Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'perception de l’effort'
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Effet d'une manipulation de la vitesse sur la perception de l'effort et la performance en course à pied / Mathilde Abraham
Titre : Effet d'une manipulation de la vitesse sur la perception de l'effort et la performance en course à pied : Conséquences psycho-physiologiques d'un feedback de vitesse erroné lors d'une course jusqu'à épuisement sur tapis roulant Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Mathilde Abraham ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2023 Importance : 31p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Mots-clés : performance perception de l’effort course à pied feedback erroné Index. décimale : MK Mémoire kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – La course à pied est un sport qui s’est aujourd’hui démocratisé, mais dans lequel la recherche de performance est omniprésente. Etant donné le lien étroit entre perception de l’effort et performance, la mise en place de stratégies pour diminuer la perception de l’effort pourrait être intéressante pour optimiser la performance. Ainsi, il serait possible de modifier les perceptions des athlètes en les trompant sur la tâche qu’ils sont en train d’effectuer. L’objectif de cette étude est d’observer si fournir à un coureur un feedback erroné sur sa vitesse lors d’une course jusqu’à épuisement peut influencer son temps de maintien de l’effort, la distance maximale qu’il peut parcourir et, ainsi, sa performance.
Méthodes – 21 sujets ont pris part à cette expérimentation. Après avoir effectué un test de course de 5min sur piste, permettant de déterminer leur vitesse maximale aérobie (VMA), ils se sont rendus à 3 reprises au laboratoire. A chaque fois, il leur était demandé de courir le plus longtemps possible sur un tapis roulant à une vitesse imposée. Pour chaque sujet, la première session était effectuée à 90% de leur VMA. Lors des 2 sessions suivantes, cette vitesse était soit augmentée, soit diminuée, de 0.3km/h. Les sujets étaient trompés sur la nature du protocole et pensaient que chaque session était courue à 90% de la VMA.
Résultats – Aucune différence significative entre les sessions rapide et de référence n’a été observée en matière de distance parcourue et de temps de course. Aucune différence significative n’a été observée entre les 3 sessions en matière de perception de l’effort.
Conclusion – Les résultats suggèrent que tromper un coureur sur sa vitesse de course et sur l’intensité de l’effort qu’il est en train de fournir peut modifier sa perception de l’effort de telle sorte qu’elle soit identique lors de plusieurs efforts d’intensités pourtant différentes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112081 Effet d'une manipulation de la vitesse sur la perception de l'effort et la performance en course à pied : Conséquences psycho-physiologiques d'un feedback de vitesse erroné lors d'une course jusqu'à épuisement sur tapis roulant [TFE / Mémoire] / Mathilde Abraham ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2023 . - 31p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : performance perception de l’effort course à pied feedback erroné Index. décimale : MK Mémoire kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – La course à pied est un sport qui s’est aujourd’hui démocratisé, mais dans lequel la recherche de performance est omniprésente. Etant donné le lien étroit entre perception de l’effort et performance, la mise en place de stratégies pour diminuer la perception de l’effort pourrait être intéressante pour optimiser la performance. Ainsi, il serait possible de modifier les perceptions des athlètes en les trompant sur la tâche qu’ils sont en train d’effectuer. L’objectif de cette étude est d’observer si fournir à un coureur un feedback erroné sur sa vitesse lors d’une course jusqu’à épuisement peut influencer son temps de maintien de l’effort, la distance maximale qu’il peut parcourir et, ainsi, sa performance.
Méthodes – 21 sujets ont pris part à cette expérimentation. Après avoir effectué un test de course de 5min sur piste, permettant de déterminer leur vitesse maximale aérobie (VMA), ils se sont rendus à 3 reprises au laboratoire. A chaque fois, il leur était demandé de courir le plus longtemps possible sur un tapis roulant à une vitesse imposée. Pour chaque sujet, la première session était effectuée à 90% de leur VMA. Lors des 2 sessions suivantes, cette vitesse était soit augmentée, soit diminuée, de 0.3km/h. Les sujets étaient trompés sur la nature du protocole et pensaient que chaque session était courue à 90% de la VMA.
Résultats – Aucune différence significative entre les sessions rapide et de référence n’a été observée en matière de distance parcourue et de temps de course. Aucune différence significative n’a été observée entre les 3 sessions en matière de perception de l’effort.
Conclusion – Les résultats suggèrent que tromper un coureur sur sa vitesse de course et sur l’intensité de l’effort qu’il est en train de fournir peut modifier sa perception de l’effort de telle sorte qu’elle soit identique lors de plusieurs efforts d’intensités pourtant différentes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112081 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quantification de la charge d’entraînement imposée au footballeur professionnel en phase de réhabilitation athlétique post-blessure in Science & sports, Volume 27 numéro 3 (01/06/2012)
[article]
Titre : Quantification de la charge d’entraînement imposée au footballeur professionnel en phase de réhabilitation athlétique post-blessure Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp.169-174 Langues : Français (fre) Mots-clés : réadaptation charge d’entraînement perception de l’effort travail-endurance-récupération Résumé : L’objectif de notre travail a été de comparer les méthodes de quantification de la charge d’entraînement « Travail-Endurance-Récupération », « séance-CR10 » et Training impulse lors d’une période de réhabilitation athlétique chez le footballeur professionnel.
Sujets et méthodes
Onze jeunes footballeurs (16,0 ± 1,2 ans) blessés parmi les 90 jeunes footballeurs fréquentant le Centre technique national Clairefontaine de la Fédération française de football ont fait l’objet d’un recueil de données au cours de leur réhabilitation athlétique post-blessure. Cette période de réhabilitation comprend des séances de renforcement musculaire, de travail des appuis puis de travail individuel avec ballon.
Résultats
Pour l’ensemble des séances, les charges Travail-Endurance-Récupération ne sont pas reliées aux charges séance-CR10 (p = 0,11). Pour les séances d’appui et avec ballon, des relations significatives apparaissent entre les charges Travail-Endurance-Récupération et séance-CR10 (R2 = 0,60), entre Travail-Endurance-Récupération et Training impulse (R2 = 0,62) et entre séance-CR10 et Training impulse (R2 = 0,66). L’évolution des charges des séances de renforcement diffère entre les méthodes Travail-Endurance-Récupération et séance-CR10. Ces différences résident dans le fait que l’augmentation de l’intensité de travail à volume constant se traduit par une baisse de la perception de l’effort. Les conditions très particulières du renforcement musculaire post-blessure font apparaître des limites quant à l’utilisation de la méthode séance-CR10 lors de la première phase de réhabilitation. La méthode Travail-Endurance-Récupération semble utilisable pour l’ensemble des phases de travail.
Conclusion
Notre étude souligne la faisabilité de la quantification de la charge d’entraînement des périodes de réhabilitation athlétique post-blessure ce qui devrait permettre d’optimiser les programmes proposés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21326
in Science & sports > Volume 27 numéro 3 (01/06/2012) . - pp.169-174[article] Quantification de la charge d’entraînement imposée au footballeur professionnel en phase de réhabilitation athlétique post-blessure [texte imprimé] . - 2012 . - pp.169-174.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 27 numéro 3 (01/06/2012) . - pp.169-174
Mots-clés : réadaptation charge d’entraînement perception de l’effort travail-endurance-récupération Résumé : L’objectif de notre travail a été de comparer les méthodes de quantification de la charge d’entraînement « Travail-Endurance-Récupération », « séance-CR10 » et Training impulse lors d’une période de réhabilitation athlétique chez le footballeur professionnel.
Sujets et méthodes
Onze jeunes footballeurs (16,0 ± 1,2 ans) blessés parmi les 90 jeunes footballeurs fréquentant le Centre technique national Clairefontaine de la Fédération française de football ont fait l’objet d’un recueil de données au cours de leur réhabilitation athlétique post-blessure. Cette période de réhabilitation comprend des séances de renforcement musculaire, de travail des appuis puis de travail individuel avec ballon.
Résultats
Pour l’ensemble des séances, les charges Travail-Endurance-Récupération ne sont pas reliées aux charges séance-CR10 (p = 0,11). Pour les séances d’appui et avec ballon, des relations significatives apparaissent entre les charges Travail-Endurance-Récupération et séance-CR10 (R2 = 0,60), entre Travail-Endurance-Récupération et Training impulse (R2 = 0,62) et entre séance-CR10 et Training impulse (R2 = 0,66). L’évolution des charges des séances de renforcement diffère entre les méthodes Travail-Endurance-Récupération et séance-CR10. Ces différences résident dans le fait que l’augmentation de l’intensité de travail à volume constant se traduit par une baisse de la perception de l’effort. Les conditions très particulières du renforcement musculaire post-blessure font apparaître des limites quant à l’utilisation de la méthode séance-CR10 lors de la première phase de réhabilitation. La méthode Travail-Endurance-Récupération semble utilisable pour l’ensemble des phases de travail.
Conclusion
Notre étude souligne la faisabilité de la quantification de la charge d’entraînement des périodes de réhabilitation athlétique post-blessure ce qui devrait permettre d’optimiser les programmes proposés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21326 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRelation entre une performance de test spécifique au Jiu-Jitsu brésilien et les capacités physiques chez les athlètes expérimentés / J. Silva in Science & sports, Vol.37 N°3 (juin 2022)
[article]
Titre : Relation entre une performance de test spécifique au Jiu-Jitsu brésilien et les capacités physiques chez les athlètes expérimentés Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Silva ; R. Penteado dos Santos Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 209-210 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.scispo.2021.03.009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Force Évaluation Sports de combat Perception de l’effort Capacité aérobie Résumé : Objectifs
Cette étude avait l’objectif de corréler les paramètres physiologiques et neuromusculaires avec la performance lors du test anaérobie de Jiu Jitsu (JJAPT).
Méthodes
Quatorze athlètes de Jiu-Jitsu brésiliens (JJB) (27,3±3,7 ans) ont participé à cette étude. En trois occasions séparées par un intervalle de 48 heures, les athlètes ont été soumis aux évaluations suivantes: a) le test de saut vertical et un test incrémental; b) évaluation isocinétique des muscles fléchisseurs de la hanche et le test Wingate; c) JJAPT. L’analyse de la variance pour les mesures répétées a été utilisée pour comparer les répétitions du JJPAT et al. perception de l’effort (RPE) au cours du test, et la corrélation de Pearson a été utilisée pour vérifier la relation entre les performances lors du JJPAT et les variables physiologiques et neuromusculaires.
Résultats
Il y avait une diminution significative des répétitions de JJAPT, en particulier à partir du quatrième série (p=0,001) et une augmentation de le RPE (p<0,001) au cours des séries. Les répétitions JJAPT n’étaient pas corrélées avec les paramètres neuromusculaires et physiologiques (p>0,05). La moyenne des répétitions JJAPT étaient significativement plus élevées (p=0,01) chez les avancés (18±2 répétitions) que chez les novices (15±2 répétitions).
Conclusion
Les athlètes avancés ont montré dès lors des JJPAT plus élevées que les novices, mais pas des performances physiques supérieures lorsqu’ils sont évalués par des tests neuromusculaires, aérobies et anaérobies. Les résultats des tests physiques n’étaient pas corrélés aux le JJPAT. Ainsi, il est possible de suggérer que JJAPT a montré une sensibilité plus élevée à la discrimination des athlètes de JJB que les tests de fitness traditionnels sur ergocylce.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104780
in Science & sports > Vol.37 N°3 (juin 2022) . - p. 209-210[article] Relation entre une performance de test spécifique au Jiu-Jitsu brésilien et les capacités physiques chez les athlètes expérimentés [texte imprimé] / J. Silva ; R. Penteado dos Santos . - 2022 . - p. 209-210.
https://doi.org/10.1016/j.scispo.2021.03.009
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.37 N°3 (juin 2022) . - p. 209-210
Mots-clés : Force Évaluation Sports de combat Perception de l’effort Capacité aérobie Résumé : Objectifs
Cette étude avait l’objectif de corréler les paramètres physiologiques et neuromusculaires avec la performance lors du test anaérobie de Jiu Jitsu (JJAPT).
Méthodes
Quatorze athlètes de Jiu-Jitsu brésiliens (JJB) (27,3±3,7 ans) ont participé à cette étude. En trois occasions séparées par un intervalle de 48 heures, les athlètes ont été soumis aux évaluations suivantes: a) le test de saut vertical et un test incrémental; b) évaluation isocinétique des muscles fléchisseurs de la hanche et le test Wingate; c) JJAPT. L’analyse de la variance pour les mesures répétées a été utilisée pour comparer les répétitions du JJPAT et al. perception de l’effort (RPE) au cours du test, et la corrélation de Pearson a été utilisée pour vérifier la relation entre les performances lors du JJPAT et les variables physiologiques et neuromusculaires.
Résultats
Il y avait une diminution significative des répétitions de JJAPT, en particulier à partir du quatrième série (p=0,001) et une augmentation de le RPE (p<0,001) au cours des séries. Les répétitions JJAPT n’étaient pas corrélées avec les paramètres neuromusculaires et physiologiques (p>0,05). La moyenne des répétitions JJAPT étaient significativement plus élevées (p=0,01) chez les avancés (18±2 répétitions) que chez les novices (15±2 répétitions).
Conclusion
Les athlètes avancés ont montré dès lors des JJPAT plus élevées que les novices, mais pas des performances physiques supérieures lorsqu’ils sont évalués par des tests neuromusculaires, aérobies et anaérobies. Les résultats des tests physiques n’étaient pas corrélés aux le JJPAT. Ainsi, il est possible de suggérer que JJAPT a montré une sensibilité plus élevée à la discrimination des athlètes de JJB que les tests de fitness traditionnels sur ergocylce.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104780 Exemplaires (1)
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