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Médecine palliative . vol. 19, 04Mention de date : Août-septembre 2020Paru le : 01/08/2020 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
T008863 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierPrise de décision d’une LAT < limitation et/ou arrêt de traitement > des médecins exerçant en soins palliatifs : éthique et vécu émotionnel / Marie Ondet in Médecine palliative, vol. 19, 04 (Août-septembre 2020)
[article]
Titre : Prise de décision d’une LAT < limitation et/ou arrêt de traitement > des médecins exerçant en soins palliatifs : éthique et vécu émotionnel Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Ondet ; Caroline Poulet Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 185-191 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Abstention thérapeutique ; E:Emotion ; E:Ethique ; L:Limitation et arrêt de traitement ; M:Médecin ; P:Prise de décision ; S:Soins palliatifs ; V:Vécu du soignantRésumé : Objectif
Cette étude vise à développer des axes de réflexion concernant la fin de vie et ainsi mieux comprendre les facteurs éthique et émotionnel en jeu dans la prise de décision chez le médecin travaillant en soins palliatifs et plus particulièrement dans une situation où il est question d’une limitation et/ou arrêt de traitement (LAT).
Méthode
La réflexion éthique et le vécu émotionnel de 10 médecins, exerçant en services ou en équipes mobiles de soins palliatifs dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, ont été évalués par auto-questionnaire.
Résultats
Dans un contexte de prise de décision de LAT, les médecins ont estimé que la réflexion éthique a un impact sur leur prise de décision dans leur pratique professionnelle en général mais également dans leur dernière situation de LAT. Les résultats diffèrent concernant le vécu émotionnel, 80 % des médecins ont pensé que le vécu émotionnel jouait un rôle dans leur pratique professionnelle générale. En revanche, 70 % des médecins considèrent que leur vécu émotionnel n’a pas influencé la prise de décision lorsqu’ils sont interrogés plus spécifiquement sur la dernière situation clinique où il était question d’une LAT.
Conclusion
Les médecins considèrent que la réflexion éthique est bien présente et semble indispensable pour garder, au centre de la décision, le patient dans son unicité. Au vu des résultats, la prise de décision de LAT semble faire ressentir des émotions fortes à ces médecins qui paraissent difficilement identifiables et exprimables.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44207
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 185-191[article] Prise de décision d’une LAT < limitation et/ou arrêt de traitement > des médecins exerçant en soins palliatifs : éthique et vécu émotionnel [texte imprimé] / Marie Ondet ; Caroline Poulet . - 2020 . - p. 185-191.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 185-191
Catégories : Alpha
A:Abstention thérapeutique ; E:Emotion ; E:Ethique ; L:Limitation et arrêt de traitement ; M:Médecin ; P:Prise de décision ; S:Soins palliatifs ; V:Vécu du soignantRésumé : Objectif
Cette étude vise à développer des axes de réflexion concernant la fin de vie et ainsi mieux comprendre les facteurs éthique et émotionnel en jeu dans la prise de décision chez le médecin travaillant en soins palliatifs et plus particulièrement dans une situation où il est question d’une limitation et/ou arrêt de traitement (LAT).
Méthode
La réflexion éthique et le vécu émotionnel de 10 médecins, exerçant en services ou en équipes mobiles de soins palliatifs dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, ont été évalués par auto-questionnaire.
Résultats
Dans un contexte de prise de décision de LAT, les médecins ont estimé que la réflexion éthique a un impact sur leur prise de décision dans leur pratique professionnelle en général mais également dans leur dernière situation de LAT. Les résultats diffèrent concernant le vécu émotionnel, 80 % des médecins ont pensé que le vécu émotionnel jouait un rôle dans leur pratique professionnelle générale. En revanche, 70 % des médecins considèrent que leur vécu émotionnel n’a pas influencé la prise de décision lorsqu’ils sont interrogés plus spécifiquement sur la dernière situation clinique où il était question d’une LAT.
Conclusion
Les médecins considèrent que la réflexion éthique est bien présente et semble indispensable pour garder, au centre de la décision, le patient dans son unicité. Au vu des résultats, la prise de décision de LAT semble faire ressentir des émotions fortes à ces médecins qui paraissent difficilement identifiables et exprimables.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44207 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008863 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible De l’identification à la distanciation : le ressenti des équipes soignantes lors de la prise en charge de la douleur des patients en fin de vie en EHPAD / Muriel Descloux in Médecine palliative, vol. 19, 04 (Août-septembre 2020)
[article]
Titre : De l’identification à la distanciation : le ressenti des équipes soignantes lors de la prise en charge de la douleur des patients en fin de vie en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : Muriel Descloux ; Nathalie Nisenbaum ; Marcel-Louis Viallard Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 192-199 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Empathie ; E:Etablissement de santé ; F:Fin de vie ; M:Maison de repos et de soins ; M:Médecin généraliste ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins de longue duréeRésumé : Introduction
En France, un quart des décès ont lieu en EHPAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), soit environ 150 000 décès par an (DRESS 2018). Un total de 60 % de résidents nécessitent des soins palliatifs dans ces structures or il existe actuellement un réel déficit de leur accompagnement. Un total de 24 % d’entre eux se trouveraient encore dans un réel inconfort lors de leur dernière semaine de vie (rapport Sicard 2012).
Objectif
Cette étude visait à explorer le ressenti des équipes soignantes concernant la prise en charge de la douleur des patients en soins palliatifs vivant en EHPAD en vue d’améliorer celle-ci.
Matériel et méthode Il s’agissait d’une étude qualitative par entretiens individuels semi- directifs, recueillant l’opinion de six médecins et neuf infirmiers travaillant dans sept EHPAD.
Résultats
Les soignants se sentaient généralement en difficulté lors de la prise en charge de la douleur des résidents en fin de vie. Ils attribuaient le plus souvent ces difficultés à un manque de formation en douleur et en soins palliatifs et à un manque de moyens humains : absence d’infirmièr(e) sur place la nuit, accès difficile aux médecins traitants, faibles effectifs de soignants. Dans ce contexte, leurs ressentis étaient très variés avec une large palette émotionnelle de sentiments rapportés : d’une forte implication émotionnelle ou grande empathie, parfois sources de souffrance éthique ; à une réelle distanciation qui semblait plus protectrice.
Conclusion
Les principales pistes d’amélioration de la prise en charge de la douleur des patients en fin de vie en EHPAD identifiées par les soignants dans cette étude étaient le développement des formations et l’augmentation des moyens humains.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44208
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 192-199[article] De l’identification à la distanciation : le ressenti des équipes soignantes lors de la prise en charge de la douleur des patients en fin de vie en EHPAD [texte imprimé] / Muriel Descloux ; Nathalie Nisenbaum ; Marcel-Louis Viallard . - 2020 . - p. 192-199.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 192-199
Catégories : Alpha
E:Empathie ; E:Etablissement de santé ; F:Fin de vie ; M:Maison de repos et de soins ; M:Médecin généraliste ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins de longue duréeRésumé : Introduction
En France, un quart des décès ont lieu en EHPAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), soit environ 150 000 décès par an (DRESS 2018). Un total de 60 % de résidents nécessitent des soins palliatifs dans ces structures or il existe actuellement un réel déficit de leur accompagnement. Un total de 24 % d’entre eux se trouveraient encore dans un réel inconfort lors de leur dernière semaine de vie (rapport Sicard 2012).
Objectif
Cette étude visait à explorer le ressenti des équipes soignantes concernant la prise en charge de la douleur des patients en soins palliatifs vivant en EHPAD en vue d’améliorer celle-ci.
Matériel et méthode Il s’agissait d’une étude qualitative par entretiens individuels semi- directifs, recueillant l’opinion de six médecins et neuf infirmiers travaillant dans sept EHPAD.
Résultats
Les soignants se sentaient généralement en difficulté lors de la prise en charge de la douleur des résidents en fin de vie. Ils attribuaient le plus souvent ces difficultés à un manque de formation en douleur et en soins palliatifs et à un manque de moyens humains : absence d’infirmièr(e) sur place la nuit, accès difficile aux médecins traitants, faibles effectifs de soignants. Dans ce contexte, leurs ressentis étaient très variés avec une large palette émotionnelle de sentiments rapportés : d’une forte implication émotionnelle ou grande empathie, parfois sources de souffrance éthique ; à une réelle distanciation qui semblait plus protectrice.
Conclusion
Les principales pistes d’amélioration de la prise en charge de la douleur des patients en fin de vie en EHPAD identifiées par les soignants dans cette étude étaient le développement des formations et l’augmentation des moyens humains.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44208 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008863 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible État des lieux des pratiques non médicamenteuses dans les unités de soins palliatifs en France en 2019 / Sarah Bécel in Médecine palliative, vol. 19, 04 (Août-septembre 2020)
[article]
Titre : État des lieux des pratiques non médicamenteuses dans les unités de soins palliatifs en France en 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah Bécel ; Sébastien Guitton Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 200-206 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
I:intervention non médicamenteuse ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; T:Thérapie complémentaire ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Objectif
Montrer que les unités de soins palliatifs (USP) s’intègrent dans une prise en charge globale du patient en proposant l’accès à de nombreuses techniques non médicamenteuses.
Introduction
Les USP sont des structures spécialisées en soins palliatifs, destinées aux patients les plus complexes. Ces unités proposent l’intervention d’équipes pluridisciplinaires afin de prendre en charge de façon globale le patient. À cette fin, nous pouvons penser que les USP proposent l’accès à des techniques non médicamenteuses. À ce jour, il n’existe pas d’état des lieux de ces pratiques. Le but de notre étude est de faire un état des lieux des pratiques non médicamenteuses dans les USP en France en 2019.
Matériel et méthodes
Nous avons réalisé une analyse descriptive, non exhaustive, proposée à l’ensemble des USP de France. Nous avons analysé le nombre de techniques non médicamenteuses proposées par chaque USP, en fonction du personnel réalisant le soin (intervention d’un personnel extérieur ou membre de l’équipe soignante médicale ou paramédicale).
Résultats
La totalité des 57 USP répondantes propose l’accès à au-moins une technique non médicamenteuse. En moyenne, 8,58 techniques non médicamenteuses sont proposées par USP. Certaines techniques non médicamenteuses sont pratiquées majoritairement par des intervenants extérieurs à l’USP, d’autres techniques par le personnel médical ou paramédical de l’USP, ou sont réalisées de façon mixte.
Discussion
Toutes les USP répondantes proposent l’accès à au-moins une technique non médicamenteuse, de façon multidisciplinaire. La prise en charge des patients est globale car elle prend en compte les symptômes physiques, psychologiques, sociaux et spirituels.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44209
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 200-206[article] État des lieux des pratiques non médicamenteuses dans les unités de soins palliatifs en France en 2019 [texte imprimé] / Sarah Bécel ; Sébastien Guitton . - 2020 . - p. 200-206.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 200-206
Catégories : Alpha
I:intervention non médicamenteuse ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; T:Thérapie complémentaire ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Objectif
Montrer que les unités de soins palliatifs (USP) s’intègrent dans une prise en charge globale du patient en proposant l’accès à de nombreuses techniques non médicamenteuses.
Introduction
Les USP sont des structures spécialisées en soins palliatifs, destinées aux patients les plus complexes. Ces unités proposent l’intervention d’équipes pluridisciplinaires afin de prendre en charge de façon globale le patient. À cette fin, nous pouvons penser que les USP proposent l’accès à des techniques non médicamenteuses. À ce jour, il n’existe pas d’état des lieux de ces pratiques. Le but de notre étude est de faire un état des lieux des pratiques non médicamenteuses dans les USP en France en 2019.
Matériel et méthodes
Nous avons réalisé une analyse descriptive, non exhaustive, proposée à l’ensemble des USP de France. Nous avons analysé le nombre de techniques non médicamenteuses proposées par chaque USP, en fonction du personnel réalisant le soin (intervention d’un personnel extérieur ou membre de l’équipe soignante médicale ou paramédicale).
Résultats
La totalité des 57 USP répondantes propose l’accès à au-moins une technique non médicamenteuse. En moyenne, 8,58 techniques non médicamenteuses sont proposées par USP. Certaines techniques non médicamenteuses sont pratiquées majoritairement par des intervenants extérieurs à l’USP, d’autres techniques par le personnel médical ou paramédical de l’USP, ou sont réalisées de façon mixte.
Discussion
Toutes les USP répondantes proposent l’accès à au-moins une technique non médicamenteuse, de façon multidisciplinaire. La prise en charge des patients est globale car elle prend en compte les symptômes physiques, psychologiques, sociaux et spirituels.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44209 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008863 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Perception par les proches aidants de leurs rôles et fonctions face aux douleurs cancéreuses en situation palliative spécifique ou symptomatique au domicile / Etienne Jarrossay in Médecine palliative, vol. 19, 04 (Août-septembre 2020)
[article]
Titre : Perception par les proches aidants de leurs rôles et fonctions face aux douleurs cancéreuses en situation palliative spécifique ou symptomatique au domicile Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Jarrossay ; Bernard Paternostre Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 207-213 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Aidant ; A:Antalgique ; D:Douleur ; M:Morphine ; S:Soins infirmiers à domicile ; T:TumeurRésumé : Introduction
Les personnes atteintes de cancer et vivant à domicile sont de plus en plus en nombreuses. Les proches aidants sont des acteurs importants auprès de la personne malade. Ils sont confrontés, à ce titre, aux douleurs cancéreuses sévères de leur proche. La douleur est l’un des symptômes les plus fréquents en cancérologie, souvent insuffisamment soulagée. L’objectif de cette étude était de mieux connaître la perception qu’ont les proches aidants de leur rôle à domicile, particulièrement vis-à-vis de la douleur liée au cancer et de ses traitements.
Méthode
Une étude qualitative a été menée au moyen d’entretiens semi-dirigés auprès de proches aidants de patients atteints d’un cancer en phase palliative spécifique ou symptomatique et présentant des douleurs nécessitant l’administration d’opioïdes. Les thèmes explorés ont été la communication, l’anticipation, la coordination, l’accompagnement et l’adaptation.
Résultats
Douze entretiens ont été réalisés. La plupart des proches aidants disent se rendre disponibles pour le confort du patient, la surveillance des symptômes et l’usage des opioïdes. Ces derniers sont sources de nombreux questionnements. En outre, les proches aidants se sentent responsables de tout faire et de s’organiser pour faire face à la douleur. Enfin, ils se considèrent comme les mieux placés pour soutenir au quotidien le patient, tant pour les aspects pratiques que socio-affectifs. Les professionnels de santé, en particulier les infirmiers libéraux, sont des éléments importants sur lesquels ils peuvent s’appuyer.
Discussion
L’enjeu pour les proches aidants est de conforter leur rôle dans le soulagement des douleurs du malade à domicile. Communiquer, coordonner les différents acteurs et participer aux prises de décision sont les moyens d’y parvenir mais ces fonctions sont variables dans le temps. Il convient de trouver l’équilibre dans la charge qui leur incombe. Cela invite les professionnels à être attentifs à leurs besoins en proposant une aide flexible et adaptée à chaque situation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44210
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 207-213[article] Perception par les proches aidants de leurs rôles et fonctions face aux douleurs cancéreuses en situation palliative spécifique ou symptomatique au domicile [texte imprimé] / Etienne Jarrossay ; Bernard Paternostre . - 2020 . - p. 207-213.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 207-213
Catégories : Alpha
A:Aidant ; A:Antalgique ; D:Douleur ; M:Morphine ; S:Soins infirmiers à domicile ; T:TumeurRésumé : Introduction
Les personnes atteintes de cancer et vivant à domicile sont de plus en plus en nombreuses. Les proches aidants sont des acteurs importants auprès de la personne malade. Ils sont confrontés, à ce titre, aux douleurs cancéreuses sévères de leur proche. La douleur est l’un des symptômes les plus fréquents en cancérologie, souvent insuffisamment soulagée. L’objectif de cette étude était de mieux connaître la perception qu’ont les proches aidants de leur rôle à domicile, particulièrement vis-à-vis de la douleur liée au cancer et de ses traitements.
Méthode
Une étude qualitative a été menée au moyen d’entretiens semi-dirigés auprès de proches aidants de patients atteints d’un cancer en phase palliative spécifique ou symptomatique et présentant des douleurs nécessitant l’administration d’opioïdes. Les thèmes explorés ont été la communication, l’anticipation, la coordination, l’accompagnement et l’adaptation.
Résultats
Douze entretiens ont été réalisés. La plupart des proches aidants disent se rendre disponibles pour le confort du patient, la surveillance des symptômes et l’usage des opioïdes. Ces derniers sont sources de nombreux questionnements. En outre, les proches aidants se sentent responsables de tout faire et de s’organiser pour faire face à la douleur. Enfin, ils se considèrent comme les mieux placés pour soutenir au quotidien le patient, tant pour les aspects pratiques que socio-affectifs. Les professionnels de santé, en particulier les infirmiers libéraux, sont des éléments importants sur lesquels ils peuvent s’appuyer.
Discussion
L’enjeu pour les proches aidants est de conforter leur rôle dans le soulagement des douleurs du malade à domicile. Communiquer, coordonner les différents acteurs et participer aux prises de décision sont les moyens d’y parvenir mais ces fonctions sont variables dans le temps. Il convient de trouver l’équilibre dans la charge qui leur incombe. Cela invite les professionnels à être attentifs à leurs besoins en proposant une aide flexible et adaptée à chaque situation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44210 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008863 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Comment les médecins généralistes sont-ils attentifs à la religion de leurs patients en phase palliative symptomatique et terminale de leur maladie ? / Valérie Anne Salez in Médecine palliative, vol. 19, 04 (Août-septembre 2020)
[article]
Titre : Comment les médecins généralistes sont-ils attentifs à la religion de leurs patients en phase palliative symptomatique et terminale de leur maladie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Anne Salez ; Jacques Faucher ; Bernard Paternostre Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 214-222 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; M:Médecine générale ; R:Relation médecin-patient ; R:Religion ; S:Soins interculturelsRésumé : Introduction
Cicely Saunders a introduit la notion de « total pain » dans la médecine palliative. Dans cette approche, l’attention aux besoins spirituels – dont la religion – en fait partie intégrante. Le médecin généraliste (MG) tient un rôle important dans les soins palliatifs jusqu’au décès à domicile. Cette étude s’intéresse à l’abord de la religion par les MG avec leurs patients.
Méthode
Douze entretiens semi-directifs ont été menés auprès de médecins généralistes (MG) exerçant dans les Hautes-Pyrénées. Le guide d’entretien a été construit suite à l’élaboration d’un protocole de validation qui a aussi servi à l’analyse des données. L’émergence de nouveaux indicateurs ont été intégrés dans cette grille.
Résultats
Les besoins spirituels et religieux sont peu cités par les MG parmi les besoins de la personne malade, contrairement aux besoins physiques et psychologiques. L’abord de la religion par les MG est relié aux « non-dits » et à la gêne ressentie. Certains sollicitent une personne ressource. L’inexpérience, la crainte de prosélytisme, le manque de temps et la laïcité sont d’autres facteurs cités. Le fait que la demande vienne du patient et les convictions personnelles du MG influencent l’abord de ce sujet. Les aspects religieux les plus cités sont la vie après la mort, les rites funéraires et les représentants du culte.
Conclusion
Dans cette étude qualitative, il apparaît que les besoins spirituels et religieux sont peu évoqués par les MG bien qu’ils considèrent comme important le respect des convictions des patients, l’empathie et le rôle privilégié qu’ils tiennent. Les causes en sont multiples et sont ancrées dans la relation médecin–malade.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44211
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 214-222[article] Comment les médecins généralistes sont-ils attentifs à la religion de leurs patients en phase palliative symptomatique et terminale de leur maladie ? [texte imprimé] / Valérie Anne Salez ; Jacques Faucher ; Bernard Paternostre . - 2020 . - p. 214-222.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 214-222
Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; M:Médecine générale ; R:Relation médecin-patient ; R:Religion ; S:Soins interculturelsRésumé : Introduction
Cicely Saunders a introduit la notion de « total pain » dans la médecine palliative. Dans cette approche, l’attention aux besoins spirituels – dont la religion – en fait partie intégrante. Le médecin généraliste (MG) tient un rôle important dans les soins palliatifs jusqu’au décès à domicile. Cette étude s’intéresse à l’abord de la religion par les MG avec leurs patients.
Méthode
Douze entretiens semi-directifs ont été menés auprès de médecins généralistes (MG) exerçant dans les Hautes-Pyrénées. Le guide d’entretien a été construit suite à l’élaboration d’un protocole de validation qui a aussi servi à l’analyse des données. L’émergence de nouveaux indicateurs ont été intégrés dans cette grille.
Résultats
Les besoins spirituels et religieux sont peu cités par les MG parmi les besoins de la personne malade, contrairement aux besoins physiques et psychologiques. L’abord de la religion par les MG est relié aux « non-dits » et à la gêne ressentie. Certains sollicitent une personne ressource. L’inexpérience, la crainte de prosélytisme, le manque de temps et la laïcité sont d’autres facteurs cités. Le fait que la demande vienne du patient et les convictions personnelles du MG influencent l’abord de ce sujet. Les aspects religieux les plus cités sont la vie après la mort, les rites funéraires et les représentants du culte.
Conclusion
Dans cette étude qualitative, il apparaît que les besoins spirituels et religieux sont peu évoqués par les MG bien qu’ils considèrent comme important le respect des convictions des patients, l’empathie et le rôle privilégié qu’ils tiennent. Les causes en sont multiples et sont ancrées dans la relation médecin–malade.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44211 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008863 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Aider les internes à mieux accompagner les patients en fin de vie grâce à un atelier d’expression / Catherine Perrot in Médecine palliative, vol. 19, 04 (Août-septembre 2020)
[article]
Titre : Aider les internes à mieux accompagner les patients en fin de vie grâce à un atelier d’expression Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Perrot ; Carole Pelissier ; Georges Arbuz ; Aurélie Buisson ; Régis Gonthier ; Etienne Ojardias ; Thomas Célarier Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 223-228 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Condition de travail ; C:Coping ; E:Etudiant ; F:Fin de vie ; F:Formation ; G:Groupe d'entraide ; P:Psychologue ; R:Risque psychosocial ; S:Soins palliatifsRésumé : Les décès sont potentiellement fréquents à l’hôpital et notamment en gériatrie. Les internes en médecine se déclarent en difficulté pour assurer un accompagnement médical de qualité dans les situations de fin de vie. Afin de les soutenir dans leur formation clinique nous rapportons l’expérience d’ateliers d’expression mensuels, neutres, confidentiels pour leur permettre d’adapter leur pratique et prévenir les risques psychosociaux inhérents à la confrontation avec la mort. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44212
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 223-228[article] Aider les internes à mieux accompagner les patients en fin de vie grâce à un atelier d’expression [texte imprimé] / Catherine Perrot ; Carole Pelissier ; Georges Arbuz ; Aurélie Buisson ; Régis Gonthier ; Etienne Ojardias ; Thomas Célarier . - 2020 . - p. 223-228.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 223-228
Catégories : Alpha
C:Condition de travail ; C:Coping ; E:Etudiant ; F:Fin de vie ; F:Formation ; G:Groupe d'entraide ; P:Psychologue ; R:Risque psychosocial ; S:Soins palliatifsRésumé : Les décès sont potentiellement fréquents à l’hôpital et notamment en gériatrie. Les internes en médecine se déclarent en difficulté pour assurer un accompagnement médical de qualité dans les situations de fin de vie. Afin de les soutenir dans leur formation clinique nous rapportons l’expérience d’ateliers d’expression mensuels, neutres, confidentiels pour leur permettre d’adapter leur pratique et prévenir les risques psychosociaux inhérents à la confrontation avec la mort. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44212 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008863 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Vision des patients, consultant chez le médecin généraliste, sur la médecine palliative / Hortense Thelu in Médecine palliative, vol. 19, 04 (Août-septembre 2020)
[article]
Titre : Vision des patients, consultant chez le médecin généraliste, sur la médecine palliative Type de document : texte imprimé Auteurs : Hortense Thelu ; Marcel-Louis Viallard Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 229-235 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Etude qualitative [type de publication] ; E:Euthanasie ; F:Fin de vie ; M:Médecin généraliste ; M:Médecine palliative ; S:Soins palliatifsRésumé : Introduction
La médecine palliative est un « prendre soin » qui assure une optimisation de la qualité de vie des patients atteints d’une maladie incurable, non exclusivement lors de la phase terminale de leur maladie. L’objectif de recherche est de recueillir et d’analyser le regard sur les soins palliatifs de patients consultant chez le médecin généraliste. L’hypothèse de travail est que les soins palliatifs sont encore, a priori, trop souvent associés à la prise en charge de patients mourants, et leur utilité, à un stade précoce de la maladie en termes de soulagement des symptômes, semble méconnue.
Méthode
Étude qualitative par des entretiens semi-dirigés auprès de patients consultant chez leur médecin généraliste.
Résultats
Un total de 11 entretiens ont été menés. L’analyse thématique retrouvait 5 thèmes : la médecine palliative vue comme les soins palliatifs terminaux ; les soins palliatifs vus, comme un réel accompagnement ; l’évocation des soins palliatifs avait projeté les patients sur leurs propres peurs ; le regard des patients sur la démarche palliative, après les avoir informés ; et l’euthanasie.
Discussion
La médecine palliative est réduite aux soins palliatifs terminaux chez les patients, ce qui les a projetés vers leur propre mort. Nous savons qu’une appréhension des soins et des a priori négatifs ne permettent pas la meilleure alliance thérapeutique. Cette méconnaissance de la médecine palliative a été confronté à une connaissance de l’euthanasie, qui je le rappelle est interdite en France. Cependant, après informations ; les patients ont bien montré au cours de l’entretien leur intérêt pour une démarche palliative précoce dans le cadre d’une maladie incurable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44213
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 229-235[article] Vision des patients, consultant chez le médecin généraliste, sur la médecine palliative [texte imprimé] / Hortense Thelu ; Marcel-Louis Viallard . - 2020 . - p. 229-235.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 04 (Août-septembre 2020) . - p. 229-235
Catégories : Alpha
E:Etude qualitative [type de publication] ; E:Euthanasie ; F:Fin de vie ; M:Médecin généraliste ; M:Médecine palliative ; S:Soins palliatifsRésumé : Introduction
La médecine palliative est un « prendre soin » qui assure une optimisation de la qualité de vie des patients atteints d’une maladie incurable, non exclusivement lors de la phase terminale de leur maladie. L’objectif de recherche est de recueillir et d’analyser le regard sur les soins palliatifs de patients consultant chez le médecin généraliste. L’hypothèse de travail est que les soins palliatifs sont encore, a priori, trop souvent associés à la prise en charge de patients mourants, et leur utilité, à un stade précoce de la maladie en termes de soulagement des symptômes, semble méconnue.
Méthode
Étude qualitative par des entretiens semi-dirigés auprès de patients consultant chez leur médecin généraliste.
Résultats
Un total de 11 entretiens ont été menés. L’analyse thématique retrouvait 5 thèmes : la médecine palliative vue comme les soins palliatifs terminaux ; les soins palliatifs vus, comme un réel accompagnement ; l’évocation des soins palliatifs avait projeté les patients sur leurs propres peurs ; le regard des patients sur la démarche palliative, après les avoir informés ; et l’euthanasie.
Discussion
La médecine palliative est réduite aux soins palliatifs terminaux chez les patients, ce qui les a projetés vers leur propre mort. Nous savons qu’une appréhension des soins et des a priori négatifs ne permettent pas la meilleure alliance thérapeutique. Cette méconnaissance de la médecine palliative a été confronté à une connaissance de l’euthanasie, qui je le rappelle est interdite en France. Cependant, après informations ; les patients ont bien montré au cours de l’entretien leur intérêt pour une démarche palliative précoce dans le cadre d’une maladie incurable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44213 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008863 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible