Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 02/12 à Tournai : Fermé Mercredi matin jusque 13h00 (cours en commu).
Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 02/12 à Mouscron : Lundi : ouverture à 10h30 et fermeture à 17h00.
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
La revue de gériatrie . Tome 39, 3Plaies et escarresMention de date : Mars 2014 Paru le : 01/03/2014 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
T005423 | REV | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierFin de vie en EHPAD : résultat d'une étude rétrospective nationale en France / Lucas Morin in La revue de gériatrie, Tome 39, 3 (Mars 2014)
[article]
Titre : Fin de vie en EHPAD : résultat d'une étude rétrospective nationale en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Morin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 145-157 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins de longue duréeRésumé : Contexte : les Etablissements d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD) sont désormais un lieu de décès fréquent pour les personnes âgées.
Pourtant, nous ne disposons en France que de peu d’éléments fiables pour analyser la réalité de la fin de vie dans ces établissements.
Objectif : décrire les conditions de la fin de vie des résidents en EHPAD, en particulier l’évolution de leur état de santé et les soins qui leurs sont délivrés au cours des dernières semaines de vie.
Méthodes : étude transversale rétrospective auprès de l’ensemble des EHPAD de France métropolitaine. Les médecins coordonnateurs ont été invités, grâce à un questionnaire, à décrire l’organisation de l’accompagnement de la fin de vie au sein de leur établissement, à notifier le lieu de décès de l’ensemble des résidents décédés entre le 1er janvier et le 31 décembre 2012, et à recueillir des informations détaillées portant sur lesdeux dernières semaines de vie des 5 derniers résidents décédés au sein de leur établissement.
Résultats : 3 705 établissements ont participé à l’étude (taux de réponse : 53,7 %), constituant un échantillon représentatif de l’ensemble des EHPAD de France métropolitaine. Seuls 13,8 % des EHPAD disposent d’un infirmier présent sur place la nuit et moins d’un tiers (29,5 %) a identifié un infirmier de l’établissement comme « référent » pour les soins palliatifs et la fin de vie.
En 2012, 25,3 % de l’ensemble des décès (n= 70 622) sont survenus au sein d’un établissement de santé. Parmi les 15 276 résidents décédés de façon « non-soudaine et plus ou moins attendue » inclus dans l’étude, 54,1 % ont reçu des antalgiques de palier 3 au cours des deux semaines qui ont précédé leur décès ; 39,7 % ont été concernés par une décision de limitation ou d’arrêt des traitements susceptibles d’influencer la survie ; 23,4 % ont été hospitalisés en urgence au moins une fois. Entre le 7ème jour et la veille du décès, un quart des résidents (23,5 %) ont souffert d’un réel inconfort physique ; 75,1 % ont été entourés par leurs proches. Au cours des 24 dernières heures de vie, 6,7 % des résidents ont souffert de douleurs intenses ; 4,3 % des situations ont abouti à un appel au SAMU. Seuls 23,4 % d’entre eux étaient en capacité de communiquer de façon lucide.
Conclusion : cette étude nationale offre un aperçu inédit des conditions de la fin de vie dans les EHPAD en France. Elle montre que celles-ci pourraient être améliorées facilement et à moindre coût, en mobilisant réellement les ressources existantes au sein des établissements et en mettant en place des postes d’infirmier de nuit pour limiter les hospitalisations en fin de vie lorsqu’elles sont évitables.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26109
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 145-157[article] Fin de vie en EHPAD : résultat d'une étude rétrospective nationale en France [texte imprimé] / Lucas Morin, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 145-157.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 145-157
Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgée ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins de longue duréeRésumé : Contexte : les Etablissements d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD) sont désormais un lieu de décès fréquent pour les personnes âgées.
Pourtant, nous ne disposons en France que de peu d’éléments fiables pour analyser la réalité de la fin de vie dans ces établissements.
Objectif : décrire les conditions de la fin de vie des résidents en EHPAD, en particulier l’évolution de leur état de santé et les soins qui leurs sont délivrés au cours des dernières semaines de vie.
Méthodes : étude transversale rétrospective auprès de l’ensemble des EHPAD de France métropolitaine. Les médecins coordonnateurs ont été invités, grâce à un questionnaire, à décrire l’organisation de l’accompagnement de la fin de vie au sein de leur établissement, à notifier le lieu de décès de l’ensemble des résidents décédés entre le 1er janvier et le 31 décembre 2012, et à recueillir des informations détaillées portant sur lesdeux dernières semaines de vie des 5 derniers résidents décédés au sein de leur établissement.
Résultats : 3 705 établissements ont participé à l’étude (taux de réponse : 53,7 %), constituant un échantillon représentatif de l’ensemble des EHPAD de France métropolitaine. Seuls 13,8 % des EHPAD disposent d’un infirmier présent sur place la nuit et moins d’un tiers (29,5 %) a identifié un infirmier de l’établissement comme « référent » pour les soins palliatifs et la fin de vie.
En 2012, 25,3 % de l’ensemble des décès (n= 70 622) sont survenus au sein d’un établissement de santé. Parmi les 15 276 résidents décédés de façon « non-soudaine et plus ou moins attendue » inclus dans l’étude, 54,1 % ont reçu des antalgiques de palier 3 au cours des deux semaines qui ont précédé leur décès ; 39,7 % ont été concernés par une décision de limitation ou d’arrêt des traitements susceptibles d’influencer la survie ; 23,4 % ont été hospitalisés en urgence au moins une fois. Entre le 7ème jour et la veille du décès, un quart des résidents (23,5 %) ont souffert d’un réel inconfort physique ; 75,1 % ont été entourés par leurs proches. Au cours des 24 dernières heures de vie, 6,7 % des résidents ont souffert de douleurs intenses ; 4,3 % des situations ont abouti à un appel au SAMU. Seuls 23,4 % d’entre eux étaient en capacité de communiquer de façon lucide.
Conclusion : cette étude nationale offre un aperçu inédit des conditions de la fin de vie dans les EHPAD en France. Elle montre que celles-ci pourraient être améliorées facilement et à moindre coût, en mobilisant réellement les ressources existantes au sein des établissements et en mettant en place des postes d’infirmier de nuit pour limiter les hospitalisations en fin de vie lorsqu’elles sont évitables.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26109 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005423 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Evaluation de la fragilité en soins primaires : comparaison de méthodes objectives et subjectives / Flavie Gleize in La revue de gériatrie, Tome 39, 3 (Mars 2014)
[article]
Titre : Evaluation de la fragilité en soins primaires : comparaison de méthodes objectives et subjectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Flavie Gleize, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 159-166 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Asthénie ; C:Chute ; D:Dépendance (autonomie) ; E:Evaluation ; F:Fragilité ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; R:Risque ; S:Soins infirmiers en gériatrie ; S:SubjectivitéRésumé : Introduction : La fragilité est un syndrome gériatrique qui se caractérise par un processus dynamique de vulnérabilité croissante favorisée par l’âge. Elle est associée à un risque augmenté de chute, d’hospitalisation, de perte d’autonomie et de décès.
Objectifs : Comparer l’évaluation objective de la fragilité selon les critères de Fried avec l’évaluation subjective perçue par le médecin et le patient, afin d’élaborer un outil de dépistage plus simple.
Méthodes : Étude descriptive prospective chez des patients de plus de 75 ans venant consulter au cabinet de trois médecins généralistes, durant 1 an. La fragilité était définie par la présence de trois critères parmi la perte de poids, la faiblesse musculaire, la fatigue subjective, la faible activité physique et la lenteur de marche.
Un ou deux critères présents définissaient les patients pré-fragiles. Le médecin traitant et le patient devaient estimer la fragilité par échelle numérique entre 0 et 10. Les patients étaient considérés comme pré-fragiles, de manière subjective, pour un score égal à 5 ou 6, et fragiles pour un score
#8805; 7.
Résultats : 64 patients ont été inclus (38 femmes et 26 hommes) âgés de 81,2 ± 5,0 ans. Selon les critères de Fried, 10 (15,6 %) étaient fragiles et 34 (53,1 %) étaient pré-fragiles. De manière subjective, 20 étaient considérés comme fragiles et 25 comme pré-fragiles pour le patient, contre 22 et 24 pour le médecin traitant. Seulement 2 patients étaient considérés comme fragiles à la fois pour le patient, le médecin traitant et de manière objective selon les critères de Fried. La fatigue subjective du patient était le critère le mieux corrélé (p = 0,0313) avec la fragilité objective selon Fried.
Conclusion : L’outil de Fried est de réalisation difficile en soins primaires. La fatigue subjective du patient constitue une piste intéressante pour un outil de dépistage simple en médecine générale afin de permettre une prise en charge précoce et retarder l’évolution vers la dépendance.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26110
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 159-166[article] Evaluation de la fragilité en soins primaires : comparaison de méthodes objectives et subjectives [texte imprimé] / Flavie Gleize, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 159-166.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 159-166
Catégories : Alpha
A:Asthénie ; C:Chute ; D:Dépendance (autonomie) ; E:Evaluation ; F:Fragilité ; P:Personne âgée ; P:Prévention ; R:Risque ; S:Soins infirmiers en gériatrie ; S:SubjectivitéRésumé : Introduction : La fragilité est un syndrome gériatrique qui se caractérise par un processus dynamique de vulnérabilité croissante favorisée par l’âge. Elle est associée à un risque augmenté de chute, d’hospitalisation, de perte d’autonomie et de décès.
Objectifs : Comparer l’évaluation objective de la fragilité selon les critères de Fried avec l’évaluation subjective perçue par le médecin et le patient, afin d’élaborer un outil de dépistage plus simple.
Méthodes : Étude descriptive prospective chez des patients de plus de 75 ans venant consulter au cabinet de trois médecins généralistes, durant 1 an. La fragilité était définie par la présence de trois critères parmi la perte de poids, la faiblesse musculaire, la fatigue subjective, la faible activité physique et la lenteur de marche.
Un ou deux critères présents définissaient les patients pré-fragiles. Le médecin traitant et le patient devaient estimer la fragilité par échelle numérique entre 0 et 10. Les patients étaient considérés comme pré-fragiles, de manière subjective, pour un score égal à 5 ou 6, et fragiles pour un score
#8805; 7.
Résultats : 64 patients ont été inclus (38 femmes et 26 hommes) âgés de 81,2 ± 5,0 ans. Selon les critères de Fried, 10 (15,6 %) étaient fragiles et 34 (53,1 %) étaient pré-fragiles. De manière subjective, 20 étaient considérés comme fragiles et 25 comme pré-fragiles pour le patient, contre 22 et 24 pour le médecin traitant. Seulement 2 patients étaient considérés comme fragiles à la fois pour le patient, le médecin traitant et de manière objective selon les critères de Fried. La fatigue subjective du patient était le critère le mieux corrélé (p = 0,0313) avec la fragilité objective selon Fried.
Conclusion : L’outil de Fried est de réalisation difficile en soins primaires. La fatigue subjective du patient constitue une piste intéressante pour un outil de dépistage simple en médecine générale afin de permettre une prise en charge précoce et retarder l’évolution vers la dépendance.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26110 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005423 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Prise en charge des escarres chez le patient âgé hospitalisé et utilisation du traitement des plaies par pression négative : une étude rétrospective / Claire Peloso in La revue de gériatrie, Tome 39, 3 (Mars 2014)
[article]
Titre : Prise en charge des escarres chez le patient âgé hospitalisé et utilisation du traitement des plaies par pression négative : une étude rétrospective Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire Peloso, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 167-173 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cicatrisation ; E:Efficacité ; E:Escarre ; E:Evaluation ; P:Personne âgée ; P:Plaie ; P:Pression négative ; T:TraitementRésumé : Contexte : La prise en charge des escarres est complexe et représente un enjeu majeur en Gériatrie. En cas d’échec des traitements conventionnels, un traitement par pression négative (TPN) peut être proposé pour les escarres de stade III ou IV.
Objectif : Evaluer l’efficacité clinique du TPN dans la prise en charge des escarres chez le sujet âgé hospitalisé.
Méthodes : L’étude est observationnelle, descriptive et rétrospective, chez des patients présentant des escarres de stade III ou IV, bénéficiant du TPN ou de pansements traditionnels. Le temps nécessaire à l’obtention d’un tissu de granulation est mesuré (critère principal).
Les critères médico-économiques à prendre en compte pour l’évaluation des coûts liés au TPN sont identifiés (critères secondaires).
Résultats : 37 patients sont inclus, dont 24 dans le « groupe TPN ». Un tissu de granulation est obtenu en 14 jours en moyenne pour le « groupe TPN » (versus 21 jours pour le « groupe pansements traditionnels »). Le tissu de bourgeonnement est toujours obtenu pendant la phase d’application du TPN.
Discussion : Les groupes constitués dans cette étude sont difficilement comparables, plaidant pour la mise en place d’études prospectives. L’utilisation du TPN remplit l’objectif recherché d’accélérer le processus de cicatrisation. Au vu de l’efficacité clinique, une utilisation en 1ère intention pourrait être proposée. L’évaluation médico-économique doit prendre en compte les coûts structurels et en matériel.
Conclusion : Une étude prospective, randomisée, multicentrique, permettrait d’évaluer l’intérêt médico-économique du TPN en 1ère intention dans la prise en charge des escarres chez le patient âgé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26111
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 167-173[article] Prise en charge des escarres chez le patient âgé hospitalisé et utilisation du traitement des plaies par pression négative : une étude rétrospective [texte imprimé] / Claire Peloso, Auteur . - 2014 . - p. 167-173.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 167-173
Catégories : Alpha
C:Cicatrisation ; E:Efficacité ; E:Escarre ; E:Evaluation ; P:Personne âgée ; P:Plaie ; P:Pression négative ; T:TraitementRésumé : Contexte : La prise en charge des escarres est complexe et représente un enjeu majeur en Gériatrie. En cas d’échec des traitements conventionnels, un traitement par pression négative (TPN) peut être proposé pour les escarres de stade III ou IV.
Objectif : Evaluer l’efficacité clinique du TPN dans la prise en charge des escarres chez le sujet âgé hospitalisé.
Méthodes : L’étude est observationnelle, descriptive et rétrospective, chez des patients présentant des escarres de stade III ou IV, bénéficiant du TPN ou de pansements traditionnels. Le temps nécessaire à l’obtention d’un tissu de granulation est mesuré (critère principal).
Les critères médico-économiques à prendre en compte pour l’évaluation des coûts liés au TPN sont identifiés (critères secondaires).
Résultats : 37 patients sont inclus, dont 24 dans le « groupe TPN ». Un tissu de granulation est obtenu en 14 jours en moyenne pour le « groupe TPN » (versus 21 jours pour le « groupe pansements traditionnels »). Le tissu de bourgeonnement est toujours obtenu pendant la phase d’application du TPN.
Discussion : Les groupes constitués dans cette étude sont difficilement comparables, plaidant pour la mise en place d’études prospectives. L’utilisation du TPN remplit l’objectif recherché d’accélérer le processus de cicatrisation. Au vu de l’efficacité clinique, une utilisation en 1ère intention pourrait être proposée. L’évaluation médico-économique doit prendre en compte les coûts structurels et en matériel.
Conclusion : Une étude prospective, randomisée, multicentrique, permettrait d’évaluer l’intérêt médico-économique du TPN en 1ère intention dans la prise en charge des escarres chez le patient âgé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26111 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005423 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible La prise en charge de la douleur dans les plaies chroniques / Y Passadori in La revue de gériatrie, Tome 39, 3 (Mars 2014)
[article]
Titre : La prise en charge de la douleur dans les plaies chroniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Y Passadori, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 175-185 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Diabète ; D:Douleur ; E:Evaluation ; P:Personne âgée ; P:Plaie chronique ; P:Prise en charge ; T:Traitement ; T:Trouble cognitifRésumé : Les plaies chroniques sont fréquentes dans la population âgée que ce soit des escarres, des ulcères ou des plaies diabétiques. La douleur est souvent mal diagnostiquée notamment chez les personnes âgées qui présentent des troubles de la communication, alors qu’il existe des outils validés d’auto-évaluation ou d’hétéro-évaluation. La prise en charge passe par une évaluation correcte systématique de la douleur ainsi qu’un diagnostic rigoureux du type de douleur. Le traitement reste complexe, médicamenteux et non médicamenteux, visant tout d’abord à éviter les douleurs provoquées par les soins. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26112
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 175-185[article] La prise en charge de la douleur dans les plaies chroniques [texte imprimé] / Y Passadori, Auteur . - 2014 . - p. 175-185.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 3 (Mars 2014) . - p. 175-185
Catégories : Alpha
D:Diabète ; D:Douleur ; E:Evaluation ; P:Personne âgée ; P:Plaie chronique ; P:Prise en charge ; T:Traitement ; T:Trouble cognitifRésumé : Les plaies chroniques sont fréquentes dans la population âgée que ce soit des escarres, des ulcères ou des plaies diabétiques. La douleur est souvent mal diagnostiquée notamment chez les personnes âgées qui présentent des troubles de la communication, alors qu’il existe des outils validés d’auto-évaluation ou d’hétéro-évaluation. La prise en charge passe par une évaluation correcte systématique de la douleur ainsi qu’un diagnostic rigoureux du type de douleur. Le traitement reste complexe, médicamenteux et non médicamenteux, visant tout d’abord à éviter les douleurs provoquées par les soins. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26112 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005423 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible