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Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement . Vol.18, 2Mention de date : juin 2020Paru le : 01/06/2020 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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T008865 | GER | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Perdu Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLes unités de gériatrie au début de l’épidémie du Covid-19 de 2020 en France / Gilles Berrut in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Les unités de gériatrie au début de l’épidémie du Covid-19 de 2020 en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Berrut ; Laure De Decker ; Jean-Pierre Aquino ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.125-133 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; E:Épidémie ; E:Etablissement de santé ; G:Gériatrie ; H:Hôpital ; H:Hôpital gériatrique ; P:Personne âgée ; P:Politique de santé ; U:Unité de soinsRésumé : L’épidémie de Covid-19 qui avait débuté en novembre en Chine est devenue une épidémie en France à partir du 16 mars 2020 avec la déclaration du confinement de la population afin de diminuer la propagation du virus. Dès le 17 mars et jusqu’au 27 mars 2020, la cellule de veille de la Société française de gériatrie et gérontologie décide de mener une enquête pour analyser la mise en place de la mobilisation des structures de gériatrie, étant donné que cette épidémie avait montré qu’elle entraînait une surmortalité majoritairement chez les personnes âgées. L’enquête a pu réunir la réponse de 34 structures, dont neuf étaient situées en zone cluster de forte épidémie. Des services de court séjour gériatriques dédiés pour les patients infectés par le Covid-19 étaient présents dans huit établissements, uniquement hors des zones clusters. Neuf soins de suite et de rééducation gériatriques ont été dédiés, une activité supplémentaire de télémédecine concernait 35 % des établissements, et des moyens d’écoute des familles, d’animation et de communication par tablettes concernaient 36 % des établissements. Cette enquête est une photographie d’un moment initial de l’épidémie. Elle donne l’occasion de décrire le contexte dans lequel cette épidémie est survenue en ce qui concerne la politique gériatrique, et d’apprécier la réactivité et l’inventivité de ces services pour répondre aux besoins des personnes âgées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44241
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p.125-133[article] Les unités de gériatrie au début de l’épidémie du Covid-19 de 2020 en France [texte imprimé] / Gilles Berrut ; Laure De Decker ; Jean-Pierre Aquino ; et al. . - 2020 . - p.125-133.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p.125-133
Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; E:Épidémie ; E:Etablissement de santé ; G:Gériatrie ; H:Hôpital ; H:Hôpital gériatrique ; P:Personne âgée ; P:Politique de santé ; U:Unité de soinsRésumé : L’épidémie de Covid-19 qui avait débuté en novembre en Chine est devenue une épidémie en France à partir du 16 mars 2020 avec la déclaration du confinement de la population afin de diminuer la propagation du virus. Dès le 17 mars et jusqu’au 27 mars 2020, la cellule de veille de la Société française de gériatrie et gérontologie décide de mener une enquête pour analyser la mise en place de la mobilisation des structures de gériatrie, étant donné que cette épidémie avait montré qu’elle entraînait une surmortalité majoritairement chez les personnes âgées. L’enquête a pu réunir la réponse de 34 structures, dont neuf étaient situées en zone cluster de forte épidémie. Des services de court séjour gériatriques dédiés pour les patients infectés par le Covid-19 étaient présents dans huit établissements, uniquement hors des zones clusters. Neuf soins de suite et de rééducation gériatriques ont été dédiés, une activité supplémentaire de télémédecine concernait 35 % des établissements, et des moyens d’écoute des familles, d’animation et de communication par tablettes concernaient 36 % des établissements. Cette enquête est une photographie d’un moment initial de l’épidémie. Elle donne l’occasion de décrire le contexte dans lequel cette épidémie est survenue en ce qui concerne la politique gériatrique, et d’apprécier la réactivité et l’inventivité de ces services pour répondre aux besoins des personnes âgées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44241 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtSymptômes du Covid-19 chez la personne âgée : revue systématique de la littérature biomédicale internationale / Guillaume Sacco in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Symptômes du Covid-19 chez la personne âgée : revue systématique de la littérature biomédicale internationale Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Sacco ; Olivier Brière ; Marine Asfar ; Gilles Berrut ; Olivier Guérin ; Cédric Annweiler Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 135-140 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; P:Personne âgée ; S:Sémiologie ; S:SymptômeRésumé : La pandémie de Covid-19 est particulièrement sévère chez la personne âgée. Notre objectif était d’identifier, à partir de la littérature internationale, les symptômes les plus fréquents chez la personne âgée infectée par le virus SARS-CoV-2.Cette revue systématique de la littérature a été conduite à partir de Medline sur la période du 1er décembre 2019 au 13 avril 2020. L’analyse des biais a été réalisée selon une méthode d’évaluation de la qualité méthodologique des séries de cas et rapports de cas.Sur 260 articles initialement identifiés, seules deux études ont finalement été incluses dans la synthèse qualitative. L’âge moyen était peu élevé, entre 71 et 74 ans en moyenne. Les symptômes de Covid-19 étaient les suivants : fièvre, toux sèche, dyspnée, asthénie, anorexie, oppression thoracique, diarrhées, et dans une moindre mesure myalgies, pharyngite, nausées, vertiges, céphalées, douleurs abdominales et enfin vomissements. Une lymphopénie était retrouvée à la numération sanguine.En conclusion, cette revue systématique de la littérature internationale révèle un manque de données concernant la sémiologie du Covid-19 chez la personne âgée, notamment chez les très âgés fragiles qui définissent communément la population gériatrique. L’enquête nationale de la Société française de gériatrie et gérontologie permettra de combler ce scotome sémiologique.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44242
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 135-140[article] Symptômes du Covid-19 chez la personne âgée : revue systématique de la littérature biomédicale internationale [texte imprimé] / Guillaume Sacco ; Olivier Brière ; Marine Asfar ; Gilles Berrut ; Olivier Guérin ; Cédric Annweiler . - 2020 . - p. 135-140.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 135-140
Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; P:Personne âgée ; S:Sémiologie ; S:SymptômeRésumé : La pandémie de Covid-19 est particulièrement sévère chez la personne âgée. Notre objectif était d’identifier, à partir de la littérature internationale, les symptômes les plus fréquents chez la personne âgée infectée par le virus SARS-CoV-2.Cette revue systématique de la littérature a été conduite à partir de Medline sur la période du 1er décembre 2019 au 13 avril 2020. L’analyse des biais a été réalisée selon une méthode d’évaluation de la qualité méthodologique des séries de cas et rapports de cas.Sur 260 articles initialement identifiés, seules deux études ont finalement été incluses dans la synthèse qualitative. L’âge moyen était peu élevé, entre 71 et 74 ans en moyenne. Les symptômes de Covid-19 étaient les suivants : fièvre, toux sèche, dyspnée, asthénie, anorexie, oppression thoracique, diarrhées, et dans une moindre mesure myalgies, pharyngite, nausées, vertiges, céphalées, douleurs abdominales et enfin vomissements. Une lymphopénie était retrouvée à la numération sanguine.En conclusion, cette revue systématique de la littérature internationale révèle un manque de données concernant la sémiologie du Covid-19 chez la personne âgée, notamment chez les très âgés fragiles qui définissent communément la population gériatrique. L’enquête nationale de la Société française de gériatrie et gérontologie permettra de combler ce scotome sémiologique.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44242 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPathologies cardiovasculaires et Covid-19 : particularités chez les personnes âgées / Anne-Sophie Boureau in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Pathologies cardiovasculaires et Covid-19 : particularités chez les personnes âgées Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Sophie Boureau ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Olivier Hanon Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 141-149 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; M:Maladie cardiovasculaire ; M:Myocardiopathie ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaireRésumé : Le coronavirus disease 2019 (Covid-19) est une maladie infectieuse secondaire au severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2). Le lien entre les maladies cardiovasculaires et l’infection par SARS-CoV2 entraînant le Covid semble double. Tout d’abord, les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire ou des pathologies cardiovasculaires préexistantes seraient plus à risque de développer des formes graves de l’infection par Covid-19. De plus, l’infection par SARS-CoV2 peut se compliquer de lésions cardiovasculaires potentiellement mortelles, et dont les séquelles cardiorespiratoires à moyen terme demeurent inconnues. Malgré l’évolution rapide des données sur cette pandémie, cet article a pour objectif de résumer les liens entre Covid-19 et les pathologies cardiovasculaires que ce soit en tant que comorbidités incluant le questionnement de la place des bloqueurs du système rénine angiotensine ou que ce soit lié aux complications cardiovasculaires aiguës.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44243
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 141-149[article] Pathologies cardiovasculaires et Covid-19 : particularités chez les personnes âgées [texte imprimé] / Anne-Sophie Boureau ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Olivier Hanon . - 2020 . - p. 141-149.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 141-149
Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; M:Maladie cardiovasculaire ; M:Myocardiopathie ; P:Personne âgée ; R:Risque cardiovasculaireRésumé : Le coronavirus disease 2019 (Covid-19) est une maladie infectieuse secondaire au severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2). Le lien entre les maladies cardiovasculaires et l’infection par SARS-CoV2 entraînant le Covid semble double. Tout d’abord, les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire ou des pathologies cardiovasculaires préexistantes seraient plus à risque de développer des formes graves de l’infection par Covid-19. De plus, l’infection par SARS-CoV2 peut se compliquer de lésions cardiovasculaires potentiellement mortelles, et dont les séquelles cardiorespiratoires à moyen terme demeurent inconnues. Malgré l’évolution rapide des données sur cette pandémie, cet article a pour objectif de résumer les liens entre Covid-19 et les pathologies cardiovasculaires que ce soit en tant que comorbidités incluant le questionnement de la place des bloqueurs du système rénine angiotensine ou que ce soit lié aux complications cardiovasculaires aiguës.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44243 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉthique, soin et grand âge pendant l’épidémie de Covid-19 / Fabrice Gzil in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Éthique, soin et grand âge pendant l’épidémie de Covid-19 Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Gzil ; Emmanuel Hirsch ; Pierre-Emmanuel Brugeron ; Anne-Caroline Clause-Verdreau Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 151-156 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; E:Ethique ; G:Grand âge ; M:Maison de repos et de soins ; S:SoinsRésumé : L’Espace national de réflexion éthique sur la maladie d’Alzheimer et les maladies neuro-dégénératives EREMAND, animé par l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France, a conduit au début de l’épidémie de Covid-19 une enquête nationale pour identifier les difficultés rencontrées par les professionnels du grand âge et de l’autonomie, les familles et les bénévoles, et les initiatives que ceux-ci ont mises en œuvre. Sept difficultés majeures sont identifiées : l’isolement induit par l’interdiction des visites, le manque de matériels de protection et de tests, les difficultés des personnes en difficulté cognitive à comprendre les mesures pour éviter la propagation de l’épidémie, la soutenabilité de la surcharge de travail pour les professionnels, l’inquiétude des familles des résidents, les situations complexes à domicile et les difficultés d’accès aux soins. Quatre initiatives sont mises en œuvre : information et formation des équipes, compensation de l’interruption des visites, concertations et échanges entre professionnels, actions au bénéfice des personnes vivant à domicile. L’épidémie de Covid-19 est venue percuter le secteur du grand âge à un moment très particulier de son histoire, de plusieurs années d’effort du secteur pour se réinventer autour de valeurs fortes. Elles ont été des ressources au cours de cette période de crise. Une ambitieuse loi grand âge et autonomie, apparaît dès lors, comme une nécessité.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44244
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 151-156[article] Éthique, soin et grand âge pendant l’épidémie de Covid-19 [texte imprimé] / Fabrice Gzil ; Emmanuel Hirsch ; Pierre-Emmanuel Brugeron ; Anne-Caroline Clause-Verdreau . - 2020 . - p. 151-156.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 151-156
Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; E:Ethique ; G:Grand âge ; M:Maison de repos et de soins ; S:SoinsRésumé : L’Espace national de réflexion éthique sur la maladie d’Alzheimer et les maladies neuro-dégénératives EREMAND, animé par l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France, a conduit au début de l’épidémie de Covid-19 une enquête nationale pour identifier les difficultés rencontrées par les professionnels du grand âge et de l’autonomie, les familles et les bénévoles, et les initiatives que ceux-ci ont mises en œuvre. Sept difficultés majeures sont identifiées : l’isolement induit par l’interdiction des visites, le manque de matériels de protection et de tests, les difficultés des personnes en difficulté cognitive à comprendre les mesures pour éviter la propagation de l’épidémie, la soutenabilité de la surcharge de travail pour les professionnels, l’inquiétude des familles des résidents, les situations complexes à domicile et les difficultés d’accès aux soins. Quatre initiatives sont mises en œuvre : information et formation des équipes, compensation de l’interruption des visites, concertations et échanges entre professionnels, actions au bénéfice des personnes vivant à domicile. L’épidémie de Covid-19 est venue percuter le secteur du grand âge à un moment très particulier de son histoire, de plusieurs années d’effort du secteur pour se réinventer autour de valeurs fortes. Elles ont été des ressources au cours de cette période de crise. Une ambitieuse loi grand âge et autonomie, apparaît dès lors, comme une nécessité.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44244 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008865 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Perdu
Exclu du prêtncidence, criticité et typologie des évènements indésirables en Ehpad : premières caractéristiques épidémiologiques françaises et perspectives de prévention / Delphine Teigné in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : ncidence, criticité et typologie des évènements indésirables en Ehpad : premières caractéristiques épidémiologiques françaises et perspectives de prévention Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Teigné ; Aurélie Gaultier ; Marion Lucas ; Delphine Mouret ; Brice Leclère ; Leïla Moret ; Noémie Terrien Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 157-167 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; E:Epidémiologie ; E:Evénement indésirable associé aux soins ; M:Maison de repos et de soins ; P:Prévention ; Q:Qualité des soinsRésumé : En France, les connaissances épidémiologiques des évènements indésirables associés aux soins dans le secteur des Ehpad sont parcellaires. Une étude observationnelle descriptive a été menée au sein de 25 Ehpad pendant 15 jours entre 2016 et 2017. Elle avait pour objectif de décrire les types d’évènements indésirables associés aux soins et d’en évaluer leur gravité, fréquence de survenue et criticité. Quatre-vingt-six types d’évènements indésirables associés aux soins appartenant à 13 domaines de risques ont été identifiés (dont 31 par un médecin-enquêteur). Parmi ces types d’évènements, 11 présentaient une criticité « non acceptable » en l’état et 39 une criticité « à surveiller ». Le travail des Ehpad devrait s’orienter autour des types d’évènements indésirables associés aux soins : perte/altération de dispositif médical, défaut d’administration de médicament, défaut de coordination inter structures, défaut de planification/continuité des soins, défaillance du système d’information, perte/altération du linge et sortie inopinée. La préconisation d’axes prioritaires de prévention et d’amélioration dans les Ehpad doit être étudiée.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44245
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 157-167[article] ncidence, criticité et typologie des évènements indésirables en Ehpad : premières caractéristiques épidémiologiques françaises et perspectives de prévention [texte imprimé] / Delphine Teigné ; Aurélie Gaultier ; Marion Lucas ; Delphine Mouret ; Brice Leclère ; Leïla Moret ; Noémie Terrien . - 2020 . - p. 157-167.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 157-167
Catégories : Alpha
C:Covid-19 ; E:Epidémiologie ; E:Evénement indésirable associé aux soins ; M:Maison de repos et de soins ; P:Prévention ; Q:Qualité des soinsRésumé : En France, les connaissances épidémiologiques des évènements indésirables associés aux soins dans le secteur des Ehpad sont parcellaires. Une étude observationnelle descriptive a été menée au sein de 25 Ehpad pendant 15 jours entre 2016 et 2017. Elle avait pour objectif de décrire les types d’évènements indésirables associés aux soins et d’en évaluer leur gravité, fréquence de survenue et criticité. Quatre-vingt-six types d’évènements indésirables associés aux soins appartenant à 13 domaines de risques ont été identifiés (dont 31 par un médecin-enquêteur). Parmi ces types d’évènements, 11 présentaient une criticité « non acceptable » en l’état et 39 une criticité « à surveiller ». Le travail des Ehpad devrait s’orienter autour des types d’évènements indésirables associés aux soins : perte/altération de dispositif médical, défaut d’administration de médicament, défaut de coordination inter structures, défaut de planification/continuité des soins, défaillance du système d’information, perte/altération du linge et sortie inopinée. La préconisation d’axes prioritaires de prévention et d’amélioration dans les Ehpad doit être étudiée.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44245 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008865 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Perdu
Exclu du prêtÉvaluation de la population à risque d’hyperkaliémie / Gilles Berrut in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Évaluation de la population à risque d’hyperkaliémie Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Berrut ; Anne-Sophie Boureau ; Laure De Decker ; Olivier Hanon Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 168-174 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; H:Hyperkaliémie ; I:Insuffisance cardiaque ; I:Insuffisance rénale ; P:Personne âgéeRésumé : Le potassium est un ion essentiel pour le fonctionnement cellulaire, il détermine le voltage et l’excitabilité des myocytes. Son homéostasie est dépendante de l’apport alimentaire et de son élimination rénale prédominante. Le système rénine angiotensine-aldostérone (SRAA) en régule l’élimination. L’hyperkaliémie aiguë et chronique est un facteur de risque de mortalité d’origine cardiaque. L’insuffisance rénale chronique et l’insuffisance cardiaque sont les principales comorbidités. Les traitements inhibiteurs du SRAA sont les principaux facteurs iatrogéniques de l’hyperkaliémie. Environ 90 % des patients qui présentent une hyperkaliémie ont plus de 50 ans et 43 % ont plus de 75 ans. Seuls 4,9 % des hyperkaliémies ont une prise en charge thérapeutique par résines. Un tiers des patients ont 3 comorbidités, et 14 % ont 5 comorbidités ou plus. Les principales comorbidités sont une hypertension artérielle (74,0 %), une dyslipidémie (56,3 %), une insuffisance rénale (55,2 %), un diabète (44,7 %), une maladie coronarienne telle que l’angor et l’infarctus du myocarde (23,3 %) et une insuffisance cardiaque (12 %). Il est à noter que les deux tiers des patients recevant des résines, recevaient également des ISRAA et présentaient une tendance à avoir plus de comorbidités. L’hyperkaliémie est sous-estimée et nécessite une surveillance stricte chez les patients présentant une insuffisance rénale ou une insuffisance cardiaque. Les résines ne sont pas adaptées à une bonne observance au long cours et de nouveaux traitements tels que le patiromer, permettraient de réduire le risque d’hyperkaliémie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44246
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 168-174[article] Évaluation de la population à risque d’hyperkaliémie [texte imprimé] / Gilles Berrut ; Anne-Sophie Boureau ; Laure De Decker ; Olivier Hanon . - 2020 . - p. 168-174.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 168-174
Catégories : Alpha
C:Comorbidité ; H:Hyperkaliémie ; I:Insuffisance cardiaque ; I:Insuffisance rénale ; P:Personne âgéeRésumé : Le potassium est un ion essentiel pour le fonctionnement cellulaire, il détermine le voltage et l’excitabilité des myocytes. Son homéostasie est dépendante de l’apport alimentaire et de son élimination rénale prédominante. Le système rénine angiotensine-aldostérone (SRAA) en régule l’élimination. L’hyperkaliémie aiguë et chronique est un facteur de risque de mortalité d’origine cardiaque. L’insuffisance rénale chronique et l’insuffisance cardiaque sont les principales comorbidités. Les traitements inhibiteurs du SRAA sont les principaux facteurs iatrogéniques de l’hyperkaliémie. Environ 90 % des patients qui présentent une hyperkaliémie ont plus de 50 ans et 43 % ont plus de 75 ans. Seuls 4,9 % des hyperkaliémies ont une prise en charge thérapeutique par résines. Un tiers des patients ont 3 comorbidités, et 14 % ont 5 comorbidités ou plus. Les principales comorbidités sont une hypertension artérielle (74,0 %), une dyslipidémie (56,3 %), une insuffisance rénale (55,2 %), un diabète (44,7 %), une maladie coronarienne telle que l’angor et l’infarctus du myocarde (23,3 %) et une insuffisance cardiaque (12 %). Il est à noter que les deux tiers des patients recevant des résines, recevaient également des ISRAA et présentaient une tendance à avoir plus de comorbidités. L’hyperkaliémie est sous-estimée et nécessite une surveillance stricte chez les patients présentant une insuffisance rénale ou une insuffisance cardiaque. Les résines ne sont pas adaptées à une bonne observance au long cours et de nouveaux traitements tels que le patiromer, permettraient de réduire le risque d’hyperkaliémie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44246 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008865 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Perdu
Exclu du prêtPlace des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés / Louise-Laure Mariani in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés Type de document : texte imprimé Auteurs : Louise-Laure Mariani Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 177-186 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44247
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 177-186[article] Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés [texte imprimé] / Louise-Laure Mariani . - 2020 . - p. 177-186.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 177-186
Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
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Exclu du prêtPlace des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés / Louise-Laure Mariani in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés Type de document : texte imprimé Auteurs : Louise-Laure Mariani Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 177-186 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
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in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 177-186[article] Place des traitements continus et de seconde ligne dans la population des parkinsoniens âgés à très âgés [texte imprimé] / Louise-Laure Mariani . - 2020 . - p. 177-186.
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P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; S:Stimulation cérébrale profonde ; T:TraitementRésumé : La maladie de Parkinson est une affection dont l’incidence augmente avec l’âge. Chez les patients très âgés, on distingue deux groupes de patients. D’une part, des patients âgés dont la maladie débute tardivement vers 80-85 ans, d’évolution plus sévère (troubles cognitifs et axiaux peu dopa-sensibles plus précoces) et ayant des comorbidités à prendre en considération dans la gestion thérapeutique. Du fait de leur espérance de vie limitée, ces patients n’auront vraisemblablement jamais besoin de traitements continus. D’autre part, des patients atteints d’une maladie évoluant depuis de nombreuses années et présentant des fluctuations motrices et des dyskinésies iatrogènes secondaires aux traitements substitutifs de la dopamine, ainsi que des troubles axiaux non dopa-sensibles. La gestion thérapeutique au long cours associe plusieurs traitements antiparkinsoniens, parfois à fortes doses. Certains reçoivent des traitements de deuxième ligne, continus, tels l’apomorphine sous-cutanée, le gel intestinal de levodopa-carbidopa, voire, la stimulation cérébrale profonde. Du fait des spécificités de la population âgée de patients parkinsoniens, la tolérance et l’efficacité peuvent être diminuées. L’enjeu est le maintien du meilleur état moteur possible en limitant le risque iatrogène. L’émergence de nouvelles techniques, dites moins invasives, tels les traitements par radiochirurgie par gamma-knife et la thermo-coagulation par ultra-sons focalisés est également discutée ici. Des études randomisées en double aveugle spécifiquement dédiées à l’étude des traitements continus chez les sujets parkinsoniens très âgés seraient nécessaires pour compléter les recommandations d’experts rapportées.
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Exclu du prêtEntraînements de la mémoire de travail dans le vieillissement normal et pathologique : gains neurocognitifs et généralisation / Marine Saba in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Entraînements de la mémoire de travail dans le vieillissement normal et pathologique : gains neurocognitifs et généralisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine Saba ; Sophie Blanchet Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 187-195 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Exercice ; M:Mémoire ; R:Remédiation cognitive ; T:Trouble cognitif ; V:VieillissementRésumé : La mémoire de travail est une des fonctions cognitives les plus sensibles aux effets du vieillissement normal et pathologique. Chez la personne âgée avec un trouble cognitif léger, les troubles de la mémoire de travail sont fréquents et peuvent même précéder les troubles de la mémoire épisodique, en plus d’avoir une forte valeur pronostique d’évolution vers une démence de type d’Alzheimer. De par son implication dans de nombreuses tâches cognitives et cognitivo-motrices, la mémoire de travail est sollicitée dans la réalisation de diverses activitéscomplexes de la vie quotidienne. L’altération de la mémoire de travail augmente, en conséquence, les risques de perte d’autonomie. Dans cette revue, nous présenterons différents programmes d’entraînement de la mémoire de travail. Nous aborderons également comment ces entraînements sont associés à des effets spécifiques, des transferts proches ou bien éloignés vers d’autres fonctions cognitives chez la personne âgée avec ou sans trouble cognitif léger et chez des patients atteints de démence. Nous démontrerons que ces bénéfices sont appuyés par des modifications neuronales suggérant une amélioration de l’efficience neuronale des processus entraînés ou interreliés. Nous aborderons aussi la question essentielle de la généralisation des acquis cognitifs aux activités de la vie quotidienne.
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in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 187-195[article] Entraînements de la mémoire de travail dans le vieillissement normal et pathologique : gains neurocognitifs et généralisation [texte imprimé] / Marine Saba ; Sophie Blanchet . - 2020 . - p. 187-195.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 187-195
Catégories : Alpha
E:Exercice ; M:Mémoire ; R:Remédiation cognitive ; T:Trouble cognitif ; V:VieillissementRésumé : La mémoire de travail est une des fonctions cognitives les plus sensibles aux effets du vieillissement normal et pathologique. Chez la personne âgée avec un trouble cognitif léger, les troubles de la mémoire de travail sont fréquents et peuvent même précéder les troubles de la mémoire épisodique, en plus d’avoir une forte valeur pronostique d’évolution vers une démence de type d’Alzheimer. De par son implication dans de nombreuses tâches cognitives et cognitivo-motrices, la mémoire de travail est sollicitée dans la réalisation de diverses activitéscomplexes de la vie quotidienne. L’altération de la mémoire de travail augmente, en conséquence, les risques de perte d’autonomie. Dans cette revue, nous présenterons différents programmes d’entraînement de la mémoire de travail. Nous aborderons également comment ces entraînements sont associés à des effets spécifiques, des transferts proches ou bien éloignés vers d’autres fonctions cognitives chez la personne âgée avec ou sans trouble cognitif léger et chez des patients atteints de démence. Nous démontrerons que ces bénéfices sont appuyés par des modifications neuronales suggérant une amélioration de l’efficience neuronale des processus entraînés ou interreliés. Nous aborderons aussi la question essentielle de la généralisation des acquis cognitifs aux activités de la vie quotidienne.
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Exclu du prêtTous les critères DSM-5 du trouble lié à l’usage de substance se valent-ils chez les sujets âgés ? / M Salles in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Tous les critères DSM-5 du trouble lié à l’usage de substance se valent-ils chez les sujets âgés ? Type de document : texte imprimé Auteurs : M Salles Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 197-204 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:DSM-5 ; P:Personne âgée ; T:Trouble lié à l'usage de substanceRésumé : Les données actuelles montrent que les troubles liés à l’usage de substance sont moins fréquents chez le sujet âgé. Toutefois ces données peuvent être liées au fait que cette moindre fréquence est liée aux spécificités de cette population et notamment à l’inadéquation de certains critères du DSM-5 avec le mode de vie des sujets âgés. Toutefois il n’existe pas de donnée concernant la répartition des critères du DSM-5 d’addiction chez des sujets âgés. Notre étude avait pour objectif de décrire la répartition des critères DSM-5 du Trouble lié à l’usage de l’alcool et de benzodiazépine dans une population de 59 patients âgés de 80 ans, de décrire les différences entre les groupes de patients souffrant d’une addiction et ceux indemnes d’addiction et de déterminer les facteurs sociaux démographiques associés avec le diagnostic dans notre population. Nous avons observé que 45 % des sujets régulièrement exposés à de l’alcool ou des benzodiazépines avaient un diagnostic de Trouble lié à l’usage de substance. Les critères 1, 2, 4, 9, 10 et 11 du DSM-5 étaient retrouvés significativement plus fréquemment chez les patients présentant une addiction que chez ceux ne présentant pas d’addiction. Sur l’analyse en régression les critères 1, 4, 6, 9, 10 et 11 ainsi que le nombre d’unités d’alcool consommées par jour étaient associés au diagnostic d’addiction. Les autres facteurs sociodémographiques n’étaient pas associés au diagnostic. Cette étude pilote met en évidence que certains critères d’addiction du DSM-5 semblent être plus pertinents à rechercher chez les sujets âgés.
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in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 197-204[article] Tous les critères DSM-5 du trouble lié à l’usage de substance se valent-ils chez les sujets âgés ? [texte imprimé] / M Salles . - 2020 . - p. 197-204.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 197-204
Catégories : Alpha
D:DSM-5 ; P:Personne âgée ; T:Trouble lié à l'usage de substanceRésumé : Les données actuelles montrent que les troubles liés à l’usage de substance sont moins fréquents chez le sujet âgé. Toutefois ces données peuvent être liées au fait que cette moindre fréquence est liée aux spécificités de cette population et notamment à l’inadéquation de certains critères du DSM-5 avec le mode de vie des sujets âgés. Toutefois il n’existe pas de donnée concernant la répartition des critères du DSM-5 d’addiction chez des sujets âgés. Notre étude avait pour objectif de décrire la répartition des critères DSM-5 du Trouble lié à l’usage de l’alcool et de benzodiazépine dans une population de 59 patients âgés de 80 ans, de décrire les différences entre les groupes de patients souffrant d’une addiction et ceux indemnes d’addiction et de déterminer les facteurs sociaux démographiques associés avec le diagnostic dans notre population. Nous avons observé que 45 % des sujets régulièrement exposés à de l’alcool ou des benzodiazépines avaient un diagnostic de Trouble lié à l’usage de substance. Les critères 1, 2, 4, 9, 10 et 11 du DSM-5 étaient retrouvés significativement plus fréquemment chez les patients présentant une addiction que chez ceux ne présentant pas d’addiction. Sur l’analyse en régression les critères 1, 4, 6, 9, 10 et 11 ainsi que le nombre d’unités d’alcool consommées par jour étaient associés au diagnostic d’addiction. Les autres facteurs sociodémographiques n’étaient pas associés au diagnostic. Cette étude pilote met en évidence que certains critères d’addiction du DSM-5 semblent être plus pertinents à rechercher chez les sujets âgés.
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Exclu du prêtÉtude pilote portant sur les effets d’un programme d’activités physiques adaptées sur la qualité de vie et les indicateurs du risque de chute chez des femmes autonomes âgées de plus de 65 ans / Aurélie Goncalves in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Étude pilote portant sur les effets d’un programme d’activités physiques adaptées sur la qualité de vie et les indicateurs du risque de chute chez des femmes autonomes âgées de plus de 65 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélie Goncalves ; Christophe Martinez ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 205-212 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Activité physique ; A:Activité physique adaptée ; C:Chute ; E:Équilibre postural ; P:Personne âgée ; P:PréventionRésumé : Les chutes peuvent avoir de multiples conséquences préjudiciables chez les personnes âgées, particulièrement pour les femmes. Pour prévenir le risque de chute, les programmes d’intervention composés d’exercices physiques centrés sur l’équilibre apparaissent être les plus efficaces, ce qui a conduit à la multiplication de ce type d’actions au niveau local. Cependant, ces dernières sont très rarement évaluées. Méthode. Notre échantillon se compose de 26 femmes (âgées de 75,0 ± 6,7 ans), réparties aléatoirement dans deux groupes : un groupe intervention (GI) ayant bénéficié d’un programme d’APA centré sur l’équilibre et réalisé dans un cadre associatif et un groupe contrôle (GC). Des indicateurs physiques objectifs (capacités motrices, équilibre), subjectifs (confiance en son équilibre) ainsi que de santé (qualité de vie), chez des femmes âgées de plus de 65 ans, autonomes vivant à domicile, ont été évalués.Résultats. Suite au programme, une amélioration des capacités d’équilibre (augmentation significative du score à la POMA ; p < 0,05), des capacités motrices (diminution significative du score au TUG ; p < 0,01) et de la confiance en son équilibre (augmentation significative à ABC-S ; p < 0,05) ont été observées chez les participantes du GI. Conclusion. La mise en place de programme court par une association à destination des femmes âgées autonomes semble être un dispositif préventif intéressant pour réduire le risque de chute.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44252
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 205-212[article] Étude pilote portant sur les effets d’un programme d’activités physiques adaptées sur la qualité de vie et les indicateurs du risque de chute chez des femmes autonomes âgées de plus de 65 ans [texte imprimé] / Aurélie Goncalves ; Christophe Martinez ; et al. . - 2020 . - p. 205-212.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 205-212
Catégories : Alpha
A:Activité physique ; A:Activité physique adaptée ; C:Chute ; E:Équilibre postural ; P:Personne âgée ; P:PréventionRésumé : Les chutes peuvent avoir de multiples conséquences préjudiciables chez les personnes âgées, particulièrement pour les femmes. Pour prévenir le risque de chute, les programmes d’intervention composés d’exercices physiques centrés sur l’équilibre apparaissent être les plus efficaces, ce qui a conduit à la multiplication de ce type d’actions au niveau local. Cependant, ces dernières sont très rarement évaluées. Méthode. Notre échantillon se compose de 26 femmes (âgées de 75,0 ± 6,7 ans), réparties aléatoirement dans deux groupes : un groupe intervention (GI) ayant bénéficié d’un programme d’APA centré sur l’équilibre et réalisé dans un cadre associatif et un groupe contrôle (GC). Des indicateurs physiques objectifs (capacités motrices, équilibre), subjectifs (confiance en son équilibre) ainsi que de santé (qualité de vie), chez des femmes âgées de plus de 65 ans, autonomes vivant à domicile, ont été évalués.Résultats. Suite au programme, une amélioration des capacités d’équilibre (augmentation significative du score à la POMA ; p < 0,05), des capacités motrices (diminution significative du score au TUG ; p < 0,01) et de la confiance en son équilibre (augmentation significative à ABC-S ; p < 0,05) ont été observées chez les participantes du GI. Conclusion. La mise en place de programme court par une association à destination des femmes âgées autonomes semble être un dispositif préventif intéressant pour réduire le risque de chute.
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Exclu du prêtSynchronisation sensorimotrice et comportements non verbaux dans la maladie d’Alzheimer : l’influence du contexte social et musical / Matthieu Ghilain in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Synchronisation sensorimotrice et comportements non verbaux dans la maladie d’Alzheimer : l’influence du contexte social et musical Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Ghilain ; Lise Hobeika ; Micheline Lesaffre ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 213-222 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; I:Interaction sociale ; M:Motricité ; M:Musicothérapie ; P:Perception sensorielle ; P:Personne âgéeRésumé : Cette étude vise à examiner les facteurs qui influencent l’engagement socio-émotionnel et moteur et la synchronisation sensorimotrice (SSM) pendant une activité musicale chez des patients présentant une maladie d’Alzheimer. La tâche consistait à taper avec un rythme métronomique ou musical devant une musicienne réalisant la même tâche, qui était présente physiquement ou virtuellement sur un écran. Selon nos résultats, les patients produisaient plus de mouvements rythmiques en réponse à la musique qu’au métronome. Cependant, la SSM était meilleure avec le métronome qu’avec la musique et en présence virtuelle plutôt que réelle de la musicienne. Ces données confirment l’importance du contexte musical et des interactions sociales sur l’engagement moteur et la synchronisation. En revanche, aucun effet sur l’engagement socio-émotionnel n’a été observé. En évaluant en parallèle la SSM, les comportements moteurs spontanés et socio-émotionnels à partir de mesures quantitatives, cette étude permet de valider une approche multimodale d’évaluation de l’engagement des patients dans une tâche musicale. Les perspectives d’applications prometteuses de ce travail mettent à la disposition des cliniciens et des chercheurs une méthodologie rigoureuse pour comprendre les facteurs qui sont à l’origine des bénéfices thérapeutiques des activités musicales sur le comportement et le bien-être des patients et de leurs aidants.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44254
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 213-222[article] Synchronisation sensorimotrice et comportements non verbaux dans la maladie d’Alzheimer : l’influence du contexte social et musical [texte imprimé] / Matthieu Ghilain ; Lise Hobeika ; Micheline Lesaffre ; et al. . - 2020 . - p. 213-222.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 213-222
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; I:Interaction sociale ; M:Motricité ; M:Musicothérapie ; P:Perception sensorielle ; P:Personne âgéeRésumé : Cette étude vise à examiner les facteurs qui influencent l’engagement socio-émotionnel et moteur et la synchronisation sensorimotrice (SSM) pendant une activité musicale chez des patients présentant une maladie d’Alzheimer. La tâche consistait à taper avec un rythme métronomique ou musical devant une musicienne réalisant la même tâche, qui était présente physiquement ou virtuellement sur un écran. Selon nos résultats, les patients produisaient plus de mouvements rythmiques en réponse à la musique qu’au métronome. Cependant, la SSM était meilleure avec le métronome qu’avec la musique et en présence virtuelle plutôt que réelle de la musicienne. Ces données confirment l’importance du contexte musical et des interactions sociales sur l’engagement moteur et la synchronisation. En revanche, aucun effet sur l’engagement socio-émotionnel n’a été observé. En évaluant en parallèle la SSM, les comportements moteurs spontanés et socio-émotionnels à partir de mesures quantitatives, cette étude permet de valider une approche multimodale d’évaluation de l’engagement des patients dans une tâche musicale. Les perspectives d’applications prometteuses de ce travail mettent à la disposition des cliniciens et des chercheurs une méthodologie rigoureuse pour comprendre les facteurs qui sont à l’origine des bénéfices thérapeutiques des activités musicales sur le comportement et le bien-être des patients et de leurs aidants.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008865 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Perdu
Exclu du prêtPlace du psychiatre de la personne âgée au sein d’une équipe mobile de gériatrie extrahospitalière : l’exemple tourangeau / J-A. Nkodo in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol.18, 2 (juin 2020)
[article]
Titre : Place du psychiatre de la personne âgée au sein d’une équipe mobile de gériatrie extrahospitalière : l’exemple tourangeau Type de document : texte imprimé Auteurs : J-A. Nkodo ; Camille Debacq ; T. Desmidt ; Marc Mennecart ; Bertrand Fougère ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 223-231 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Équipe mobile ; G:Gériatrie ; P:Parcours de soins du patient ; P:Personne âgée ; P:PsychiatreRésumé : Contexte : l’évolution démographique entraîne une adaptation de l’offre de soins gériatrique, orientée volontiers vers la communauté, avec notamment le déploiement d’unités mobiles extrahospitalières de gériatrie et psychiatrie de la personne âgée. Bien que les troubles psychiques du sujet âgé nécessitent une approche globale, intégrative et pluridisciplinaire, les unités mobiles extrahospitalières de gériatrie et psychiatrie de la personne âgée fonctionnent souvent en parallèle sans concertation et rencontrent régulièrement des difficultés dans la prise en charge des pathologies complexes. L’objectif de ce travail est de faire un retour d’expérience du fonctionnement du dispositif du CHRU de Tours, comprenant un gériatre et un psychiatre de la personne âgée (PPA) dans la même équipe.Méthode : recueil de données mettant en lumière la dyade médicale gériatre – PPA durant la première année de fonctionnement de l’Équipe mobile de gériatrie extra-hospitalière (EMGEH) du CHRU de Tours (2018). Les modes d’adressage, motifs d’intervention, caractéristiques cliniques des patients et préconisations ont été enregistrées à l’issue de l’évaluation gériatrique initiale, puis après évaluation PPA complémentaire lorsqu’elle était indiquée.Résultats : 151 patients dont 53 % (n = 80) en rupture de suivi médical ou en difficulté d’accès aux soins ont été évalués ; 40 % (n = 60) pour des troubles du comportement, 30 % (n = 45) des chutes, 15 % (n = 23) une problématique sociale, 10 % (n = 15) une altération de l’état général et 5 % (n = 7) une conciliation médicamenteuse. Après l’évaluation gériatrique initiale, 40 % (n = 60) ont bénéficié d’une évaluation PPA ; 100 % (n = 60) étaient en rupture/difficulté de suivi, 83 % (n = 50) présentaient des troubles psychocomportementaux bruyants sur troubles neurocognitifs, 17 % (n = 10) des troubles psychocomportementaux sur maladie psychiatrique, 10 % (n = 6) un mésusage de psychotropes à l’origine de décompensation de comorbidités gériatriques ; 32 % (n = 19) ont bénéficié ensuite de consultations gériatrique, gérontopsychiatrique ou mémoire et 33 % (n = 20) présentaient un refus de soins persistant ; 23 % (n = 14) ont été réévalués pour troubles psychocomportementaux bruyants.Discussion : la collaboration originale gériatre – PPA au sein de la même EMGEH permet une prise en charge médicale globale des patients, intégrant les comorbidités organiques, psychiatriques et cognitives intriquées et une réflexion collaborative sur l’iatrogénie qui en découle. Le lien privilégié avec les médecins traitants est une réponse possible pour ces patients fragiles, en rupture de soins, permettant une réinsertion dans la filière gériatrique.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44255
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 223-231[article] Place du psychiatre de la personne âgée au sein d’une équipe mobile de gériatrie extrahospitalière : l’exemple tourangeau [texte imprimé] / J-A. Nkodo ; Camille Debacq ; T. Desmidt ; Marc Mennecart ; Bertrand Fougère ; et al. . - 2020 . - p. 223-231.
Langues : Français (fre)
in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol.18, 2 (juin 2020) . - p. 223-231
Catégories : Alpha
E:Équipe mobile ; G:Gériatrie ; P:Parcours de soins du patient ; P:Personne âgée ; P:PsychiatreRésumé : Contexte : l’évolution démographique entraîne une adaptation de l’offre de soins gériatrique, orientée volontiers vers la communauté, avec notamment le déploiement d’unités mobiles extrahospitalières de gériatrie et psychiatrie de la personne âgée. Bien que les troubles psychiques du sujet âgé nécessitent une approche globale, intégrative et pluridisciplinaire, les unités mobiles extrahospitalières de gériatrie et psychiatrie de la personne âgée fonctionnent souvent en parallèle sans concertation et rencontrent régulièrement des difficultés dans la prise en charge des pathologies complexes. L’objectif de ce travail est de faire un retour d’expérience du fonctionnement du dispositif du CHRU de Tours, comprenant un gériatre et un psychiatre de la personne âgée (PPA) dans la même équipe.Méthode : recueil de données mettant en lumière la dyade médicale gériatre – PPA durant la première année de fonctionnement de l’Équipe mobile de gériatrie extra-hospitalière (EMGEH) du CHRU de Tours (2018). Les modes d’adressage, motifs d’intervention, caractéristiques cliniques des patients et préconisations ont été enregistrées à l’issue de l’évaluation gériatrique initiale, puis après évaluation PPA complémentaire lorsqu’elle était indiquée.Résultats : 151 patients dont 53 % (n = 80) en rupture de suivi médical ou en difficulté d’accès aux soins ont été évalués ; 40 % (n = 60) pour des troubles du comportement, 30 % (n = 45) des chutes, 15 % (n = 23) une problématique sociale, 10 % (n = 15) une altération de l’état général et 5 % (n = 7) une conciliation médicamenteuse. Après l’évaluation gériatrique initiale, 40 % (n = 60) ont bénéficié d’une évaluation PPA ; 100 % (n = 60) étaient en rupture/difficulté de suivi, 83 % (n = 50) présentaient des troubles psychocomportementaux bruyants sur troubles neurocognitifs, 17 % (n = 10) des troubles psychocomportementaux sur maladie psychiatrique, 10 % (n = 6) un mésusage de psychotropes à l’origine de décompensation de comorbidités gériatriques ; 32 % (n = 19) ont bénéficié ensuite de consultations gériatrique, gérontopsychiatrique ou mémoire et 33 % (n = 20) présentaient un refus de soins persistant ; 23 % (n = 14) ont été réévalués pour troubles psychocomportementaux bruyants.Discussion : la collaboration originale gériatre – PPA au sein de la même EMGEH permet une prise en charge médicale globale des patients, intégrant les comorbidités organiques, psychiatriques et cognitives intriquées et une réflexion collaborative sur l’iatrogénie qui en découle. Le lien privilégié avec les médecins traitants est une réponse possible pour ces patients fragiles, en rupture de soins, permettant une réinsertion dans la filière gériatrique.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44255 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008865 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Perdu
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