Dépouillements

L’approche Carpe Diem en EHPAD / T. Le brun in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 91 (Février 2016)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 3-10 Titre : L’approche Carpe Diem en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Le brun Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 3-10 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accompagnement du patient ; A:Alzheimer (maladie) ; C:Comportement ; C:Confiance ; D:Démence ; F:Formation ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; R:Réseau de soins Résumé : Objectifs : Les symptômes psychocomportementaux liés aux démences (SPCD) sont fréquents et représentent un inconfort évident, à la fois pour les malades, mais aussi pour l’entourage et les soignants. Les difficultés des soignants, mal préparés et souvent en sous-effectifs, face à ces résidents ont motivé le développement d’une approche d’inspiration « Carpe Diem », par la formation de tous les effectifs. Cette démarche, développée au Québec depuis 20ans, s’appuie sur certains concepts : les résidents sont considérés comme des personnes conservant des ressources et des capacités ; les accompagnements s’adaptent aux personnes ; chaque comportement a un sens et mérite un décryptage ; chaque action doit être menée avec cohérence et constance ; le contrôle est à l’opposé de l’accompagnement, comme la relation de pouvoir est à l’opposé de la relation de confiance. Les familles et les proches sont impliqués. Nous avons réalisé une étude mesurant l’impact de la formation des équipes soignantes sur les SPCD. Méthode : Notre étude a porté sur la population des unités spécifiques de l’EHPAD de Marcheprime (33). La méthode retenue pour cette étude comportait trois étapes : l’évaluation initiale a permis de coter les SPCD et leur retentissement grâce au NPI-ES. Immédiatement après cette phase, tous les personnels ont bénéficié de 4jours de formation à l’approche Carpe Diem. Le mois suivant la fin des formations, l’évaluation finale menée suivant les mêmes modalités a établi de nouveaux scores de NPI-ES. Ces scores ont été analysés statistiquement puis leur comparaison aux deux temps d’évaluation a été réalisée par un test de significativité, le seuil étant fixé à 5 %. Résultats : Au départ, le score moyen du NPI était à 23,67+10,79. Les comportements les plus intenses et sévères étaient l’apathie, l’irritabilité et les troubles de l’appétit. Il n’y avait toutefois pas de corrélation avec l’importance du retentissement. La comparaison entre les deux temps d’évaluation montrait une diminution significative du score global (p<0,001) et du retentissement sur les soignants. Il en était de même de l’analyse item par item des SPCD et de leur retentissement. Conclusion : Les résultats ont montré une diminution significative des SPCD et du retentissement après la formation « Carpe Diem ». On peut conclure à l’amélioration des symptômes mais aussi à l’évolution du regard des soignants, les deux paramètres entrant en corrélation. Par la suite, il est prévu de poursuivre avec la participation d’intervenants québécois au sein des équipes de l’EHPAD. L’encadrement s’est également engagé dans un réseau local d’inspiration « Carpe Diem » auquel l’Agence Régionale de Santé participe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30313 [article] L’approche Carpe Diem en EHPAD [texte imprimé] / T. Le brun . - 2016 . - p. 3-10. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 3-10 Catégories : Alpha A:Accompagnement du patient ; A:Alzheimer (maladie) ; C:Comportement ; C:Confiance ; D:Démence ; F:Formation ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; R:Réseau de soins Résumé : Objectifs : Les symptômes psychocomportementaux liés aux démences (SPCD) sont fréquents et représentent un inconfort évident, à la fois pour les malades, mais aussi pour l’entourage et les soignants. Les difficultés des soignants, mal préparés et souvent en sous-effectifs, face à ces résidents ont motivé le développement d’une approche d’inspiration « Carpe Diem », par la formation de tous les effectifs. Cette démarche, développée au Québec depuis 20ans, s’appuie sur certains concepts : les résidents sont considérés comme des personnes conservant des ressources et des capacités ; les accompagnements s’adaptent aux personnes ; chaque comportement a un sens et mérite un décryptage ; chaque action doit être menée avec cohérence et constance ; le contrôle est à l’opposé de l’accompagnement, comme la relation de pouvoir est à l’opposé de la relation de confiance. Les familles et les proches sont impliqués. Nous avons réalisé une étude mesurant l’impact de la formation des équipes soignantes sur les SPCD. Méthode : Notre étude a porté sur la population des unités spécifiques de l’EHPAD de Marcheprime (33). La méthode retenue pour cette étude comportait trois étapes : l’évaluation initiale a permis de coter les SPCD et leur retentissement grâce au NPI-ES. Immédiatement après cette phase, tous les personnels ont bénéficié de 4jours de formation à l’approche Carpe Diem. Le mois suivant la fin des formations, l’évaluation finale menée suivant les mêmes modalités a établi de nouveaux scores de NPI-ES. Ces scores ont été analysés statistiquement puis leur comparaison aux deux temps d’évaluation a été réalisée par un test de significativité, le seuil étant fixé à 5 %. Résultats : Au départ, le score moyen du NPI était à 23,67+10,79. Les comportements les plus intenses et sévères étaient l’apathie, l’irritabilité et les troubles de l’appétit. Il n’y avait toutefois pas de corrélation avec l’importance du retentissement. La comparaison entre les deux temps d’évaluation montrait une diminution significative du score global (p<0,001) et du retentissement sur les soignants. Il en était de même de l’analyse item par item des SPCD et de leur retentissement. Conclusion : Les résultats ont montré une diminution significative des SPCD et du retentissement après la formation « Carpe Diem ». On peut conclure à l’amélioration des symptômes mais aussi à l’évolution du regard des soignants, les deux paramètres entrant en corrélation. Par la suite, il est prévu de poursuivre avec la participation d’intervenants québécois au sein des équipes de l’EHPAD. L’encadrement s’est également engagé dans un réseau local d’inspiration « Carpe Diem » auquel l’Agence Régionale de Santé participe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30313

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Les familles difficiles sont-elles une création de l’institution gériatrique ? / Pierre Charazac in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 91 (Février 2016)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 11-16 Titre : Les familles difficiles sont-elles une création de l’institution gériatrique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Charazac Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 11-16 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Conflit ; D:Difficulté ; F:Famille ; I:Infirmière ; M:Maison de repos et de soins ; R:Relation interpersonnelle Résumé : L’institution est impliquée dans la majorité des difficultés que les EHPAD rencontrent dans le travail avec les familles. Ses mythes et ses logiques du soin entrent tantôt en résonance tantôt en opposition avec ceux de la famille, ce qui peut être à l’origine de collusions ou d’exclusions privant chaque fois la famille de sa qualité de tiers dans la relation avec le résident. Par conséquent, la dimension institutionnelle du soin mérite d’être étudiée sous l’angle de sa vie imaginaire et pas seulement de son organisation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30315 [article] Les familles difficiles sont-elles une création de l’institution gériatrique ? [texte imprimé] / Pierre Charazac . - 2016 . - p. 11-16. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 11-16 Catégories : Alpha C:Conflit ; D:Difficulté ; F:Famille ; I:Infirmière ; M:Maison de repos et de soins ; R:Relation interpersonnelle Résumé : L’institution est impliquée dans la majorité des difficultés que les EHPAD rencontrent dans le travail avec les familles. Ses mythes et ses logiques du soin entrent tantôt en résonance tantôt en opposition avec ceux de la famille, ce qui peut être à l’origine de collusions ou d’exclusions privant chaque fois la famille de sa qualité de tiers dans la relation avec le résident. Par conséquent, la dimension institutionnelle du soin mérite d’être étudiée sous l’angle de sa vie imaginaire et pas seulement de son organisation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30315

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La maltraitance méconnue des sourds locuteurs de la langue des signes en maison de retraite / B. Drion in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 91 (Février 2016)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 17-23 Titre : La maltraitance méconnue des sourds locuteurs de la langue des signes en maison de retraite Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Drion ; J. Semail Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 17-23 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha L:Langue des signes ; M:Maison de repos et de soins ; M:Maltraitance ; P:Personne âgée ; S:Surdité Résumé : La langue des signes, reconnue en France depuis 2005, est la langue pratiquée quotidiennement, par un millième des Français. L’absence de prise en compte des spécificités de ces sourds prélinguaux conduit à des situations de maltraitance méconnue dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes où ils résident. La surdité ne se voit pas et bon nombre de sourds se soumettent aux règles de communication des entendants. Ils peuvent articuler de manière intelligible, mais acquiescer sans comprendre, ou en ne comprenant que très partiellement ce qui est dit. Lorsque les troubles cognitifs acquis viennent compliquer la communication, la situation devient encore plus problématique. Souvent, c’est uniquement avec l’aide de professionnels, locuteurs natifs de la langue des signes, qu’une vraie communication peut être établie. Pour éviter leur mort sociale, l’expérience montre aussi que rassembler les sourds dans un établissement permet qu’une communauté linguistique se crée entre résidents et professionnels formés à la langue des signes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30316 [article] La maltraitance méconnue des sourds locuteurs de la langue des signes en maison de retraite [texte imprimé] / B. Drion ; J. Semail . - 2016 . - p. 17-23. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 17-23 Catégories : Alpha L:Langue des signes ; M:Maison de repos et de soins ; M:Maltraitance ; P:Personne âgée ; S:Surdité Résumé : La langue des signes, reconnue en France depuis 2005, est la langue pratiquée quotidiennement, par un millième des Français. L’absence de prise en compte des spécificités de ces sourds prélinguaux conduit à des situations de maltraitance méconnue dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes où ils résident. La surdité ne se voit pas et bon nombre de sourds se soumettent aux règles de communication des entendants. Ils peuvent articuler de manière intelligible, mais acquiescer sans comprendre, ou en ne comprenant que très partiellement ce qui est dit. Lorsque les troubles cognitifs acquis viennent compliquer la communication, la situation devient encore plus problématique. Souvent, c’est uniquement avec l’aide de professionnels, locuteurs natifs de la langue des signes, qu’une vraie communication peut être établie. Pour éviter leur mort sociale, l’expérience montre aussi que rassembler les sourds dans un établissement permet qu’une communauté linguistique se crée entre résidents et professionnels formés à la langue des signes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30316

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Développement d’un questionnaire exigences-ressources contextualisé pour une appréhension du burnout des professionnels en EHPAD / V. Huguenotte in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 91 (Février 2016)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 21-24 Titre : Développement d’un questionnaire exigences-ressources contextualisé pour une appréhension du burnout des professionnels en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Huguenotte ; M. Andela ; D. Truchot Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 21-24 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Epuisement professionnel ; I:Infirmière ; M:Maison de repos et de soins ; S:Stress Résumé : Objectifs : Parmi les méthodes quantitatives qui appréhendent les causes organisationnelles de stress des soignants figurent essentiellement des questionnaires génériques, autrement dit, des mesures ne prenant pas en compte la spécificité des différents services. Pourtant, la littérature qualitative témoigne de la spécificité des causes de stress des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Notre objectif était donc de développer une échelle de stress contextualisée au quotidien des soignants exerçant en EHPAD. Méthode : Pour développer cette échelle, nous avons utilisé des méthodes qualitatives et quantitatives. La génération d’items a été effectuée à partir d’interviews semi-structurées auprès de 10 infirmières et aides-soignantes exerçant dans différents EHPAD. Un total de 55 items évaluant les exigences et les ressources de travail ont été retenus pour le questionnaire final. Un échantillon de 460 infirmières et aides-soignantes a ensuite complété ce questionnaire, accompagné du Maslasch Burnout Inventory (MBI). Résultats : Les résultats des analyses factorielles indiquent trois exigences de travail (charge de travail, exigences émotionnelles, manque d’écoute et de considération) et cinq ressources interpersonnelles (qualité des relations vis-à-vis des collègues, du cadre de santé, du médecin, de la direction et des résidents). La consistance interne des huit sous-échelles est satisfaisante et les corrélations entre l’épuisement professionnel et les exigences-ressources contextualisées indiquent une bonne validité de critères de notre échelle. Conclusion : Nos données indiquent que des exigences élevées et de faibles ressources entraînent du burnout . Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30317 [article] Développement d’un questionnaire exigences-ressources contextualisé pour une appréhension du burnout des professionnels en EHPAD [texte imprimé] / V. Huguenotte ; M. Andela ; D. Truchot . - 2016 . - p. 21-24. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 21-24 Catégories : Alpha E:Epuisement professionnel ; I:Infirmière ; M:Maison de repos et de soins ; S:Stress Résumé : Objectifs : Parmi les méthodes quantitatives qui appréhendent les causes organisationnelles de stress des soignants figurent essentiellement des questionnaires génériques, autrement dit, des mesures ne prenant pas en compte la spécificité des différents services. Pourtant, la littérature qualitative témoigne de la spécificité des causes de stress des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Notre objectif était donc de développer une échelle de stress contextualisée au quotidien des soignants exerçant en EHPAD. Méthode : Pour développer cette échelle, nous avons utilisé des méthodes qualitatives et quantitatives. La génération d’items a été effectuée à partir d’interviews semi-structurées auprès de 10 infirmières et aides-soignantes exerçant dans différents EHPAD. Un total de 55 items évaluant les exigences et les ressources de travail ont été retenus pour le questionnaire final. Un échantillon de 460 infirmières et aides-soignantes a ensuite complété ce questionnaire, accompagné du Maslasch Burnout Inventory (MBI). Résultats : Les résultats des analyses factorielles indiquent trois exigences de travail (charge de travail, exigences émotionnelles, manque d’écoute et de considération) et cinq ressources interpersonnelles (qualité des relations vis-à-vis des collègues, du cadre de santé, du médecin, de la direction et des résidents). La consistance interne des huit sous-échelles est satisfaisante et les corrélations entre l’épuisement professionnel et les exigences-ressources contextualisées indiquent une bonne validité de critères de notre échelle. Conclusion : Nos données indiquent que des exigences élevées et de faibles ressources entraînent du burnout . Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30317

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Les troubles anxio-dépressifs chez une personne âgée atteinte de maladie d’Alzheimer à travers le SAT [Test d'aperception pour personnes âgée] et le dessin de l’arbre / L. Fernandez in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 91 (Février 2016)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 40-52 Titre : Les troubles anxio-dépressifs chez une personne âgée atteinte de maladie d’Alzheimer à travers le SAT [Test d'aperception pour personnes âgée] et le dessin de l’arbre Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Fernandez ; M. Ginet ; A. Bonnet ; P. Menecier Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 40-52 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; A:Anxiété ; D:Dépression ; P:Personne âgée ; T:Test Résumé : Cet article a pour objectif de mieux comprendre les manifestations des troubles anxio-dépressifs chez des sujets âgés atteints de la maladie d’Alzheimer (MA) à travers l’utilisation du test d’aperception pour personnes âgées (SAT) et du dessin de l’arbre (DA) et la présentation d’un cas clinique. Le SAT et le DA, par leur complémentarité et en tant que médiateurs dans la relation thérapeutique, permettent de mettre en évidence la personnalité normale (ressources, besoins, désirs) et pathologique (déficits, fragilités, dysfonctionnements). Ils sont des outils particulièrement utiles pour des personnes âgées atteintes de MA ayant des difficultés de verbalisations pour des raisons cognitives ou psychologiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30318 [article] Les troubles anxio-dépressifs chez une personne âgée atteinte de maladie d’Alzheimer à travers le SAT [Test d'aperception pour personnes âgée] et le dessin de l’arbre [texte imprimé] / L. Fernandez ; M. Ginet ; A. Bonnet ; P. Menecier . - 2016 . - p. 40-52. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 40-52 Catégories : Alpha A:Alzheimer (maladie) ; A:Anxiété ; D:Dépression ; P:Personne âgée ; T:Test Résumé : Cet article a pour objectif de mieux comprendre les manifestations des troubles anxio-dépressifs chez des sujets âgés atteints de la maladie d’Alzheimer (MA) à travers l’utilisation du test d’aperception pour personnes âgées (SAT) et du dessin de l’arbre (DA) et la présentation d’un cas clinique. Le SAT et le DA, par leur complémentarité et en tant que médiateurs dans la relation thérapeutique, permettent de mettre en évidence la personnalité normale (ressources, besoins, désirs) et pathologique (déficits, fragilités, dysfonctionnements). Ils sont des outils particulièrement utiles pour des personnes âgées atteintes de MA ayant des difficultés de verbalisations pour des raisons cognitives ou psychologiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30318

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Satisfaction des médecins généralistes intégrés dans une équipe mobile gériatrique : une étude qualitative / C. Canali in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 91 (Février 2016)

Public ISBD [article]  inNPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 53-58 Titre : Satisfaction des médecins généralistes intégrés dans une équipe mobile gériatrique : une étude qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Canali ; De montgolfier s. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 53-58 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Équipe mobile ; G:Gériatrie ; M:Médecin ; M:Médecine générale ; P:Personne âgée ; S:Satisfaction Résumé : La prise en charge gériatrique ambulatoire est un enjeu de santé publique. À l’horizon 2060, il est estimé une hausse de 80 % de la population âgée de plus de 60ans. En parallèle, les pathologies liées à l’âge vont augmenter. Près du tiers des hospitalisations actuelles concernent des personnes de plus de 75ans. Le médecin traitant est au cœur de la prise en charge des personnes âgées afin de garantir une continuité de soin en ville. La collaboration entre les médecins de ville et les réseaux doit être optimale pour éviter l’hospitalisation des patients âgés. L’objectif de cette étude était d’évaluer la satisfaction des médecins traitants inclus dans un réseau ville-hôpital de gériatrie. Une étude observationnelle et rétrospective a été réalisée auprès de médecins généralistes du Grand Versailles, ayant participé au réseau gériatrique EPSILON durant l’année 2013. Les patients inclus suivis au domicile par l’équipe mobile de gériatrie avaient plus de 75ans. Neuf médecins traitants ont répondu à un hétéro-questionnaire qualitatif constitué de questions fermées et ouvertes, permettant d’accéder à un échantillon de 15 patients suivis. Le niveau de satisfaction globale des médecins interrogés était de 8 sur 10. Ils ont souligné être satisfaits par l’avis d’expert donné, de la possibilité d’une prise en charge de type hospitalier, et de la facilitation de la mise en place d’aides par le réseau. Le suivi des prescriptions proposées était respectivement de 72 % pour les prescriptions médicales, 74 % pour les prescriptions paramédicales et 100 % des prescriptions sociales. Néanmoins, les délais concernant la prise en charge sociale étaient jugés trop longs. Le pourcentage de refus d’aides par les patients n’était pas négligeable dans notre étude. Les médecins généralistes étaient satisfaits du rôle d’une équipe mobile gériatrique dans leur activité quotidienne. Les délais de mise en place d’aides à domicile et les refus d’aides par les patients ou leurs familles représentaient leurs principales difficultés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30319 [article] Satisfaction des médecins généralistes intégrés dans une équipe mobile gériatrique : une étude qualitative [texte imprimé] / C. Canali ; De montgolfier s. . - 2016 . - p. 53-58. Langues : Français (fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 53-58 Catégories : Alpha E:Équipe mobile ; G:Gériatrie ; M:Médecin ; M:Médecine générale ; P:Personne âgée ; S:Satisfaction Résumé : La prise en charge gériatrique ambulatoire est un enjeu de santé publique. À l’horizon 2060, il est estimé une hausse de 80 % de la population âgée de plus de 60ans. En parallèle, les pathologies liées à l’âge vont augmenter. Près du tiers des hospitalisations actuelles concernent des personnes de plus de 75ans. Le médecin traitant est au cœur de la prise en charge des personnes âgées afin de garantir une continuité de soin en ville. La collaboration entre les médecins de ville et les réseaux doit être optimale pour éviter l’hospitalisation des patients âgés. L’objectif de cette étude était d’évaluer la satisfaction des médecins traitants inclus dans un réseau ville-hôpital de gériatrie. Une étude observationnelle et rétrospective a été réalisée auprès de médecins généralistes du Grand Versailles, ayant participé au réseau gériatrique EPSILON durant l’année 2013. Les patients inclus suivis au domicile par l’équipe mobile de gériatrie avaient plus de 75ans. Neuf médecins traitants ont répondu à un hétéro-questionnaire qualitatif constitué de questions fermées et ouvertes, permettant d’accéder à un échantillon de 15 patients suivis. Le niveau de satisfaction globale des médecins interrogés était de 8 sur 10. Ils ont souligné être satisfaits par l’avis d’expert donné, de la possibilité d’une prise en charge de type hospitalier, et de la facilitation de la mise en place d’aides par le réseau. Le suivi des prescriptions proposées était respectivement de 72 % pour les prescriptions médicales, 74 % pour les prescriptions paramédicales et 100 % des prescriptions sociales. Néanmoins, les délais concernant la prise en charge sociale étaient jugés trop longs. Le pourcentage de refus d’aides par les patients n’était pas négligeable dans notre étude. Les médecins généralistes étaient satisfaits du rôle d’une équipe mobile gériatrique dans leur activité quotidienne. Les délais de mise en place d’aides à domicile et les refus d’aides par les patients ou leurs familles représentaient leurs principales difficultés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30319

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