Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Journal des Plaies et Cicatrisations . 92Mention de date : Mars 2014Paru le : 01/03/2014 |
Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
M003807 | JOU | Revue | Mouscron | Soins Infirmiers (M) | Disponible |
T005594 | JOU | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierEpidémiologie des troubles trophyques dans le service d'hémodialyse chronique du CHU Lapeyronie Montpellier / H. Weclawiak in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Epidémiologie des troubles trophyques dans le service d'hémodialyse chronique du CHU Lapeyronie Montpellier Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Weclawiak, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 6-10 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Amputation ; D:Diabète ; H:Hémodialyse ; P:PlaieRésumé : Les plaies chroniques sont fréquentes chez les patients hémodialysés. Les facteurs vasculaires liés à l’insuffisance rénale chronique et le diabète sont deux déterminants majeurs dans l’apparition de troubles trophiques. Cette étude observationnelle menée chez des patients hémodialysés au CHU Lapeyronie, Montpellier (n=130) montre une prévalence de l’amputation de 6,9% et une prévalence des plaies chroniques de 7,69%. Le diabète est le facteur le plus fortement associé aux troubles trophiques (OR=15,9, p=0,003). Ces résultats sont similaires à des études épidémiologiques précédentes de plus grand effectif. Cependant, la prévalence du diabète est plus importante dans notre cohorte (36,9% vs 21,5%). Ces résultats encourageants peuvent être expliqués par : I) une prise en charge pluridisciplinaire avec une équipe spécialisée dans le traitement des plaies chroniques ; II) un dépistage régulier des plaies débutantes ; III) une méthode de dialyse par hémodiafiltration qui pourrait contribuer à une meilleure cicatrisation que l’hémodialyse conventionnelle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26812
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 6-10[article] Epidémiologie des troubles trophyques dans le service d'hémodialyse chronique du CHU Lapeyronie Montpellier [texte imprimé] / H. Weclawiak, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 6-10.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 6-10
Catégories : Alpha
A:Amputation ; D:Diabète ; H:Hémodialyse ; P:PlaieRésumé : Les plaies chroniques sont fréquentes chez les patients hémodialysés. Les facteurs vasculaires liés à l’insuffisance rénale chronique et le diabète sont deux déterminants majeurs dans l’apparition de troubles trophiques. Cette étude observationnelle menée chez des patients hémodialysés au CHU Lapeyronie, Montpellier (n=130) montre une prévalence de l’amputation de 6,9% et une prévalence des plaies chroniques de 7,69%. Le diabète est le facteur le plus fortement associé aux troubles trophiques (OR=15,9, p=0,003). Ces résultats sont similaires à des études épidémiologiques précédentes de plus grand effectif. Cependant, la prévalence du diabète est plus importante dans notre cohorte (36,9% vs 21,5%). Ces résultats encourageants peuvent être expliqués par : I) une prise en charge pluridisciplinaire avec une équipe spécialisée dans le traitement des plaies chroniques ; II) un dépistage régulier des plaies débutantes ; III) une méthode de dialyse par hémodiafiltration qui pourrait contribuer à une meilleure cicatrisation que l’hémodialyse conventionnelle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26812 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Plaies chroniques en France: Prévalence, caractéristiques et évolution. Améliorer l'organisation de la prise en charge en sortie d'hospitalisation / O. Rames in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Plaies chroniques en France: Prévalence, caractéristiques et évolution. Améliorer l'organisation de la prise en charge en sortie d'hospitalisation Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Rames, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 12-18 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cicatrisation ; D:Diabète ; E:Epidémiologie ; E:Escarre ; P:Plaie ; P:Plaie chronique ; R:Retour à domicile ; U:UlcèreRésumé : Contexte. Les plaies chroniques - escarre, ulcère veineux ou mixte et plaie du pied diabétique - représentent un enjeu de santé publique dont l’importance est mal connue en France. L’objectif de ce travail de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie était d’estimer la prévalence des plaies chroniques en France et d’en décrire les caractéristiques. Matériel et méthodes. L’étude était basée sur l’analyse des données du système national d’information inter-régimes de l’assurance maladie (SNIIRAM) qui inclut tous les remboursements de soins de ville et des informations sur les séjours hospitaliers des assurés français. La population était constituée de l’ensemble des assurés adultes consommants en 2012, soit 50,8 millions de personnes. Ont été considérés comme ayant une plaie chronique les patients ayant bénéficié de remboursement(s) de pansements primaires (hors patients en suite d’intervention chirurgicale). Le traitement pour diabète, le remboursement de matelas, surmatelas, coussins anti-escarre et compressions veineuses (LPP), la réalisation éventuelle d’un échodoppler veineux ont permis de distinguer les différents types de plaie (escarre, ulcère veineux mixte et artériel, plaie du pied diabétique). Résultats. Au total, 667194 patients avec une plaie ont été identifiés: 23 % avec une escarre (âge moyen 80 ans), 66 % un ulcère veineux, mixte ou artériel (âge moyen 70 ans) et 11 % une plaie du pied diabétique (âge moyen 73 ans); 42 % (278812) de ces patients ont été identifiés suite à une hospitalisation (30,5 %) ou une consultation externe en établissement public (11,5 %) en 2012. Les durées de cicatrisation observées étaient longues (durée moyenne de cicatrisation de 271 jours pour les escarres, 147 jours pour les ulcères veineux, mixtes ou artériels et 200 jours pour les plaies du pied diabétique). Les taux de récidive, d’hospitalisation à 2 mois en fin de plaie et de décès à 2 mois des patients étaient importants, en particulier pour les escarres (respectivement 19 %, 30 %, 23 %). Conclusion et perspectives. La prévention, la réduction des durées de cicatrisation et des récidives Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26813
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 12-18[article] Plaies chroniques en France: Prévalence, caractéristiques et évolution. Améliorer l'organisation de la prise en charge en sortie d'hospitalisation [texte imprimé] / O. Rames, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 12-18.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 12-18
Catégories : Alpha
C:Cicatrisation ; D:Diabète ; E:Epidémiologie ; E:Escarre ; P:Plaie ; P:Plaie chronique ; R:Retour à domicile ; U:UlcèreRésumé : Contexte. Les plaies chroniques - escarre, ulcère veineux ou mixte et plaie du pied diabétique - représentent un enjeu de santé publique dont l’importance est mal connue en France. L’objectif de ce travail de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie était d’estimer la prévalence des plaies chroniques en France et d’en décrire les caractéristiques. Matériel et méthodes. L’étude était basée sur l’analyse des données du système national d’information inter-régimes de l’assurance maladie (SNIIRAM) qui inclut tous les remboursements de soins de ville et des informations sur les séjours hospitaliers des assurés français. La population était constituée de l’ensemble des assurés adultes consommants en 2012, soit 50,8 millions de personnes. Ont été considérés comme ayant une plaie chronique les patients ayant bénéficié de remboursement(s) de pansements primaires (hors patients en suite d’intervention chirurgicale). Le traitement pour diabète, le remboursement de matelas, surmatelas, coussins anti-escarre et compressions veineuses (LPP), la réalisation éventuelle d’un échodoppler veineux ont permis de distinguer les différents types de plaie (escarre, ulcère veineux mixte et artériel, plaie du pied diabétique). Résultats. Au total, 667194 patients avec une plaie ont été identifiés: 23 % avec une escarre (âge moyen 80 ans), 66 % un ulcère veineux, mixte ou artériel (âge moyen 70 ans) et 11 % une plaie du pied diabétique (âge moyen 73 ans); 42 % (278812) de ces patients ont été identifiés suite à une hospitalisation (30,5 %) ou une consultation externe en établissement public (11,5 %) en 2012. Les durées de cicatrisation observées étaient longues (durée moyenne de cicatrisation de 271 jours pour les escarres, 147 jours pour les ulcères veineux, mixtes ou artériels et 200 jours pour les plaies du pied diabétique). Les taux de récidive, d’hospitalisation à 2 mois en fin de plaie et de décès à 2 mois des patients étaient importants, en particulier pour les escarres (respectivement 19 %, 30 %, 23 %). Conclusion et perspectives. La prévention, la réduction des durées de cicatrisation et des récidives Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26813 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Evaluation de la part financière du traitement par pression négative des plaies dans le groupe homogène de séjour / E. Bernard in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Evaluation de la part financière du traitement par pression négative des plaies dans le groupe homogène de séjour Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Bernard, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 19-22 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Coût ; P:Pression négative ; T:ThérapieRésumé : La thérapie par pression négative (TPN) a vu son utilisation quintupler dans notre centre hospitalier avec la création d’une nouvelle spécialité, la chirurgie vasculaire. L’objectif de l’étude était d’identifier le coût imputé à cette technique, au regard de la valorisation, liée à la tarification à l’activité, des séjours des patients traités en chirurgie vasculaire. Vingt-deux patients ont été pris en charge sur le centre par TPN de 2012 à 2013. L’analyse de leurs dossiers médicaux a permis de déterminer pour chaque TPN: l’indication, le rythme de renouvellement et l’évolution de la plaie. Pour chaque patient, les coûts des consommables utilisés et de la location du système délivrant une pression négative ont été chiffrés, tout comme la valorisation des séjours enregistrés (groupes homogènes de séjours GHS). La TPN a permis une cicatrisation effective dans 87 % des cas, pour un coût de la technique s’élevant en moyenne à 7 % des GHS (consommables: 8795€ et locations de pompes: 10860€). Au niveau de la cotation médicale, un diagnostic principal sous-estimé a dû être corrigé par le médecin du département d’information médicale de l’établissement et a conduit à une réévaluation du GHS pour ce patient de 4712€à 16421€. En alternative des pansements classiques et au regard de
nos résultats médico-économiques, cette thérapie efficace garde donc toute sa légitimité dans l’arsenal thérapeutique à proposer pour la prise en charge des plaies. Parallèlement, l’exhaustivité de la cotation médicale des chirurgiens, prérequis indispensable et garant «économique», doit être facilitée et fiabilisée. Les dépenses pharmaceutiques liées au recours à la TPN doivent toujours être associées à la valorisation des séjours des malades et au bénéfice clinique pour le patient. Elles prennent alors une signification complètement différente.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26814
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 19-22[article] Evaluation de la part financière du traitement par pression négative des plaies dans le groupe homogène de séjour [texte imprimé] / E. Bernard, Auteur . - 2014 . - p. 19-22.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 19-22
Catégories : Alpha
C:Coût ; P:Pression négative ; T:ThérapieRésumé : La thérapie par pression négative (TPN) a vu son utilisation quintupler dans notre centre hospitalier avec la création d’une nouvelle spécialité, la chirurgie vasculaire. L’objectif de l’étude était d’identifier le coût imputé à cette technique, au regard de la valorisation, liée à la tarification à l’activité, des séjours des patients traités en chirurgie vasculaire. Vingt-deux patients ont été pris en charge sur le centre par TPN de 2012 à 2013. L’analyse de leurs dossiers médicaux a permis de déterminer pour chaque TPN: l’indication, le rythme de renouvellement et l’évolution de la plaie. Pour chaque patient, les coûts des consommables utilisés et de la location du système délivrant une pression négative ont été chiffrés, tout comme la valorisation des séjours enregistrés (groupes homogènes de séjours GHS). La TPN a permis une cicatrisation effective dans 87 % des cas, pour un coût de la technique s’élevant en moyenne à 7 % des GHS (consommables: 8795€ et locations de pompes: 10860€). Au niveau de la cotation médicale, un diagnostic principal sous-estimé a dû être corrigé par le médecin du département d’information médicale de l’établissement et a conduit à une réévaluation du GHS pour ce patient de 4712€à 16421€. En alternative des pansements classiques et au regard de
nos résultats médico-économiques, cette thérapie efficace garde donc toute sa légitimité dans l’arsenal thérapeutique à proposer pour la prise en charge des plaies. Parallèlement, l’exhaustivité de la cotation médicale des chirurgiens, prérequis indispensable et garant «économique», doit être facilitée et fiabilisée. Les dépenses pharmaceutiques liées au recours à la TPN doivent toujours être associées à la valorisation des séjours des malades et au bénéfice clinique pour le patient. Elles prennent alors une signification complètement différente.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26814 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Enfants maltraités : les lésions cutanées font-elles le diagnostic? / M. Balencon in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Enfants maltraités : les lésions cutanées font-elles le diagnostic? Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Balencon, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 23-27 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Ecchymose ; E:Enfant ; L:Lésion et blessure ; M:Maltraitance ; N:Nourrisson ; S:Signalement ; V:ViolenceRésumé : Dans les pays à haut niveau économique, 4 à 16 % des mineurs seraient victimes de violences de quelque nature que ce soit. Ce type de situation semble assez mal connue des praticiens de terrain. Leur prise en charge repose sur la même démarche diagnostique que toute autre pathologie médicale. En effet, il convient en premier lieu d’évoquer le diagnostic pour mettre en place une prise en charge adaptée dans le but de limiter la mortalité, la morbidité, les récidives et d’adapter des mesures de prévention. Force est de constater que la maltraitance n’est pas une problématique médicale comme une autre. En effet, son évocation s’attaque aux représentations que les praticiens peuvent avoir tant sur le plan social que sur l’éducation, la justice ou la santé des enfants. Si des lésions cutanées sont rencontrées dans la grande majorité des situations de violences physiques, moins de 10% seront spécifiques de par leur aspect. Retenir le diagnostic de maltraitance avec un auteur désigné reste in fine de la responsabilité des magistrats qui qualifient les infractions. En revanche, retenir et gérer le diagnostic de traumatisme infligé par un tiers est de la responsabilité des professionnels de santé. Il est nécessaire de s’appuyer sur des équipes rompues à ce type de pratique et de ne pas rester seul face à cette problématique lourde à gérer. En outre, la gestion de ces situations autorise les professionnels de santé à se délier du secret professionnel dans des conditions prévues par les différents codes en vigueur. Cette option doit être connue des professionnels de santé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26815
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 23-27[article] Enfants maltraités : les lésions cutanées font-elles le diagnostic? [texte imprimé] / M. Balencon, Auteur . - 2014 . - p. 23-27.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 23-27
Catégories : Alpha
E:Ecchymose ; E:Enfant ; L:Lésion et blessure ; M:Maltraitance ; N:Nourrisson ; S:Signalement ; V:ViolenceRésumé : Dans les pays à haut niveau économique, 4 à 16 % des mineurs seraient victimes de violences de quelque nature que ce soit. Ce type de situation semble assez mal connue des praticiens de terrain. Leur prise en charge repose sur la même démarche diagnostique que toute autre pathologie médicale. En effet, il convient en premier lieu d’évoquer le diagnostic pour mettre en place une prise en charge adaptée dans le but de limiter la mortalité, la morbidité, les récidives et d’adapter des mesures de prévention. Force est de constater que la maltraitance n’est pas une problématique médicale comme une autre. En effet, son évocation s’attaque aux représentations que les praticiens peuvent avoir tant sur le plan social que sur l’éducation, la justice ou la santé des enfants. Si des lésions cutanées sont rencontrées dans la grande majorité des situations de violences physiques, moins de 10% seront spécifiques de par leur aspect. Retenir le diagnostic de maltraitance avec un auteur désigné reste in fine de la responsabilité des magistrats qui qualifient les infractions. En revanche, retenir et gérer le diagnostic de traumatisme infligé par un tiers est de la responsabilité des professionnels de santé. Il est nécessaire de s’appuyer sur des équipes rompues à ce type de pratique et de ne pas rester seul face à cette problématique lourde à gérer. En outre, la gestion de ces situations autorise les professionnels de santé à se délier du secret professionnel dans des conditions prévues par les différents codes en vigueur. Cette option doit être connue des professionnels de santé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26815 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Nouveau-né en assistance respiratoire par circulation extra-corporelle: prévention d'escarre sans mobilisation / E. Thueux in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Nouveau-né en assistance respiratoire par circulation extra-corporelle: prévention d'escarre sans mobilisation Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Thueux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 28-33 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Assistance ; C:Circulation extracorporelle ; E:Escarre ; F:Facteur de risque ; N:Nourrisson ; N:Nouveau-né ; R:RéanimationRésumé : L’escarre est un évènement rare en réanimation chez le nouveau-né et le nourrisson. Toutefois, nous avons constaté leur survenue en fréquence anormale chez les enfants placés sous circulation extra-corporelle. L’objectif de notre étude est d’analyser les facteurs de risque d’escarre chez ces patients. Les dossiers de 29 enfants ont été analysés rétrospectivement. Huit de ces enfants ont présenté une escarre occipitale. L’immobilité et sa durée semblent être l’élément déterminant de la survenue d’une escarre dans cette population. Cette étude nous a permis de proposer un protocole de soins de prévention d’escarre adapté à cette spécificité de soins. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26816
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 28-33[article] Nouveau-né en assistance respiratoire par circulation extra-corporelle: prévention d'escarre sans mobilisation [texte imprimé] / E. Thueux, Auteur . - 2014 . - p. 28-33.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 28-33
Catégories : Alpha
A:Assistance ; C:Circulation extracorporelle ; E:Escarre ; F:Facteur de risque ; N:Nourrisson ; N:Nouveau-né ; R:RéanimationRésumé : L’escarre est un évènement rare en réanimation chez le nouveau-né et le nourrisson. Toutefois, nous avons constaté leur survenue en fréquence anormale chez les enfants placés sous circulation extra-corporelle. L’objectif de notre étude est d’analyser les facteurs de risque d’escarre chez ces patients. Les dossiers de 29 enfants ont été analysés rétrospectivement. Huit de ces enfants ont présenté une escarre occipitale. L’immobilité et sa durée semblent être l’élément déterminant de la survenue d’une escarre dans cette population. Cette étude nous a permis de proposer un protocole de soins de prévention d’escarre adapté à cette spécificité de soins. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26816 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les complications des lambeaux cutanés / Christian Herlin in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Les complications des lambeaux cutanés Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Herlin, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 34-39 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Chirurgie ; C:Complication ; P:Peau ; P:Pression négative ; S:Sangsue ; T:ThérapieRésumé : L’utilisation des lambeaux cutanés est usuelle et ancienne. La nécrose partielle ou totale du lambeau est la complication la plus fréquente, elle survient dans 5 à 20 % des cas en fonction du type de lambeau. L’insuffisance d’apport artériel ou la difficulté du retour veineux peuvent être liées soit à une erreur technique lors de l’intervention soit à une mauvaise gestion post-opératoire du lambeau et/ou du patient. Les moyens de prévention de ces complications sont la surveillance clinique, aidée parfois de certains instruments de mesure (dopplers, oxymétrie transcutanée, thermographie, microdialyse…), le bon positionnement du patient en décharge et/ou en immobilisation, l’anti-agrégation ou l’anticoagulation dans certaines circonstances. En cas de souffrance cutanée, une reprise chirurgicale est parfois nécessaire pour identifier la cause de la thrombose et la traiter. L’utilisation des sangsues, la thérapie par pression négative est enfin d’un grand apport si cette souffrance s’installe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26817
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 34-39[article] Les complications des lambeaux cutanés [texte imprimé] / Christian Herlin, Auteur . - 2014 . - p. 34-39.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 34-39
Catégories : Alpha
C:Chirurgie ; C:Complication ; P:Peau ; P:Pression négative ; S:Sangsue ; T:ThérapieRésumé : L’utilisation des lambeaux cutanés est usuelle et ancienne. La nécrose partielle ou totale du lambeau est la complication la plus fréquente, elle survient dans 5 à 20 % des cas en fonction du type de lambeau. L’insuffisance d’apport artériel ou la difficulté du retour veineux peuvent être liées soit à une erreur technique lors de l’intervention soit à une mauvaise gestion post-opératoire du lambeau et/ou du patient. Les moyens de prévention de ces complications sont la surveillance clinique, aidée parfois de certains instruments de mesure (dopplers, oxymétrie transcutanée, thermographie, microdialyse…), le bon positionnement du patient en décharge et/ou en immobilisation, l’anti-agrégation ou l’anticoagulation dans certaines circonstances. En cas de souffrance cutanée, une reprise chirurgicale est parfois nécessaire pour identifier la cause de la thrombose et la traiter. L’utilisation des sangsues, la thérapie par pression négative est enfin d’un grand apport si cette souffrance s’installe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26817 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Est-il temps de reconsidérer le rôle de la compression pour les ulcères variqueux chroniques de jambes? / J.F. Guest in Journal des Plaies et Cicatrisations, 92 (Mars 2014)
[article]
Titre : Est-il temps de reconsidérer le rôle de la compression pour les ulcères variqueux chroniques de jambes? Type de document : texte imprimé Auteurs : J.F. Guest, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 40-47 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bandage de compression ; C:Compression ; J:Jambe ; P:Plaie chronique ; U:Ulcère de jambe ; U:Ulcère variqueuxRésumé : Objectif: évaluer le rôle de la compression sur des ulcères variqueux chroniques de jambes (UVCJ) évoluant depuis plus de 3 mois. Méthode: les dossiers médicaux de patients de trois bases de données distinctes, avec UVCJ existant depuis plus de 3 mois ont été réanalysés. Deux d’entre elles provenaient d’audits de pratique clinique et la troisième d’un essai randomisé contrôlé. Dans chacune des études, certains patients n’ont jamais été traités par compression. L’effet de la compression sur la cicatrisation à 6 mois a été évalué par régression logistique. Résultats: dans chaque étude, les patients avec compression et sans compression ont été regroupés en fonction de la taille de l’ulcère et de sa durée; les comorbidités ne présentaient pas de différence. La comparaison des groupes sans compression et avec compression montre que le taux de cicatrisation à 6 mois était de 68 %, contre 48 % dans l’étude 1, 12 % contre 6 % dans l’étude 2 et de 26 % contre 11 % dans l’étude 3. Il s’avère que la compression est une variable indépendante de non-cicatrisation, avec un Odd Ratio respectivement de 0,422, 0,456 et 0,408, dans les études 1, 2 et 3. Conclusion: le taux de cicatrisation des UVCJ de plus de 3 mois dans les groupes sans compression est deux fois supérieur à celui des groupes avec compression. Ces résultats pourraient entraîner une révision des traitements s’ils sont confirmés par une étude prospective. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26818
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 40-47[article] Est-il temps de reconsidérer le rôle de la compression pour les ulcères variqueux chroniques de jambes? [texte imprimé] / J.F. Guest, Auteur . - 2014 . - p. 40-47.
Langues : Français (fre)
in Journal des Plaies et Cicatrisations > 92 (Mars 2014) . - p. 40-47
Catégories : Alpha
B:Bandage de compression ; C:Compression ; J:Jambe ; P:Plaie chronique ; U:Ulcère de jambe ; U:Ulcère variqueuxRésumé : Objectif: évaluer le rôle de la compression sur des ulcères variqueux chroniques de jambes (UVCJ) évoluant depuis plus de 3 mois. Méthode: les dossiers médicaux de patients de trois bases de données distinctes, avec UVCJ existant depuis plus de 3 mois ont été réanalysés. Deux d’entre elles provenaient d’audits de pratique clinique et la troisième d’un essai randomisé contrôlé. Dans chacune des études, certains patients n’ont jamais été traités par compression. L’effet de la compression sur la cicatrisation à 6 mois a été évalué par régression logistique. Résultats: dans chaque étude, les patients avec compression et sans compression ont été regroupés en fonction de la taille de l’ulcère et de sa durée; les comorbidités ne présentaient pas de différence. La comparaison des groupes sans compression et avec compression montre que le taux de cicatrisation à 6 mois était de 68 %, contre 48 % dans l’étude 1, 12 % contre 6 % dans l’étude 2 et de 26 % contre 11 % dans l’étude 3. Il s’avère que la compression est une variable indépendante de non-cicatrisation, avec un Odd Ratio respectivement de 0,422, 0,456 et 0,408, dans les études 1, 2 et 3. Conclusion: le taux de cicatrisation des UVCJ de plus de 3 mois dans les groupes sans compression est deux fois supérieur à celui des groupes avec compression. Ces résultats pourraient entraîner une révision des traitements s’ils sont confirmés par une étude prospective. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26818 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003807 JOU Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005594 JOU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible