Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Santé Mentale . 258Approche familiale des troubles bipolairesMention de date : Mai 2021 Paru le : 01/05/2021 |
Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
M006060 | SAN | Revue | Mouscron | Soins Infirmiers (M) | Disponible |
T009123 | SAN | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAddiction aux écrans, où en est-on? / Jean-Marc Alexandre in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Addiction aux écrans, où en est-on? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Alexandre ; Mathieu Boudard ; Christophe Rassis ; Fuschia Serre ; Marc Auriacombe Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 16-19 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Addiction ; A:Addiction comportementale ; E:Écran ; H:Histoire ; P:Prise en charge ; R:Recherche biomédicale ; S:Société ; S:Soins centrés sur le patientRésumé : Mon ado est addict aux jeux vidéos s’inquiètent régulièrement parents et enseignants. Qu’en est-il réellement de l’addiction aux écrans ? Le point sur la recherche dans ce domaine.
L'hypothèse d'une "addiction aux écrans" est aujourd'hui une préoccupation sociétale importante. Cette expression est régulièrement entendue pour désigner un usage important d'écrans. Cette approche quantitative s'avère en réalité insuffisante pour un diagnostic d'addiction, selon la définition de cette maladie, qu'il s'agisse de substances ou de comportements. "L'addiction aux écrans" n'est actuellement pas reconnue dans les nomenclatures diagnostiques et fait l'objet de recherches. Les données du laboratoire Sanpsy CNRS 3413 montrent qu'en population générale, une proportion importante d'usagers rencontre des problèmes liés aux écrans. Toutefois, la prévalence des personnes dont les pratiques pourraient être qualifiées "d'addiction aux écrans" est largement plus minoritaire. Pour ces personnes, une prise en charge spécifique de l'addiction semble indiquée. Davantage de recherches sont nécessaires pour continuer de caractériser ce phénomène, ses facteurs de risques, son évolution clinique et sa prise en charge.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46920
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 16-19[article] Addiction aux écrans, où en est-on? [texte imprimé] / Jean-Marc Alexandre ; Mathieu Boudard ; Christophe Rassis ; Fuschia Serre ; Marc Auriacombe . - 2021 . - p. 16-19.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 16-19
Catégories : Alpha
A:Addiction ; A:Addiction comportementale ; E:Écran ; H:Histoire ; P:Prise en charge ; R:Recherche biomédicale ; S:Société ; S:Soins centrés sur le patientRésumé : Mon ado est addict aux jeux vidéos s’inquiètent régulièrement parents et enseignants. Qu’en est-il réellement de l’addiction aux écrans ? Le point sur la recherche dans ce domaine.
L'hypothèse d'une "addiction aux écrans" est aujourd'hui une préoccupation sociétale importante. Cette expression est régulièrement entendue pour désigner un usage important d'écrans. Cette approche quantitative s'avère en réalité insuffisante pour un diagnostic d'addiction, selon la définition de cette maladie, qu'il s'agisse de substances ou de comportements. "L'addiction aux écrans" n'est actuellement pas reconnue dans les nomenclatures diagnostiques et fait l'objet de recherches. Les données du laboratoire Sanpsy CNRS 3413 montrent qu'en population générale, une proportion importante d'usagers rencontre des problèmes liés aux écrans. Toutefois, la prévalence des personnes dont les pratiques pourraient être qualifiées "d'addiction aux écrans" est largement plus minoritaire. Pour ces personnes, une prise en charge spécifique de l'addiction semble indiquée. Davantage de recherches sont nécessaires pour continuer de caractériser ce phénomène, ses facteurs de risques, son évolution clinique et sa prise en charge.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46920 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Troubles bipolaires et famille / Sébastien Gard in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Troubles bipolaires et famille Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Gard Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 22-25 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; D:Diagnostic ; E:Education thérapeutique du patient ; E:Emotion ; E:Etiologie ; F:Famille ; P:Psychothérapie ; T:Trouble bipolaireRésumé : Caractérisé par ses fluctuations émotionnelles, le trouble bipolaire impacte d’une façon particulière le fonctionnement familial, alors que la mobilisation des proches reste un levier thérapeutique essentiel.
L’actualité people nous l’a récemment démontré, à travers le différend opposant le couple formé par Meghan et Harry au reste de la famille royale britannique : les soubresauts familiaux peuvent être violents! La lecture des tabloïds nous informe ainsi des affres de la vie de la famille la plus célèbre au monde, entre fils et bru contestée. Mais il s’agit avant tout d’une démonstration que le milieu familial est dynamique, mouvant, oscillant entre les unions et les ruptures, les éloignements et les rapprochements, tout comme les éléments composant la matière vivante.
Dans de nombreuses pathologies psychiatriques chroniques, et tout particulièrement dans les troubles bipolaires, prendre en considération les membres de la famille est intéressant sur les plans diagnostique et thérapeutique. La mobilisation des proches constitue ainsi un levier thérapeutique inestimable, à condition que l'on puisse l'activer de façon pertinente. Cet article constitue une introduction à la problématique de la dimension familiale dans les troubles bipolairesPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46921
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 22-25[article] Troubles bipolaires et famille [texte imprimé] / Sébastien Gard . - 2021 . - p. 22-25.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 22-25
Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; D:Diagnostic ; E:Education thérapeutique du patient ; E:Emotion ; E:Etiologie ; F:Famille ; P:Psychothérapie ; T:Trouble bipolaireRésumé : Caractérisé par ses fluctuations émotionnelles, le trouble bipolaire impacte d’une façon particulière le fonctionnement familial, alors que la mobilisation des proches reste un levier thérapeutique essentiel.
L’actualité people nous l’a récemment démontré, à travers le différend opposant le couple formé par Meghan et Harry au reste de la famille royale britannique : les soubresauts familiaux peuvent être violents! La lecture des tabloïds nous informe ainsi des affres de la vie de la famille la plus célèbre au monde, entre fils et bru contestée. Mais il s’agit avant tout d’une démonstration que le milieu familial est dynamique, mouvant, oscillant entre les unions et les ruptures, les éloignements et les rapprochements, tout comme les éléments composant la matière vivante.
Dans de nombreuses pathologies psychiatriques chroniques, et tout particulièrement dans les troubles bipolaires, prendre en considération les membres de la famille est intéressant sur les plans diagnostique et thérapeutique. La mobilisation des proches constitue ainsi un levier thérapeutique inestimable, à condition que l'on puisse l'activer de façon pertinente. Cet article constitue une introduction à la problématique de la dimension familiale dans les troubles bipolairesPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46921 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Patrimoine génétique et troubles bipolaires / Stéphane Jamain in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Patrimoine génétique et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Jamain Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 26-29 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Etiologie ; F:Famille ; G:Génétique ; P:Physiopathologie ; R:Recherche biomédicale ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble bipolaire ; V:VulnérabilitéRésumé : Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60% et 80% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2.
Nous sommes condamnés à vivre avec nos gènes, mais sommes-nous condamnés par nos gènes? Les études génétiques récentes de familles dans lesquelles se manifestent des troubles bipolaires démontrent que notre propension à développer la maladie varie en fonction de notre patrimoine génétique, mais cette vulnérabilité n'est, souvent, qu'une différence de sensibilité à des facteurs environnementaux. Même si elle n'est pas déterministe, cette exploration génétique peut, néanmoins, nous permettre de mieux appréhender la prise en charge thérapeutique des personnes malades.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46922
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29[article] Patrimoine génétique et troubles bipolaires [texte imprimé] / Stéphane Jamain . - 2021 . - p. 26-29.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29
Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Etiologie ; F:Famille ; G:Génétique ; P:Physiopathologie ; R:Recherche biomédicale ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble bipolaire ; V:VulnérabilitéRésumé : Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60% et 80% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2.
Nous sommes condamnés à vivre avec nos gènes, mais sommes-nous condamnés par nos gènes? Les études génétiques récentes de familles dans lesquelles se manifestent des troubles bipolaires démontrent que notre propension à développer la maladie varie en fonction de notre patrimoine génétique, mais cette vulnérabilité n'est, souvent, qu'une différence de sensibilité à des facteurs environnementaux. Même si elle n'est pas déterministe, cette exploration génétique peut, néanmoins, nous permettre de mieux appréhender la prise en charge thérapeutique des personnes malades.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46922 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Traumatismes précoces et troubles bipolaires / Bruno Étain in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Traumatismes précoces et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Étain Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 30-35 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Enfance ; E:Environnement social ; F:Facteur de risque ; I:Interaction sociale ; L:Littérature scientifique ; P:Physiopathologie ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; P:Psychopathologie ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble bipolaireRésumé : Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65%) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus. La recherche a cependant montré que les patients atteint de troubles bipolaires décrivent plus de traumas dans l'enfance, plus sévères, souvent multiples, avec une fréquence particulièrement élevée d'abus émotionnels. Cet article résume les données issues de la littérature scientifique concernant l'association entre traumatismes affectifs dans l'enfance et trouble bipolaire.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46923
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35[article] Traumatismes précoces et troubles bipolaires [texte imprimé] / Bruno Étain . - 2021 . - p. 30-35.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35
Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; E:Enfance ; E:Environnement social ; F:Facteur de risque ; I:Interaction sociale ; L:Littérature scientifique ; P:Physiopathologie ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; P:Psychopathologie ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble bipolaireRésumé : Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65%) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus. La recherche a cependant montré que les patients atteint de troubles bipolaires décrivent plus de traumas dans l'enfance, plus sévères, souvent multiples, avec une fréquence particulièrement élevée d'abus émotionnels. Cet article résume les données issues de la littérature scientifique concernant l'association entre traumatismes affectifs dans l'enfance et trouble bipolaire.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46923 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Trouble bipolaire : la perception des familles / Katia M'bailara in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Trouble bipolaire : la perception des familles Type de document : texte imprimé Auteurs : Katia M'bailara ; Caroline Munuera Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 36-42 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; E:Emotion ; E:Environnement ; F:Famille ; P:Perception ; R:Représentation ; T:Thérapie familiale ; T:Trouble bipolaireRésumé : Les perceptions du patient mais aussi de sa famille sur le trouble bipolaire impactent l’évolution de la maladie et, plus globalement, la qualité de vie de chacun. Des groupes multifamiliaux d’éducation thérapeutique permettent aux uns et aux autres de modifier leurs représentations.
Le fait d'avoir un problème de santé est à différencier de la représentation que lea patient s'en fait. La recherche montre que différentes dimensions de la perception du trouble influent sur son évolution. Dans le trouble bipolaire, le patient et ses proches montrent globalement les mêmes perceptions et attitudes vis-à-vis de la pathologie. Dans ce contexte, proposer des groupes multifamiliaux pour faire évoluer leurs représentations est une approche pertinente. Illustration avec la famille de Tom, 26 ans.
Des envies plein la tête, Tom, 26 ans, rêve de liberté. Il a terminé ses études de commerce, et, avant de devenir un vrai adulte, il entend profiter de la vie et voyager. Mais une crise maniaque le conduit à être hospitalisé en psychiatrie, dans un service fermé. Depuis, Tom a le sentiment que le cours de sa vie lui échappe. Selon les médecins, il devra prendre un traitement toute sa vie, éviter tout facteur de risque, avoir une vie la plus régulière et la plus équilibrée possible… Ses parents lui disent qu’il doit vite «se ranger», pour se mettre à l’abri socialement et professionnellement. À l’inverse, les amis de Tom lui conseillent de prendre du bon temps, car « avec une maladie grave, on ne sait jamais trop ce qui peut arriver ». Quant au jeune homme lui-même, il hésite, il est un peu perdu, il a l’impression de n’avoir jamais eu si peu de libre arbitre, il ne sait plus s’il doit se faire confiance.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46924
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 36-42[article] Trouble bipolaire : la perception des familles [texte imprimé] / Katia M'bailara ; Caroline Munuera . - 2021 . - p. 36-42.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 36-42
Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; E:Emotion ; E:Environnement ; F:Famille ; P:Perception ; R:Représentation ; T:Thérapie familiale ; T:Trouble bipolaireRésumé : Les perceptions du patient mais aussi de sa famille sur le trouble bipolaire impactent l’évolution de la maladie et, plus globalement, la qualité de vie de chacun. Des groupes multifamiliaux d’éducation thérapeutique permettent aux uns et aux autres de modifier leurs représentations.
Le fait d'avoir un problème de santé est à différencier de la représentation que lea patient s'en fait. La recherche montre que différentes dimensions de la perception du trouble influent sur son évolution. Dans le trouble bipolaire, le patient et ses proches montrent globalement les mêmes perceptions et attitudes vis-à-vis de la pathologie. Dans ce contexte, proposer des groupes multifamiliaux pour faire évoluer leurs représentations est une approche pertinente. Illustration avec la famille de Tom, 26 ans.
Des envies plein la tête, Tom, 26 ans, rêve de liberté. Il a terminé ses études de commerce, et, avant de devenir un vrai adulte, il entend profiter de la vie et voyager. Mais une crise maniaque le conduit à être hospitalisé en psychiatrie, dans un service fermé. Depuis, Tom a le sentiment que le cours de sa vie lui échappe. Selon les médecins, il devra prendre un traitement toute sa vie, éviter tout facteur de risque, avoir une vie la plus régulière et la plus équilibrée possible… Ses parents lui disent qu’il doit vite «se ranger», pour se mettre à l’abri socialement et professionnellement. À l’inverse, les amis de Tom lui conseillent de prendre du bon temps, car « avec une maladie grave, on ne sait jamais trop ce qui peut arriver ». Quant au jeune homme lui-même, il hésite, il est un peu perdu, il a l’impression de n’avoir jamais eu si peu de libre arbitre, il ne sait plus s’il doit se faire confiance.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46924 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Troubles bipolaires et maternité, quel suivi? / Sabine Caminade in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Troubles bipolaires et maternité, quel suivi? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sabine Caminade ; Hugo Pergeline ; Elsa Moreau ; Romain Guilhaumou ; Michel Dugnat ; Raoul Belzeaux ; François Poinso Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 44-49 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Accouchement ; A:Allaitement maternel ; C:Cas clinique ; G:Grossesse ; H:Hospitalisation ; P:Périnatalité ; P:Pharmacologie ; P:Psychiatrie de liaison ; T:Trouble bipolaireRésumé : Maéva, qui souffre d’un trouble bipolaire, a été suivie tout au long de sa grossesse puis au cours des premiers mois de vie de sa fille par un dispositif d’accompagnement périnatal. Durant cette période, les décompensations liées au trouble sont en effet fréquentes et souvent sévères.
La période allant de la grossesse aux deux ans de l’enfant est une fenêtre sensible pour le développement du sujet (Nugent, 2007). Or, durant cette période périnatale, le risque de rechute d’un trouble bipolaire maternel est majeur. Il est en effet estimé à 66% en cas d’arrêt du traitement de fond (régulateur de l’humeur) contre 25% en cas de poursuite (Wesseloo et al., 2016). La chute du taux hormonal après la naissance est par ailleurs un puissant déclencheur de troubles thymiques et l’arrivée d’un bébé bouleverse la vie des nouveaux parents, modifiant le cycle nycthéméral, ce qui risque aussi de déséquilibrer l’humeur (Lewis, 2018; Krawczak et al., 2016). Les décompensations thymiques en post-partum peuvent entraîner une hospitalisation en psychiatrie et donc une séparation mère-enfant. En effet, ces épisodes, souvent sévères, sont associés à un risque suicidaire élevé (le suicide est l’une des premières causes de mortalité maternelle en France) (Santé publique France, 2013).
Les hôpitaux universitaires de Marseille ont développé un dispositif de collaboration interprofessionnelle entre pédopsychiatres, psychiatres d'adultes, l'équipe de soin pluridisciplinaire d'une maternité de niveau III et le laboratoire de pharmacologie afin d'accompagner les femmes souffrant de trouble bipolaire dans leur désir d'enfant, leur grossesse et l'accueil de leur bébé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46925
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 44-49[article] Troubles bipolaires et maternité, quel suivi? [texte imprimé] / Sabine Caminade ; Hugo Pergeline ; Elsa Moreau ; Romain Guilhaumou ; Michel Dugnat ; Raoul Belzeaux ; François Poinso . - 2021 . - p. 44-49.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 44-49
Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Accouchement ; A:Allaitement maternel ; C:Cas clinique ; G:Grossesse ; H:Hospitalisation ; P:Périnatalité ; P:Pharmacologie ; P:Psychiatrie de liaison ; T:Trouble bipolaireRésumé : Maéva, qui souffre d’un trouble bipolaire, a été suivie tout au long de sa grossesse puis au cours des premiers mois de vie de sa fille par un dispositif d’accompagnement périnatal. Durant cette période, les décompensations liées au trouble sont en effet fréquentes et souvent sévères.
La période allant de la grossesse aux deux ans de l’enfant est une fenêtre sensible pour le développement du sujet (Nugent, 2007). Or, durant cette période périnatale, le risque de rechute d’un trouble bipolaire maternel est majeur. Il est en effet estimé à 66% en cas d’arrêt du traitement de fond (régulateur de l’humeur) contre 25% en cas de poursuite (Wesseloo et al., 2016). La chute du taux hormonal après la naissance est par ailleurs un puissant déclencheur de troubles thymiques et l’arrivée d’un bébé bouleverse la vie des nouveaux parents, modifiant le cycle nycthéméral, ce qui risque aussi de déséquilibrer l’humeur (Lewis, 2018; Krawczak et al., 2016). Les décompensations thymiques en post-partum peuvent entraîner une hospitalisation en psychiatrie et donc une séparation mère-enfant. En effet, ces épisodes, souvent sévères, sont associés à un risque suicidaire élevé (le suicide est l’une des premières causes de mortalité maternelle en France) (Santé publique France, 2013).
Les hôpitaux universitaires de Marseille ont développé un dispositif de collaboration interprofessionnelle entre pédopsychiatres, psychiatres d'adultes, l'équipe de soin pluridisciplinaire d'une maternité de niveau III et le laboratoire de pharmacologie afin d'accompagner les femmes souffrant de trouble bipolaire dans leur désir d'enfant, leur grossesse et l'accueil de leur bébé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46925 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible " Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " / Sante mentale in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : " Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " Type de document : texte imprimé Auteurs : Sante mentale ; Charlotte Yonga, Personne interviewée Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 50-53 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
T:Témoignage ; T:Trouble bipolaireRésumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
• À 19 ans, vous découvrez que vous souffrez d’un trouble bipolaire. Comment avez-vous vécu ce moment-là?
À l’époque, je termine une année universitaire en histoire de l’art à Poitiers, où je n’ai pas réussi à prendre mes marques. C’est une année de transition, la première hors du foyer familial. Je veux m’orienter en école d’art, si possible à Paris. Après des partiels, je m’y rends et rencontre une bande de jeunes franco-brésiliens de mon âge, fraîchement arrivés de Sao Paolo pour faire leurs études en France. Leur culture et leur rapport à la nature, à la fête et à l’amitié me fascinent. C’est une période de ma vie libre, joyeuse et sans contrainte. Je ne saurais pas dire exactement quand commence la crise. Lorsque je retourne chez ma mère, dans une petite ville, je montre une spontanéité nouvelle qui semble surprendre autour de moi. Je ressens comme des élans d’intuition, d’inspiration et une sorte de connexion avec la nature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46926
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53[article] " Je ne peux plus faire comme si je n'étais pas malade... " [texte imprimé] / Sante mentale ; Charlotte Yonga, Personne interviewée . - 2021 . - p. 50-53.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53
Catégories : Alpha
T:Témoignage ; T:Trouble bipolaireRésumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
• À 19 ans, vous découvrez que vous souffrez d’un trouble bipolaire. Comment avez-vous vécu ce moment-là?
À l’époque, je termine une année universitaire en histoire de l’art à Poitiers, où je n’ai pas réussi à prendre mes marques. C’est une année de transition, la première hors du foyer familial. Je veux m’orienter en école d’art, si possible à Paris. Après des partiels, je m’y rends et rencontre une bande de jeunes franco-brésiliens de mon âge, fraîchement arrivés de Sao Paolo pour faire leurs études en France. Leur culture et leur rapport à la nature, à la fête et à l’amitié me fascinent. C’est une période de ma vie libre, joyeuse et sans contrainte. Je ne saurais pas dire exactement quand commence la crise. Lorsque je retourne chez ma mère, dans une petite ville, je montre une spontanéité nouvelle qui semble surprendre autour de moi. Je ressens comme des élans d’intuition, d’inspiration et une sorte de connexion avec la nature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46926 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible " La maladie de papa, elle m'éclabousse " / Helene Davtian in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : " La maladie de papa, elle m'éclabousse " Type de document : texte imprimé Auteurs : Helene Davtian ; Eliane Collombret ; Felisa Blanco ; Kadija Maach Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 54-57 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Adolescent ; A:Aidant ; F:Famille ; F:Fratrie ; G:Groupe de parole ; I:Interview ; M:Malade mentalRésumé : Longtemps considérée comme un «angle mort» de la psychiatrie, la question des fratries qui partagent le quotidien d’une personne souffrant de troubles psychiques est au cœur de l’activité des Funambules. Rencontre avec une équipe pionnière.
Vous avez créé en 2018 les Funambules, un espace dédié aux jeunes dont un proche souffre d’une pathologie psychiatrique. Comment est né ce projet et pourquoi?
Bien que l’on se soit attaché à ne pas les voir, il y a toujours eu des enfants auprès des personnes malades. Cependant, si aujourd’hui il devient urgent de tenir compte de leur présence, c’est que l’organisation des soins a énormément évolué. Nous nous appuyons sur les travaux du sociologue N. Carpentier (1) qui analyse les évolutions de la place accordée à la famille du patient depuis les débuts de la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours. Il évoque un véritable changement de paradigme qui a fait passer la famille de «cause» du problème de santé à «solution» pour maintenir la personne dans son domicile.
Créé en 2018, le dispositif Les Funambules est un espace pour les jeunes de 7 à 25 ans dont un proche souffre de maladie psychique. Cette interview présente les origines du projet, les théories en lien avec sons accompagnement et ses perceptives. Alors que les difficultés du jeune sont le plus souvent invisibles, ce lieu "tiers" vise à reconnaître leur place particulière au sein de la famille et à accueillir les paroles, dans une perspective préventive.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46927
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 54-57[article] " La maladie de papa, elle m'éclabousse " [texte imprimé] / Helene Davtian ; Eliane Collombret ; Felisa Blanco ; Kadija Maach . - 2021 . - p. 54-57.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 54-57
Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Adolescent ; A:Aidant ; F:Famille ; F:Fratrie ; G:Groupe de parole ; I:Interview ; M:Malade mentalRésumé : Longtemps considérée comme un «angle mort» de la psychiatrie, la question des fratries qui partagent le quotidien d’une personne souffrant de troubles psychiques est au cœur de l’activité des Funambules. Rencontre avec une équipe pionnière.
Vous avez créé en 2018 les Funambules, un espace dédié aux jeunes dont un proche souffre d’une pathologie psychiatrique. Comment est né ce projet et pourquoi?
Bien que l’on se soit attaché à ne pas les voir, il y a toujours eu des enfants auprès des personnes malades. Cependant, si aujourd’hui il devient urgent de tenir compte de leur présence, c’est que l’organisation des soins a énormément évolué. Nous nous appuyons sur les travaux du sociologue N. Carpentier (1) qui analyse les évolutions de la place accordée à la famille du patient depuis les débuts de la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours. Il évoque un véritable changement de paradigme qui a fait passer la famille de «cause» du problème de santé à «solution» pour maintenir la personne dans son domicile.
Créé en 2018, le dispositif Les Funambules est un espace pour les jeunes de 7 à 25 ans dont un proche souffre de maladie psychique. Cette interview présente les origines du projet, les théories en lien avec sons accompagnement et ses perceptives. Alors que les difficultés du jeune sont le plus souvent invisibles, ce lieu "tiers" vise à reconnaître leur place particulière au sein de la famille et à accueillir les paroles, dans une perspective préventive.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46927 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible " A l'Espace enfants, je passe du temps avec maman " / Frédérique Van Leuven in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : " A l'Espace enfants, je passe du temps avec maman " Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédérique Van Leuven ; Stéphanie Tanghe Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 58-63 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Activité thérapeutique ; C:Consultation ; F:Famille ; G:Groupe de parole ; H:Hospitalisation ; P:Parentalité ; P:PsychiatrieRésumé : Dans cet hôpital belge, l’Espace enfants accueille tous les patients-parents qui le souhaitent, avec leurs enfants et familles, pour un temps informel et chaleureux. Un moment «hors de la maladie», adossé à des groupes de soutien et une consultation familiale.
Les patients hospitalisés dans notre établissement (1) souffrent des multiples troubles que l’on peut rencontrer en psychiatrie générale adulte et en hospitalisation sous contrainte: troubles de l’humeur, épisodes psychotiques, dépendance à l’alcool et aux substances, tableaux plus complexes liés aux conséquences de carences et maltraitances infantiles et autres symptômes post-traumatiques. Nous estimons que plus de deux-tiers d’entre eux sont aussi parents, voire grands-parents. Quel que soit l’âge de leurs enfants, les usagers s’interrogent souvent sur les conséquences potentielles de leurs troubles sur ces derniers. Cette question les préoccupe mais ils n’osent pas toujours l’aborder avec les soignants, pour des raisons diverses: culpabilité, peur qu’on s’intéresse de trop près à leurs enfants quand ils sont jeunes avec, souvent, la crainte d’un placement à l’arrière-plan, souci de les protéger d’une réalité trop dure, peur de peser. Fréquemment ils évoquent l’angoisse d’avoir transmis génétiquement leur maladie.
Cet article présente différents dispositifs permettant de prendre en compte et de soutenir la parentalité tout au long d'une hospitalisation en psychiatrie. Il décrit une structure très concrète d'accueil pour les enfants, l'Espace enfants, sur laquelle viennent s'étayer aussi bien des groupes de soutien que des consultations familiales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46928
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 58-63[article] " A l'Espace enfants, je passe du temps avec maman " [texte imprimé] / Frédérique Van Leuven ; Stéphanie Tanghe . - 2021 . - p. 58-63.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 58-63
Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Activité thérapeutique ; C:Consultation ; F:Famille ; G:Groupe de parole ; H:Hospitalisation ; P:Parentalité ; P:PsychiatrieRésumé : Dans cet hôpital belge, l’Espace enfants accueille tous les patients-parents qui le souhaitent, avec leurs enfants et familles, pour un temps informel et chaleureux. Un moment «hors de la maladie», adossé à des groupes de soutien et une consultation familiale.
Les patients hospitalisés dans notre établissement (1) souffrent des multiples troubles que l’on peut rencontrer en psychiatrie générale adulte et en hospitalisation sous contrainte: troubles de l’humeur, épisodes psychotiques, dépendance à l’alcool et aux substances, tableaux plus complexes liés aux conséquences de carences et maltraitances infantiles et autres symptômes post-traumatiques. Nous estimons que plus de deux-tiers d’entre eux sont aussi parents, voire grands-parents. Quel que soit l’âge de leurs enfants, les usagers s’interrogent souvent sur les conséquences potentielles de leurs troubles sur ces derniers. Cette question les préoccupe mais ils n’osent pas toujours l’aborder avec les soignants, pour des raisons diverses: culpabilité, peur qu’on s’intéresse de trop près à leurs enfants quand ils sont jeunes avec, souvent, la crainte d’un placement à l’arrière-plan, souci de les protéger d’une réalité trop dure, peur de peser. Fréquemment ils évoquent l’angoisse d’avoir transmis génétiquement leur maladie.
Cet article présente différents dispositifs permettant de prendre en compte et de soutenir la parentalité tout au long d'une hospitalisation en psychiatrie. Il décrit une structure très concrète d'accueil pour les enfants, l'Espace enfants, sur laquelle viennent s'étayer aussi bien des groupes de soutien que des consultations familiales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46928 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les bizarreries de maman / Nathalie Bonnouvrier in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Les bizarreries de maman Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Bonnouvrier ; Marina Stéphanoff Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 64-67 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; C:Cas clinique ; E:Emotion ; E:Enfant ; M:Malade mental ; P:Psychologue ; T:Trouble bipolaire ; V:Visite des prochesRésumé : «Mais enfin, c’est quoi, le problème avec maman?» Instituées pour protéger les enfants d’un parent défaillant, les visites médiatisées proposent un espace pour maintenir et restaurer le lien de filiation dans ces situations complexes.
«Aujourd’hui, nous allons parler de maman», annonce Aurélia…
Aurélia, 13 ans, son frère Augustin, 14 ans, et ses deux petites sœurs Alma, 7 ans, et Alice, 2 ans et demi sont placés en famille d’accueil. Ils viennent rencontrer leur mère dans un service de visites médiatisées. Ce sont des temps cliniques familiaux, «en présence d’un tiers» (à CAP Alésia, ces tiers sont des psychologues cliniciens), pour des enfants et des parents qui ne vivent pas ensemble, mais se retrouvent pour «maintenir le lien». Le rythme des rencontres est défini par l’aide sociale à l’enfance ou le juge des enfants. Chaque rencontre dure 1 heure. Dans ce dispositif contraint et restrictif, que ni les enfants ni les parents n’ont choisi, les psychologues s’efforcent qu’un processus thérapeutique soutienne la restauration du lien de filiation, lien blessé, douloureux, mis à mal par les histoires chaotiques de ces familles, faites de carences, de violences, de précarités, de pathologies mentales…
Le thérapeute permet à l'enfant de partager ses émotions, de comprendre peu à peu la situation de ce parent peu présent dans la réalité quotidienne de sa vie. La pertinence de ce dispositif apparaît au fil de l'histoire clinique d'une famille.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46929
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 64-67[article] Les bizarreries de maman [texte imprimé] / Nathalie Bonnouvrier ; Marina Stéphanoff . - 2021 . - p. 64-67.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 64-67
Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; C:Cas clinique ; E:Emotion ; E:Enfant ; M:Malade mental ; P:Psychologue ; T:Trouble bipolaire ; V:Visite des prochesRésumé : «Mais enfin, c’est quoi, le problème avec maman?» Instituées pour protéger les enfants d’un parent défaillant, les visites médiatisées proposent un espace pour maintenir et restaurer le lien de filiation dans ces situations complexes.
«Aujourd’hui, nous allons parler de maman», annonce Aurélia…
Aurélia, 13 ans, son frère Augustin, 14 ans, et ses deux petites sœurs Alma, 7 ans, et Alice, 2 ans et demi sont placés en famille d’accueil. Ils viennent rencontrer leur mère dans un service de visites médiatisées. Ce sont des temps cliniques familiaux, «en présence d’un tiers» (à CAP Alésia, ces tiers sont des psychologues cliniciens), pour des enfants et des parents qui ne vivent pas ensemble, mais se retrouvent pour «maintenir le lien». Le rythme des rencontres est défini par l’aide sociale à l’enfance ou le juge des enfants. Chaque rencontre dure 1 heure. Dans ce dispositif contraint et restrictif, que ni les enfants ni les parents n’ont choisi, les psychologues s’efforcent qu’un processus thérapeutique soutienne la restauration du lien de filiation, lien blessé, douloureux, mis à mal par les histoires chaotiques de ces familles, faites de carences, de violences, de précarités, de pathologies mentales…
Le thérapeute permet à l'enfant de partager ses émotions, de comprendre peu à peu la situation de ce parent peu présent dans la réalité quotidienne de sa vie. La pertinence de ce dispositif apparaît au fil de l'histoire clinique d'une famille.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46929 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible " Je ne sais plus quoi faire pour mon fils" / Anne-Laure Drainville in Santé Mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : " Je ne sais plus quoi faire pour mon fils" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Laure Drainville ; Shadya Monteiro ; Shyhrete Rexhaj Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 68-73 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Aidant ; C:Cas clinique ; E:Emotion ; F:Famille ; M:Malade mental ; P:Psychoéducation ; R:Relation soignant-famille ; S:Souffrance psychique ; V:Vécu du patientRésumé : Xavier, retraité, se sent dans une impasse: il voudrait aider son fils Martin dans la gestion de sa maladie bipolaire mais ce dernier refuse tout ce qu’il lui propose. En cinq séances étayées sur des outils très pertinents, le programme Ensemble l’aide à exprimer ses émotions, à lâcher-prise et à respecter l’autonomie de son fils.
Le programme Ensemble propose une intervention précoce, individuelle et brève (5 séances), permettant aux proches de prendre en compte leurs besoins pour exercer leur rôle d’aidant. Développé en collaboration avec des proches aidants, il est conçu pour promouvoir leur bien-être ou améliorer leur état de santé à la suite des conséquences négatives des troubles psychiatriques des proches qu’ils soutiennent au quotidien.
Il dispose d'une large palette d'outils pour aider les aidants à dans la relation avec leur proche, à tenir compte de leurs propres besoins et ressources. Le cas de Xavier, 70 ans, retraité, père de Martin, la quarantaine, qui souffre d'un trouble bipolaire depuis une vingtaine d'années.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46930
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 68-73[article] " Je ne sais plus quoi faire pour mon fils" [texte imprimé] / Anne-Laure Drainville ; Shadya Monteiro ; Shyhrete Rexhaj . - 2021 . - p. 68-73.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 68-73
Catégories : Alpha
A:Accompagnement ; A:Aidant ; C:Cas clinique ; E:Emotion ; F:Famille ; M:Malade mental ; P:Psychoéducation ; R:Relation soignant-famille ; S:Souffrance psychique ; V:Vécu du patientRésumé : Xavier, retraité, se sent dans une impasse: il voudrait aider son fils Martin dans la gestion de sa maladie bipolaire mais ce dernier refuse tout ce qu’il lui propose. En cinq séances étayées sur des outils très pertinents, le programme Ensemble l’aide à exprimer ses émotions, à lâcher-prise et à respecter l’autonomie de son fils.
Le programme Ensemble propose une intervention précoce, individuelle et brève (5 séances), permettant aux proches de prendre en compte leurs besoins pour exercer leur rôle d’aidant. Développé en collaboration avec des proches aidants, il est conçu pour promouvoir leur bien-être ou améliorer leur état de santé à la suite des conséquences négatives des troubles psychiatriques des proches qu’ils soutiennent au quotidien.
Il dispose d'une large palette d'outils pour aider les aidants à dans la relation avec leur proche, à tenir compte de leurs propres besoins et ressources. Le cas de Xavier, 70 ans, retraité, père de Martin, la quarantaine, qui souffre d'un trouble bipolaire depuis une vingtaine d'années.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46930 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006060 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009123 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible