Dépouillements

« Le moindre grain de sel, et c’est la pagaille » : retour sur la condition des proches aidants / Arnaud Campéon ; Blanche Le Bihan ; Isabelle Mallon ; Isabelle Robineau-Fauchon in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 13-29 Titre : « Le moindre grain de sel, et c’est la pagaille » : retour sur la condition des proches aidants Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Campéon ; Blanche Le Bihan ; Isabelle Mallon ; Isabelle Robineau-Fauchon Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 13-29 Note générale : 10.3917/gs1.161.0013 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; F:Famille ; R:Reconnaissance ; R:Relation d'aide ; V:Visibilité Résumé : Même si je ne commence pas tout le temps à 8h, je me lève tôt. Quand je commence à 10h30, je me lève à 6h45, sinon je me lève à 6h15. Je fonce à la douche, je descends, je prépare le petit-déjeuner de ma mère… alors elle ne veut plus manger de tartines maintenant donc il y a tout un cérémonial le matin, savoir ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas manger. Bon en ce moment, elle me cache les tartines là… (soupir) J’en ai retrouvé derrière le pot de fleurs… bref, donc le matin je prépare les tartines, je les beurre, un peu de confiture, je fais couler le café. Pendant ce temps-là, je mange sur le pouce, debout, je file à la salle de bains pour continuer à me préparer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44577 [article] « Le moindre grain de sel, et c’est la pagaille » : retour sur la condition des proches aidants [texte imprimé] / Arnaud Campéon ; Blanche Le Bihan ; Isabelle Mallon ; Isabelle Robineau-Fauchon . - 2020 . - p. 13-29. 10.3917/gs1.161.0013 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 13-29 Catégories : Alpha A:Aidant ; F:Famille ; R:Reconnaissance ; R:Relation d'aide ; V:Visibilité Résumé : Même si je ne commence pas tout le temps à 8h, je me lève tôt. Quand je commence à 10h30, je me lève à 6h45, sinon je me lève à 6h15. Je fonce à la douche, je descends, je prépare le petit-déjeuner de ma mère… alors elle ne veut plus manger de tartines maintenant donc il y a tout un cérémonial le matin, savoir ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas manger. Bon en ce moment, elle me cache les tartines là… (soupir) J’en ai retrouvé derrière le pot de fleurs… bref, donc le matin je prépare les tartines, je les beurre, un peu de confiture, je fais couler le café. Pendant ce temps-là, je mange sur le pouce, debout, je file à la salle de bains pour continuer à me préparer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44577

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Les proches aidants en France De l’invisibilité à l’inscription dans les politiques publiques ? / Florence Leduc in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 31-35 Titre : Les proches aidants en France De l’invisibilité à l’inscription dans les politiques publiques ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Leduc Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 31-35 Note générale : 10.3917/gs1.161.0031 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; F:Famille ; P:Proche ; R:Relation d'aide ; S:Société Résumé : Le propos va porter sur la question des aidants, des « proches aidants », ainsi que le terme est consacré par la loi relative à l’adaptation de la société au vieillissement, portée par Michèle Delaunay. Il inclut les aidants familiaux qui représentent huit aidants sur dix ; cela laisse ainsi la place à deux aidants sur dix, qui sont des amis (des proches) et des voisins très actifs dans l’aide qu’ils apportent à la personne en situation de besoin d’aide. Pourquoi parler des aidants ? Bien des gens disent qu’autrefois cette aide était « naturelle », si « naturelle » que l’on n’en parlait pas. Les familles s’organisaient, parfois sous le même toit, pour prodiguer aide ou soins à leur proche. Mais deux facteurs ont contribué à rendre plus visible cette question des aidants. En premier lieu, l’activité professionnelle des femmes. En effet, la prise en soin des personnes a toujours été considérée comme faisant partie des rôles féminins, que ce soit dans les villes ou les campagnes. À partir du moment où celles-ci se sont mises à travailler, on s’est alors aperçu du travail considérable qu’elles réalisaient… Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44578 [article] Les proches aidants en France De l’invisibilité à l’inscription dans les politiques publiques ? [texte imprimé] / Florence Leduc . - 2020 . - p. 31-35. 10.3917/gs1.161.0031 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 31-35 Catégories : Alpha A:Aidant ; F:Famille ; P:Proche ; R:Relation d'aide ; S:Société Résumé : Le propos va porter sur la question des aidants, des « proches aidants », ainsi que le terme est consacré par la loi relative à l’adaptation de la société au vieillissement, portée par Michèle Delaunay. Il inclut les aidants familiaux qui représentent huit aidants sur dix ; cela laisse ainsi la place à deux aidants sur dix, qui sont des amis (des proches) et des voisins très actifs dans l’aide qu’ils apportent à la personne en situation de besoin d’aide. Pourquoi parler des aidants ? Bien des gens disent qu’autrefois cette aide était « naturelle », si « naturelle » que l’on n’en parlait pas. Les familles s’organisaient, parfois sous le même toit, pour prodiguer aide ou soins à leur proche. Mais deux facteurs ont contribué à rendre plus visible cette question des aidants. En premier lieu, l’activité professionnelle des femmes. En effet, la prise en soin des personnes a toujours été considérée comme faisant partie des rôles féminins, que ce soit dans les villes ou les campagnes. À partir du moment où celles-ci se sont mises à travailler, on s’est alors aperçu du travail considérable qu’elles réalisaient… Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44578

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Proche aidance et conjugalité aux âges avancés : motivations et postures / Isabelle Van Pevenage ; Chloé Dauphinais ; Didier. Dupont ; Valérie Bourgeois-Guérin in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 37-54 Titre : Proche aidance et conjugalité aux âges avancés : motivations et postures Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Van Pevenage ; Chloé Dauphinais ; Didier. Dupont ; Valérie Bourgeois-Guérin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 37-54 Note générale : 10.3917/gs1.161.0037 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; C:Conjoint ; C:Couple ; E:Engagement (concept) ; E:Etat de santé ; M:Motivation ; P:Personne âgée ; Q:Qualité des soins ; S:Service d'aide à domicile Résumé : Cet article s’intéresse aux motifs avancés par des personnes âgées pour expliquer le soin apporté à leur conjoint au Québec. Les expériences de l’aide explorées ici se situent au prisme de la conjugalité et de la prise en charge d’un conjoint nécessitant du soutien au quotidien. Nos analyses visent à approfondir les motifs de l’aide, en les inscrivant dans leurs contextes particuliers dont celui de la relation conjugale. Cela nous apparaît d’autant plus important que les recherches sur la proche aidance se sont principalement concentrées sur les relations filiales. Basés sur l’analyse de 27 entretiens menés auprès de personnes âgées de 65 ans et plus qui offrent un soutien quotidien à leur conjoint malade, les résultats montrent que les motivations des proches aidantes s’inscrivent pour une grande part dans une logique de préservation des continuités conjugales et identitaires. En outre, les participantes présentent, au moment de l’entretien, différentes postures face à leur situation : des personnes assument complètement leur engagement, d’autres se montrent davantage résignées et d’autres encore présentent un profil davantage subi. Ces postures ne peuvent toutefois être appréhendées sans considérer le rôle déterminant des facteurs contextuels que sont le type et la trajectoire de la maladie, l’état de santé physique et psychologique de la proche aidante, ainsi que l’accès, l’organisation et la qualité des services formels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44579 [article] Proche aidance et conjugalité aux âges avancés : motivations et postures [texte imprimé] / Isabelle Van Pevenage ; Chloé Dauphinais ; Didier. Dupont ; Valérie Bourgeois-Guérin . - 2020 . - p. 37-54. 10.3917/gs1.161.0037 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 37-54 Catégories : Alpha A:Aidant ; C:Conjoint ; C:Couple ; E:Engagement (concept) ; E:Etat de santé ; M:Motivation ; P:Personne âgée ; Q:Qualité des soins ; S:Service d'aide à domicile Résumé : Cet article s’intéresse aux motifs avancés par des personnes âgées pour expliquer le soin apporté à leur conjoint au Québec. Les expériences de l’aide explorées ici se situent au prisme de la conjugalité et de la prise en charge d’un conjoint nécessitant du soutien au quotidien. Nos analyses visent à approfondir les motifs de l’aide, en les inscrivant dans leurs contextes particuliers dont celui de la relation conjugale. Cela nous apparaît d’autant plus important que les recherches sur la proche aidance se sont principalement concentrées sur les relations filiales. Basés sur l’analyse de 27 entretiens menés auprès de personnes âgées de 65 ans et plus qui offrent un soutien quotidien à leur conjoint malade, les résultats montrent que les motivations des proches aidantes s’inscrivent pour une grande part dans une logique de préservation des continuités conjugales et identitaires. En outre, les participantes présentent, au moment de l’entretien, différentes postures face à leur situation : des personnes assument complètement leur engagement, d’autres se montrent davantage résignées et d’autres encore présentent un profil davantage subi. Ces postures ne peuvent toutefois être appréhendées sans considérer le rôle déterminant des facteurs contextuels que sont le type et la trajectoire de la maladie, l’état de santé physique et psychologique de la proche aidante, ainsi que l’accès, l’organisation et la qualité des services formels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44579

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Conjoint·e comme avant : genre et frontières des aides conjugale et filiale / Julie Thomas ; Marks Banens in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 55-69 Titre : Conjoint·e comme avant : genre et frontières des aides conjugale et filiale Type de document : texte imprimé Auteurs : Julie Thomas ; Marks Banens Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 55-69 Note générale : 10.3917/gs1.161.0055 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; C:Conjoint ; F:Famille ; G:Genre ; P:Personne âgée ; V:Vieillissement Résumé : La question des « frontières de genre », proposée par Toni Calasanti et Mary Elizabeth Bowen (2006) pour analyser l’aide conjugale, est approfondie ici pour étudier les délimitations de l’aide à une personne âgée avec des incapacités grandissantes encore en couple à domicile. Dans le cadre d’une enquête par entretiens, étudier les frontières de l’aide et les positions dans les relations familiales nous ont permis de mieux comprendre l’expérience des aidés et des aidants, conjugaux et familiaux. La définition familiale de ces frontières paraît liée à celle du genre, mais avant tout à celle du maintien des équilibres familiaux et conjugaux antérieurs. Nous verrons ainsi d’une part que les frontières les plus importantes sont conjugales, arrangées par le couple autour de lui-même dans le but de maintenir l’unité domestique « comme avant », en déléguant certaines tâches aux enfants de manière genrée. D’autre part, la continuation de la relation conjugale : la manière de « faire couple », telle qu’elle existait avant les incapacités, semble prioritaire, et peut signifier, dans les pratiques, traverser les « frontières du genre » à l’encontre des habitudes passées. Le genre pèse en revanche fortement sur les vécus de l’aide, et les manières d’en parler – plutôt en défaveur des femmes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44580 [article] Conjoint·e comme avant : genre et frontières des aides conjugale et filiale [texte imprimé] / Julie Thomas ; Marks Banens . - 2020 . - p. 55-69. 10.3917/gs1.161.0055 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 55-69 Catégories : Alpha A:Aidant ; C:Conjoint ; F:Famille ; G:Genre ; P:Personne âgée ; V:Vieillissement Résumé : La question des « frontières de genre », proposée par Toni Calasanti et Mary Elizabeth Bowen (2006) pour analyser l’aide conjugale, est approfondie ici pour étudier les délimitations de l’aide à une personne âgée avec des incapacités grandissantes encore en couple à domicile. Dans le cadre d’une enquête par entretiens, étudier les frontières de l’aide et les positions dans les relations familiales nous ont permis de mieux comprendre l’expérience des aidés et des aidants, conjugaux et familiaux. La définition familiale de ces frontières paraît liée à celle du genre, mais avant tout à celle du maintien des équilibres familiaux et conjugaux antérieurs. Nous verrons ainsi d’une part que les frontières les plus importantes sont conjugales, arrangées par le couple autour de lui-même dans le but de maintenir l’unité domestique « comme avant », en déléguant certaines tâches aux enfants de manière genrée. D’autre part, la continuation de la relation conjugale : la manière de « faire couple », telle qu’elle existait avant les incapacités, semble prioritaire, et peut signifier, dans les pratiques, traverser les « frontières du genre » à l’encontre des habitudes passées. Le genre pèse en revanche fortement sur les vécus de l’aide, et les manières d’en parler – plutôt en défaveur des femmes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44580

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La réception de l’aide informelle au grand âge : entre solidarité et ambivalence / Barbara Masotti ; Valérie Hugentobler in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 71-86 Titre : La réception de l’aide informelle au grand âge : entre solidarité et ambivalence Type de document : texte imprimé Auteurs : Barbara Masotti ; Valérie Hugentobler Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 71-86 Note générale : 10.3917/gs1.161.0071 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; G:Grand âge ; I:Intergénérationnel ; M:Maintien à domicile ; R:Relation d'aide ; S:Service d'aide à domicile ; S:Solidarité ; V:Vécu du patient Résumé : L’objectif de cet article est de s’interroger sur la place qu’ont les solidarités informelles dans le dispositif d’aide à la vieillesse qui, en Suisse, est fortement ancré autour du maintien à domicile. La réflexion se construit en partant du point de vue, encore peu exploré, de l’aidé. Les données sont à la fois quantitatives et qualitatives et portent sur un échantillon de personnes âgées de 80 ans et plus vivant à domicile dans le canton du Tessin. Une large majorité bénéficie du soutien d’un ou de plusieurs proches ; un support qui s’exprime avant tout dans la présence et dans des tâches plus pratiques et ponctuelles telles que les courses, le transport et les aides administratives. Plus présente chez les aînés insérés dans un réseau filial, cette aide reste pourtant déterminée non pas par l’existence d’une descendance, mais par celle de contacts directs d’une certaine fréquence et, par conséquent, d’une proximité géographique entre aidant et aidé. Si elle suscite généralement des vécus positifs, l’aide intergénérationnelle peut aussi générer des contradictions : d’une part du fait que, face à des besoins majeurs, on souhaiterait compter sur la présence de ses enfants, d’autre part en raison de la volonté de respecter l’autonomie de ceux-ci. Une reconnaissance institutionnelle majeure de l’aide des proches – par l’introduction d’aides financières et de congés universels – pourrait contribuer à réduire ce sentiment d’ambivalence, tant chez l’aidant que chez l’aidé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44581 [article] La réception de l’aide informelle au grand âge : entre solidarité et ambivalence [texte imprimé] / Barbara Masotti ; Valérie Hugentobler . - 2020 . - p. 71-86. 10.3917/gs1.161.0071 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 71-86 Catégories : Alpha A:Aidant ; G:Grand âge ; I:Intergénérationnel ; M:Maintien à domicile ; R:Relation d'aide ; S:Service d'aide à domicile ; S:Solidarité ; V:Vécu du patient Résumé : L’objectif de cet article est de s’interroger sur la place qu’ont les solidarités informelles dans le dispositif d’aide à la vieillesse qui, en Suisse, est fortement ancré autour du maintien à domicile. La réflexion se construit en partant du point de vue, encore peu exploré, de l’aidé. Les données sont à la fois quantitatives et qualitatives et portent sur un échantillon de personnes âgées de 80 ans et plus vivant à domicile dans le canton du Tessin. Une large majorité bénéficie du soutien d’un ou de plusieurs proches ; un support qui s’exprime avant tout dans la présence et dans des tâches plus pratiques et ponctuelles telles que les courses, le transport et les aides administratives. Plus présente chez les aînés insérés dans un réseau filial, cette aide reste pourtant déterminée non pas par l’existence d’une descendance, mais par celle de contacts directs d’une certaine fréquence et, par conséquent, d’une proximité géographique entre aidant et aidé. Si elle suscite généralement des vécus positifs, l’aide intergénérationnelle peut aussi générer des contradictions : d’une part du fait que, face à des besoins majeurs, on souhaiterait compter sur la présence de ses enfants, d’autre part en raison de la volonté de respecter l’autonomie de ceux-ci. Une reconnaissance institutionnelle majeure de l’aide des proches – par l’introduction d’aides financières et de congés universels – pourrait contribuer à réduire ce sentiment d’ambivalence, tant chez l’aidant que chez l’aidé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44581

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Parents d’adultes avec une déficience intellectuelle : un engagement pour la vie / Adeline Paignon ; Séverine Laverrière ; Séverine Lalive d'Epinay Raemy ; Françoise Cinter in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 87-99 Titre : Parents d’adultes avec une déficience intellectuelle : un engagement pour la vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Adeline Paignon ; Séverine Laverrière ; Séverine Lalive d'Epinay Raemy ; Françoise Cinter Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 87-99 Note générale : 10.3917/gs1.161.0087 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accompagnement ; D:Déficience mentale ; E:Engagement (concept) ; H:Handicap ; P:Parent ; V:Vieillissement Résumé : Face à l’allongement de l’espérance de vie dans nos sociétés actuelles, les instances socio-éducatives et de santé s’interrogent sur le devenir des personnes en situation de handicap. En Suisse, le vieillissement conjoint des parents et de leurs enfants en situation de handicap avec une déficience intellectuelle préoccupe ces différentes instances. Qu’elles vivent en internat ou en externat, le vieillissement de ces personnes confronte les parents, les professionnels, les institutions, le système socio-sanitaire à la prise en compte de nouvelles dimensions dans l’accompagnement, notamment celle du suivi de santé. C’est dans ce contexte que nous questionnons l’engagement des parents dans le suivi de santé de leur fils/fille et de ce qu’il implique pour chacun des acteurs du réseau d’accompagnement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44582 [article] Parents d’adultes avec une déficience intellectuelle : un engagement pour la vie [texte imprimé] / Adeline Paignon ; Séverine Laverrière ; Séverine Lalive d'Epinay Raemy ; Françoise Cinter . - 2020 . - p. 87-99. 10.3917/gs1.161.0087 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 87-99 Catégories : Alpha A:Accompagnement ; D:Déficience mentale ; E:Engagement (concept) ; H:Handicap ; P:Parent ; V:Vieillissement Résumé : Face à l’allongement de l’espérance de vie dans nos sociétés actuelles, les instances socio-éducatives et de santé s’interrogent sur le devenir des personnes en situation de handicap. En Suisse, le vieillissement conjoint des parents et de leurs enfants en situation de handicap avec une déficience intellectuelle préoccupe ces différentes instances. Qu’elles vivent en internat ou en externat, le vieillissement de ces personnes confronte les parents, les professionnels, les institutions, le système socio-sanitaire à la prise en compte de nouvelles dimensions dans l’accompagnement, notamment celle du suivi de santé. C’est dans ce contexte que nous questionnons l’engagement des parents dans le suivi de santé de leur fils/fille et de ce qu’il implique pour chacun des acteurs du réseau d’accompagnement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44582

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Les aidants dans les représentations des professionnels de la gériatrie Enjeux cliniques et relationnels / Jean-Marc Talpin in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 101-116 Titre : Les aidants dans les représentations des professionnels de la gériatrie Enjeux cliniques et relationnels Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Talpin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 101-116 Note générale : 10.3917/gs1.161.0101 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; G:Gériatrie ; P:Paradoxe ; R:Représentation Résumé : À partir d’un matériel résultant de groupes d’analyse de la pratique professionnelle dans le champ de la gériatrie (à domicile ou en institution) seront ici repérés les enjeux psychiques et relationnels mobilisés par les représentations, fantasmes et mouvements pulsionnels des soignants vis-à-vis des aidants familiaux et des âgés. Après une réflexion sémantique sur le terme d’aidant, seront distinguées les représentations de l’aidant familial (individuel ou en groupe) comme partenaire du soin à l’âgé, comme sujet souffrant, comme sujet psychopathologique, comme antagoniste. Pour chaque proposition, sa fonction psychique pour les professionnels sera étudiée. La posture professionnelle demande de pouvoir contenir les paradoxes entre ces différentes représentations, faute de quoi le paradoxe sera destructeur ou pour le moins perturbateur du lien. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44583 [article] Les aidants dans les représentations des professionnels de la gériatrie Enjeux cliniques et relationnels [texte imprimé] / Jean-Marc Talpin . - 2020 . - p. 101-116. 10.3917/gs1.161.0101 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 101-116 Catégories : Alpha A:Aidant ; G:Gériatrie ; P:Paradoxe ; R:Représentation Résumé : À partir d’un matériel résultant de groupes d’analyse de la pratique professionnelle dans le champ de la gériatrie (à domicile ou en institution) seront ici repérés les enjeux psychiques et relationnels mobilisés par les représentations, fantasmes et mouvements pulsionnels des soignants vis-à-vis des aidants familiaux et des âgés. Après une réflexion sémantique sur le terme d’aidant, seront distinguées les représentations de l’aidant familial (individuel ou en groupe) comme partenaire du soin à l’âgé, comme sujet souffrant, comme sujet psychopathologique, comme antagoniste. Pour chaque proposition, sa fonction psychique pour les professionnels sera étudiée. La posture professionnelle demande de pouvoir contenir les paradoxes entre ces différentes représentations, faute de quoi le paradoxe sera destructeur ou pour le moins perturbateur du lien. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44583

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Vieillir en couple, rôle du conjoint aidant et (non-)recours aux professionnels / Sylvie Renaut in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 117-132 Titre : Vieillir en couple, rôle du conjoint aidant et (non-)recours aux professionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Renaut Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 117-132 Note générale : 10.3917/gs1.161.0117 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; C:Conjoint ; C:Couple ; G:Genre ; P:Personne âgée ; R:Relation d'aide ; S:Service d'aide à domicile ; V:Vieillissement Résumé : Avec l’allongement de la vie des hommes et des femmes, le vieillissement ordinaire repose plus longtemps sur la vie en couple : en 2015 en France métropolitaine, six personnes sur dix vivent à deux avec leur conjoint après 60 ans à domicile. Croisant deux types d’analyses quantitative et qualitative issues de l’enquête CARE (Capacités, Aides et REssources des seniors), l’article observe la fréquence de l’aide des conjoints, le (non-)recours aux professionnels et la capacité du couple à renforcer ou restreindre la disposition à se faire aider par l’extérieur. Trois fois sur quatre, les personnes vivant à deux en couple, aidées par leur entourage ou un professionnel pour les activités quotidiennes, désignent leur conjoint comme aidant. Au-delà du niveau de dépendance et de l’aide d’autres proches que le conjoint, la demande d’aide professionnelle des femmes est toujours plus fréquente que celle des hommes. Des entretiens semi-directifs auprès de 25 couples permettent d’expliquer le (non-)recours aux professionnels selon quatre logiques impliquant le conjoint aidant : la valorisation de l’entraide dans le couple comme rempart vis-à-vis de l’extérieur, le refus de déléguer des activités assumées par les femmes, le (non-)recours comme enjeu de pouvoir dans les relations de couple conflictuelles et enfin, le recours aux professionnels justifié par l’implication du conjoint aidant. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44584 [article] Vieillir en couple, rôle du conjoint aidant et (non-)recours aux professionnels [texte imprimé] / Sylvie Renaut . - 2020 . - p. 117-132. 10.3917/gs1.161.0117 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 117-132 Catégories : Alpha A:Aidant ; C:Conjoint ; C:Couple ; G:Genre ; P:Personne âgée ; R:Relation d'aide ; S:Service d'aide à domicile ; V:Vieillissement Résumé : Avec l’allongement de la vie des hommes et des femmes, le vieillissement ordinaire repose plus longtemps sur la vie en couple : en 2015 en France métropolitaine, six personnes sur dix vivent à deux avec leur conjoint après 60 ans à domicile. Croisant deux types d’analyses quantitative et qualitative issues de l’enquête CARE (Capacités, Aides et REssources des seniors), l’article observe la fréquence de l’aide des conjoints, le (non-)recours aux professionnels et la capacité du couple à renforcer ou restreindre la disposition à se faire aider par l’extérieur. Trois fois sur quatre, les personnes vivant à deux en couple, aidées par leur entourage ou un professionnel pour les activités quotidiennes, désignent leur conjoint comme aidant. Au-delà du niveau de dépendance et de l’aide d’autres proches que le conjoint, la demande d’aide professionnelle des femmes est toujours plus fréquente que celle des hommes. Des entretiens semi-directifs auprès de 25 couples permettent d’expliquer le (non-)recours aux professionnels selon quatre logiques impliquant le conjoint aidant : la valorisation de l’entraide dans le couple comme rempart vis-à-vis de l’extérieur, le refus de déléguer des activités assumées par les femmes, le (non-)recours comme enjeu de pouvoir dans les relations de couple conflictuelles et enfin, le recours aux professionnels justifié par l’implication du conjoint aidant. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44584

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Les limites du cahier de liaison dans la prise en charge des personnes âgées / Marie-Christine Legout in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 133-145 Titre : Les limites du cahier de liaison dans la prise en charge des personnes âgées Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Christine Legout ; Béatrice Cahour Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 133-145 Note générale : 10.3917/gs1.161.0133 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; A:Aide familiale ; C:Communication écrite ; R:Relation d'aide ; R:Relation soignant-famille ; S:Service d'aide à domicile Résumé : Cet article interroge les difficultés engendrées lors de l’accès des proches au cahier de liaison au cours de la prise en charge à domicile des personnes âgées dépendantes. Ce questionnement s’inscrit dans le cadre d’un projet de dématérialisation du cahier de liaison. Après avoir spécifié la distinction entre support informationnel et dispositif institutionnel dans la littérature en sciences cognitives et en sociologie, nous appréhendons le cahier de liaison comme un dispositif institutionnel ouvert, mettant en présence deux positions d’énonciation différentes lorsque les auxiliaires de vie font usage du cahier de liaison avec les proches. Sur la base d’une analyse des contenus informationnels au domicile et d’entretiens auprès des intervenants professionnels et des proches, nous mettons en évidence, par l’approfondissement de deux cas, les limites du cahier de liaison comme dispositif de communication institutionnel avec les proches. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44585 [article] Les limites du cahier de liaison dans la prise en charge des personnes âgées [texte imprimé] / Marie-Christine Legout ; Béatrice Cahour . - 2020 . - p. 133-145. 10.3917/gs1.161.0133 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 133-145 Catégories : Alpha A:Aidant ; A:Aide familiale ; C:Communication écrite ; R:Relation d'aide ; R:Relation soignant-famille ; S:Service d'aide à domicile Résumé : Cet article interroge les difficultés engendrées lors de l’accès des proches au cahier de liaison au cours de la prise en charge à domicile des personnes âgées dépendantes. Ce questionnement s’inscrit dans le cadre d’un projet de dématérialisation du cahier de liaison. Après avoir spécifié la distinction entre support informationnel et dispositif institutionnel dans la littérature en sciences cognitives et en sociologie, nous appréhendons le cahier de liaison comme un dispositif institutionnel ouvert, mettant en présence deux positions d’énonciation différentes lorsque les auxiliaires de vie font usage du cahier de liaison avec les proches. Sur la base d’une analyse des contenus informationnels au domicile et d’entretiens auprès des intervenants professionnels et des proches, nous mettons en évidence, par l’approfondissement de deux cas, les limites du cahier de liaison comme dispositif de communication institutionnel avec les proches. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44585

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Trajectoires d’aide au fil du temps. Articuler, désarticuler, réarticuler / Cécile Charlap ; Vincent Caradec ; Aline Chamahian ; Véronika Duprat-Kushtanina in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 147-170 Titre : Trajectoires d’aide au fil du temps. Articuler, désarticuler, réarticuler Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécile Charlap ; Vincent Caradec ; Aline Chamahian ; Véronika Duprat-Kushtanina Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 147-170 Note générale : 10.3917/gs1.161.0147 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Aidant ; O:Organisation ; V:Vie quotidienne Résumé : Apporter de l’aide à un proche âgé malade lorsqu’on travaille demande non seulement d’articuler l’activité d’aide et l’activité professionnelle, mais également les activités conjugales, parentales, grand-parentales, personnelles, et ce sur la durée. Dans cet article, fondé sur une enquête auprès de 35 proches en activité professionnelle prenant soin d’un parent atteint de troubles cognitifs et/ou moteurs, nous nous attachons à saisir de manière dynamique le travail d’articulation opéré par les aidants entre ces différentes activités. Notre propos est structuré en deux temps. Dans une première partie, nous présentons les deux dimensions à partir desquelles se fonde le travail d’articulation : d’une part, le degré d’investissement dans l’aide, que nous appelons « registre d’aide » et qui renvoie à ce que l’aidant souhaite faire et, d’autre part, les éléments de contexte, qui constituent ce que nous nommons les « conditions pratiques » de l’aide et qui déterminent ce qu’il est possible de faire. Dans une seconde partie, nous présentons une typologie de trajectoires d’aide, entre continuité et discontinuité des registres d’aide, éclairant, dans le temps, le travail d’articulation, de désarticulation et de réarticulation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44586 [article] Trajectoires d’aide au fil du temps. Articuler, désarticuler, réarticuler [texte imprimé] / Cécile Charlap ; Vincent Caradec ; Aline Chamahian ; Véronika Duprat-Kushtanina . - 2020 . - p. 147-170. 10.3917/gs1.161.0147 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 147-170 Catégories : Alpha A:Aidant ; O:Organisation ; V:Vie quotidienne Résumé : Apporter de l’aide à un proche âgé malade lorsqu’on travaille demande non seulement d’articuler l’activité d’aide et l’activité professionnelle, mais également les activités conjugales, parentales, grand-parentales, personnelles, et ce sur la durée. Dans cet article, fondé sur une enquête auprès de 35 proches en activité professionnelle prenant soin d’un parent atteint de troubles cognitifs et/ou moteurs, nous nous attachons à saisir de manière dynamique le travail d’articulation opéré par les aidants entre ces différentes activités. Notre propos est structuré en deux temps. Dans une première partie, nous présentons les deux dimensions à partir desquelles se fonde le travail d’articulation : d’une part, le degré d’investissement dans l’aide, que nous appelons « registre d’aide » et qui renvoie à ce que l’aidant souhaite faire et, d’autre part, les éléments de contexte, qui constituent ce que nous nommons les « conditions pratiques » de l’aide et qui déterminent ce qu’il est possible de faire. Dans une seconde partie, nous présentons une typologie de trajectoires d’aide, entre continuité et discontinuité des registres d’aide, éclairant, dans le temps, le travail d’articulation, de désarticulation et de réarticulation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44586

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Points de vue d’usagers sur la déprescription de médicaments en maison de retraite / Lucie Lechevalier Hurard ; Damien Cateau ; Olivier Bugnon ; Anne Niquille Charrière ; Rose-Anna Foley in Gérontologie et Société, vol. 42, n° 161 (2020/01)

Public ISBD [article]  inGérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 171-189 Titre : Points de vue d’usagers sur la déprescription de médicaments en maison de retraite Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucie Lechevalier Hurard ; Damien Cateau ; Olivier Bugnon ; Anne Niquille Charrière ; Rose-Anna Foley Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 171-189 Note générale : 10.3917/gs1.161.0171 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha D:Déprescription ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; P:Polymédication ; P:Prescription médicamenteuse inappropriée Résumé : Cet article est issu d’une recherche interdisciplinaire en pharmacie et sciences sociales sur la polymédication et la déprescription en maison de retraite menée en Suisse romande. Si les facteurs psycho-sociaux sont souvent mobilisés pour expliquer la difficile déprescription (réduction encadrée de la consommation de médicaments pour réduire ses effets délétères identifiés), les propos des usagers interviewés mettent en lumière les facteurs structurels du fonctionnement des établissements pour comprendre le phénomène de polymédication et sa persistence. Perdant leur autonomie sur beaucoup d’aspects de leur vie quotidienne, la plupart des résidents délèguent intégralement la gestion des médicaments aux professionnels et estiment ne plus vraiment avoir de prise sur l’évolution des prescriptions. L’enquête montre pourtant qu’entre recherche d’efficacité et crainte des effets secondaires, les usagers se révèlent perméables aux discours des professionnels et accessibles à la sensibilisation aux risques de la polymédication. L’article conclut sur des pistes qui pourraient faciliter une démarche de déprescription concertée, et favoriser le partage des décisions avec les résidents de maisons de retraite à partir du levier des consommations de médicaments. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44587 [article] Points de vue d’usagers sur la déprescription de médicaments en maison de retraite [texte imprimé] / Lucie Lechevalier Hurard ; Damien Cateau ; Olivier Bugnon ; Anne Niquille Charrière ; Rose-Anna Foley . - 2020 . - p. 171-189. 10.3917/gs1.161.0171 Langues : Français (fre) in Gérontologie et Société > vol. 42, n° 161 (2020/01) . - p. 171-189 Catégories : Alpha D:Déprescription ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; P:Polymédication ; P:Prescription médicamenteuse inappropriée Résumé : Cet article est issu d’une recherche interdisciplinaire en pharmacie et sciences sociales sur la polymédication et la déprescription en maison de retraite menée en Suisse romande. Si les facteurs psycho-sociaux sont souvent mobilisés pour expliquer la difficile déprescription (réduction encadrée de la consommation de médicaments pour réduire ses effets délétères identifiés), les propos des usagers interviewés mettent en lumière les facteurs structurels du fonctionnement des établissements pour comprendre le phénomène de polymédication et sa persistence. Perdant leur autonomie sur beaucoup d’aspects de leur vie quotidienne, la plupart des résidents délèguent intégralement la gestion des médicaments aux professionnels et estiment ne plus vraiment avoir de prise sur l’évolution des prescriptions. L’enquête montre pourtant qu’entre recherche d’efficacité et crainte des effets secondaires, les usagers se révèlent perméables aux discours des professionnels et accessibles à la sensibilisation aux risques de la polymédication. L’article conclut sur des pistes qui pourraient faciliter une démarche de déprescription concertée, et favoriser le partage des décisions avec les résidents de maisons de retraite à partir du levier des consommations de médicaments. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44587

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