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La revue de gériatrie . Tome 39, 1-Mention de date : Janvier 2014 Paru le : 06/01/2014 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
T005237 | T_39.n1_2014 | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
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[article]
Titre : Prescription médicamenteuse chez le sujet âgé : modifications thérapeutiques lors d'une hospitalisation en court séjour gériatrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Ponson, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 11-19 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Court séjour ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; E:Enquête ; E:Evaluation ; I:Iatrogénie médicamenteuse ; I:interaction médicamenteuse ; M:Médicament ; P:Paracétamol ; P:Patient hospitalisé ; P:Personne âgée ; P:Pharmacologie ; P:Polymédication ; P:Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux ; P:Prescription médicamenteuse inappropriéeRésumé : La prescription en gériatrie a des spécificités, avec notamment les modifications pharmacologiques liées à l’âge,
la polymédication, et le risque iatrogène. Lors du renouvellement d’une ordonnance, chaque médicament doit
être réévalué. L’objectif de ce travail était d’identifier la nature et les raisons des modifications des médicaments lors d’une hospitalisation en gériatrie, afin de limiter la iatrogénie chez le sujet âgé, souvent polypathologique,
et de limiter le nombre de médicaments.
Une étude descriptive a été réalisée auprès de 221 patients de plus de 70 ans hospitalisés dans 4 services de court séjour gériatrique de la région lyonnaise, sur une période de 2 mois. Les modifications des ordonnances
entre l’entrée et la sortie ont été étudiées. Parmi les médicaments les plus souvent arrêtés, on retrouve les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) et les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS). Tous les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et anti-arthrosiques,
ainsi que presque tous les vasodilatateurs centraux qui étaient prescrits ont été arrêtés. Les motifs d’arrêt étaient l’absence d’indication (37 % des cas), l’existence d’effets secondaires (13,2 %), le caractère inapproprié (7,7 %), et un Service médical rendu (SMR) insuffisant (5,9 %). L’excès de traitement concernait surtout les
IPP et les antihypertenseurs. Parmi les médicaments le plus souvent introduits, on retrouve le paracétamol, lamorphine, les benzodiazépines de courte demi-vie, les anticholinestérasiques. C’était le plus souvent pour un
problème aigu (61,7 % des cas) : essentiellement pour une prise en charge de la douleur, d’une constipation, de l’anxiété ou de l’insomnie. Dans cette étude, l’excès de traitement est donc prépondérant, plus que le défaut
de traitement et la prescription inappropriée. Il est donc important de réévaluer régulièrement l’ordonnance des sujets âgés, que ce soit lors d’une consultation de suivi chez le médecin généraliste ou au cours d’une hospitalisation, afin de limiter ces prescriptions non optimales. Eliminer les médicaments inutiles et ceux avec un SMR insuffisant permettrait déjà d’améliorer les ordonnances des sujets âgés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25682
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 11-19[article] Prescription médicamenteuse chez le sujet âgé : modifications thérapeutiques lors d'une hospitalisation en court séjour gériatrique [texte imprimé] / Isabelle Ponson, Auteur . - 2014 . - p. 11-19.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 11-19
Catégories : Alpha
C:Court séjour ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; E:Enquête ; E:Evaluation ; I:Iatrogénie médicamenteuse ; I:interaction médicamenteuse ; M:Médicament ; P:Paracétamol ; P:Patient hospitalisé ; P:Personne âgée ; P:Pharmacologie ; P:Polymédication ; P:Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux ; P:Prescription médicamenteuse inappropriéeRésumé : La prescription en gériatrie a des spécificités, avec notamment les modifications pharmacologiques liées à l’âge,
la polymédication, et le risque iatrogène. Lors du renouvellement d’une ordonnance, chaque médicament doit
être réévalué. L’objectif de ce travail était d’identifier la nature et les raisons des modifications des médicaments lors d’une hospitalisation en gériatrie, afin de limiter la iatrogénie chez le sujet âgé, souvent polypathologique,
et de limiter le nombre de médicaments.
Une étude descriptive a été réalisée auprès de 221 patients de plus de 70 ans hospitalisés dans 4 services de court séjour gériatrique de la région lyonnaise, sur une période de 2 mois. Les modifications des ordonnances
entre l’entrée et la sortie ont été étudiées. Parmi les médicaments les plus souvent arrêtés, on retrouve les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) et les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS). Tous les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et anti-arthrosiques,
ainsi que presque tous les vasodilatateurs centraux qui étaient prescrits ont été arrêtés. Les motifs d’arrêt étaient l’absence d’indication (37 % des cas), l’existence d’effets secondaires (13,2 %), le caractère inapproprié (7,7 %), et un Service médical rendu (SMR) insuffisant (5,9 %). L’excès de traitement concernait surtout les
IPP et les antihypertenseurs. Parmi les médicaments le plus souvent introduits, on retrouve le paracétamol, lamorphine, les benzodiazépines de courte demi-vie, les anticholinestérasiques. C’était le plus souvent pour un
problème aigu (61,7 % des cas) : essentiellement pour une prise en charge de la douleur, d’une constipation, de l’anxiété ou de l’insomnie. Dans cette étude, l’excès de traitement est donc prépondérant, plus que le défaut
de traitement et la prescription inappropriée. Il est donc important de réévaluer régulièrement l’ordonnance des sujets âgés, que ce soit lors d’une consultation de suivi chez le médecin généraliste ou au cours d’une hospitalisation, afin de limiter ces prescriptions non optimales. Eliminer les médicaments inutiles et ceux avec un SMR insuffisant permettrait déjà d’améliorer les ordonnances des sujets âgés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25682 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005237 T_39.n1_2014 Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le Temps Moyen Pondéré comme outil d'évaluation du temps clinique passé par le médecin traitement en EHPAD / Jan-Cédric Hansen in La revue de gériatrie, Tome 39, 1 (Janvier 2014)
[article]
Titre : Le Temps Moyen Pondéré comme outil d'évaluation du temps clinique passé par le médecin traitement en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : Jan-Cédric Hansen, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 21-31 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Enquête ; I:Infirmière libérale ; M:Maison de repos et de soins ; M:Médecin ; O:Outil ; P:Personne âgée ; T:Temps ; T:Travail (emploi)Résumé : Objectif : évaluer le temps nécessaire pour effectuer une visite dans les diverses situations rencontrées par un médecin traitant, libéral ou salarié, y compris les situations d’urgence et le temps non-clinique, et en déduire le temps clinique annuel moyen nécessaire à une bonne prise en charge et au suivi de chaque personne âgée, institutionnalisée en établissement hébergeant les personnes âgées dépendantes (EHPAD).
Méthodologie : enquête sur les pratiques des médecins traitants intervenant dans 35 EHPAD à l’aide d’un questionnaire standardisé validé par un précédent travail universitaire en vue d’établir le temps moyen annuel pour 100 résidents (TM %R) d’une part, et un nouvel index composite, le temps moyen pondéré (TMP) d’autre part.
Résultats : Sur le total des 35 EHPAD étudiés, l’effectif moyen par établissement est de 86 résidents, qui globalement expriment un GIR moyen pondéré (GMP) de 695 et un PATHOS moyen pondéré (PMP) de 194 associé à 11,7 % de soins médico-techniques importants (SMTI).
On compte en moyenne 12 médecins traitants par EHPAD, dont 11 % sont salariés. Les médecins traitants assurent 1 352 visites/an pour 100 lits dont moins de la moitié (45 %) de visites programmées, et 10 visitesde suivi/an et par résident. Le temps moyen varie de 24 minutes/visite à 57 minutes/visite en fonction de la gravité ou de la complexité de l’enjeu clinique posé au médecin intervenant au sein de l’EHPAD. Le TMP du médecin traitant libéral intervenant en EHPAD est de 32 minutes/visite/résident. L’ensemble donne une valeur globale de 9h00 par an et par résident, soit 900 heures pour un EHPAD de 100 lits, équivalent à 0,55 ETP pour un médecin salarié à 35h.
Discussion : les données du présent travail sont comparées au temps passé lors des visites au domicile de patients de plus de 70 ans publié par ailleurs, et des pistes de valorisation de ce temps de travail sont proposées.
Conclusion : Malgré ses limitations méthodologiques, le présent travail fait avec rigueur propose une vision significative du sujet de notre observation. L’objectif fixé a été atteint, à savoir déterminer une base de négociation cohérente pour valoriser l’intervention des médecins libéraux intervenant en EHPAD qui prenne en compte la réalité de leur pratique et la charge effective de travail et de temps que cela représente.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25683
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 21-31[article] Le Temps Moyen Pondéré comme outil d'évaluation du temps clinique passé par le médecin traitement en EHPAD [texte imprimé] / Jan-Cédric Hansen, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 21-31.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 21-31
Catégories : Alpha
E:Enquête ; I:Infirmière libérale ; M:Maison de repos et de soins ; M:Médecin ; O:Outil ; P:Personne âgée ; T:Temps ; T:Travail (emploi)Résumé : Objectif : évaluer le temps nécessaire pour effectuer une visite dans les diverses situations rencontrées par un médecin traitant, libéral ou salarié, y compris les situations d’urgence et le temps non-clinique, et en déduire le temps clinique annuel moyen nécessaire à une bonne prise en charge et au suivi de chaque personne âgée, institutionnalisée en établissement hébergeant les personnes âgées dépendantes (EHPAD).
Méthodologie : enquête sur les pratiques des médecins traitants intervenant dans 35 EHPAD à l’aide d’un questionnaire standardisé validé par un précédent travail universitaire en vue d’établir le temps moyen annuel pour 100 résidents (TM %R) d’une part, et un nouvel index composite, le temps moyen pondéré (TMP) d’autre part.
Résultats : Sur le total des 35 EHPAD étudiés, l’effectif moyen par établissement est de 86 résidents, qui globalement expriment un GIR moyen pondéré (GMP) de 695 et un PATHOS moyen pondéré (PMP) de 194 associé à 11,7 % de soins médico-techniques importants (SMTI).
On compte en moyenne 12 médecins traitants par EHPAD, dont 11 % sont salariés. Les médecins traitants assurent 1 352 visites/an pour 100 lits dont moins de la moitié (45 %) de visites programmées, et 10 visitesde suivi/an et par résident. Le temps moyen varie de 24 minutes/visite à 57 minutes/visite en fonction de la gravité ou de la complexité de l’enjeu clinique posé au médecin intervenant au sein de l’EHPAD. Le TMP du médecin traitant libéral intervenant en EHPAD est de 32 minutes/visite/résident. L’ensemble donne une valeur globale de 9h00 par an et par résident, soit 900 heures pour un EHPAD de 100 lits, équivalent à 0,55 ETP pour un médecin salarié à 35h.
Discussion : les données du présent travail sont comparées au temps passé lors des visites au domicile de patients de plus de 70 ans publié par ailleurs, et des pistes de valorisation de ce temps de travail sont proposées.
Conclusion : Malgré ses limitations méthodologiques, le présent travail fait avec rigueur propose une vision significative du sujet de notre observation. L’objectif fixé a été atteint, à savoir déterminer une base de négociation cohérente pour valoriser l’intervention des médecins libéraux intervenant en EHPAD qui prenne en compte la réalité de leur pratique et la charge effective de travail et de temps que cela représente.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25683 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005237 T_39.n1_2014 Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Prise de décision dans le vieillissement normal et neurodégératif / J.P. Jacus in La revue de gériatrie, Tome 39, 1 (Janvier 2014)
[article]
Titre : Prise de décision dans le vieillissement normal et neurodégératif Type de document : texte imprimé Auteurs : J.P. Jacus, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 35-49 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Fonction cognitive ; E:Evaluation ; P:Pathologie ; P:Personne âgée ; P:Prise de décision ; V:VieillissementRésumé : La prise de décision est une capacité indispensable à notre qualité de vie, sinon à notre survie, particulièrement au cours du vieillissement où le sujet âgé est amené à prendre des décisions importantes concernant ses finances, sa santé, etc. La prise de décision évaluée ensituation de laboratoire se réfère à la capacité d’adapter sa stratégie en fonction des renforcements reçus et de l’estimation des chances de réussite, afin d’effectuer les choix les plus avantageux. Elle est conçue selon un processus en trois étapes distinguant : 1 - l’encodage de l’option et l’expression d’une préférence, 2 - la sélection et l’exécution de l’action, 3 - l’attente du renforcement et l’évaluation des conséquences. Elle se décline actuellement sous deux modalités, suivant la possibilité ou non d’estimer ses chances de réussite (respectivement sous connaissance des risques et sous ambiguïté).
La modalité sous risque a témoigné essentiellement de corrélats exécutifs cognitifs en lien avec des substrats neuro-anatomiques dorso-frontaux. Celle sous ambiguïté a surtout témoigné de corrélats émotionnels en lien avec des substrats orbito-frontaux, et a donné lieu à une
théorie controversée, privilégiant le rôle des émotions dans les processus décisionnels (théorie des marqueurs somatiques). La prise de décision au cours du vieillissement normatif a surtout témoigné d’un fléchissement dans la modalité sous ambiguïté, interprété tantôt comme
un vieillissement prématuré de la région orbito-frontale au regard de celle dorso-frontale (en lien avec la théorie des marqueurs somatiques), tantôt comme une atteinte des processus exécutifs les plus élaborés. L’évaluation de la prise de décision au cours du vieillissement neuro-dégénératif semble montrer l’implication de deux grands types de processus neuropsychologiques, et ce quelle que soit la modalité décisionnelle : les processus exécutifs cognitifs et le système de récompense. Ces processus pourraient disposer de réseaux neuraux relativement distincts au sein du cortex préfrontal expliquant ainsi certaines dissociations suivant les lésions ou neuropathologies sous-jacentes. Cependant, l’appréhension des processus décisionnels reste particulièrement complexe, d’autant qu’ils sont subordonnés à la tâche requise par l’épreuve décisionnelle utilisée, rendant ainsi cette dernière peu accessible à une validation écologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25684
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 35-49[article] Prise de décision dans le vieillissement normal et neurodégératif [texte imprimé] / J.P. Jacus, Auteur . - 2014 . - p. 35-49.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 35-49
Catégories : Alpha
C:Fonction cognitive ; E:Evaluation ; P:Pathologie ; P:Personne âgée ; P:Prise de décision ; V:VieillissementRésumé : La prise de décision est une capacité indispensable à notre qualité de vie, sinon à notre survie, particulièrement au cours du vieillissement où le sujet âgé est amené à prendre des décisions importantes concernant ses finances, sa santé, etc. La prise de décision évaluée ensituation de laboratoire se réfère à la capacité d’adapter sa stratégie en fonction des renforcements reçus et de l’estimation des chances de réussite, afin d’effectuer les choix les plus avantageux. Elle est conçue selon un processus en trois étapes distinguant : 1 - l’encodage de l’option et l’expression d’une préférence, 2 - la sélection et l’exécution de l’action, 3 - l’attente du renforcement et l’évaluation des conséquences. Elle se décline actuellement sous deux modalités, suivant la possibilité ou non d’estimer ses chances de réussite (respectivement sous connaissance des risques et sous ambiguïté).
La modalité sous risque a témoigné essentiellement de corrélats exécutifs cognitifs en lien avec des substrats neuro-anatomiques dorso-frontaux. Celle sous ambiguïté a surtout témoigné de corrélats émotionnels en lien avec des substrats orbito-frontaux, et a donné lieu à une
théorie controversée, privilégiant le rôle des émotions dans les processus décisionnels (théorie des marqueurs somatiques). La prise de décision au cours du vieillissement normatif a surtout témoigné d’un fléchissement dans la modalité sous ambiguïté, interprété tantôt comme
un vieillissement prématuré de la région orbito-frontale au regard de celle dorso-frontale (en lien avec la théorie des marqueurs somatiques), tantôt comme une atteinte des processus exécutifs les plus élaborés. L’évaluation de la prise de décision au cours du vieillissement neuro-dégénératif semble montrer l’implication de deux grands types de processus neuropsychologiques, et ce quelle que soit la modalité décisionnelle : les processus exécutifs cognitifs et le système de récompense. Ces processus pourraient disposer de réseaux neuraux relativement distincts au sein du cortex préfrontal expliquant ainsi certaines dissociations suivant les lésions ou neuropathologies sous-jacentes. Cependant, l’appréhension des processus décisionnels reste particulièrement complexe, d’autant qu’ils sont subordonnés à la tâche requise par l’épreuve décisionnelle utilisée, rendant ainsi cette dernière peu accessible à une validation écologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25684 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005237 T_39.n1_2014 Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Corticothérapie et complications chez le patient âgé: à propos d'une observation et revue de la littérature / Cyrielle Rambaud-collet in La revue de gériatrie, Tome 39, 1 (Janvier 2014)
[article]
Titre : Corticothérapie et complications chez le patient âgé: à propos d'une observation et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Cyrielle Rambaud-collet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 51-56 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Corticothérapie ; D:Diabète ; E:Endocardite ; I:Infection ; P:Personne âgée ; P:Purpura thrombopéniqueRésumé : La corticothérapie est un traitement fréquemment utilisé dans les pathologies du sujet âgé notamment dans les maladies inflammatoires, pneumologiques ou néoplasiques. Mais ce traitement présente des effets indésirables chez ces patients fragiles avec notamment un risque infectieux plus important du fait d’une immunodépression, et un risque métabolique. Nous rapportons le cas d’une patiente de 90 ans qui a présenté une endocardite infectieuse ainsi qu’un diabète cortico-induit alors qu’elle se trouvait sous corticothérapie pour un purpura thrombopénique idiopathique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25685
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 51-56[article] Corticothérapie et complications chez le patient âgé: à propos d'une observation et revue de la littérature [texte imprimé] / Cyrielle Rambaud-collet, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 51-56.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 51-56
Catégories : Alpha
C:Corticothérapie ; D:Diabète ; E:Endocardite ; I:Infection ; P:Personne âgée ; P:Purpura thrombopéniqueRésumé : La corticothérapie est un traitement fréquemment utilisé dans les pathologies du sujet âgé notamment dans les maladies inflammatoires, pneumologiques ou néoplasiques. Mais ce traitement présente des effets indésirables chez ces patients fragiles avec notamment un risque infectieux plus important du fait d’une immunodépression, et un risque métabolique. Nous rapportons le cas d’une patiente de 90 ans qui a présenté une endocardite infectieuse ainsi qu’un diabète cortico-induit alors qu’elle se trouvait sous corticothérapie pour un purpura thrombopénique idiopathique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25685 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005237 T_39.n1_2014 Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Séquelles à long terme d'encéphalite herpétique: à propos d'un cas / MT Rabus in La revue de gériatrie, Tome 39, 1 (Janvier 2014)
[article]
Titre : Séquelles à long terme d'encéphalite herpétique: à propos d'un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : MT Rabus, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 57-63 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Encéphalite ; M:Maladie ; P:Personne âgée ; T:Trouble cognitif ; T:Trouble du comportement ; T:Trouble mnésiqueRésumé : Une patiente de 72 ans est adressée en consultation mémoire pour troubles mnésiques. Dans les antécédents, on note une encéphalite herpétique survenue 8 ans plus tôt. La patiente présente des troubles cognitifs avec, notamment, une atteinte de la mémoire antérograde et rétrograde, ainsi qu’un syndrome anxio-dépressif.
L’IRM fait état d’une importante destruction du parenchyme cérébral au niveau du pôle temporal droit avec présence d’une cavité porencéphalique. Il existe également une atrophie hippocampale gauche et une leuco encéphalopathie vasculaire. La question se pose de savoir si les troubles cognitifs observés sont à mettre sur le compte des séquelles de l’encéphalite, ou si ceux-ci signent l’entrée dans une maladie neurodégénérative avec composante neurovasculaire.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25686
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 57-63[article] Séquelles à long terme d'encéphalite herpétique: à propos d'un cas [texte imprimé] / MT Rabus, Auteur . - 2014 . - p. 57-63.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p. 57-63
Catégories : Alpha
E:Encéphalite ; M:Maladie ; P:Personne âgée ; T:Trouble cognitif ; T:Trouble du comportement ; T:Trouble mnésiqueRésumé : Une patiente de 72 ans est adressée en consultation mémoire pour troubles mnésiques. Dans les antécédents, on note une encéphalite herpétique survenue 8 ans plus tôt. La patiente présente des troubles cognitifs avec, notamment, une atteinte de la mémoire antérograde et rétrograde, ainsi qu’un syndrome anxio-dépressif.
L’IRM fait état d’une importante destruction du parenchyme cérébral au niveau du pôle temporal droit avec présence d’une cavité porencéphalique. Il existe également une atrophie hippocampale gauche et une leuco encéphalopathie vasculaire. La question se pose de savoir si les troubles cognitifs observés sont à mettre sur le compte des séquelles de l’encéphalite, ou si ceux-ci signent l’entrée dans une maladie neurodégénérative avec composante neurovasculaire.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25686 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005237 T_39.n1_2014 Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Une étrange tâche / Gilles Blaquiere in La revue de gériatrie, Tome 39, 1 (Janvier 2014)
[article]
Titre : Une étrange tâche Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Blaquiere, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.65-66 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Dyspnée ; M:Mélanome ; M:Métastase cancéreuseRésumé : Un homme de 89 ans, autonome aux fonctions supérieures intègres, était hospitalisé pour une dyspnée aiguë. L’évolution était rapidement favorable sous aérosols de bêta-mimétiques et corticoïdes.
Le bilan biologique éliminait une cause cardiaque, thromboembolique, métabolique ou infectieuse. L’ECG était normal, la radio pulmonaire révélait des images métastatiques en lâcher de ballons. Dans ses antécédents on retrouvait une HTA stable sous traitement. Une résection endoscopique de prostate pour hypertrophie bénigne avait été pratiquée 15 ans avant. L’examen clinique décelait une lésion cutanée plantaire suspecte selon les critères dermatologiques ABCDE. La lésion était Asymétrique, aux Bords irréguliers, de Couleur inhomogène, de Diamètre supérieur à 6 mm et Evolutive. Cette tache de 4 x 6 cm évoluait depuis 15 ans selon le patient (image 1). Il existait une adénopathie inguinale homolatérale. Un mélanome acral lentigineux métastatique était confirmé après cytoponction ganglionnaire. Le patient refusa toute prise en charge complémentaire et regagna son domicile.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25687
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p.65-66[article] Une étrange tâche [texte imprimé] / Gilles Blaquiere, Auteur . - 2014 . - p.65-66.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 39, 1 (Janvier 2014) . - p.65-66
Catégories : Alpha
D:Dyspnée ; M:Mélanome ; M:Métastase cancéreuseRésumé : Un homme de 89 ans, autonome aux fonctions supérieures intègres, était hospitalisé pour une dyspnée aiguë. L’évolution était rapidement favorable sous aérosols de bêta-mimétiques et corticoïdes.
Le bilan biologique éliminait une cause cardiaque, thromboembolique, métabolique ou infectieuse. L’ECG était normal, la radio pulmonaire révélait des images métastatiques en lâcher de ballons. Dans ses antécédents on retrouvait une HTA stable sous traitement. Une résection endoscopique de prostate pour hypertrophie bénigne avait été pratiquée 15 ans avant. L’examen clinique décelait une lésion cutanée plantaire suspecte selon les critères dermatologiques ABCDE. La lésion était Asymétrique, aux Bords irréguliers, de Couleur inhomogène, de Diamètre supérieur à 6 mm et Evolutive. Cette tache de 4 x 6 cm évoluait depuis 15 ans selon le patient (image 1). Il existait une adénopathie inguinale homolatérale. Un mélanome acral lentigineux métastatique était confirmé après cytoponction ganglionnaire. Le patient refusa toute prise en charge complémentaire et regagna son domicile.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25687 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005237 T_39.n1_2014 Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible