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NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) . 102AlzheimerMention de date : Décembre 2017 Paru le : 01/12/2017 |
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102 - Décembre 2017 - Alzheimer [texte imprimé] . - 2017. Langues : Français (fre)
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T007499 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierMécanisme, facteurs de risque et stratégies thérapeutiques dans la maladie d'Alzheimer / M. Maitre in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 102 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Mécanisme, facteurs de risque et stratégies thérapeutiques dans la maladie d'Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Maitre ; C. Klein ; A.G. Mensah-Nyagan Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 352-364 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Etiologie ; F:Facteur de risque ; T:ThérapeutiqueRésumé : La maladie d’Alzheimer comprend une forme précoce (entre 30–55 ans) et une forme tardive (ou sporadique) qui apparaît le plus souvent entre 80–90 ans et qui est de loin la plus fréquente. Cette dernière (prévalence de 10 à 30 % après 65 ans) serait la conséquence de l’accumulation intracérébrale de peptides β-amyloïdes (Aβ) toxiques pour les neurones. Ces mécanismes s’étendent pendant une longue phase prodromique et préclinique qui peut durer une vingtaine d’années. Une grande quantité de facteurs de risque, souvent génétiques, sont suspectés ou identifiés pour cette maladie. La forme précoce est purement d’origine génétique, concernant des gènes impliqués dans la production ou l’élimination des peptides Aβ. Actuellement, on peut détecter l’accumulation cérébrale des peptides Aβ pendant la phase d’incubation par l’analyse du liquide céphalorachidien (LCR) ou des techniques de neuro-imagerie cérébrales. Plusieurs médicaments symptomatiques existent pour la maladie et de nombreuses pistes préventives ou curatives sont explorées. La maladie suppose une prise en charge sociale et le traitement des pathologies associées ou intercurrentes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36672
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 352-364[article] Mécanisme, facteurs de risque et stratégies thérapeutiques dans la maladie d'Alzheimer [texte imprimé] / M. Maitre ; C. Klein ; A.G. Mensah-Nyagan . - 2017 . - p. 352-364.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 352-364
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Etiologie ; F:Facteur de risque ; T:ThérapeutiqueRésumé : La maladie d’Alzheimer comprend une forme précoce (entre 30–55 ans) et une forme tardive (ou sporadique) qui apparaît le plus souvent entre 80–90 ans et qui est de loin la plus fréquente. Cette dernière (prévalence de 10 à 30 % après 65 ans) serait la conséquence de l’accumulation intracérébrale de peptides β-amyloïdes (Aβ) toxiques pour les neurones. Ces mécanismes s’étendent pendant une longue phase prodromique et préclinique qui peut durer une vingtaine d’années. Une grande quantité de facteurs de risque, souvent génétiques, sont suspectés ou identifiés pour cette maladie. La forme précoce est purement d’origine génétique, concernant des gènes impliqués dans la production ou l’élimination des peptides Aβ. Actuellement, on peut détecter l’accumulation cérébrale des peptides Aβ pendant la phase d’incubation par l’analyse du liquide céphalorachidien (LCR) ou des techniques de neuro-imagerie cérébrales. Plusieurs médicaments symptomatiques existent pour la maladie et de nombreuses pistes préventives ou curatives sont explorées. La maladie suppose une prise en charge sociale et le traitement des pathologies associées ou intercurrentes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36672 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007499 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Sens du rire et du sourire dans la maladie d'Alzheimer / F. Brossard in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 102 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Sens du rire et du sourire dans la maladie d'Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Brossard ; R. Caron Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 365-372 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; C:Communication ; C:Communication non verbale ; R:Rire ; S:SourireRésumé : Dans le stade très sévère de la maladie d’Alzheimer, les patients perdent très souvent la capacité de communiquer verbalement. Face à ce déclin des facultés, établir une communication devient un véritable défi. Afin de comprendre ce que peuvent vivre ces patients, nous nous concentrerons sur l’analyse de l’accompagnement d’une personne âgée, atteinte de la maladie d’Alzheimer, à un stade mutique. Le suivi se déroule sur une période de plus de deux ans, à raison de deux séances de 15 minutes par semaine et comprend plus de cent-quarante séances. Notre hypothèse est que les personnes souffrant de maladie d’Alzheimer peuvent continuer d’utiliser des mécanismes psychiques identiques à ceux des premiers âges. L’analyse de l’accompagnement, au long cours, nous permettra de discerner différents types de comportements non verbaux, comme le rire et le sourire, paraissant pourtant inadéquats, qui permettront de proposer une piste pour comprendre leurs rôles comme moyens de communication. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36673
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 365-372[article] Sens du rire et du sourire dans la maladie d'Alzheimer [texte imprimé] / F. Brossard ; R. Caron . - 2017 . - p. 365-372.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 365-372
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; C:Communication ; C:Communication non verbale ; R:Rire ; S:SourireRésumé : Dans le stade très sévère de la maladie d’Alzheimer, les patients perdent très souvent la capacité de communiquer verbalement. Face à ce déclin des facultés, établir une communication devient un véritable défi. Afin de comprendre ce que peuvent vivre ces patients, nous nous concentrerons sur l’analyse de l’accompagnement d’une personne âgée, atteinte de la maladie d’Alzheimer, à un stade mutique. Le suivi se déroule sur une période de plus de deux ans, à raison de deux séances de 15 minutes par semaine et comprend plus de cent-quarante séances. Notre hypothèse est que les personnes souffrant de maladie d’Alzheimer peuvent continuer d’utiliser des mécanismes psychiques identiques à ceux des premiers âges. L’analyse de l’accompagnement, au long cours, nous permettra de discerner différents types de comportements non verbaux, comme le rire et le sourire, paraissant pourtant inadéquats, qui permettront de proposer une piste pour comprendre leurs rôles comme moyens de communication. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36673 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007499 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Copromanie et coprophagie chez les résidents atteints de maladie d’Alzheimer à un stade sévère : de l’agir au dire / P. Deboves in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 102 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Copromanie et coprophagie chez les résidents atteints de maladie d’Alzheimer à un stade sévère : de l’agir au dire : de l'agir au dire Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Deboves ; Jean-Marc Talpin ; L. Gimenez ; K. Breton ; S. Dévasa ; F. Gainier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 373-381 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Excrément ; R:RégressionRésumé : La copromanie désigne la tendance à manipuler ses excréments et à en barbouiller murs et objets, tandis que la coprophagie correspond à un comportement qui consiste à ingérer ses excréments. Si la copromanie est banale chez l’enfant, elle est souvent associée à l’incontinence sphinctérienne dans le grand âge. La copromanie et la coprophagie seraient une conséquence des états démentiels, mais pas seulement puisque la coprophagie a aussi été décrite chez les patients souffrant de schizophrénie, de trouble obsessionnel compulsif et du syndrome de Klüver–Bucy qui est observé dans la maladie de Pick, dans la maladie d’Alzheimer, et dans l’adrénoleucodystrophie. À partir d’éléments cliniques, les auteurs proposent de travailler ces comportements à partir de l’hypothèse d’une involution (régression) des processus psychiques dans la maladie d’Alzheimer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36674
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 373-381[article] Copromanie et coprophagie chez les résidents atteints de maladie d’Alzheimer à un stade sévère : de l’agir au dire : de l'agir au dire [texte imprimé] / P. Deboves ; Jean-Marc Talpin ; L. Gimenez ; K. Breton ; S. Dévasa ; F. Gainier . - 2017 . - p. 373-381.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 373-381
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Excrément ; R:RégressionRésumé : La copromanie désigne la tendance à manipuler ses excréments et à en barbouiller murs et objets, tandis que la coprophagie correspond à un comportement qui consiste à ingérer ses excréments. Si la copromanie est banale chez l’enfant, elle est souvent associée à l’incontinence sphinctérienne dans le grand âge. La copromanie et la coprophagie seraient une conséquence des états démentiels, mais pas seulement puisque la coprophagie a aussi été décrite chez les patients souffrant de schizophrénie, de trouble obsessionnel compulsif et du syndrome de Klüver–Bucy qui est observé dans la maladie de Pick, dans la maladie d’Alzheimer, et dans l’adrénoleucodystrophie. À partir d’éléments cliniques, les auteurs proposent de travailler ces comportements à partir de l’hypothèse d’une involution (régression) des processus psychiques dans la maladie d’Alzheimer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36674 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007499 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le syndrome d’« entrée en institution non consentie » / Robert Moulias in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 102 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Le syndrome d’« entrée en institution non consentie » Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Moulias ; B. Poch Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 382-388 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Consentement ; E:Ethique ; P:Personne âgée ; P:Placement en maison de reposRésumé : Quitter son domicile pour une institution est une décision difficile à prendre, en particulier pour celui qui en a le plus besoin. L’absence de consentement, voire d’information, s’accompagne d’une augmentation forte de la morbidité et de la mortalité dans les premiers mois. La mise sous tutelle ne change rien à la nécessité de l’information et de l’assentiment. Les facteurs influençant la décision varient selon le lieu, domicile ou hôpital. Cette décision ne peut jamais être prise dans des conditions d’urgence. Interviennent dans cette décision plusieurs personnes. La personne dépendante concernée, l’aidant principal – conjoint ou fille, ou autres enfants, souvent pas d’accord entre eux – la personne de confiance, les professionnels de l’aide, qui connaissent ses aptitudes au quotidien, les soignants qui connaissent la densité des soins nécessaires, le médecin responsable du suivi des soins et qui connaît l’évolution prévisible et l’assistante sociale. Le choix de l’établissement en fonction de son coût, de son adaptation aux besoins de la personne et de son accessibilité pour le conjoint (qui souvent ne conduit pas ou plus) et les enfants est une autre difficulté. Décider d’une entrée en institution n’est pas une simple décision sociale à signer sur un coin de lit. Le refus ou l’impossibilité d’un vrai consentement continue à poser des difficiles questions éthiques et pratiques. Cette décision complexe devrait légitimement se voir entourée de garanties : prise de décision collégiale, évaluation gérontologique globale (compréhensive), essais de retours à domicile contrôlés, entrées à l’essai ou de répit.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36675
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 382-388[article] Le syndrome d’« entrée en institution non consentie » [texte imprimé] / Robert Moulias ; B. Poch . - 2017 . - p. 382-388.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 382-388
Catégories : Alpha
C:Consentement ; E:Ethique ; P:Personne âgée ; P:Placement en maison de reposRésumé : Quitter son domicile pour une institution est une décision difficile à prendre, en particulier pour celui qui en a le plus besoin. L’absence de consentement, voire d’information, s’accompagne d’une augmentation forte de la morbidité et de la mortalité dans les premiers mois. La mise sous tutelle ne change rien à la nécessité de l’information et de l’assentiment. Les facteurs influençant la décision varient selon le lieu, domicile ou hôpital. Cette décision ne peut jamais être prise dans des conditions d’urgence. Interviennent dans cette décision plusieurs personnes. La personne dépendante concernée, l’aidant principal – conjoint ou fille, ou autres enfants, souvent pas d’accord entre eux – la personne de confiance, les professionnels de l’aide, qui connaissent ses aptitudes au quotidien, les soignants qui connaissent la densité des soins nécessaires, le médecin responsable du suivi des soins et qui connaît l’évolution prévisible et l’assistante sociale. Le choix de l’établissement en fonction de son coût, de son adaptation aux besoins de la personne et de son accessibilité pour le conjoint (qui souvent ne conduit pas ou plus) et les enfants est une autre difficulté. Décider d’une entrée en institution n’est pas une simple décision sociale à signer sur un coin de lit. Le refus ou l’impossibilité d’un vrai consentement continue à poser des difficiles questions éthiques et pratiques. Cette décision complexe devrait légitimement se voir entourée de garanties : prise de décision collégiale, évaluation gérontologique globale (compréhensive), essais de retours à domicile contrôlés, entrées à l’essai ou de répit.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36675 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007499 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Vieillir en bonne santé dans une société âgiste? / S. Adam in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 102 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Vieillir en bonne santé dans une société âgiste? Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Adam ; P. Missotten ; A. Flamion ; M. Marquet ; A. Clesse ; S. Piccard ; C. Crutzen ; S. Schroyen Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 389-398 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Âge ; A:Attitude du personnel soignant ; D:Discrimination ; E:Ethique ; P:Personne âgée ; R:Représentation ; R:Représentation mentale ; S:Société ; S:Stigmatisation ; V:VieillissementRésumé : La vision actuelle du vieillissement est principalement négative, teintée du phénomène d’âgisme (c’est-à-dire toutes les formes de discrimination, de ségrégation ou de mépris fondées sur l’âge). Une telle image de la vieillesse n’est pas anodine. Dans cet article, nous passerons en revue les manifestations de l’âgisme dans notre vie quotidienne, ses origines, ses implications sur nos attitudes, de même que les conséquences qui en résultent pour les personnes âgées. Nous discuterons également de certains enjeux cliniques et éthiques en lien avec ces attitudes âgistes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36676
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 389-398[article] Vieillir en bonne santé dans une société âgiste? [texte imprimé] / S. Adam ; P. Missotten ; A. Flamion ; M. Marquet ; A. Clesse ; S. Piccard ; C. Crutzen ; S. Schroyen . - 2017 . - p. 389-398.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 389-398
Catégories : Alpha
A:Âge ; A:Attitude du personnel soignant ; D:Discrimination ; E:Ethique ; P:Personne âgée ; R:Représentation ; R:Représentation mentale ; S:Société ; S:Stigmatisation ; V:VieillissementRésumé : La vision actuelle du vieillissement est principalement négative, teintée du phénomène d’âgisme (c’est-à-dire toutes les formes de discrimination, de ségrégation ou de mépris fondées sur l’âge). Une telle image de la vieillesse n’est pas anodine. Dans cet article, nous passerons en revue les manifestations de l’âgisme dans notre vie quotidienne, ses origines, ses implications sur nos attitudes, de même que les conséquences qui en résultent pour les personnes âgées. Nous discuterons également de certains enjeux cliniques et éthiques en lien avec ces attitudes âgistes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36676 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007499 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Psychothérapie de la personne âgée / A. Moussa in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 102 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Psychothérapie de la personne âgée : l'apport jungien Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Moussa Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 399-404 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
P:Personne âgée ; P:Psychanalyse jungienne ; P:PsychothérapieRésumé : Avec Freud, la psychanalyse s’est concentrée presque exclusivement sur la phase enfantine du développement humain. Il a particulièrement contribué à développer l’idée que « tout se jouait » pendant l’enfance dans le cadre de la relation œdipienne avec la mère et le père. Il a développé une approche principalement causale du symptôme, où un énorme poids est accordé à l’enfance du patient. Jung, lui, préconise un élargissement de cette vision en incluant aussi le présent et le futur du patient comme éléments permettant de comprendre la signification du symptôme. Dans la question spécifique du vieillissement, Jung considérait la deuxième partie de la vie comme un chemin d’accomplissement et ses travaux ont beaucoup contribué à la compréhension ainsi qu’à une meilleure prise en soin du sujet âgé. Dans ce sens, cet auteur considère comme absolument indispensable de comprendre dans quel but un traumatisme fait à nouveau irruption dans le présent du sujet âgé. L’inconscient étant considéré comme organe d’autorégulation de la psyché, la recherche de la signification d’un symptôme ou d’un complexe est au centre de la démarche psychothérapeutique. Avec ses concepts d’individuation, de persona, d’ombre, d’anima, d’animus et son objectif thérapeutique visant à la totalité, l’approche jungienne s’adresse à la personne toute entière, au corps et à l’esprit. Jung refuse de tout réduire à des traumatismes infantiles et fait référence aussi à d’autres contributions telles que la spiritualité, la philosophie et la mythologie. Au-delà de la compréhension du symptôme, il a accordé aussi une importance capitale au sens de la vie, qui souvent fait défaut chez la personne âgée. Pour Jung, nous vivons pour atteindre le développement spirituel le plus grand possible et élargir au maximum les possibilités de notre conscience. Selon lui, tant qu’il est possible de rester en vie, même à des niveaux minimes, il faudrait mettre toutes nos énergies pour atteindre l’objectif ultime qui est la prise de conscience.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36677
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 399-404[article] Psychothérapie de la personne âgée : l'apport jungien [texte imprimé] / A. Moussa . - 2017 . - p. 399-404.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p. 399-404
Catégories : Alpha
P:Personne âgée ; P:Psychanalyse jungienne ; P:PsychothérapieRésumé : Avec Freud, la psychanalyse s’est concentrée presque exclusivement sur la phase enfantine du développement humain. Il a particulièrement contribué à développer l’idée que « tout se jouait » pendant l’enfance dans le cadre de la relation œdipienne avec la mère et le père. Il a développé une approche principalement causale du symptôme, où un énorme poids est accordé à l’enfance du patient. Jung, lui, préconise un élargissement de cette vision en incluant aussi le présent et le futur du patient comme éléments permettant de comprendre la signification du symptôme. Dans la question spécifique du vieillissement, Jung considérait la deuxième partie de la vie comme un chemin d’accomplissement et ses travaux ont beaucoup contribué à la compréhension ainsi qu’à une meilleure prise en soin du sujet âgé. Dans ce sens, cet auteur considère comme absolument indispensable de comprendre dans quel but un traumatisme fait à nouveau irruption dans le présent du sujet âgé. L’inconscient étant considéré comme organe d’autorégulation de la psyché, la recherche de la signification d’un symptôme ou d’un complexe est au centre de la démarche psychothérapeutique. Avec ses concepts d’individuation, de persona, d’ombre, d’anima, d’animus et son objectif thérapeutique visant à la totalité, l’approche jungienne s’adresse à la personne toute entière, au corps et à l’esprit. Jung refuse de tout réduire à des traumatismes infantiles et fait référence aussi à d’autres contributions telles que la spiritualité, la philosophie et la mythologie. Au-delà de la compréhension du symptôme, il a accordé aussi une importance capitale au sens de la vie, qui souvent fait défaut chez la personne âgée. Pour Jung, nous vivons pour atteindre le développement spirituel le plus grand possible et élargir au maximum les possibilités de notre conscience. Selon lui, tant qu’il est possible de rester en vie, même à des niveaux minimes, il faudrait mettre toutes nos énergies pour atteindre l’objectif ultime qui est la prise de conscience.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36677 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007499 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Favoriser le travail de deuil des soignants par la construction de récits de fin de vie en unité de soins de longue durée / K. Lalu in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 102 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Favoriser le travail de deuil des soignants par la construction de récits de fin de vie en unité de soins de longue durée Type de document : texte imprimé Auteurs : K. Lalu Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.405-410 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement psychologique ; D:Deuil ; F:Fin de vie ; G:Gériatrie ; H:Hôpital ; I:Infirmière ; M:Maison de repos et de soins ; M:Mort ; R:Récit ; S:Soutien psychologiqueRésumé : Cet article cherche à rendre compte d’une expérience menée pendant six mois dans un établissement de soins de longue durée gériatrique afin de soutenir le travail de deuil des soignants. Au niveau méthodologique, un groupe de parole semi-directif visant à l’élaboration de récits de fin de vie post-décès a été mené, en s’appuyant sur la théorie psychanalytique pour la construction de son cadre et pour l’analyse du corpus de texte constitué. Les résultats incitent à considérer différemment le seuil d’entrée en accompagnement de fin de vie et l’accompagnement de fin de vie proprement dit. De plus, l’importance de se doter de dispositifs pour parler de la mort dans des services particulièrement exposés à ce phénomène s’est vue confirmée, pour des raisons cliniques et éthiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36678
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p.405-410[article] Favoriser le travail de deuil des soignants par la construction de récits de fin de vie en unité de soins de longue durée [texte imprimé] / K. Lalu . - 2017 . - p.405-410.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 102 (Décembre 2017) . - p.405-410
Catégories : Alpha
A:Accompagnement psychologique ; D:Deuil ; F:Fin de vie ; G:Gériatrie ; H:Hôpital ; I:Infirmière ; M:Maison de repos et de soins ; M:Mort ; R:Récit ; S:Soutien psychologiqueRésumé : Cet article cherche à rendre compte d’une expérience menée pendant six mois dans un établissement de soins de longue durée gériatrique afin de soutenir le travail de deuil des soignants. Au niveau méthodologique, un groupe de parole semi-directif visant à l’élaboration de récits de fin de vie post-décès a été mené, en s’appuyant sur la théorie psychanalytique pour la construction de son cadre et pour l’analyse du corpus de texte constitué. Les résultats incitent à considérer différemment le seuil d’entrée en accompagnement de fin de vie et l’accompagnement de fin de vie proprement dit. De plus, l’importance de se doter de dispositifs pour parler de la mort dans des services particulièrement exposés à ce phénomène s’est vue confirmée, pour des raisons cliniques et éthiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36678 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007499 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible