Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 02/12 à Tournai : Fermé Mercredi de 10h15 à 13h00.
Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 02/12 à Mouscron : Lundi : ouverture à 10h30 et fermeture à 17h00.
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Mention de date : Avril 2016
Paru le : 01/04/2016
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Exemplaires (1)
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T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
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Exemplaires (1)
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T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
La « démarche palliative » : bilan à 10 ans |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Yaël Tibi-lévy |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.62-68 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha D:Démarche clinique ; F:France ; H:Hôpital ; P:Politique de santé ; S:Soins palliatifs
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Résumé : |
La « démarche palliative » est un concept né officiellement en France en 2002 et mis en pratique dans les hôpitaux à partir de 2004 pour permettre à un maximum de personnes hospitalisées en services de soins aigus et relevant de soins palliatifs de pouvoir en bénéficier. L’objectif de cet article, qui repose sur une étude documentaire, est d’établir un bilan à 10ans (2005–2015) de la diffusion de cette démarche pour mettre en lumière à la fois des expériences réussies et des facteurs de blocage et pouvoir ainsi, dégager quelques recommandations et pistes de réflexion. S’il convient de s’assurer par la mise en place de dispositifs d’évaluation de la qualité des prises en charge d’une utilisation efficiente des moyens alloués aux structures acceptant de s’engager dans cette voie, il convient aussi à présent de renforcer (parallèlement aux dynamiques en cours) l’offre de soins palliatifs dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes où les besoins, déjà élevés, augmenteront nécessairement avec le vieillissement de la population. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30891 |
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.62-68
[article] La « démarche palliative » : bilan à 10 ans [texte imprimé] / Yaël Tibi-lévy . - 2016 . - p.62-68. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.62-68
Catégories : |
Alpha D:Démarche clinique ; F:France ; H:Hôpital ; P:Politique de santé ; S:Soins palliatifs
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Résumé : |
La « démarche palliative » est un concept né officiellement en France en 2002 et mis en pratique dans les hôpitaux à partir de 2004 pour permettre à un maximum de personnes hospitalisées en services de soins aigus et relevant de soins palliatifs de pouvoir en bénéficier. L’objectif de cet article, qui repose sur une étude documentaire, est d’établir un bilan à 10ans (2005–2015) de la diffusion de cette démarche pour mettre en lumière à la fois des expériences réussies et des facteurs de blocage et pouvoir ainsi, dégager quelques recommandations et pistes de réflexion. S’il convient de s’assurer par la mise en place de dispositifs d’évaluation de la qualité des prises en charge d’une utilisation efficiente des moyens alloués aux structures acceptant de s’engager dans cette voie, il convient aussi à présent de renforcer (parallèlement aux dynamiques en cours) l’offre de soins palliatifs dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes où les besoins, déjà élevés, augmenteront nécessairement avec le vieillissement de la population. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30891 |
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Exemplaires (1)
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T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Thierry Chinet ; Marine Sahut d'Izarn ; Frédéric Guirimand |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.69-77 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha D:Dyspnée ; E:Échelle d'évaluation ; E:Epidémiologie ; E:Evaluation ; N:Neurophysiologie ; P:Phase terminale ; S:Soins palliatifs
|
Résumé : |
La dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30892 |
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.69-77
[article] Dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation [texte imprimé] / Thierry Chinet ; Marine Sahut d'Izarn ; Frédéric Guirimand . - 2016 . - p.69-77. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.69-77
Catégories : |
Alpha D:Dyspnée ; E:Échelle d'évaluation ; E:Epidémiologie ; E:Evaluation ; N:Neurophysiologie ; P:Phase terminale ; S:Soins palliatifs
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Résumé : |
La dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30892 |
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Exemplaires (1)
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T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Limitation et arrêt de traitement : collaboration entre une équipe mobile de soins palliatifs et un service de réanimation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Elise Piot ; Yoann Picard ; Benoît F. Leheup ; Antony Chastang ; Raphaël Alluin ; et al. |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.78-85 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha D:Décision ; E:Équipe mobile ; L:Limitation et arrêt de traitement ; R:Réanimation ; S:Soins palliatifs
|
Résumé : |
Résumé
Contexte
Bilan de 20 mois de collaboration entre un service de réanimation et une équipe mobile de soins palliatifs dans le cadre des discussions collégiales préalables aux décisions de limitation et arrêt des traitements définies par la loi du 22 avril 2005.
Objectifs
(1) Décrire et analyser les caractéristiques des patients ayant bénéficié de l’intervention de l’équipe mobile de soins palliatifs, (2) les comparer à celles des autres patients hospitalisés en réanimation, (3) décrire la collaboration entre équipe mobile de soins palliatifs et réanimateurs dans la mise en place des mesures de limitation et arrêt des traitements.
Méthode
Étude monocentrique rétrospective incluant tous les patients hospitalisés dans le service de réanimation médicale ayant bénéficié d’au moins une consultation par l’équipe mobile de soins palliatifs en 2011 et 2012.
Résultats
L’équipe mobile de soins palliatifs a rencontré 2,9 % des 1256 patients hospitalisés sur la période étudiée. Les patients suivis par l’équipe mobile de soins palliatifs étaient de manière significative plus âgés, dans un état plus grave à l’admission, et hospitalisés plus longtemps que le reste de la population de réanimation. Le recueil de l’expression de la volonté du patient a été possible pour 47,2 % des patients. Suite au passage de l’équipe mobile de soins palliatifs, des décisions de limitation et arrêt des traitements ont été prises pour 91,7 % des patients.
Conclusion
Les équipes mobiles de soins palliatifs, bien que ne semblant pas des interlocuteurs naturels pour les services de réanimation, peuvent jouer un rôle important en participant aux discussions préalables aux limitations et arrêts des traitements et en aidant à la prise en charge des patients et de leurs proches. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30893 |
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.78-85
[article] Limitation et arrêt de traitement : collaboration entre une équipe mobile de soins palliatifs et un service de réanimation [texte imprimé] / Elise Piot ; Yoann Picard ; Benoît F. Leheup ; Antony Chastang ; Raphaël Alluin ; et al. . - 2016 . - p.78-85. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.78-85
Catégories : |
Alpha D:Décision ; E:Équipe mobile ; L:Limitation et arrêt de traitement ; R:Réanimation ; S:Soins palliatifs
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Résumé : |
Résumé
Contexte
Bilan de 20 mois de collaboration entre un service de réanimation et une équipe mobile de soins palliatifs dans le cadre des discussions collégiales préalables aux décisions de limitation et arrêt des traitements définies par la loi du 22 avril 2005.
Objectifs
(1) Décrire et analyser les caractéristiques des patients ayant bénéficié de l’intervention de l’équipe mobile de soins palliatifs, (2) les comparer à celles des autres patients hospitalisés en réanimation, (3) décrire la collaboration entre équipe mobile de soins palliatifs et réanimateurs dans la mise en place des mesures de limitation et arrêt des traitements.
Méthode
Étude monocentrique rétrospective incluant tous les patients hospitalisés dans le service de réanimation médicale ayant bénéficié d’au moins une consultation par l’équipe mobile de soins palliatifs en 2011 et 2012.
Résultats
L’équipe mobile de soins palliatifs a rencontré 2,9 % des 1256 patients hospitalisés sur la période étudiée. Les patients suivis par l’équipe mobile de soins palliatifs étaient de manière significative plus âgés, dans un état plus grave à l’admission, et hospitalisés plus longtemps que le reste de la population de réanimation. Le recueil de l’expression de la volonté du patient a été possible pour 47,2 % des patients. Suite au passage de l’équipe mobile de soins palliatifs, des décisions de limitation et arrêt des traitements ont été prises pour 91,7 % des patients.
Conclusion
Les équipes mobiles de soins palliatifs, bien que ne semblant pas des interlocuteurs naturels pour les services de réanimation, peuvent jouer un rôle important en participant aux discussions préalables aux limitations et arrêts des traitements et en aidant à la prise en charge des patients et de leurs proches. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30893 |
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Exemplaires (1)
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T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Souhait de mourir et demande explicite d’euthanasie dans un hôpital de soins palliatifs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Frédéric Guirimand ; Etienne Dubois ; Lucie Laporte ; Jean-François Richard ; Danièle Leboul |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.86-95 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha D:Demande d'euthanasie ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins
|
Résumé : |
Objectif
En France, nous manquons de données objectives sur l’incidence des demandes d’euthanasie en contexte de soins palliatifs. Le but de cette étude est de recueillir, classifier et comptabiliser les expressions du souhait de mourir à partir des dossiers informatisés des patients hospitalisés en unités de soins palliatifs en 2010–2011.
Méthode
Deux chercheurs ont extrait et analysé les observations des soignants contenant les mots « souhait de mourir », « euthanasie » ou d’autres expressions relatives à la mort. Les observations relatant un souhait de mourir ont été classées dans l’ordre « demande d’euthanasie », puis « idée suicidaire », puis « autre expression d’un souhait de mourir » (sans demande d’euthanasie ni idée suicidaire). La trajectoire des patients ayant réitéré leur demande d’euthanasie a été analysée qualitativement.
Résultats
Cent quatre-vingt-quinze des 2157 patients (9 %) ont exprimé un souhait de mourir : 61 « demandes d’euthanasie » (3 %), 15 « idées suicidaires » (1 %) et 119 « autres expressions d’un souhait de mourir » (6 %). Ce groupe de 195 patients était à prédominance féminine, avait une médiane de séjour supérieure et recevait plus d’anxiolytiques et d’antidépresseurs. Vingt-six patients du groupe « demande d’euthanasie » ont aussi exprimé à un autre moment « un autre souhait de mourir » et deux patients, une « idée suicidaire ». Six patients ont réitéré leur demande : tous avaient des symptômes insuffisamment contrôlés, ayant des répercussions sur leur état mental.
Conclusion
Il existe différentes expressions du souhait de mourir avec une faible incidence des demandes d’euthanasie. Indépendamment de la variabilité des ces expressions, leur existence même doit inciter à considérer la dynamique de leur changement, et à renouveler l’attention à la personne, à sa souffrance et à son contexte. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30894 |
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.86-95
[article] Souhait de mourir et demande explicite d’euthanasie dans un hôpital de soins palliatifs [texte imprimé] / Frédéric Guirimand ; Etienne Dubois ; Lucie Laporte ; Jean-François Richard ; Danièle Leboul . - 2016 . - p.86-95. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.86-95
Catégories : |
Alpha D:Demande d'euthanasie ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins
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Résumé : |
Objectif
En France, nous manquons de données objectives sur l’incidence des demandes d’euthanasie en contexte de soins palliatifs. Le but de cette étude est de recueillir, classifier et comptabiliser les expressions du souhait de mourir à partir des dossiers informatisés des patients hospitalisés en unités de soins palliatifs en 2010–2011.
Méthode
Deux chercheurs ont extrait et analysé les observations des soignants contenant les mots « souhait de mourir », « euthanasie » ou d’autres expressions relatives à la mort. Les observations relatant un souhait de mourir ont été classées dans l’ordre « demande d’euthanasie », puis « idée suicidaire », puis « autre expression d’un souhait de mourir » (sans demande d’euthanasie ni idée suicidaire). La trajectoire des patients ayant réitéré leur demande d’euthanasie a été analysée qualitativement.
Résultats
Cent quatre-vingt-quinze des 2157 patients (9 %) ont exprimé un souhait de mourir : 61 « demandes d’euthanasie » (3 %), 15 « idées suicidaires » (1 %) et 119 « autres expressions d’un souhait de mourir » (6 %). Ce groupe de 195 patients était à prédominance féminine, avait une médiane de séjour supérieure et recevait plus d’anxiolytiques et d’antidépresseurs. Vingt-six patients du groupe « demande d’euthanasie » ont aussi exprimé à un autre moment « un autre souhait de mourir » et deux patients, une « idée suicidaire ». Six patients ont réitéré leur demande : tous avaient des symptômes insuffisamment contrôlés, ayant des répercussions sur leur état mental.
Conclusion
Il existe différentes expressions du souhait de mourir avec une faible incidence des demandes d’euthanasie. Indépendamment de la variabilité des ces expressions, leur existence même doit inciter à considérer la dynamique de leur changement, et à renouveler l’attention à la personne, à sa souffrance et à son contexte. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30894 |
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Exemplaires (1)
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T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Besoins des malades en fin de vie hospitalisés au Togo : étude qualitative |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ogma Hatta Bassantéa Lodegaèna Kpassagou |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.96-104 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha A:Afrique subsaharienne ; B:Besoin ; F:Fin de vie ; S:Soins palliatifs
|
Résumé : |
Résumé
Objectif de l’étude
Ce travail vise à documenter la façon dont la fin de vie est prise en charge par les services hospitaliers publics dans un pays à ressources limitées : le Togo. Son objectif est d’identifier les dimensions de la prise en charge importantes du point de vue des malades hospitalisés et d’analyser la façon dont ils perçoivent la qualité du service qui leur est rendue.
Patients et méthodes
Une approche qualitative a été réalisée par des entretiens avec 18 patients souffrant d’un cancer en phase terminale et hospitalisés pendant au moins 10jours dans deux centres hospitaliers universitaires de Lomé (Togo). Les patients ont été interrogés sur leurs relations avec les soignants et la prise en compte de leurs besoins et attentes par les membres de l’équipe de soins.
Résultats
Les résultats montrent que ces patients se sentent marginalisés, voire exclus du système de soins. La détresse psychologique et la douleur physique qui assaillent les malades semblent ne pas être une préoccupation du personnel médical et soignant.
Conclusion
L’absence de formation initiale en soins de fin de vie et le système sanitaire basé sur des approches essentiellement curatives constituent les deux facteurs essentiels dans l’explication de ces comportements du personnel médical et soignant. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30895 |
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.96-104
[article] Besoins des malades en fin de vie hospitalisés au Togo : étude qualitative [texte imprimé] / Ogma Hatta Bassantéa Lodegaèna Kpassagou . - 2016 . - p.96-104. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.96-104
Catégories : |
Alpha A:Afrique subsaharienne ; B:Besoin ; F:Fin de vie ; S:Soins palliatifs
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Résumé : |
Résumé
Objectif de l’étude
Ce travail vise à documenter la façon dont la fin de vie est prise en charge par les services hospitaliers publics dans un pays à ressources limitées : le Togo. Son objectif est d’identifier les dimensions de la prise en charge importantes du point de vue des malades hospitalisés et d’analyser la façon dont ils perçoivent la qualité du service qui leur est rendue.
Patients et méthodes
Une approche qualitative a été réalisée par des entretiens avec 18 patients souffrant d’un cancer en phase terminale et hospitalisés pendant au moins 10jours dans deux centres hospitaliers universitaires de Lomé (Togo). Les patients ont été interrogés sur leurs relations avec les soignants et la prise en compte de leurs besoins et attentes par les membres de l’équipe de soins.
Résultats
Les résultats montrent que ces patients se sentent marginalisés, voire exclus du système de soins. La détresse psychologique et la douleur physique qui assaillent les malades semblent ne pas être une préoccupation du personnel médical et soignant.
Conclusion
L’absence de formation initiale en soins de fin de vie et le système sanitaire basé sur des approches essentiellement curatives constituent les deux facteurs essentiels dans l’explication de ces comportements du personnel médical et soignant. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30895 |
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Exemplaires (1)
|
T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
Titre : |
Regards croisés médecins/juristes sur l’affaire Vincent Lambert |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Stéphane moreau ; Hélène Pauliat ; Hélène Trarieux-Signol ; et al. |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.105-110 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha D:Demande d'euthanasie ; E:État végétatif ; E:Ethique ; E:Euthanasie ; F:Famille ; L:Limitation et arrêt de traitement ; R:Respect ; V:Volonté
|
Résumé : |
L’histoire de Vincent Lambert est devenue « l’affaire Lambert ». Un protocole de limitation thérapeutique, engagé pour ce patient en état végétatif depuis 6ans, a fait l’objet d’une médiatisation importante suite à un conflit soignant et une partie de la famille, entraînant une succession de décisions de justice, dont certaines sont actuellement en cours d’instruction. L’interprétation du principe de collégialité qui a été faite dans cette affaire interpelle les professionnels de santé, les juristes et le grand public. Une collaboration récente entre le service d’hématologie clinique et de thérapie cellulaire du CHU de Limoges et la faculté de droit (Observatoire des mutations institutionnelles et juridiques [OMIJ]), sur un axe de recherche centré sur le consentement du patient, a conduit à une réflexion commune sur cette affaire. Nous présentons ici notre questionnement éthique et le regard croisé de médecins et de juristes. Que penser de la lecture faite du principe de collégialité glissant vers une obligation d’unanimité d’une famille élargie ? Comment les équipes soignantes doivent-elles procéder lorsqu’elles prennent en charge un patient hors d’état de s’exprimer, qui n’a pas laissé de directives écrites, quand elles estiment que la poursuite du traitement traduit une obstination déraisonnable ? Comment respecter la volonté du patient inconscient exprimée antérieurement par oral ? En l’absence de personne de confiance, qui est légitime au sein de la famille à être le porte-parole du patient ? L’immixtion du droit dans la relation de soin et du juge dans cette décision médicale est-elle pertinente ? |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30896 |
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.105-110
[article] Regards croisés médecins/juristes sur l’affaire Vincent Lambert [texte imprimé] / Stéphane moreau ; Hélène Pauliat ; Hélène Trarieux-Signol ; et al. . - 2016 . - p.105-110. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.105-110
Catégories : |
Alpha D:Demande d'euthanasie ; E:État végétatif ; E:Ethique ; E:Euthanasie ; F:Famille ; L:Limitation et arrêt de traitement ; R:Respect ; V:Volonté
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Résumé : |
L’histoire de Vincent Lambert est devenue « l’affaire Lambert ». Un protocole de limitation thérapeutique, engagé pour ce patient en état végétatif depuis 6ans, a fait l’objet d’une médiatisation importante suite à un conflit soignant et une partie de la famille, entraînant une succession de décisions de justice, dont certaines sont actuellement en cours d’instruction. L’interprétation du principe de collégialité qui a été faite dans cette affaire interpelle les professionnels de santé, les juristes et le grand public. Une collaboration récente entre le service d’hématologie clinique et de thérapie cellulaire du CHU de Limoges et la faculté de droit (Observatoire des mutations institutionnelles et juridiques [OMIJ]), sur un axe de recherche centré sur le consentement du patient, a conduit à une réflexion commune sur cette affaire. Nous présentons ici notre questionnement éthique et le regard croisé de médecins et de juristes. Que penser de la lecture faite du principe de collégialité glissant vers une obligation d’unanimité d’une famille élargie ? Comment les équipes soignantes doivent-elles procéder lorsqu’elles prennent en charge un patient hors d’état de s’exprimer, qui n’a pas laissé de directives écrites, quand elles estiment que la poursuite du traitement traduit une obstination déraisonnable ? Comment respecter la volonté du patient inconscient exprimée antérieurement par oral ? En l’absence de personne de confiance, qui est légitime au sein de la famille à être le porte-parole du patient ? L’immixtion du droit dans la relation de soin et du juge dans cette décision médicale est-elle pertinente ? |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30896 |
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Exemplaires (1)
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T006643 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |