Dépouillements

Hyperactivité vésicale chez le patient gériatrique hospitalisé : une approche structurée / P.-O. Lang in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 199-205 Titre : Hyperactivité vésicale chez le patient gériatrique hospitalisé : une approche structurée Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-O. Lang ; M. Ishida ; R. Akrour ; B. Schurch Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 199-205 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha H:Hyperactivité vésicale ; P:Personne âgée ; P:Polymédication ; P:Polymorbidité ; T:Trouble urinaire ; V:Vulnérabilité Résumé : La vessie hyperactive (HV) est liée à un trouble de la fonction de stockage de la vessie qui provoque une envie soudaine d'uriner qui peut être difficile à arrêter, et qui peut conduire à la perte involontaire d'urine. Il est habituellement conseillé comme traitement de première ligne de débuter les stratégies comportementales (c.-à-d., adaptation des boissons, mictions programmées, révision des médicaments). Lorsque cette étape ne permet pas de contrôler suffisamment les symptômes, des traitements de deuxième et de troisième ligne sont disponibles. Toutefois, dans la population gériatrique hospitalisée, l'application des recommandations doit être raisonnée et raisonnable. Nous présentons une démarche structurée en 7 étapes qui permet de guider l'évaluation, l'élaboration des objectifs et la prise de décisions pour une prise en charge optimale de l'HV chez les patients âgés hospitalisés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39168 [article] Hyperactivité vésicale chez le patient gériatrique hospitalisé : une approche structurée [texte imprimé] / P.-O. Lang ; M. Ishida ; R. Akrour ; B. Schurch . - 2018 . - p. 199-205. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 199-205 Catégories : Alpha H:Hyperactivité vésicale ; P:Personne âgée ; P:Polymédication ; P:Polymorbidité ; T:Trouble urinaire ; V:Vulnérabilité Résumé : La vessie hyperactive (HV) est liée à un trouble de la fonction de stockage de la vessie qui provoque une envie soudaine d'uriner qui peut être difficile à arrêter, et qui peut conduire à la perte involontaire d'urine. Il est habituellement conseillé comme traitement de première ligne de débuter les stratégies comportementales (c.-à-d., adaptation des boissons, mictions programmées, révision des médicaments). Lorsque cette étape ne permet pas de contrôler suffisamment les symptômes, des traitements de deuxième et de troisième ligne sont disponibles. Toutefois, dans la population gériatrique hospitalisée, l'application des recommandations doit être raisonnée et raisonnable. Nous présentons une démarche structurée en 7 étapes qui permet de guider l'évaluation, l'élaboration des objectifs et la prise de décisions pour une prise en charge optimale de l'HV chez les patients âgés hospitalisés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39168

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Troubles urinaires chez les personnes âgées en institution : une expérience tunisienne / O. Kharrat in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 206-211 Titre : Troubles urinaires chez les personnes âgées en institution : une expérience tunisienne Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Kharrat ; S. Mezri ; L. Mseddi ; M. Hemissi Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 206-211 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Evaluation ; H:Handicap ; P:Personne âgée ; T:Trouble urinaire Résumé : Les objectifs de notre étude étaient de dépister et d'identifier les troubles urinaires chez les personnes âgées en institution, d'évaluer le retentissement fonctionnel de ces troubles, puis d'évaluer leur impact sur la qualité de vie. Il s'agissait d'une étude descriptive transversale menée au centre de protection des personnes âgées de la Manouba qui accueille 120 résidents. Nous avons étudié les caractéristiques de la symptomatologie urinaire, la sévérité des troubles par la mesure du handicap urinaire (MHU), la mesure de l'indépendance fonctionnelle (MIF) et l'évaluation de la qualité de vie par la SF-36. Cinquante-trois participants ont été inclus. Trente-huit résidents ont été exclus. Parmi eux, 4 étaient suivis pour des neuropathies, 23 avaient des troubles importants des fonctions supérieures et 11 étaient déjà suivis pour des troubles urinaires. Vingt-neuf résidents ont refusé de participer à notre étude. L'âge moyen des participants était de 70,76±8,32 ans. Sept participants n'ont pas signalé des symptômes urinaires à l'interrogatoire. Pour les autres, il s'agissait souvent d'une incontinence urinaire mixte (16 cas). Une urgenturie a été trouvée dans 19 cas. La MHU était de 11,47 en moyenne. La MIF était à 88,18/126 en moyenne. Pour la SF-36, nous avons trouvé un score activité physique à 37, un score vie et relations avec les autres à 35 et un score santé perçue à 31. Bien que leur retentissement social et fonctionnel soit important, les personnes âgées ont tendance à ne pas signaler leurs problèmes de troubles urinaires et les considèrent encore comme sujet tabou. Une identification des troubles urinaires dans cette population reste nécessaire et peut permettre d'améliorer en partie la qualité de vie de ces personnes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39169 [article] Troubles urinaires chez les personnes âgées en institution : une expérience tunisienne [texte imprimé] / O. Kharrat ; S. Mezri ; L. Mseddi ; M. Hemissi . - 2018 . - p. 206-211. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 206-211 Catégories : Alpha E:Evaluation ; H:Handicap ; P:Personne âgée ; T:Trouble urinaire Résumé : Les objectifs de notre étude étaient de dépister et d'identifier les troubles urinaires chez les personnes âgées en institution, d'évaluer le retentissement fonctionnel de ces troubles, puis d'évaluer leur impact sur la qualité de vie. Il s'agissait d'une étude descriptive transversale menée au centre de protection des personnes âgées de la Manouba qui accueille 120 résidents. Nous avons étudié les caractéristiques de la symptomatologie urinaire, la sévérité des troubles par la mesure du handicap urinaire (MHU), la mesure de l'indépendance fonctionnelle (MIF) et l'évaluation de la qualité de vie par la SF-36. Cinquante-trois participants ont été inclus. Trente-huit résidents ont été exclus. Parmi eux, 4 étaient suivis pour des neuropathies, 23 avaient des troubles importants des fonctions supérieures et 11 étaient déjà suivis pour des troubles urinaires. Vingt-neuf résidents ont refusé de participer à notre étude. L'âge moyen des participants était de 70,76±8,32 ans. Sept participants n'ont pas signalé des symptômes urinaires à l'interrogatoire. Pour les autres, il s'agissait souvent d'une incontinence urinaire mixte (16 cas). Une urgenturie a été trouvée dans 19 cas. La MHU était de 11,47 en moyenne. La MIF était à 88,18/126 en moyenne. Pour la SF-36, nous avons trouvé un score activité physique à 37, un score vie et relations avec les autres à 35 et un score santé perçue à 31. Bien que leur retentissement social et fonctionnel soit important, les personnes âgées ont tendance à ne pas signaler leurs problèmes de troubles urinaires et les considèrent encore comme sujet tabou. Une identification des troubles urinaires dans cette population reste nécessaire et peut permettre d'améliorer en partie la qualité de vie de ces personnes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39169

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Consultation-liaison de psychiatrie de la personne âgée en institution : une expérience suisse / S. Zumbach in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 212-217 Titre : Consultation-liaison de psychiatrie de la personne âgée en institution : une expérience suisse Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Zumbach ; V. Salamin ; A.-I. Gasser Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 212-217 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Economie de la santé ; E:Enjeu économique ; I:Infirmière de liaison ; I:Institution ; P:Personne âgée ; P:Psychogériatrie ; S:Satisfaction Résumé : Avec l'évolution démographique, la prévalence des troubles psychiatriques est élevée dans les institutions. Ceci concerne tant les troubles psychocomportementaux dans les démences que les problèmes psychiatriques hors du champ de la démence. De plus, le personnel soignant est souvent démuni pour y faire face, ce qui peut dès lors engendrer une qualité de vie diminuée chez les résidents, voire des prises en charge peu adéquates. Ainsi, une activité de consultation-liaison auprès de ces structures s'avère, à priori, un outil précieux et essentiel. Cet article montre l'étendue de ces prestations, le degré de satisfaction des soignants et des familles, ainsi que l'impact financier d'un tel service. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39170 [article] Consultation-liaison de psychiatrie de la personne âgée en institution : une expérience suisse [texte imprimé] / S. Zumbach ; V. Salamin ; A.-I. Gasser . - 2018 . - p. 212-217. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 212-217 Catégories : Alpha E:Economie de la santé ; E:Enjeu économique ; I:Infirmière de liaison ; I:Institution ; P:Personne âgée ; P:Psychogériatrie ; S:Satisfaction Résumé : Avec l'évolution démographique, la prévalence des troubles psychiatriques est élevée dans les institutions. Ceci concerne tant les troubles psychocomportementaux dans les démences que les problèmes psychiatriques hors du champ de la démence. De plus, le personnel soignant est souvent démuni pour y faire face, ce qui peut dès lors engendrer une qualité de vie diminuée chez les résidents, voire des prises en charge peu adéquates. Ainsi, une activité de consultation-liaison auprès de ces structures s'avère, à priori, un outil précieux et essentiel. Cet article montre l'étendue de ces prestations, le degré de satisfaction des soignants et des familles, ainsi que l'impact financier d'un tel service. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39170

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Prise en soins de la douleur en EHPAD / K. Belfihadj in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 218-225 Titre : Prise en soins de la douleur en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : K. Belfihadj Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 218-225 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Antalgique ; D:Douleur ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée Résumé : La prévalence de la douleur augmente avec l'âge. Pour ces patients souvent fragiles, polypathologiques et polymédiqués, l'évaluation du bénéfice/risque des traitements paraît primordiale. L'Organisation Mondiale de la Santé a établi une échelle d'utilisation des analgésiques. Le principe dominant étant que l'inefficacité d'un antalgique commande le passage au palier supérieur. Le but de notre travail était d'étudier la place accordée aux antalgiques de palier II par les médecins exerçant en établissement d'hébergement pour personnes agées dépendantes (EHPAD) dans la stratégie thérapeutique d'une douleur nociceptive. Nous avons réalisé une étude observationnelle, déclarative, descriptive, qualitative et quantitative, à partir de questionnaires adressés par courriel à 77 médecins exerçant en EHPAD dans le département du Maine et Loire. Dix-huit pour cent des médecins (n=13) ont répondu. Les antalgiques de palier II étaient peu utilisés dans les EHPAD. Ils trouvaient leur place en troisième position bien après le paracétamol et les antalgiques de palier III. Le recours aux antalgiques de palier III à doses très faibles avec augmentation progressive était l'attitude la plus courante. Le motif principal de réticence quant à l'utilisation des antalgiques de palier II était leur mauvaise tolérance. L'antalgique de palier II privilégié était l'association paracétamol/poudre d'opium/caféine (Lamaline) pour 60 % des médecins qui les utilisaient, soit 46 % de l'ensemble des médecins ayant participé à l'étude. Une étude plus large pourrait permettre de se prononcer définitivement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39171 [article] Prise en soins de la douleur en EHPAD [texte imprimé] / K. Belfihadj . - 2018 . - p. 218-225. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 218-225 Catégories : Alpha A:Antalgique ; D:Douleur ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée Résumé : La prévalence de la douleur augmente avec l'âge. Pour ces patients souvent fragiles, polypathologiques et polymédiqués, l'évaluation du bénéfice/risque des traitements paraît primordiale. L'Organisation Mondiale de la Santé a établi une échelle d'utilisation des analgésiques. Le principe dominant étant que l'inefficacité d'un antalgique commande le passage au palier supérieur. Le but de notre travail était d'étudier la place accordée aux antalgiques de palier II par les médecins exerçant en établissement d'hébergement pour personnes agées dépendantes (EHPAD) dans la stratégie thérapeutique d'une douleur nociceptive. Nous avons réalisé une étude observationnelle, déclarative, descriptive, qualitative et quantitative, à partir de questionnaires adressés par courriel à 77 médecins exerçant en EHPAD dans le département du Maine et Loire. Dix-huit pour cent des médecins (n=13) ont répondu. Les antalgiques de palier II étaient peu utilisés dans les EHPAD. Ils trouvaient leur place en troisième position bien après le paracétamol et les antalgiques de palier III. Le recours aux antalgiques de palier III à doses très faibles avec augmentation progressive était l'attitude la plus courante. Le motif principal de réticence quant à l'utilisation des antalgiques de palier II était leur mauvaise tolérance. L'antalgique de palier II privilégié était l'association paracétamol/poudre d'opium/caféine (Lamaline) pour 60 % des médecins qui les utilisaient, soit 46 % de l'ensemble des médecins ayant participé à l'étude. Une étude plus large pourrait permettre de se prononcer définitivement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39171

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Le syndrome confusionnel chez le patient âgé ayant des troubles neurocognitifs / Thomas Tannou in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 226-234 Titre : Le syndrome confusionnel chez le patient âgé ayant des troubles neurocognitifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Tannou ; S. Koeberle ; C. Masse-Sibille ; R. Aubry ; Pierre Vandel Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 226-234 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha N:Neuroleptique ; P:Personne âgée ; S:Syndrome confusionnel ; T:Traitement médicamenteux ; T:Trouble cognitif Résumé : Le syndrome confusionnel est fréquent dans les populations gériatriques, surtout lorsqu'il existe des troubles neurocognitifs sous-jacents et que le patient présente une décompensation organique aiguë. La présentation clinique peut être variée, allant de l'hypovigilance à l'agitation psychomotrice. Il existe des outils comme la Confusion Assessment Method facilitant le diagnostic. Le bilan étiologique est central dans la prise en charge. Le syndrome confusionnel étant multifactoriel et étant facilité par les éléments constitutifs du syndrome de fragilité, le repérage des facteurs de risque est central et permet une approche préventive. La recherche d'éléments déclencheurs devra être systématisée, avec une attention particulière sur le risque iatrogénique. La prise en charge symptomatique repose prioritairement sur l'éviction ou le traitement des facteurs déclenchants. Cependant, le délai nécessaire à la réalisation du bilan étiologique et à l'initiation des thérapeutiques peut être long, et peut nécessiter des actes invasifs, potentiellement mis en échecs par l'agitation psychomotrice associée au syndrome confusionnel. Dans ces situations, il est essentiel de mettre en œuvre une approche symptomatique non médicamenteuse. Néanmoins, en cas de mise en danger du patient, le recours aux thérapeutiques médicamenteuses symptomatiques peut parfois être nécessaire. Les recommandations de bonnes pratiques préconisent, au cas par cas, l'usage de benzodiazépines à demi-vie courte en cas de troubles anxieux et de neuroleptiques en cas de troubles productifs, mais sans proposer de stratégie thérapeutique particulière. Notre travail, basé sur une revue de la littérature, propose une stratégie thérapeutique selon la symptomatologie du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39172 [article] Le syndrome confusionnel chez le patient âgé ayant des troubles neurocognitifs [texte imprimé] / Thomas Tannou ; S. Koeberle ; C. Masse-Sibille ; R. Aubry ; Pierre Vandel . - 2018 . - p. 226-234. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 226-234 Catégories : Alpha N:Neuroleptique ; P:Personne âgée ; S:Syndrome confusionnel ; T:Traitement médicamenteux ; T:Trouble cognitif Résumé : Le syndrome confusionnel est fréquent dans les populations gériatriques, surtout lorsqu'il existe des troubles neurocognitifs sous-jacents et que le patient présente une décompensation organique aiguë. La présentation clinique peut être variée, allant de l'hypovigilance à l'agitation psychomotrice. Il existe des outils comme la Confusion Assessment Method facilitant le diagnostic. Le bilan étiologique est central dans la prise en charge. Le syndrome confusionnel étant multifactoriel et étant facilité par les éléments constitutifs du syndrome de fragilité, le repérage des facteurs de risque est central et permet une approche préventive. La recherche d'éléments déclencheurs devra être systématisée, avec une attention particulière sur le risque iatrogénique. La prise en charge symptomatique repose prioritairement sur l'éviction ou le traitement des facteurs déclenchants. Cependant, le délai nécessaire à la réalisation du bilan étiologique et à l'initiation des thérapeutiques peut être long, et peut nécessiter des actes invasifs, potentiellement mis en échecs par l'agitation psychomotrice associée au syndrome confusionnel. Dans ces situations, il est essentiel de mettre en œuvre une approche symptomatique non médicamenteuse. Néanmoins, en cas de mise en danger du patient, le recours aux thérapeutiques médicamenteuses symptomatiques peut parfois être nécessaire. Les recommandations de bonnes pratiques préconisent, au cas par cas, l'usage de benzodiazépines à demi-vie courte en cas de troubles anxieux et de neuroleptiques en cas de troubles productifs, mais sans proposer de stratégie thérapeutique particulière. Notre travail, basé sur une revue de la littérature, propose une stratégie thérapeutique selon la symptomatologie du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39172

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Faisabilité et intérêt de l'entraînement en exergames pour des patients Alzheimer en SLD [Soins de longue durée] / C. Brami in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 235-244 Titre : Faisabilité et intérêt de l'entraînement en exergames pour des patients Alzheimer en SLD [Soins de longue durée] Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Brami ; C. Trivalle ; P. Maillot Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 235-244 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Activité physique ; A:Alzheimer (maladie) ; D:Démence ; J:Jeu vidéo ; M:Maladie neurodégénérative ; P:Personne âgée ; U:Unité de soins de longue durée Résumé : La pathologie démentielle ne cesse de croître avec pour préoccupation l'amélioration de la prise en charge, notamment permise par le développement d'interventions non médicamenteuses. Parmi elles, les exergames combinant des stimulations cognitives et physiques ont fait leurs preuves auprès de certaines populations âgées. L'objectif de cette étude était d'évaluer la faisabilité et les bénéfices d'une telle stimulation chez des sujets âgés souffrant de la maladie d'Alzheimer en unité de soins longues durées (SLD). Un protocole expérimental de 24 séances de danse virtuelle (Dance Central sur Xbox One) réparties sur trois mois, a été dispensé à six sujets (versus sept contrôles). L'analyse des variables utilisées révélant une réelle adhérence (95 %) et des améliorations physiques évaluées par le Timed-Up-and-Go (TUG) et le Short Physical Performance Battery (SPPB) atteste de la pertinence de cette prise en charge en unité de SLD. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39173 [article] Faisabilité et intérêt de l'entraînement en exergames pour des patients Alzheimer en SLD [Soins de longue durée] [texte imprimé] / C. Brami ; C. Trivalle ; P. Maillot . - 2018 . - p. 235-244. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 235-244 Catégories : Alpha A:Activité physique ; A:Alzheimer (maladie) ; D:Démence ; J:Jeu vidéo ; M:Maladie neurodégénérative ; P:Personne âgée ; U:Unité de soins de longue durée Résumé : La pathologie démentielle ne cesse de croître avec pour préoccupation l'amélioration de la prise en charge, notamment permise par le développement d'interventions non médicamenteuses. Parmi elles, les exergames combinant des stimulations cognitives et physiques ont fait leurs preuves auprès de certaines populations âgées. L'objectif de cette étude était d'évaluer la faisabilité et les bénéfices d'une telle stimulation chez des sujets âgés souffrant de la maladie d'Alzheimer en unité de soins longues durées (SLD). Un protocole expérimental de 24 séances de danse virtuelle (Dance Central sur Xbox One) réparties sur trois mois, a été dispensé à six sujets (versus sept contrôles). L'analyse des variables utilisées révélant une réelle adhérence (95 %) et des améliorations physiques évaluées par le Timed-Up-and-Go (TUG) et le Short Physical Performance Battery (SPPB) atteste de la pertinence de cette prise en charge en unité de SLD. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39173

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Troubles du sommeil dans la maladie de Parkinson, et intérêt de la polysomnographie / Y. Ouahmane in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 245-255 Titre : Troubles du sommeil dans la maladie de Parkinson, et intérêt de la polysomnographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Ouahmane ; J. Mounach ; A. Satté ; A. Zerhouni ; A. Bourazza ; H. Ouhabi Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 245-255 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha I:Insomnie ; P:Parkinson (maladie) ; T:Trouble du sommeil Résumé : Notre travail avait comme objectif la description des troubles du sommeil et des principaux paramètres observés en polysomnographie (PSG) chez des patients atteints de la maladie de Parkinson. Il s'agit d'une étude prospective de dix patients âgés de plus de 60 ans : 7 hommes et 3 femmes âgés de 66±4,2 ans, qui présentaient une maladie de Parkinson de sévérité modérée, évoluant depuis un an à neuf ans, et qui se plaignaient de troubles du sommeil. Une évaluation préalable montrait l'absence de troubles cognitifs ou psychiatriques significatifs. L'étude comportait l'évaluation clinique des troubles du sommeil, de la somnolence diurne excessive et un enregistrement en vidéo-PSG d'une nuit. Cliniquement, l'insomnie était présente chez 80 % des patients. Le syndrome d'apnée obstructive du sommeil a été suspecté dans 70 % des cas. Le syndrome des jambes sans repos était présent dans 30 % des cas. Les troubles de comportement en sommeil paradoxal étaient évoqués chez 20 % des patients. Au cours de la journée, 60 % des patients se plaignaient d'une somnolence diurne excessive. La PSG était un moyen important pour affiner le diagnostic et évaluer la sévérité des troubles : les proportions des stades du sommeil étaient globalement respectées, le sommeil était fragmenté avec diminution du temps de sommeil total et de l'efficacité du sommeil. Le Syndrome d'apnée était fréquent à 70 % des cas, les troubles de comportement en sommeil paradoxal étaient présents dans 10 % des cas, et aucun patient n'avait un index de mouvements périodiques des jambes significatif. En conclusion, notre étude, la première au Maroc, a montré que la maladie de Parkinson ne comporte pas uniquement des troubles moteurs, mais que c'est aussi une maladie du sommeil. Une étude prospective avec un échantillon plus large comparé à un groupe témoin s'avère nécessaire pour confirmer ou infirmer ces résultats. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39174 [article] Troubles du sommeil dans la maladie de Parkinson, et intérêt de la polysomnographie [texte imprimé] / Y. Ouahmane ; J. Mounach ; A. Satté ; A. Zerhouni ; A. Bourazza ; H. Ouhabi . - 2018 . - p. 245-255. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 245-255 Catégories : Alpha I:Insomnie ; P:Parkinson (maladie) ; T:Trouble du sommeil Résumé : Notre travail avait comme objectif la description des troubles du sommeil et des principaux paramètres observés en polysomnographie (PSG) chez des patients atteints de la maladie de Parkinson. Il s'agit d'une étude prospective de dix patients âgés de plus de 60 ans : 7 hommes et 3 femmes âgés de 66±4,2 ans, qui présentaient une maladie de Parkinson de sévérité modérée, évoluant depuis un an à neuf ans, et qui se plaignaient de troubles du sommeil. Une évaluation préalable montrait l'absence de troubles cognitifs ou psychiatriques significatifs. L'étude comportait l'évaluation clinique des troubles du sommeil, de la somnolence diurne excessive et un enregistrement en vidéo-PSG d'une nuit. Cliniquement, l'insomnie était présente chez 80 % des patients. Le syndrome d'apnée obstructive du sommeil a été suspecté dans 70 % des cas. Le syndrome des jambes sans repos était présent dans 30 % des cas. Les troubles de comportement en sommeil paradoxal étaient évoqués chez 20 % des patients. Au cours de la journée, 60 % des patients se plaignaient d'une somnolence diurne excessive. La PSG était un moyen important pour affiner le diagnostic et évaluer la sévérité des troubles : les proportions des stades du sommeil étaient globalement respectées, le sommeil était fragmenté avec diminution du temps de sommeil total et de l'efficacité du sommeil. Le Syndrome d'apnée était fréquent à 70 % des cas, les troubles de comportement en sommeil paradoxal étaient présents dans 10 % des cas, et aucun patient n'avait un index de mouvements périodiques des jambes significatif. En conclusion, notre étude, la première au Maroc, a montré que la maladie de Parkinson ne comporte pas uniquement des troubles moteurs, mais que c'est aussi une maladie du sommeil. Une étude prospective avec un échantillon plus large comparé à un groupe témoin s'avère nécessaire pour confirmer ou infirmer ces résultats. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39174

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Les effets de l'approche multisensorielle en ambulatoire dans la prise en soin d'une résidente institutionnalisée en EHPAD / J. Ansaldo in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 106 (août 2018)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 256-263 Titre : Les effets de l'approche multisensorielle en ambulatoire dans la prise en soin d'une résidente institutionnalisée en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Ansaldo ; J. Palazzolo ; X. Corveleyn Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 256-263 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha D:Dépression ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; P:Psychothérapie ; S:Snoezelen ; S:Stimulation sensorielle Résumé : L'approche multisensorielle, type Snoezelen, est en essor constant pour l'accompagnement en soin des personnes âgées institutionnalisées. L'objectif de cette étude était d'évaluer les effets d'une telle approche lorsqu'elle est utilisée en ambulatoire, directement dans la chambre du résident. Un protocole de cas unique de type ABAB avec une résidente (Mme G.) a mis en avant un effet positif de cette approche multisensorielle en ambulatoire avec une diminution de la dépression, de l'anxiété et de la fatigue et une augmentation de la vigueur et des relations interpersonnelles lors des phases d'intervention (phases B) comparées aux phases de ligne de base (phases A). Ces résultats sont discutés en mettant en avant les bienfaits de cette approche et de l'aménagement d'un environnement multisensoriel adapté au sein des institutions. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39175 [article] Les effets de l'approche multisensorielle en ambulatoire dans la prise en soin d'une résidente institutionnalisée en EHPAD [texte imprimé] / J. Ansaldo ; J. Palazzolo ; X. Corveleyn . - 2018 . - p. 256-263. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 106 (août 2018) . - p. 256-263 Catégories : Alpha D:Dépression ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; P:Psychothérapie ; S:Snoezelen ; S:Stimulation sensorielle Résumé : L'approche multisensorielle, type Snoezelen, est en essor constant pour l'accompagnement en soin des personnes âgées institutionnalisées. L'objectif de cette étude était d'évaluer les effets d'une telle approche lorsqu'elle est utilisée en ambulatoire, directement dans la chambre du résident. Un protocole de cas unique de type ABAB avec une résidente (Mme G.) a mis en avant un effet positif de cette approche multisensorielle en ambulatoire avec une diminution de la dépression, de l'anxiété et de la fatigue et une augmentation de la vigueur et des relations interpersonnelles lors des phases d'intervention (phases B) comparées aux phases de ligne de base (phases A). Ces résultats sont discutés en mettant en avant les bienfaits de cette approche et de l'aménagement d'un environnement multisensoriel adapté au sein des institutions. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39175

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