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Infections à Clostridium difficile Mention de date : Novembre 2017
Paru le : 01/11/2017
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Exemplaires (1)
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T007578 | HYG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
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[article]
Titre : |
Prévention et contrôle des infections à Clostridium difficile |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Frédéric Barbut ; Cécile Gateau ; Jeanne Couturier |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 269-277 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha B:Bionettoyage ; C:Clostridium difficile ; C:Contrôle ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infection ; I:Infirmière hygiéniste ; P:Prévention
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Résumé : |
Clostridium difficile est la principale étiologie des diarrhées associées aux soins en Europe et aux États-Unis. Les infections à C. difficile (ICD) sont associées à une morbidité et à une mortalité importantes, entraînant des coûts sociétaux et financiers. Une part des ICD peut être prévenue par le bon usage des antibiotiques (principal facteur de risque). La diminution de consommation de certaines classes d’antibiotiques à risque (fluoroquinolones, céphalosporines) a ainsi été associée à une diminution de l’incidence des ICD. Pour limiter la transmission croisée, soit à partir de l’environnement soit par les mains des soignants, les patients infectés doivent être placés en chambre individuelle avec des toilettes privatives. Les précautions complémentaires contact reposent sur trois mesures essentielles : le renforcement de l’hygiène des mains, le port de gants systématique en entrant dans la chambre du patient infecté et un bionettoyage quotidien avec des produits adaptés. Cette revue détaille les principales recommandations pour le contrôle des ICD publiées par les sociétés savantes. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36937 |
in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 269-277
[article] Prévention et contrôle des infections à Clostridium difficile [texte imprimé] / Frédéric Barbut ; Cécile Gateau ; Jeanne Couturier . - 2017 . - p. 269-277. Langues : Français ( fre) in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 269-277
Catégories : |
Alpha B:Bionettoyage ; C:Clostridium difficile ; C:Contrôle ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infection ; I:Infirmière hygiéniste ; P:Prévention
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Résumé : |
Clostridium difficile est la principale étiologie des diarrhées associées aux soins en Europe et aux États-Unis. Les infections à C. difficile (ICD) sont associées à une morbidité et à une mortalité importantes, entraînant des coûts sociétaux et financiers. Une part des ICD peut être prévenue par le bon usage des antibiotiques (principal facteur de risque). La diminution de consommation de certaines classes d’antibiotiques à risque (fluoroquinolones, céphalosporines) a ainsi été associée à une diminution de l’incidence des ICD. Pour limiter la transmission croisée, soit à partir de l’environnement soit par les mains des soignants, les patients infectés doivent être placés en chambre individuelle avec des toilettes privatives. Les précautions complémentaires contact reposent sur trois mesures essentielles : le renforcement de l’hygiène des mains, le port de gants systématique en entrant dans la chambre du patient infecté et un bionettoyage quotidien avec des produits adaptés. Cette revue détaille les principales recommandations pour le contrôle des ICD publiées par les sociétés savantes. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36937 |
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Exemplaires (1)
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T007578 | HYG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Évaluation de la maîtrise du risque infectieux lors du nettoyage et de la désinfection d'endoscopes souples non autoclavables : Résultats de l'audit national 2015 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Loïc Simon ; Olivia Ali-Brandmeyer ; Nathalie JOUZEAU ; groupe d'évaluation des pratiques en hygiène hospitalière Groupe de travail "endoscopie" |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 279-291 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha B:Bionettoyage ; D:Désinfection ; E:Endoscope ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infirmière hygiéniste ; N:Nettoyage ; R:Risque infectieux
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Résumé : |
Le premier audit national sur l’évaluation des procédures de nettoyage et de désinfection en endoscopie s’est déroulé en 2015 dans les établissements de santé ayant une activité d’endoscopie. L’objectif principal était d’évaluer la maîtrise du risque infectieux d’origine exogène et de mesurer les écarts aux référentiels. Cet audit était accompagné d’une instruction ministérielle. Il comprenait quatre niveaux d’évaluation : « établissement » avec son organisation de la gestion du risque infectieux, « site de traitement » avec les modalités de prise en charge des endoscopes, « personnel » avec la nature de l’activité et de la formation du personnel et « observation » des différentes étapes de nettoyage et de désinfection des endoscopes. Cet audit a été réalisé par 699 établissements de santé, correspondant à 1 275 sites de traitement avec 8 279 fiches complétées par les personnels et 13 142 observations réalisées par des auditeurs externes. Cette forte participation a permis de mettre en évidence qu’il existe une gestion organisée du risque infectieux (démarche qualité, signalements internes d’évènements indésirables…), un inventaire mis à jour du parc d’endoscopes, ainsi qu’un plan de maintenance, une organisation des contrôles microbiologiques, et des pratiques satisfaisantes pour les étapes de nettoyage et de désinfection des endoscopes. La centralisation du traitement des endoscopes, le traitement en dehors des heures ouvrables, la connaissance de l’architecture complexe des endoscopes nécessitent encore des actions d’amélioration. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36938 |
in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 279-291
[article] Évaluation de la maîtrise du risque infectieux lors du nettoyage et de la désinfection d'endoscopes souples non autoclavables : Résultats de l'audit national 2015 [texte imprimé] / Loïc Simon ; Olivia Ali-Brandmeyer ; Nathalie JOUZEAU ; groupe d'évaluation des pratiques en hygiène hospitalière Groupe de travail "endoscopie" . - 2017 . - p. 279-291. Langues : Français ( fre) in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 279-291
Catégories : |
Alpha B:Bionettoyage ; D:Désinfection ; E:Endoscope ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infirmière hygiéniste ; N:Nettoyage ; R:Risque infectieux
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Résumé : |
Le premier audit national sur l’évaluation des procédures de nettoyage et de désinfection en endoscopie s’est déroulé en 2015 dans les établissements de santé ayant une activité d’endoscopie. L’objectif principal était d’évaluer la maîtrise du risque infectieux d’origine exogène et de mesurer les écarts aux référentiels. Cet audit était accompagné d’une instruction ministérielle. Il comprenait quatre niveaux d’évaluation : « établissement » avec son organisation de la gestion du risque infectieux, « site de traitement » avec les modalités de prise en charge des endoscopes, « personnel » avec la nature de l’activité et de la formation du personnel et « observation » des différentes étapes de nettoyage et de désinfection des endoscopes. Cet audit a été réalisé par 699 établissements de santé, correspondant à 1 275 sites de traitement avec 8 279 fiches complétées par les personnels et 13 142 observations réalisées par des auditeurs externes. Cette forte participation a permis de mettre en évidence qu’il existe une gestion organisée du risque infectieux (démarche qualité, signalements internes d’évènements indésirables…), un inventaire mis à jour du parc d’endoscopes, ainsi qu’un plan de maintenance, une organisation des contrôles microbiologiques, et des pratiques satisfaisantes pour les étapes de nettoyage et de désinfection des endoscopes. La centralisation du traitement des endoscopes, le traitement en dehors des heures ouvrables, la connaissance de l’architecture complexe des endoscopes nécessitent encore des actions d’amélioration. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36938 |
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Exemplaires (1)
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T007578 | HYG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Infection après biopsie de prostate : incidence et facteurs de risque |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Madiagne Gueye ; Jean Etienne Terrier ; Philippe Paparel ; Alain Ruffion |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 293-298 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha A:Antibioprophylaxie ; B:Biopsie ; F:Facteur de risque ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infection ; I:Infirmière hygiéniste ; P:Prostate
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Résumé : |
L’infection est une complication de la biopsie transrectale de la prostate guidée par échographie, malgré l’utilisation de l’antibioprophylaxie. Des publications récentes ont rapporté des cas groupés d’infections, ce qui a conduit le service d’urologie du centre hospitalier Lyon-Sud à vérifier le taux de ces infections, les facteurs de risque et les germes en cause. Méthode. Une étude de cohorte rétrospective a été menée, à partir des dossiers informatiques des patients qui ont bénéficié d’une biopsie de prostate entre le 1er janvier et le 31 décembre 2016. L’infection a été définie comme l’apparition de symptômes infectieux dans les 30 jours après la biopsie de la prostate, ayant conduit à un examen cytobactériologique des urines (ECBU) significatif. Tous les facteurs associés au risque infectieux dans la littérature ont été recherchés et analysés (analyse univariée et multivariée de type régression logistique). Résultats. Parmi les 197 patients inclus, quatre ont développé une infection (2 %). Candida albicans était retrouvé chez deux patients et Enterococcus fæcium chez un patient. Les facteurs de risque statistiquement significatifs dans l’analyse multivariée étaient une hospitalisation antérieure dans les six mois précédant la biopsie, et la présence d’un sondage vésical. Conclusion. Le taux d’infections mesuré était semblable à celui retrouvé dans la littérature, incitant à considérer que les conditions des biopsies permettaient de prévenir le risque infectieux. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36939 |
in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 293-298
[article] Infection après biopsie de prostate : incidence et facteurs de risque [texte imprimé] / Madiagne Gueye ; Jean Etienne Terrier ; Philippe Paparel ; Alain Ruffion . - 2017 . - p. 293-298. Langues : Français ( fre) in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 293-298
Catégories : |
Alpha A:Antibioprophylaxie ; B:Biopsie ; F:Facteur de risque ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infection ; I:Infirmière hygiéniste ; P:Prostate
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Résumé : |
L’infection est une complication de la biopsie transrectale de la prostate guidée par échographie, malgré l’utilisation de l’antibioprophylaxie. Des publications récentes ont rapporté des cas groupés d’infections, ce qui a conduit le service d’urologie du centre hospitalier Lyon-Sud à vérifier le taux de ces infections, les facteurs de risque et les germes en cause. Méthode. Une étude de cohorte rétrospective a été menée, à partir des dossiers informatiques des patients qui ont bénéficié d’une biopsie de prostate entre le 1er janvier et le 31 décembre 2016. L’infection a été définie comme l’apparition de symptômes infectieux dans les 30 jours après la biopsie de la prostate, ayant conduit à un examen cytobactériologique des urines (ECBU) significatif. Tous les facteurs associés au risque infectieux dans la littérature ont été recherchés et analysés (analyse univariée et multivariée de type régression logistique). Résultats. Parmi les 197 patients inclus, quatre ont développé une infection (2 %). Candida albicans était retrouvé chez deux patients et Enterococcus fæcium chez un patient. Les facteurs de risque statistiquement significatifs dans l’analyse multivariée étaient une hospitalisation antérieure dans les six mois précédant la biopsie, et la présence d’un sondage vésical. Conclusion. Le taux d’infections mesuré était semblable à celui retrouvé dans la littérature, incitant à considérer que les conditions des biopsies permettaient de prévenir le risque infectieux. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36939 |
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Exemplaires (1)
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T007578 | HYG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Accidents d'exposition au sang : état des lieux des connaissances des étudiants sages-femmes en dernière année de formation en France en 2016-2017 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marine Blanc ; Loïc Simon ; Olivia Ali-Brandmeyer |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 299-305 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha A:Accident d'exposition au sang ; C:Contamination ; E:Etude scientifique ; E:Etudiant ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infirmière hygiéniste ; S:Sage-femme ; S:Sang
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Résumé : |
L’accident d’exposition au sang (AES) est un accident fréquent chez les professionnels de santé qui peut avoir des conséquences potentiellement graves. La littérature révèle que les étudiants hospitaliers ont une méconnaissance du sujet. De plus, l’obstétrique est un milieu exposant particulièrement les étudiants sages-femmes aux AES. L’objectif de cette étude était d’évaluer les connaissances sur les AES des étudiants sages-femmes en dernière année de formation. Méthode. Une étude observationnelle descriptive multicentrique transversale a été réalisée auprès des étudiants sages-femmes en dernière année de formation en 2016-2017 dans les 35 écoles françaises. Un questionnaire en ligne leur a été adressé par e-mail. Résultats. Au total 454 étudiants ont répondu à ce questionnaire. Parmi eux, 29,3 % (n = 133) avaient déjà été victimes d’un ou plusieurs AES durant leurs études. 12,1 % (n = 55) des répondants savaient correctement définir un AES. 90,7 % (n = 412) des étudiants avaient reçu une information sur les AES durant leurs études. De plus, l’étude révèle une sous-déclaration importante des AES soit 46,6 % (n = 83). Conclusion. L’étude montre que les étudiants sages-femmes ont des connaissances sur les AES, mais qu’elles ne sont pas optimales ni suffisamment mises à profit en matière de moyens de prévention et de procédure de prise en charge. De plus, la question de l’enseignement dispensé sur les AES est soulevée ainsi que la nécessité de réactualiser les connaissances au cours des études. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36940 |
in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 299-305
[article] Accidents d'exposition au sang : état des lieux des connaissances des étudiants sages-femmes en dernière année de formation en France en 2016-2017 [texte imprimé] / Marine Blanc ; Loïc Simon ; Olivia Ali-Brandmeyer . - 2017 . - p. 299-305. Langues : Français ( fre) in Hygiènes > Vol. XXV, 5 (Novembre 2017) . - p. 299-305
Catégories : |
Alpha A:Accident d'exposition au sang ; C:Contamination ; E:Etude scientifique ; E:Etudiant ; H:Hygiène hospitalière ; I:Infirmière hygiéniste ; S:Sage-femme ; S:Sang
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Résumé : |
L’accident d’exposition au sang (AES) est un accident fréquent chez les professionnels de santé qui peut avoir des conséquences potentiellement graves. La littérature révèle que les étudiants hospitaliers ont une méconnaissance du sujet. De plus, l’obstétrique est un milieu exposant particulièrement les étudiants sages-femmes aux AES. L’objectif de cette étude était d’évaluer les connaissances sur les AES des étudiants sages-femmes en dernière année de formation. Méthode. Une étude observationnelle descriptive multicentrique transversale a été réalisée auprès des étudiants sages-femmes en dernière année de formation en 2016-2017 dans les 35 écoles françaises. Un questionnaire en ligne leur a été adressé par e-mail. Résultats. Au total 454 étudiants ont répondu à ce questionnaire. Parmi eux, 29,3 % (n = 133) avaient déjà été victimes d’un ou plusieurs AES durant leurs études. 12,1 % (n = 55) des répondants savaient correctement définir un AES. 90,7 % (n = 412) des étudiants avaient reçu une information sur les AES durant leurs études. De plus, l’étude révèle une sous-déclaration importante des AES soit 46,6 % (n = 83). Conclusion. L’étude montre que les étudiants sages-femmes ont des connaissances sur les AES, mais qu’elles ne sont pas optimales ni suffisamment mises à profit en matière de moyens de prévention et de procédure de prise en charge. De plus, la question de l’enseignement dispensé sur les AES est soulevée ainsi que la nécessité de réactualiser les connaissances au cours des études. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36940 |
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Exemplaires (1)
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T007578 | HYG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Exemplaires (1)
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T007578 | HYG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |