Centre de Documentation Campus Montignies
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Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique / Bryan Zamorano in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 545 (septembre 2022)
[article]
Titre : Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 49-58 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique Résumé : L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité.Note de contenu : Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106203
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58[article] Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique [texte imprimé] / Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost . - 2022 . - p. 49-58.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58
Mots-clés : autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique Résumé : L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité.Note de contenu : Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106203 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponiblePolymyosites, dermatomyosites et autres myopathies inflammatoires idiopathiques / Y. Allenbach in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Polymyosites, dermatomyosites et autres myopathies inflammatoires idiopathiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Allenbach, Auteur ; O. Benveniste, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.1-10 [14-245-B-50] Langues : Français (fre) Mots-clés : Myosite Myosite de chevauchement Polymyosite Dermatomyosite Myosite à inclusions Myopathie nécrosante auto-immune Résumé : Les myopathies acquises inflammatoires idiopathiques (MAI) sont des myopathies mettant en jeu des mécanismes dysimmunitaires. On distingue : la polymyosite (PM), la dermatomyosite (DM), la myopathie nécrosante auto-immune (MNAI) et la myosite à inclusions (MI). Les MAI sont responsables d'un déficit musculaire proximal bilatéral et symétrique, à l'exception de la MI où le déficit est asymétrique et aussi distal. Elles peuvent s'accompagner de manifestations extramusculaires pouvant menacer le pronostic vital. La découverte des autoanticorps (Ac) spécifiques des MAI a profondément modifié la prise en charge des MAI. Ils sont déterminants pour le diagnostic de MAI et pour isoler des sous-groupes homogènes de patients avec un phénotype et un pronostic communs. La PM est le plus souvent associée à l'Ac anti-Jo-1 sous la forme du syndrome des antisynthétases associant, outre la myosite, des arthralgies, un phénomène de Raynaud, des mains de mécanicien et une pneumopathie interstitielle. La DM est définie par des signes cutanés spécifiques et caractérisée par une formule histologique associant atrophie périfasciculaire, vasculopathie et infiltrat inflammatoire périvasculaire. Cette forme classique est associée à l'Ac spécifique anti-Mi2. L'anticorps anti-melanoma differenciation-associated gene 5 (MDA5) est associé fréquemment à des ulcères cutanés et à une pneumopathie interstitielle. L'anticorps anti-transcriptional intermediary factor 1-γ (TIF1γ) est fortement associé à la présence d'un cancer. Les MNAI ont peu ou pas de manifestations extramusculaires. Histologiquement, on observe peu ou pas d'inflammation alors que la nécrose prédomine. Elles sont associées aux Ac anti-signal recognition particle (SRP) ou antihydroxyméthylglutaryl-CoA (HMGCR). Les MI touchent essentiellement les sujets de plus de 50 ans et présentent histologiquement, en plus de l'inflammation, des signes de dégénérescence musculaire. Les MI ne répondent pas à la corticothérapie ni aux immunosuppresseurs classiques. Pour les autres MAI, il est recommandé une corticothérapie en association avec un immunosuppresseur. En cas de signes de gravité, l'utilisation d'immunoglobulines (gravité musculaire) et/ou de cyclophosphamide (gravité respiratoire) doit être proposée. Dans les cas réfractaires, les immunoglobulines intraveineuses et les biothérapies comme le rituximab peuvent être discutées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41029
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p.1-10 [14-245-B-50][article] Polymyosites, dermatomyosites et autres myopathies inflammatoires idiopathiques [texte imprimé] / Y. Allenbach, Auteur ; O. Benveniste, Auteur . - 2014 . - p.1-10 [14-245-B-50].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p.1-10 [14-245-B-50]
Mots-clés : Myosite Myosite de chevauchement Polymyosite Dermatomyosite Myosite à inclusions Myopathie nécrosante auto-immune Résumé : Les myopathies acquises inflammatoires idiopathiques (MAI) sont des myopathies mettant en jeu des mécanismes dysimmunitaires. On distingue : la polymyosite (PM), la dermatomyosite (DM), la myopathie nécrosante auto-immune (MNAI) et la myosite à inclusions (MI). Les MAI sont responsables d'un déficit musculaire proximal bilatéral et symétrique, à l'exception de la MI où le déficit est asymétrique et aussi distal. Elles peuvent s'accompagner de manifestations extramusculaires pouvant menacer le pronostic vital. La découverte des autoanticorps (Ac) spécifiques des MAI a profondément modifié la prise en charge des MAI. Ils sont déterminants pour le diagnostic de MAI et pour isoler des sous-groupes homogènes de patients avec un phénotype et un pronostic communs. La PM est le plus souvent associée à l'Ac anti-Jo-1 sous la forme du syndrome des antisynthétases associant, outre la myosite, des arthralgies, un phénomène de Raynaud, des mains de mécanicien et une pneumopathie interstitielle. La DM est définie par des signes cutanés spécifiques et caractérisée par une formule histologique associant atrophie périfasciculaire, vasculopathie et infiltrat inflammatoire périvasculaire. Cette forme classique est associée à l'Ac spécifique anti-Mi2. L'anticorps anti-melanoma differenciation-associated gene 5 (MDA5) est associé fréquemment à des ulcères cutanés et à une pneumopathie interstitielle. L'anticorps anti-transcriptional intermediary factor 1-γ (TIF1γ) est fortement associé à la présence d'un cancer. Les MNAI ont peu ou pas de manifestations extramusculaires. Histologiquement, on observe peu ou pas d'inflammation alors que la nécrose prédomine. Elles sont associées aux Ac anti-signal recognition particle (SRP) ou antihydroxyméthylglutaryl-CoA (HMGCR). Les MI touchent essentiellement les sujets de plus de 50 ans et présentent histologiquement, en plus de l'inflammation, des signes de dégénérescence musculaire. Les MI ne répondent pas à la corticothérapie ni aux immunosuppresseurs classiques. Pour les autres MAI, il est recommandé une corticothérapie en association avec un immunosuppresseur. En cas de signes de gravité, l'utilisation d'immunoglobulines (gravité musculaire) et/ou de cyclophosphamide (gravité respiratoire) doit être proposée. Dans les cas réfractaires, les immunoglobulines intraveineuses et les biothérapies comme le rituximab peuvent être discutées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41029 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Connectivite mixte ou syndrome de Sharp / A. Lescoat in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 1 (Février 2016)
[article]
Titre : Connectivite mixte ou syndrome de Sharp Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Lescoat ; P. Jégo ; A. Perdriger Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-244-B-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Connectivite mixte Syndrome de Sharp anticorps anti-U1-RNP Syndrome de Raynaud Hypertension artérielle pulmonaire Myosite Syndrome de chevauchement Overlap syndrome Résumé : La connectivite mixte (CM), encore appelée syndrome de Sharp, a été décrite pour la première fois au début des années 1970. Cette maladie systémique associe un cortège de symptômes rencontrés au cours d'autres connectivites tels que le syndrome de Raynaud, les arthralgies ou les poussées inflammatoires de myosites, mais se distingue par la présence d'anticorps antinucléaires à un taux élevé et ciblant un groupe de ribonucléoprotéines, les U1-RNP. L'expression clinique et immunologique de la connectivite mixte est généralement stable mais son évolution peut se faire parfois vers une autre connectivite comme la sclérodermie systémique ou le lupus érythémateux systémique (LES). Si les premières descriptions rapportaient un pronostic favorable, les avancées sur la connaissance de la maladie ont mis en évidence l'existence d'atteintes viscérales sévères comme l'hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) ou la pneumopathie interstitielle fibrosante, responsables d'une mortalité accrue. Les infections secondaires à l'immunosuppression iatrogène ou liée à la maladie elle-même constituent aussi l'un des principaux facteurs de mortalité. Il n'existe pas de traitement spécifique du syndrome de Sharp. La stratégie thérapeutique est fondée sur la présence d'atteintes viscérales graves, en particulier pulmonaires. Le dépistage systématique de ces atteintes a permis l'instauration de thérapeutiques ciblées précoces. Ainsi, les vasodilatateurs tels que les antagonistes des récepteurs de l'endothéline ou les analogues de la prostacycline constituent une avancée dans la prise en charge de l'HTAP des patients atteints d'une connectivite mixte. Les immunomodulateurs ont aussi leur place dans le traitement du syndrome de Sharp. Si les atteintes articulaires ou musculaires ont souvent une bonne réponse à la corticothérapie, certaines atteintes viscérales nécessitent parfois l'utilisation de cyclophosphamide, comme c'est le cas par exemple pour les pneumopathies interstitielles rapidement évolutives. Les défis à relever sont le diagnostic de la maladie à un stade débutant et le dépistage toujours plus précoce des atteintes viscérales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42941
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 1 (Février 2016) . - 14-244-B-10[article] Connectivite mixte ou syndrome de Sharp [texte imprimé] / A. Lescoat ; P. Jégo ; A. Perdriger . - 2016 . - 14-244-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 1 (Février 2016) . - 14-244-B-10
Mots-clés : Connectivite mixte Syndrome de Sharp anticorps anti-U1-RNP Syndrome de Raynaud Hypertension artérielle pulmonaire Myosite Syndrome de chevauchement Overlap syndrome Résumé : La connectivite mixte (CM), encore appelée syndrome de Sharp, a été décrite pour la première fois au début des années 1970. Cette maladie systémique associe un cortège de symptômes rencontrés au cours d'autres connectivites tels que le syndrome de Raynaud, les arthralgies ou les poussées inflammatoires de myosites, mais se distingue par la présence d'anticorps antinucléaires à un taux élevé et ciblant un groupe de ribonucléoprotéines, les U1-RNP. L'expression clinique et immunologique de la connectivite mixte est généralement stable mais son évolution peut se faire parfois vers une autre connectivite comme la sclérodermie systémique ou le lupus érythémateux systémique (LES). Si les premières descriptions rapportaient un pronostic favorable, les avancées sur la connaissance de la maladie ont mis en évidence l'existence d'atteintes viscérales sévères comme l'hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) ou la pneumopathie interstitielle fibrosante, responsables d'une mortalité accrue. Les infections secondaires à l'immunosuppression iatrogène ou liée à la maladie elle-même constituent aussi l'un des principaux facteurs de mortalité. Il n'existe pas de traitement spécifique du syndrome de Sharp. La stratégie thérapeutique est fondée sur la présence d'atteintes viscérales graves, en particulier pulmonaires. Le dépistage systématique de ces atteintes a permis l'instauration de thérapeutiques ciblées précoces. Ainsi, les vasodilatateurs tels que les antagonistes des récepteurs de l'endothéline ou les analogues de la prostacycline constituent une avancée dans la prise en charge de l'HTAP des patients atteints d'une connectivite mixte. Les immunomodulateurs ont aussi leur place dans le traitement du syndrome de Sharp. Si les atteintes articulaires ou musculaires ont souvent une bonne réponse à la corticothérapie, certaines atteintes viscérales nécessitent parfois l'utilisation de cyclophosphamide, comme c'est le cas par exemple pour les pneumopathies interstitielles rapidement évolutives. Les défis à relever sont le diagnostic de la maladie à un stade débutant et le dépistage toujours plus précoce des atteintes viscérales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42941 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Illustrations cliniques d’un manque de cardiospécificité du dosage de troponine T hypersensible / Valentin Coirier in Annales de Biologie Clinique, Vol. 79, n°2 (Mars-Avril 2021)
[article]
Titre : Illustrations cliniques d’un manque de cardiospécificité du dosage de troponine T hypersensible Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentin Coirier ; Romain Pelletier ; Martine Sébillot ; Charles R. Lefevre ; Lucas Peltier ; Nicolas Collet ; Claude Bendavid ; Patrick Jégo ; Caroline Moreau Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 176-180 Note générale : DOI : 10.1684/abc.2021.1637 Langues : Français (fre) Mots-clés : troponine myosite créatine kinase cardiospécificité Résumé : Introduction : Les dosages des troponines cardiaques, hypersensibles ou non, ont révolutionné la caractérisation des lésions myocardiques jusqu’à devenir l’examen de référencedans la recherche spécifique d’un syndrome coronarien aigu. Si leurs performances analytiques dans cette indication sont indiscutables, certaines pathologies peuvent remettre en question leur cardiospécificité. Les atteintes musculaires non myocardiques (ex. myosites) aussi bien que les myopathies généralisées peuvent perturber le dosage et donner des valeurs bien au-delà du 99e percentile de la population de référence, établie comme seuil décisionnel. Observations : Nous décrivons ici deux cas de patientes pour lesquelles la discordance clinique et biologique ne permettait pas de se fier au dosage de troponine pour un diagnostic. Conclusion : Dans ces situations, il convient de s’en rapporter au bon sens clinique, à l’imagerie et engager une discussion avec le laboratoire pour trouver une nouvelle approche dans le but de poser le diagnostic. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95674
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 79, n°2 (Mars-Avril 2021) . - p. 176-180[article] Illustrations cliniques d’un manque de cardiospécificité du dosage de troponine T hypersensible [texte imprimé] / Valentin Coirier ; Romain Pelletier ; Martine Sébillot ; Charles R. Lefevre ; Lucas Peltier ; Nicolas Collet ; Claude Bendavid ; Patrick Jégo ; Caroline Moreau . - 2021 . - p. 176-180.
DOI : 10.1684/abc.2021.1637
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 79, n°2 (Mars-Avril 2021) . - p. 176-180
Mots-clés : troponine myosite créatine kinase cardiospécificité Résumé : Introduction : Les dosages des troponines cardiaques, hypersensibles ou non, ont révolutionné la caractérisation des lésions myocardiques jusqu’à devenir l’examen de référencedans la recherche spécifique d’un syndrome coronarien aigu. Si leurs performances analytiques dans cette indication sont indiscutables, certaines pathologies peuvent remettre en question leur cardiospécificité. Les atteintes musculaires non myocardiques (ex. myosites) aussi bien que les myopathies généralisées peuvent perturber le dosage et donner des valeurs bien au-delà du 99e percentile de la population de référence, établie comme seuil décisionnel. Observations : Nous décrivons ici deux cas de patientes pour lesquelles la discordance clinique et biologique ne permettait pas de se fier au dosage de troponine pour un diagnostic. Conclusion : Dans ces situations, il convient de s’en rapporter au bon sens clinique, à l’imagerie et engager une discussion avec le laboratoire pour trouver une nouvelle approche dans le but de poser le diagnostic. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95674 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleRevue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleManifestations rhumatologiques de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine / D. Alcaix in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 35, n°3 ([01/08/2021])
[article]
Titre : Manifestations rhumatologiques de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Alcaix Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 14-207-B-10 [tome 4] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(21)43191-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : VIH Antirétroviraux Nécrose osseuse Spondyloarthrite Myosite Ostéoporose Syndrome de fragilité Syndrome douloureux chronique Maladies auto-immunes PR, Syndrome de restauration immunitaire Résumé : Les thérapies du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ont fait des progrès remarquables si bien que pour la plupart des malades traités précocement l'espérance de vie approche la normalité. Ces progrès ont considérablement modifié les manifestations rhumatismales de la maladie : infection, spondyloarthropathie, le syndrome d'infiltration lymphocytaire diffus (DILS), ont pratiquement disparu. Nécroses osseuses et maladies auto-immunes s'observent toujours, dans le cadre d'un syndrome de restauration immune pour ces dernières. Cependant de nouveaux syndromes sont apparus - associés au vieillissement précoce des malades sous antirétroviraux (ARV) : ostéoporose, arthrose, fibromyalgie, syndrome de fragilité. Le rhumatologue doit être informé de ces différentes complications et collaborer étroitement avec le spécialiste infectiologue pour affiner la stratégie thérapeutique dans cette population souvent difficile. L'aide de psychologues est parfois nécessaire. Du point de vue thérapeutique, après la désescalade une fois la maladie contrôlée et les mesures préventives (PrEP) entreprises, les recherches actuelles sont orientées vers la mise au point d'un vaccin préventif ou thérapeutique, l'éradication des réservoirs intracellulaires et intranucléaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95818
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 35, n°3 [01/08/2021] . - p. 14-207-B-10 [tome 4][article] Manifestations rhumatologiques de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine [texte imprimé] / D. Alcaix . - 2021 . - p. 14-207-B-10 [tome 4].
Doi : 10.1016/S0246-0521(21)43191-8
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 35, n°3 [01/08/2021] . - p. 14-207-B-10 [tome 4]
Mots-clés : VIH Antirétroviraux Nécrose osseuse Spondyloarthrite Myosite Ostéoporose Syndrome de fragilité Syndrome douloureux chronique Maladies auto-immunes PR, Syndrome de restauration immunitaire Résumé : Les thérapies du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ont fait des progrès remarquables si bien que pour la plupart des malades traités précocement l'espérance de vie approche la normalité. Ces progrès ont considérablement modifié les manifestations rhumatismales de la maladie : infection, spondyloarthropathie, le syndrome d'infiltration lymphocytaire diffus (DILS), ont pratiquement disparu. Nécroses osseuses et maladies auto-immunes s'observent toujours, dans le cadre d'un syndrome de restauration immune pour ces dernières. Cependant de nouveaux syndromes sont apparus - associés au vieillissement précoce des malades sous antirétroviraux (ARV) : ostéoporose, arthrose, fibromyalgie, syndrome de fragilité. Le rhumatologue doit être informé de ces différentes complications et collaborer étroitement avec le spécialiste infectiologue pour affiner la stratégie thérapeutique dans cette population souvent difficile. L'aide de psychologues est parfois nécessaire. Du point de vue thérapeutique, après la désescalade une fois la maladie contrôlée et les mesures préventives (PrEP) entreprises, les recherches actuelles sont orientées vers la mise au point d'un vaccin préventif ou thérapeutique, l'éradication des réservoirs intracellulaires et intranucléaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95818 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire