notre échantillon était constitué de 784 dossiers de patients âgés de 65 ans et plus. L’âge moyen des patients était de 73 ans+7 ans avec un sexe ratio H/F=0,53. La prévalence de la dépression était estimée à 5,23 %. Les comorbidités étaient dominées par l’hypertension artérielle (63,41 %), les pathologies ostéoarticulaires (22 %), le diabète (15 %) et les antécédents d’accident vasculaire (15 %). Parmi les facteurs de risque, seules les séparations (divorces et autres) ont été retrouvées associées à la dépression de façon significative (p =0,016). Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine étaient les plus utilisés comme traitement. Il était constaté un bon niveau d’implication familiale (90 %) ce qui pourrait être considéré comme une forme de psychothérapie augmentant l’adhérence au traitement. Chez 51,6 % des patients l’évolution était favorable. Conclusion Chez les patients sénégalais âgés en dépression, les comorbidités sont dominées par les pathologies cardiovasculaires et seules les séparations sont un facteur de risque associé à la dépression de façon significative. Une bonne implication familiale est à conseiller car étant un facteur important de guérison. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47181 [article] Dépression du sujet âgé au Sénégal : déterminants actuels et particularités de la prise en charge [texte imprimé] / M. Coumé ; E.M. Toure ; M. Bâ ; C.T. Diop . - 2021 . - p. 156-162. Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.005 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 156-162 Catégories : Alpha A:Afrique subsaharienne ; D:Dépression ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaire ; S:Sénégal Résumé : Contexte La dépression, préoccupation majeure de santé mentale pour l’OMS, est particulièrement fréquente et sous diagnostiquée chez les personnes âgées. Les études sur la dépression du sujet âgé sont rares en Afrique subsaharienne et en particulier au Sénégal. Objectif Le but de cette étude était de déterminer les caractéristiques de la dépression dans une population de personnes âgées sénégalaises reçues en consultation. Malades et méthode Il s’agit d’une étude rétrospective, descriptive à visée analytique, chez des patients âgés de 65 ans et plus vus en consultation de gériatrie au CHU de Fann du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2018. Les caractéristiques sociodémographiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives ont été analysées. Résultats Notre échantillon était constitué de 784 dossiers de patients âgés de 65 ans et plus. L’âge moyen des patients était de 73 ans+7 ans avec un sexe ratio H/F=0,53. La prévalence de la dépression était estimée à 5,23 %. Les comorbidités étaient dominées par l’hypertension artérielle (63,41 %), les pathologies ostéoarticulaires (22 %), le diabète (15 %) et les antécédents d’accident vasculaire (15 %). Parmi les facteurs de risque, seules les séparations (divorces et autres) ont été retrouvées associées à la dépression de façon significative (p =0,016). Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine étaient les plus utilisés comme traitement. Il était constaté un bon niveau d’implication familiale (90 %) ce qui pourrait être considéré comme une forme de psychothérapie augmentant l’adhérence au traitement. Chez 51,6 % des patients l’évolution était favorable. Conclusion Chez les patients sénégalais âgés en dépression, les comorbidités sont dominées par les pathologies cardiovasculaires et seules les séparations sont un facteur de risque associé à la dépression de façon significative. Une bonne implication familiale est à conseiller car étant un facteur important de guérison. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47181

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Facteurs pronostiques des accidents vasculaires cérébraux ischémiques au service de neurologie du CHU de Conakry, en Guinée / S.D. Barry in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 163-169 Titre : Facteurs pronostiques des accidents vasculaires cérébraux ischémiques au service de neurologie du CHU de Conakry, en Guinée Type de document : texte imprimé Auteurs : S.D. Barry ; K. Conde ; A.K. Bah ; A.T. Balde ; M.L. Toure ; N.R. Tassiou ; F. Sakadi ; A.W. Nitcheu ; M.T. Diallo ; A.B. Djibo Hamani ; F.M. Soumah ; F.K. Bah ; S.A. Rafkat ; D. Doufene ; F.A. Cisse ; A. Cisse Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 163-169 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.09.004 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accident Vasculaire Cérébral Ischémique ; A:Afrique subsaharienne ; F:Facteur de risque ; P:Personne âgée ; P:Pronostic Résumé : Contexte Les accidents vasculaires cérébraux ischémiques (AVCI) sont une urgence médicale dont la prise en charge optimale doit se faire dans des structures sanitaires adaptées, qui sont quasiment inexistantes dans les pays en développement. Objectif Évaluer les facteurs pronostiques à court terme des accidents vasculaires cérébraux ischémiques dans une population hospitalière en Guinée. Matériel et méthodes Nous avons réalisé une étude rétrospective de type descriptif d’une durée de 2 ans allant du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2016 au CHU Ignace Deen à Conakry. Ont été inclus dans notre étude tous les dossiers des patients hospitalisés pour un AVCI confirmé par la TDM cérébrale et ayant réalisé un bilan étiologique. Les données cliniques, paracliniques et pronostiques ont été répertoriées. Elles ont été analysées à l’aide du logiciel SPSS version 21.0. Toute valeur de p <0,05 a été considérée statistiquement significative. Résultats Quatre cent huit cas d’AVC ont été hospitalisés dont 285 patients avaient une ischémie cérébrale (69,8 %). L’âge moyen des patients était de 61,5+14 ans, avec une prédominance masculine (sex-ratio H/F=1,3). Deux cent dix patients avaient une HTA (73,7 %) parmi lesquels 88 % avaient arrêté leur traitement. Le mode de transport non médicalisé concernait 274 cas (96,1 %). Le délai moyen de consultation était de 95,4+77heures. La mortalité globale était de 14 % soit 40 patients. Les facteurs prédictifs de mauvais pronostic étaient : l’âge ˃65 ans (OR 2,341, IC 95 % (1,2–4,6) ; p =0,012), le tabac (OR 1,262, IC 95 % (1,042–1,623) ; p =0,036), la pneumopathie (OR 4,824, IC 95 % (1,261–18,451) ; p =0,001), le mRs entrée=5 (OR 2,654, IC 95 % (1,234–2,789) ; p =0,001), l’infection urinaire (OR 5,727, IC 95 % (1,054–31,128) ; p =0,001), les escarres (OR 4,675, IC 95 % (3,453–5,675) ; p =0,001), le délai de consultation>24heures (OR 1,574, IC 95 % (1,561–1,926) ; p =0,045) et la durée de séjour>21jours (OR 1,908, IC 95 % (1,812–1,451) ; p =0,001). Conclusion Ces résultats devraient être pris en compte dans le plan national de lutte contre les AVC. Une meilleure prise en charge de l’hypertension artérielle et des complications de décubitus, et la mise en place d’un service d’aide médical d’urgence pourraient réduire significativement la morbidité et la mortalité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47182 [article] Facteurs pronostiques des accidents vasculaires cérébraux ischémiques au service de neurologie du CHU de Conakry, en Guinée [texte imprimé] / S.D. Barry ; K. Conde ; A.K. Bah ; A.T. Balde ; M.L. Toure ; N.R. Tassiou ; F. Sakadi ; A.W. Nitcheu ; M.T. Diallo ; A.B. Djibo Hamani ; F.M. Soumah ; F.K. Bah ; S.A. Rafkat ; D. Doufene ; F.A. Cisse ; A. Cisse . - 2021 . - p. 163-169. Doi : 10.1016/j.npg.2020.09.004 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 163-169 Catégories : Alpha A:Accident Vasculaire Cérébral Ischémique ; A:Afrique subsaharienne ; F:Facteur de risque ; P:Personne âgée ; P:Pronostic Résumé : Contexte Les accidents vasculaires cérébraux ischémiques (AVCI) sont une urgence médicale dont la prise en charge optimale doit se faire dans des structures sanitaires adaptées, qui sont quasiment inexistantes dans les pays en développement. Objectif Évaluer les facteurs pronostiques à court terme des accidents vasculaires cérébraux ischémiques dans une population hospitalière en Guinée. Matériel et méthodes Nous avons réalisé une étude rétrospective de type descriptif d’une durée de 2 ans allant du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2016 au CHU Ignace Deen à Conakry. Ont été inclus dans notre étude tous les dossiers des patients hospitalisés pour un AVCI confirmé par la TDM cérébrale et ayant réalisé un bilan étiologique. Les données cliniques, paracliniques et pronostiques ont été répertoriées. Elles ont été analysées à l’aide du logiciel SPSS version 21.0. Toute valeur de p <0,05 a été considérée statistiquement significative. Résultats Quatre cent huit cas d’AVC ont été hospitalisés dont 285 patients avaient une ischémie cérébrale (69,8 %). L’âge moyen des patients était de 61,5+14 ans, avec une prédominance masculine (sex-ratio H/F=1,3). Deux cent dix patients avaient une HTA (73,7 %) parmi lesquels 88 % avaient arrêté leur traitement. Le mode de transport non médicalisé concernait 274 cas (96,1 %). Le délai moyen de consultation était de 95,4+77heures. La mortalité globale était de 14 % soit 40 patients. Les facteurs prédictifs de mauvais pronostic étaient : l’âge ˃65 ans (OR 2,341, IC 95 % (1,2–4,6) ; p =0,012), le tabac (OR 1,262, IC 95 % (1,042–1,623) ; p =0,036), la pneumopathie (OR 4,824, IC 95 % (1,261–18,451) ; p =0,001), le mRs entrée=5 (OR 2,654, IC 95 % (1,234–2,789) ; p =0,001), l’infection urinaire (OR 5,727, IC 95 % (1,054–31,128) ; p =0,001), les escarres (OR 4,675, IC 95 % (3,453–5,675) ; p =0,001), le délai de consultation>24heures (OR 1,574, IC 95 % (1,561–1,926) ; p =0,045) et la durée de séjour>21jours (OR 1,908, IC 95 % (1,812–1,451) ; p =0,001). Conclusion Ces résultats devraient être pris en compte dans le plan national de lutte contre les AVC. Une meilleure prise en charge de l’hypertension artérielle et des complications de décubitus, et la mise en place d’un service d’aide médical d’urgence pourraient réduire significativement la morbidité et la mortalité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47182

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Complications infectieuses des accidents vasculaires cérébraux en neurologie au CHU de Bogodogo à Ouagadougou / B.J.F. Ido in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 170-175 Titre : Complications infectieuses des accidents vasculaires cérébraux en neurologie au CHU de Bogodogo à Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : B.J.F. Ido ; M. Djobo ; Y.T.M. Lengane ; M. Ouedraogo ; A. Anselme Dabilgou ; C. Napon ; J. Kabore Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 170-175 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.003 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accident vasculaire cérébral ; A:Afrique subsaharienne ; C:Complication ; P:Personne âgée ; R:Risque infectieux Résumé : Introduction Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont de plus en plus fréquents en Afrique avec une mortalité particulièrement importante, en partie à cause de la fréquence élevée des complications de la phase aiguë. Le but de ce travail était d’étudier l’épidémiologie, la prise en charge et l’évolution des complications infectieuses des AVC dans le service de neurologie du CHU de Bogodogo. Patients et méthodes Il s’agit d’une étude transversale et prospective incluant 128 cas d’AVC hospitalisés entre le 1er novembre 2018 et le 30 avril 2019. Les caractéristiques sociodémographiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives des patients ayant présenté au moins une infection ont été analysées, puis nous avons déterminé les facteurs associés à la survenue de ces infections. Résultats Sur 128 patients ayant fait un AVC, 58 (45,31 %) ont présenté au moins une complication infectieuse. Les facteurs de risque vasculaire de ces patients étaient l’hypertension artérielle (51,72 %), le diabète (18,97 %), le tabagisme (13,79 %) et l’obésité (8,62 %). Les infections pulmonaires (29,68 %) et urinaires (14,06 %) étaient les complications infectieuses les plus fréquentes. Les facteurs de risque associés aux complications infectieuses étaient la température>38,5°C à l’admission (p <0,0001) et l’AVC ischémique (p <0,0001). Un âge inférieur à 50 ans diminuait le risque de complications infectieuses (p =0,036), de même qu’un délai d’admission inférieur à 24h (p =0,013). L’antibiothérapie était probabiliste dans 83,33 % des cas. Le taux de létalité des complications infectieuses était de 22,41 %. Une relation significative a été trouvée entre les complications infectieuses et la survenue de décès chez les patients hospitalisés pour AVC (p =0,001). Conclusion Les complications infectieuses des AVC sont fréquentes au CHU de Bogodogo. Les plus rencontrées sont les infections pulmonaires et les infections urinaires. Une maîtrise des facteurs de risque devrait contribuer à réduire la mortalité des AVC. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47183 [article] Complications infectieuses des accidents vasculaires cérébraux en neurologie au CHU de Bogodogo à Ouagadougou [texte imprimé] / B.J.F. Ido ; M. Djobo ; Y.T.M. Lengane ; M. Ouedraogo ; A. Anselme Dabilgou ; C. Napon ; J. Kabore . - 2021 . - p. 170-175. Doi : 10.1016/j.npg.2020.11.003 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 170-175 Catégories : Alpha A:Accident vasculaire cérébral ; A:Afrique subsaharienne ; C:Complication ; P:Personne âgée ; R:Risque infectieux Résumé : Introduction Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont de plus en plus fréquents en Afrique avec une mortalité particulièrement importante, en partie à cause de la fréquence élevée des complications de la phase aiguë. Le but de ce travail était d’étudier l’épidémiologie, la prise en charge et l’évolution des complications infectieuses des AVC dans le service de neurologie du CHU de Bogodogo. Patients et méthodes Il s’agit d’une étude transversale et prospective incluant 128 cas d’AVC hospitalisés entre le 1er novembre 2018 et le 30 avril 2019. Les caractéristiques sociodémographiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives des patients ayant présenté au moins une infection ont été analysées, puis nous avons déterminé les facteurs associés à la survenue de ces infections. Résultats Sur 128 patients ayant fait un AVC, 58 (45,31 %) ont présenté au moins une complication infectieuse. Les facteurs de risque vasculaire de ces patients étaient l’hypertension artérielle (51,72 %), le diabète (18,97 %), le tabagisme (13,79 %) et l’obésité (8,62 %). Les infections pulmonaires (29,68 %) et urinaires (14,06 %) étaient les complications infectieuses les plus fréquentes. Les facteurs de risque associés aux complications infectieuses étaient la température>38,5°C à l’admission (p <0,0001) et l’AVC ischémique (p <0,0001). Un âge inférieur à 50 ans diminuait le risque de complications infectieuses (p =0,036), de même qu’un délai d’admission inférieur à 24h (p =0,013). L’antibiothérapie était probabiliste dans 83,33 % des cas. Le taux de létalité des complications infectieuses était de 22,41 %. Une relation significative a été trouvée entre les complications infectieuses et la survenue de décès chez les patients hospitalisés pour AVC (p =0,001). Conclusion Les complications infectieuses des AVC sont fréquentes au CHU de Bogodogo. Les plus rencontrées sont les infections pulmonaires et les infections urinaires. Une maîtrise des facteurs de risque devrait contribuer à réduire la mortalité des AVC. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47183

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Mortalité des accidents vasculaires cérébraux chez le sujet âgé au Centre Hospitalier Universitaire Sourô Sanou Bobo-Dioulasso, Burkina Faso / P.V. Ouédraogo in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 176-181 Titre : Mortalité des accidents vasculaires cérébraux chez le sujet âgé au Centre Hospitalier Universitaire Sourô Sanou Bobo-Dioulasso, Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : P.V. Ouédraogo ; R.L.A. Ouedraogo ; A.A. Savadogo Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 176-181 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.007 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accident vasculaire cérébral ; A:Afrique subsaharienne ; M:Mortalité ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaire Résumé : Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont un problème majeur de santé publique dans le monde et en particulier dans les pays en développement. Leur incidence augmente avec l’âge des patients. Notre objectif était d’analyser la mortalité et les facteurs liés au pronostic vital des sujets âgés hospitalisés pour AVC au Centre Hospitalier Universitaire Sourô Sanou de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso. Il s’agit d’une étude descriptive rétrospective portant sur une période allant du 1er janvier 2017 au 31 décembre 2019. Elle a concerné tous les patients âgés de 65 ans et plus hospitalisés dans le service de neurologie du CHU pour AVC confirmé au scanner cérébral. Au total, 223 patients ont été concernés par cette étude. La prévalence hospitalière des AVC chez la personne âgée était de 33,81 %. L’âge moyen était de 73,69 ans (+6,62 ans). Le sex-ratio était de 1,21. Les AVC ischémiques représentaient 68,61 % des cas et les AVC hémorragiques 31,39 %. Les facteurs de risque cardiovasculaires étaient principalement l’hypertension artérielle (64,13 %), l’alcoolisme (20,17 %), le diabète (11,21 %) et un antécédent d’AVC (10,31 %). Le déficit moteur était le principal motif de consultation. La durée moyenne d’hospitalisation était de 15,17jours. L’évolution clinique était marquée par un taux de décès de 18,84 %. Les facteurs associés à la mortalité étaient l’âge (p =0,006 ; OR=3,03, IC95 % : 1,36–6,73), le sexe (p =0,048 ; OR=2,26, IC95 % : 1,01–5,07), les troubles de la conscience (p =0,008 ; OR=10,25, IC95 % : 2,39–43,86), les troubles de la sensibilité (p =0,0025 ; OR=2,4, IC95 % : 1,12–5,16), l’oxygénothérapie (p =0,0001 ; OR=2,4, IC95 % : 1,14–5,01) et l’alimentation par sonde nasogastrique (p =0,0001 ; OR=15,1, IC95 % : 6,5–34,9). L’AVC chez la personne âgée à Bobo-Dioulasso est marqué par une mortalité intrahospitalière élevée. L’optimisation de la prise en charge des patients âgés pourrait contribuer à la réduction significative de la mortalité des AVC. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47184 [article] Mortalité des accidents vasculaires cérébraux chez le sujet âgé au Centre Hospitalier Universitaire Sourô Sanou Bobo-Dioulasso, Burkina Faso [texte imprimé] / P.V. Ouédraogo ; R.L.A. Ouedraogo ; A.A. Savadogo . - 2021 . - p. 176-181. Doi : 10.1016/j.npg.2021.02.007 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 176-181 Catégories : Alpha A:Accident vasculaire cérébral ; A:Afrique subsaharienne ; M:Mortalité ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaire Résumé : Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont un problème majeur de santé publique dans le monde et en particulier dans les pays en développement. Leur incidence augmente avec l’âge des patients. Notre objectif était d’analyser la mortalité et les facteurs liés au pronostic vital des sujets âgés hospitalisés pour AVC au Centre Hospitalier Universitaire Sourô Sanou de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso. Il s’agit d’une étude descriptive rétrospective portant sur une période allant du 1er janvier 2017 au 31 décembre 2019. Elle a concerné tous les patients âgés de 65 ans et plus hospitalisés dans le service de neurologie du CHU pour AVC confirmé au scanner cérébral. Au total, 223 patients ont été concernés par cette étude. La prévalence hospitalière des AVC chez la personne âgée était de 33,81 %. L’âge moyen était de 73,69 ans (+6,62 ans). Le sex-ratio était de 1,21. Les AVC ischémiques représentaient 68,61 % des cas et les AVC hémorragiques 31,39 %. Les facteurs de risque cardiovasculaires étaient principalement l’hypertension artérielle (64,13 %), l’alcoolisme (20,17 %), le diabète (11,21 %) et un antécédent d’AVC (10,31 %). Le déficit moteur était le principal motif de consultation. La durée moyenne d’hospitalisation était de 15,17jours. L’évolution clinique était marquée par un taux de décès de 18,84 %. Les facteurs associés à la mortalité étaient l’âge (p =0,006 ; OR=3,03, IC95 % : 1,36–6,73), le sexe (p =0,048 ; OR=2,26, IC95 % : 1,01–5,07), les troubles de la conscience (p =0,008 ; OR=10,25, IC95 % : 2,39–43,86), les troubles de la sensibilité (p =0,0025 ; OR=2,4, IC95 % : 1,12–5,16), l’oxygénothérapie (p =0,0001 ; OR=2,4, IC95 % : 1,14–5,01) et l’alimentation par sonde nasogastrique (p =0,0001 ; OR=15,1, IC95 % : 6,5–34,9). L’AVC chez la personne âgée à Bobo-Dioulasso est marqué par une mortalité intrahospitalière élevée. L’optimisation de la prise en charge des patients âgés pourrait contribuer à la réduction significative de la mortalité des AVC. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47184

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Présentations cliniques actuelles de la démence syphilitique : étude de 9 observations au service de neurologie du CHU de Conakry / A.B. Djibo Hamani in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 182-188 Titre : Présentations cliniques actuelles de la démence syphilitique : étude de 9 observations au service de neurologie du CHU de Conakry Type de document : texte imprimé Auteurs : A.B. Djibo Hamani ; M.M. Keita ; I.S. Barry ; C.O. Guelngar ; A.O. Bah ; F. Daga Kassa ; A. Sacko ; S.D. Barry ; M.T. Diallo ; F. Hassane Djibo ; A. Cisse Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 182-188 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2021.01.001 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Afrique subsaharienne ; D:Démence ; D:Diagnostic ; S:Symptôme ; S:Syphilis Résumé : Introduction En Afrique subsaharienne (ASS), la certitude diagnostique clinique et biologique d’une démence syphilitique est difficile à établir en raison de la sous-médicalisation et des retards de consultation. Matériel et méthodes Nous avons réalisé une étude rétrospective de 298 patients hospitalisés pour syndrome démentiel entre 2010 et 2019 dans les services de neurologie et de psychiatrie du centre hospitalo-universitaire de Conakry. Résultats L’étiologie syphilitique a été retenue chez 9 patients âgés de 55 à 76 ans (3 femmes et 6 hommes). Le tableau clinique principal est dominé par les troubles de la mémoire avec diminution de l’idéation, des troubles de la personnalité et du comportement et un syndrome pseudo-dépressif. S’y ajoute la présence de signes neurologiques : signe d’Argyl–Robertson (5 cas), tremblement vermiculaire de la région labio-linguale (3 cas), troubles sphinctériens (3 cas) et faciès pseudo-parkinsonien (6 cas). Le diagnostic a reposé sur la positivité des réactions sérologiques (VDRL-TPHA) dans le sang et le liquide céphalorachidien (LCR), et la présence d’une hypercellularité à prédominance lymphocytaire et d’une hyperprotéinorachie dans le LCR. Conclusion Ces syndromes neurologiques, expression d’une atteinte syphilitique cérébrale, sont le résultat d’une prise en charge encore mal conduite de la syphilis primaire et secondaire dans notre pays. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47185 [article] Présentations cliniques actuelles de la démence syphilitique : étude de 9 observations au service de neurologie du CHU de Conakry [texte imprimé] / A.B. Djibo Hamani ; M.M. Keita ; I.S. Barry ; C.O. Guelngar ; A.O. Bah ; F. Daga Kassa ; A. Sacko ; S.D. Barry ; M.T. Diallo ; F. Hassane Djibo ; A. Cisse . - 2021 . - p. 182-188. Doi : 10.1016/j.npg.2021.01.001 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 182-188 Catégories : Alpha A:Afrique subsaharienne ; D:Démence ; D:Diagnostic ; S:Symptôme ; S:Syphilis Résumé : Introduction En Afrique subsaharienne (ASS), la certitude diagnostique clinique et biologique d’une démence syphilitique est difficile à établir en raison de la sous-médicalisation et des retards de consultation. Matériel et méthodes Nous avons réalisé une étude rétrospective de 298 patients hospitalisés pour syndrome démentiel entre 2010 et 2019 dans les services de neurologie et de psychiatrie du centre hospitalo-universitaire de Conakry. Résultats L’étiologie syphilitique a été retenue chez 9 patients âgés de 55 à 76 ans (3 femmes et 6 hommes). Le tableau clinique principal est dominé par les troubles de la mémoire avec diminution de l’idéation, des troubles de la personnalité et du comportement et un syndrome pseudo-dépressif. S’y ajoute la présence de signes neurologiques : signe d’Argyl–Robertson (5 cas), tremblement vermiculaire de la région labio-linguale (3 cas), troubles sphinctériens (3 cas) et faciès pseudo-parkinsonien (6 cas). Le diagnostic a reposé sur la positivité des réactions sérologiques (VDRL-TPHA) dans le sang et le liquide céphalorachidien (LCR), et la présence d’une hypercellularité à prédominance lymphocytaire et d’une hyperprotéinorachie dans le LCR. Conclusion Ces syndromes neurologiques, expression d’une atteinte syphilitique cérébrale, sont le résultat d’une prise en charge encore mal conduite de la syphilis primaire et secondaire dans notre pays. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47185

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Deux associations rares de découverte d’un hématome sous-dural chronique chez le sujet âgé : cas d’une ataxie cérébelleuse et cas d’un méningiome de la convexité / A. Diop in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 189-193 Titre : Deux associations rares de découverte d’un hématome sous-dural chronique chez le sujet âgé : cas d’une ataxie cérébelleuse et cas d’un méningiome de la convexité Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Diop ; M. Faye ; M. Thioub ; A.B. Thiam ; M.C Ba ; S.B. Badiane Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 189-193 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.08.004 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cas clinique ; H:Hématome sous dural ; P:Personne âgée Résumé : L’hématome sous-dural chronique est une pathologie fréquente chez le sujet âgé. Les étiologies ou facteurs favorisants sont multiples mais restent dominés par les traumatismes crâniens. Les formes associées à une pathologie du système nerveux sont rares. Nous rapportons deux associations inhabituelles de découverte d’un hématome sous-dural chronique du sujet âgé. Le premier est un patient âgé de 78 ans suivi en neurologie pour ataxie cérébelleuse responsable de chutes à répétitions qui a présenté à deux semaines de son admission ralentissement psychique et de désorientation temporospatiale et une hémiparésie gauche. Le scanner cérébral réalisé a mis en évidence un hématome sous-dural chronique pariéto-occipital droit associé à une atrophie cérébelleuse. Le second cas concerne une patiente de 73 ans suivie depuis un an pour méningiome de la convexité frontale gauche qui a présenté à un mois de son admission un traumatisme crânien bénin par chute au décours d’une crise convulsive. La tomodensitométrie cérébrale réalisée avait alors objectivé un hématome sous-dural chronique hémisphérique du même côté que la tumeur. Ces deux patients ont bénéficié d’une corticothérapie avec une évolution favorable. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47186 [article] Deux associations rares de découverte d’un hématome sous-dural chronique chez le sujet âgé : cas d’une ataxie cérébelleuse et cas d’un méningiome de la convexité [texte imprimé] / A. Diop ; M. Faye ; M. Thioub ; A.B. Thiam ; M.C Ba ; S.B. Badiane . - 2021 . - p. 189-193. Doi : 10.1016/j.npg.2020.08.004 Cet article fait partie du dossier "Afrique de l'ouest". Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 189-193 Catégories : Alpha C:Cas clinique ; H:Hématome sous dural ; P:Personne âgée Résumé : L’hématome sous-dural chronique est une pathologie fréquente chez le sujet âgé. Les étiologies ou facteurs favorisants sont multiples mais restent dominés par les traumatismes crâniens. Les formes associées à une pathologie du système nerveux sont rares. Nous rapportons deux associations inhabituelles de découverte d’un hématome sous-dural chronique du sujet âgé. Le premier est un patient âgé de 78 ans suivi en neurologie pour ataxie cérébelleuse responsable de chutes à répétitions qui a présenté à deux semaines de son admission ralentissement psychique et de désorientation temporospatiale et une hémiparésie gauche. Le scanner cérébral réalisé a mis en évidence un hématome sous-dural chronique pariéto-occipital droit associé à une atrophie cérébelleuse. Le second cas concerne une patiente de 73 ans suivie depuis un an pour méningiome de la convexité frontale gauche qui a présenté à un mois de son admission un traumatisme crânien bénin par chute au décours d’une crise convulsive. La tomodensitométrie cérébrale réalisée avait alors objectivé un hématome sous-dural chronique hémisphérique du même côté que la tumeur. Ces deux patients ont bénéficié d’une corticothérapie avec une évolution favorable. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47186

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Maladie de Parkinson à début tardif / B. Oquendo in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 194-201 Titre : Maladie de Parkinson à début tardif Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Oquendo ; C. Lafuente lafuente ; Joël Belmin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 194-201 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.10.005 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha D:Démence à corps de Lewy ; P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée Résumé : La prévalence de la maladie de Parkinson est d’environ 1 % chez les sujets âgés de plus de 65 ans et de 4 % chez les plus de 80 ans. La maladie de Parkinson est responsable d’un handicap grave après 10 à 15 ans de progression. La plupart des patients atteints de maladie de Parkinson vus en gériatrie ont une maladie de Parkinson à début tardif (ayant débuté après l’âge de 60 ans) et ayant une longue évolution. Les symptômes augmentent à mesure que la maladie progresse dont les symptômes cardinaux (tremblement de repos, bradykinésie, rigidité, instabilité posturale). La réponse à la L-dopa devient moins bonne au fil du temps. Comment détecter et prendre en charge ces patients âgés parkinsoniens ? Le diagnostic demeure essentiel avec ses trois étapes : mettre en évidence le syndrome parkinsonien, éliminer les diagnostics différentiels et y ajouter d’autres éléments positifs (asymétries persistantes, symptômes cardinaux, réponse à la L-dopa). La iatrogénie, en particulier avec les neuroleptiques, et la démence à corps de Lewy sont des diagnostics différentiels importants. L’évolution tardive de la maladie comprend des troubles de la démarche et une éventuelle atteinte cognitive. Les symptômes dysautonomiques sont dominés par l’hypotension orthostatique et la constipation. Les fluctuations et la dyskinésie motrice sont très fréquentes et restent un défi pour le traitement. Le traitement pharmacologique repose sur la L-dopa, et le recours aux autres molécules disponibles est basé sur une évaluation fine de la balance bénéfice-risque. Enfin, le traitement non pharmacologique nécessite de la réadaptation et la prise en charge de la perte d’autonomie. La neurochirurgie fonctionnelle n’est pas indiquée dans cette population. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47187 [article] Maladie de Parkinson à début tardif [texte imprimé] / B. Oquendo ; C. Lafuente lafuente ; Joël Belmin . - 2021 . - p. 194-201. Doi : 10.1016/j.npg.2020.10.005 Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 194-201 Catégories : Alpha D:Démence à corps de Lewy ; P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée Résumé : La prévalence de la maladie de Parkinson est d’environ 1 % chez les sujets âgés de plus de 65 ans et de 4 % chez les plus de 80 ans. La maladie de Parkinson est responsable d’un handicap grave après 10 à 15 ans de progression. La plupart des patients atteints de maladie de Parkinson vus en gériatrie ont une maladie de Parkinson à début tardif (ayant débuté après l’âge de 60 ans) et ayant une longue évolution. Les symptômes augmentent à mesure que la maladie progresse dont les symptômes cardinaux (tremblement de repos, bradykinésie, rigidité, instabilité posturale). La réponse à la L-dopa devient moins bonne au fil du temps. Comment détecter et prendre en charge ces patients âgés parkinsoniens ? Le diagnostic demeure essentiel avec ses trois étapes : mettre en évidence le syndrome parkinsonien, éliminer les diagnostics différentiels et y ajouter d’autres éléments positifs (asymétries persistantes, symptômes cardinaux, réponse à la L-dopa). La iatrogénie, en particulier avec les neuroleptiques, et la démence à corps de Lewy sont des diagnostics différentiels importants. L’évolution tardive de la maladie comprend des troubles de la démarche et une éventuelle atteinte cognitive. Les symptômes dysautonomiques sont dominés par l’hypotension orthostatique et la constipation. Les fluctuations et la dyskinésie motrice sont très fréquentes et restent un défi pour le traitement. Le traitement pharmacologique repose sur la L-dopa, et le recours aux autres molécules disponibles est basé sur une évaluation fine de la balance bénéfice-risque. Enfin, le traitement non pharmacologique nécessite de la réadaptation et la prise en charge de la perte d’autonomie. La neurochirurgie fonctionnelle n’est pas indiquée dans cette population. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47187

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La sensorialité, une médiation face à la conjugopathie dans la maladie d’Alzheimer / C. Genest in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 202-209 Titre : La sensorialité, une médiation face à la conjugopathie dans la maladie d’Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Genest ; A. Brun Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 202-209 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2020.10.004 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; C:Conjoint ; C:Couple ; L:Lien ; M:Mémoire ; S:Sensorialité Résumé : Loin d’être seulement une neuropsychopathologie dégénérative individuelle, la maladie d’Alzheimer apparaît aussi conjugale et familiale. Alors qu’elle désagrège les réseaux neuronaux du sujet, tout en induisant une déliaison psychique de son Moi, le conjoint subit aussi cette détérioration et se voit attribuer un rôle d’aidant principal. Cette situation traumatogène peut donner naissance à une conjugopathie. Malgré une atteinte des mémoires cognitives, la mémoire sensorielle demeure intacte ; c’est la raison pour laquelle une approche thérapeutique avec des médiations sensorielles constitue une bonne indication. Dans une double approche neuroscientifique et psychodynamique, cet article présente un dispositif original de traitement par la prise en charge du couple avec des médiations sensorielles. Cette solution palliative pour le couple reconsoliderait le lien conjugal défaillant et préserverait le maintien à domicile. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47188 [article] La sensorialité, une médiation face à la conjugopathie dans la maladie d’Alzheimer [texte imprimé] / C. Genest ; A. Brun . - 2021 . - p. 202-209. Doi : 10.1016/j.npg.2020.10.004 Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 21 , n° 123 (Juin 2021) . - p. 202-209 Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; C:Conjoint ; C:Couple ; L:Lien ; M:Mémoire ; S:Sensorialité Résumé : Loin d’être seulement une neuropsychopathologie dégénérative individuelle, la maladie d’Alzheimer apparaît aussi conjugale et familiale. Alors qu’elle désagrège les réseaux neuronaux du sujet, tout en induisant une déliaison psychique de son Moi, le conjoint subit aussi cette détérioration et se voit attribuer un rôle d’aidant principal. Cette situation traumatogène peut donner naissance à une conjugopathie. Malgré une atteinte des mémoires cognitives, la mémoire sensorielle demeure intacte ; c’est la raison pour laquelle une approche thérapeutique avec des médiations sensorielles constitue une bonne indication. Dans une double approche neuroscientifique et psychodynamique, cet article présente un dispositif original de traitement par la prise en charge du couple avec des médiations sensorielles. Cette solution palliative pour le couple reconsoliderait le lien conjugal défaillant et préserverait le maintien à domicile. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47188

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