Centre de Documentation Campus Montignies
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Decreased basic metabolic rate may reflect pituitary secretion disturbance in elite female athlete - Réduction du taux métabolique de base chez les athlètes féminines élite et perturbation de l’activité hypophysaire / K LAGOWSKA in Science & sports, volume 29 numéro 5 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Decreased basic metabolic rate may reflect pituitary secretion disturbance in elite female athlete - Réduction du taux métabolique de base chez les athlètes féminines élite et perturbation de l’activité hypophysaire Type de document : texte imprimé Auteurs : K LAGOWSKA, Auteur ; K. KAPCZUK, Auteur ; J. JESZKA, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.258 - p.265 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Basal metabolic rate Menstrual disorders Elite female athletes Taux métabolique de base Troubles menstruels Athlètes féminines d’élite Résumé : Aim
To evaluate the relationship between basal metabolic rate, energy balance and hormones level in young female athletes with menstrual disorders.
Materials and methods
Thirty-three well-trained young female athletes, aged 18.4±2.9 years, with menstrual disorders due to hypothalamic-pituitary dysfunction, participated in the study. Evaluation of nutritional status was based on analyses of body composition using the BIA method (fat mass [FM], fat-free mass [FFM]). Basal metabolic rate (BMR) was assessed with a portable indirect calorimeter. Serum luteinizing hormone (LH), folliculate-stimulating hormone (FSH), estradiol (E2), TSH, testosterone (T), prolactin (PRL) and sex-hormone binding globulin (SHBG) and leptin levels were measured. Total energy expenditure (TEE) was evaluated using the HR-Flex method. Dietary records for 7 consecutive days were used to evaluate the athletes’ energy and nutrient intakes.
Results
Depending on the measured BMR value and comparing with the Harris-Benedict equation, female athletes were assigned to one of the two groups: LBMR group with low BMRs and HBMR group with high BMRs. Serum leptin (P<0.016) and LH levels (P<0.003) were significantly lower in the LBMR group. In the LBMR athletes, a tendency towards negative energy balance was observed (P<0.032). Significant correlations were found between BMR and LH level (P<0.021) and between LH and leptin levels (P<0.001) in the entire sample. Decreased BMR may reflect pituitary secretion disturbance in elite female athlete.
Objectifs
Évaluer un lien entre le taux métabolique de base, l’équilibre énergétique et taux d’hormones chez les jeunes athlètes féminines présentant des troubles menstruels.
Sujets et méthodes
Trente-trois jeunes athlètes féminines bien entraînées avec troubles menstruels à cause d’un dysfonctionnement hypothalamo-hypophysaire, âgées de 18,4±2,9ans, ont participé à l’étude. L’évaluation nutritionnelle était fondée sur des analyses de la composition corporelle mesurée à l’aide de méthode BIA (masse grasse [FM], masse maigre [FFM]). Le taux métabolique de base (TMB) a été mesuré à l’aide d’un calorimètre indirect portable. Les taux sériques de : hormone lutéinisante (LH), hormone folliculostimulante (FSH), oestradiol (E2), TSH, testostérone (T), prolactine (PRL) et globuline se liant aux hormones sexuelles (SHBG), ainsi que leptine ont été mesurés. La dépense énergétique totale (DET) a été mesurée à l’aide de méthode HR-Flex. Afin d’évaluer les apports énergétiques et nutritionnels des athlètes, nous avons utilisé des dossiers diététiques pendant 7jours consécutifs.
Résultats
Selon les TMB mesurés et après avoir comparé des valeurs à l’aide d’une équation Harris-Benedict, des athlètes féminines ont été assignées à l’un des deux groupes : groupe LBMR avec un TMB bas et groupe HBMR avec un TMB haut. Le taux sérique de leptine (p<0,016) et les taux de LH (p<0,003) étaient sensiblement inférieurs dans le groupe LBMR. La tendance vers l’équilibre énergétique négatif a été observée dans le groupe LBMR (p<0,032). Rapporté à l’ensemble de l’échantillon, des corrélations significatives entre le TMB et le taux de LH (p<0,021) et entre les taux de LH et leptine (p<0,001) ont été trouvées. Le TMB réduit chez les athlètes féminines d’élite peut indiquer un problème de la sécrétion hypophysaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=33610
in Science & sports > volume 29 numéro 5 (Octobre 2014) . - p.258 - p.265[article] Decreased basic metabolic rate may reflect pituitary secretion disturbance in elite female athlete - Réduction du taux métabolique de base chez les athlètes féminines élite et perturbation de l’activité hypophysaire [texte imprimé] / K LAGOWSKA, Auteur ; K. KAPCZUK, Auteur ; J. JESZKA, Auteur . - 2014 . - p.258 - p.265.
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
in Science & sports > volume 29 numéro 5 (Octobre 2014) . - p.258 - p.265
Mots-clés : Basal metabolic rate Menstrual disorders Elite female athletes Taux métabolique de base Troubles menstruels Athlètes féminines d’élite Résumé : Aim
To evaluate the relationship between basal metabolic rate, energy balance and hormones level in young female athletes with menstrual disorders.
Materials and methods
Thirty-three well-trained young female athletes, aged 18.4±2.9 years, with menstrual disorders due to hypothalamic-pituitary dysfunction, participated in the study. Evaluation of nutritional status was based on analyses of body composition using the BIA method (fat mass [FM], fat-free mass [FFM]). Basal metabolic rate (BMR) was assessed with a portable indirect calorimeter. Serum luteinizing hormone (LH), folliculate-stimulating hormone (FSH), estradiol (E2), TSH, testosterone (T), prolactin (PRL) and sex-hormone binding globulin (SHBG) and leptin levels were measured. Total energy expenditure (TEE) was evaluated using the HR-Flex method. Dietary records for 7 consecutive days were used to evaluate the athletes’ energy and nutrient intakes.
Results
Depending on the measured BMR value and comparing with the Harris-Benedict equation, female athletes were assigned to one of the two groups: LBMR group with low BMRs and HBMR group with high BMRs. Serum leptin (P<0.016) and LH levels (P<0.003) were significantly lower in the LBMR group. In the LBMR athletes, a tendency towards negative energy balance was observed (P<0.032). Significant correlations were found between BMR and LH level (P<0.021) and between LH and leptin levels (P<0.001) in the entire sample. Decreased BMR may reflect pituitary secretion disturbance in elite female athlete.
Objectifs
Évaluer un lien entre le taux métabolique de base, l’équilibre énergétique et taux d’hormones chez les jeunes athlètes féminines présentant des troubles menstruels.
Sujets et méthodes
Trente-trois jeunes athlètes féminines bien entraînées avec troubles menstruels à cause d’un dysfonctionnement hypothalamo-hypophysaire, âgées de 18,4±2,9ans, ont participé à l’étude. L’évaluation nutritionnelle était fondée sur des analyses de la composition corporelle mesurée à l’aide de méthode BIA (masse grasse [FM], masse maigre [FFM]). Le taux métabolique de base (TMB) a été mesuré à l’aide d’un calorimètre indirect portable. Les taux sériques de : hormone lutéinisante (LH), hormone folliculostimulante (FSH), oestradiol (E2), TSH, testostérone (T), prolactine (PRL) et globuline se liant aux hormones sexuelles (SHBG), ainsi que leptine ont été mesurés. La dépense énergétique totale (DET) a été mesurée à l’aide de méthode HR-Flex. Afin d’évaluer les apports énergétiques et nutritionnels des athlètes, nous avons utilisé des dossiers diététiques pendant 7jours consécutifs.
Résultats
Selon les TMB mesurés et après avoir comparé des valeurs à l’aide d’une équation Harris-Benedict, des athlètes féminines ont été assignées à l’un des deux groupes : groupe LBMR avec un TMB bas et groupe HBMR avec un TMB haut. Le taux sérique de leptine (p<0,016) et les taux de LH (p<0,003) étaient sensiblement inférieurs dans le groupe LBMR. La tendance vers l’équilibre énergétique négatif a été observée dans le groupe LBMR (p<0,032). Rapporté à l’ensemble de l’échantillon, des corrélations significatives entre le TMB et le taux de LH (p<0,021) et entre les taux de LH et leptine (p<0,001) ont été trouvées. Le TMB réduit chez les athlètes féminines d’élite peut indiquer un problème de la sécrétion hypophysaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=33610 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPosition-specific counter movement jump characteristics of elite Women’s Rugby World Cup 2017 athletes / Shane$ Heffernan in Science & motricité, 113 ([23/11/2021])
[article]
Titre : Position-specific counter movement jump characteristics of elite Women’s Rugby World Cup 2017 athletes Type de document : texte imprimé Auteurs : Shane$ Heffernan ; ross Neville Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 27-37 Note générale : https://doi.org/10.1051/sm/2021013 Langues : Français (fre) Mots-clés : jump kinematics elite female athletes power output Résumé : Rugby union (RU) is an intermittent team sport, with diverse playing positions, playedinternationally by both men and women. Considerable scientific attention has been devoted to men’s RU,however despite the growth in the women’s professional game, there is a significant lack of availablephysiological and normative data. The purpose of the present study was to investigate positional variation incountermovement jump characteristics from elite women’s RU players. Qualitative data were collected fromwomen’s Rugby World Cup (2017) competitors (n = 86; age: 27±5 years; body mass: 77.8±10.6 kg; height:1.69±0.07 cm) and jump data (countermovement jumps) were collected using a 1200 Hz force platform(n = 63). Athletes were divided into positional unit (backs: n = 39 and forwards: n = 47) and by positionalsubgroups. Backs had greater jump height (ES = 0.72, 95%CL±0.50), relative power output (ES = 0.84, 95%CL±0.50), relative force production (ES = 0.62, 95%CL±0.51) and reactive strength index (RSI; ES = 0.62,95%CL±0.50), compared to forwards (for all,P<0.02). Backrows, halves and back-three players had greaterrelative force, relative power and jump height, compared to the front and second rows (P<0.03; ES>0.70).These data could aid in programming for long-term player development in women’s RU and could haveimplications for“readiness”to compete at international level. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97286
in Science & motricité > 113 [23/11/2021] . - p. 27-37[article] Position-specific counter movement jump characteristics of elite Women’s Rugby World Cup 2017 athletes [texte imprimé] / Shane$ Heffernan ; ross Neville . - 2021 . - p. 27-37.
https://doi.org/10.1051/sm/2021013
Langues : Français (fre)
in Science & motricité > 113 [23/11/2021] . - p. 27-37
Mots-clés : jump kinematics elite female athletes power output Résumé : Rugby union (RU) is an intermittent team sport, with diverse playing positions, playedinternationally by both men and women. Considerable scientific attention has been devoted to men’s RU,however despite the growth in the women’s professional game, there is a significant lack of availablephysiological and normative data. The purpose of the present study was to investigate positional variation incountermovement jump characteristics from elite women’s RU players. Qualitative data were collected fromwomen’s Rugby World Cup (2017) competitors (n = 86; age: 27±5 years; body mass: 77.8±10.6 kg; height:1.69±0.07 cm) and jump data (countermovement jumps) were collected using a 1200 Hz force platform(n = 63). Athletes were divided into positional unit (backs: n = 39 and forwards: n = 47) and by positionalsubgroups. Backs had greater jump height (ES = 0.72, 95%CL±0.50), relative power output (ES = 0.84, 95%CL±0.50), relative force production (ES = 0.62, 95%CL±0.51) and reactive strength index (RSI; ES = 0.62,95%CL±0.50), compared to forwards (for all,P<0.02). Backrows, halves and back-three players had greaterrelative force, relative power and jump height, compared to the front and second rows (P<0.03; ES>0.70).These data could aid in programming for long-term player development in women’s RU and could haveimplications for“readiness”to compete at international level. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97286 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire