[article] 
inRevue internationale de soins palliatifs > Vol. 37, n°4 (Décembre 2023) . - p. 175-176

Titre :	Expériences de mort imminente. Au seuil de la conscience humaine ? Echos d’une journée organisée par Palliative Vaud dans le cadre de la journée mondiale des soins palliatifs, le 28 septembre 2023
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	François Rosselet, Auteur
Année de publication :	2023
Article en page(s) :	p. 175-176
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Alpha C:conscience ; E:Etat de conscience ; E:Expérience de mort imminente ; F:Fin de vie ; N:Neurosciences ; Q:Questionnement ; S:Subjectivité
Résumé :	La conscience survit-elle à la mort du corps ? Peut-on localiser la conscience dans le cerveau ou est-elle localisée ailleurs ? Qu’est-ce que la réalité ? Les EMI, visions ou hallucinations ? Et la neurobiologie dans tout ça ? Voilà les questions fascinantes auxquelles les plus de 600 participant.e.s ont été confronté.e.s dans le cadre du Théâtre de Beausobre à Morges (Suisse). Après un « Mot de bienvenue » de Laure-Isabelle Oggier, présidente de Palliative Vaud, c’est le prof. Phil Larkin qui nous introduit à la thématique du jour, ouvrant des perspectives sur des éléments « transcendants et mystiques » tirés des récits des expérienceurs ainsi que de la culture celtique dont il est issu (« À travers le voile »). Puis le Dr Christophe Fauré (« Cette vie… et au-delà : enquête sur la continuité de la conscience après la mort ») nous montre que la conscience ne se limite pas à « être conscient de… » dans la réalité quotidienne : les EMI (Expériences de mort imminente) indiquent « une continuité de l’expérience de la réalité alors même que l’activité cérébrale est compromise ou inexistante ». S’opposent ainsi deux visions : l’une, que l’on qualifiera de matérialiste, affirme que la conscience serait le produit de l’activité neuronale du cerveau, alors que l’autre postule une conscience qui serait localisée hors du cerveau – ce dernier n’étant alors qu’un récepteur, à la manière d’un smartphone qui fait passer des vidéos de Youtube qui pour autant ne se trouvent pas à l’intérieur du téléphone…
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53762

[article] Expériences de mort imminente. Au seuil de la conscience humaine ? Echos d’une journée organisée par Palliative Vaud dans le cadre de la journée mondiale des soins palliatifs, le 28 septembre 2023 [texte imprimé] / François Rosselet, Auteur . - 2023 . - p. 175-176.
Langues : Français (fre)
in Revue internationale de soins palliatifs > Vol. 37, n°4 (Décembre 2023) . - p. 175-176

Catégories :	Alpha C:conscience ; E:Etat de conscience ; E:Expérience de mort imminente ; F:Fin de vie ; N:Neurosciences ; Q:Questionnement ; S:Subjectivité
Résumé :	La conscience survit-elle à la mort du corps ? Peut-on localiser la conscience dans le cerveau ou est-elle localisée ailleurs ? Qu’est-ce que la réalité ? Les EMI, visions ou hallucinations ? Et la neurobiologie dans tout ça ? Voilà les questions fascinantes auxquelles les plus de 600 participant.e.s ont été confronté.e.s dans le cadre du Théâtre de Beausobre à Morges (Suisse). Après un « Mot de bienvenue » de Laure-Isabelle Oggier, présidente de Palliative Vaud, c’est le prof. Phil Larkin qui nous introduit à la thématique du jour, ouvrant des perspectives sur des éléments « transcendants et mystiques » tirés des récits des expérienceurs ainsi que de la culture celtique dont il est issu (« À travers le voile »). Puis le Dr Christophe Fauré (« Cette vie… et au-delà : enquête sur la continuité de la conscience après la mort ») nous montre que la conscience ne se limite pas à « être conscient de… » dans la réalité quotidienne : les EMI (Expériences de mort imminente) indiquent « une continuité de l’expérience de la réalité alors même que l’activité cérébrale est compromise ou inexistante ». S’opposent ainsi deux visions : l’une, que l’on qualifiera de matérialiste, affirme que la conscience serait le produit de l’activité neuronale du cerveau, alors que l’autre postule une conscience qui serait localisée hors du cerveau – ce dernier n’étant alors qu’un récepteur, à la manière d’un smartphone qui fait passer des vidéos de Youtube qui pour autant ne se trouvent pas à l’intérieur du téléphone…
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