Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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16 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'corticoïdes'
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Efficacité d’un traitement avec ou sans corticoïdes lors de pancréatite aiguë canine / Laetitia Lucarelli in Le Point vétérinaire Expert Canin, 404 (Avril 2020)
[article]
Titre : Efficacité d’un traitement avec ou sans corticoïdes lors de pancréatite aiguë canine Type de document : texte imprimé Auteurs : Laetitia Lucarelli Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 44-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : pancréatite aiguë canine Corticoïdes Résumé : La pancréatite aiguë est une affection fréquente chez le chien [5]. Le traitement consiste essentiellement en des mesures de soutien. Or selon certains chercheurs, la prescription de corticoïdes présenterait un intérêt thérapeutique dans ce cadre [2, 4, 12]. DIAGNOSTIC Le diagnostic de la pancréatite aiguë canine repose sur un ensemble de critères évocateurs. 1. Tableau clinique Les signes cliniques, le plus souvent non spécifiques, incluent une douleur abdominale, un abattement, une anorexie, des vomissements et une diarrhée. Des complications majeures, comme le développement d’un ... Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86011
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 404 (Avril 2020) . - p. 44-45[article] Efficacité d’un traitement avec ou sans corticoïdes lors de pancréatite aiguë canine [texte imprimé] / Laetitia Lucarelli . - 2020 . - p. 44-45.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 404 (Avril 2020) . - p. 44-45
Mots-clés : pancréatite aiguë canine Corticoïdes Résumé : La pancréatite aiguë est une affection fréquente chez le chien [5]. Le traitement consiste essentiellement en des mesures de soutien. Or selon certains chercheurs, la prescription de corticoïdes présenterait un intérêt thérapeutique dans ce cadre [2, 4, 12]. DIAGNOSTIC Le diagnostic de la pancréatite aiguë canine repose sur un ensemble de critères évocateurs. 1. Tableau clinique Les signes cliniques, le plus souvent non spécifiques, incluent une douleur abdominale, un abattement, une anorexie, des vomissements et une diarrhée. Des complications majeures, comme le développement d’un ... Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86011 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Infiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum / P.-A. Bouche in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Infiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Bouche ; P. Guillon Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 165-171 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ménisques de l'articulation du genou Infiltration corticoïdes Résumé : Introduction
La prise en charge des lésions méniscales non chirurgicales n’est pas encore assez bien codifiée, notamment la place des infiltrations de corticoïdes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance de ces infiltrations dans le traitement des lésions méniscales traumatiques ou dégénératives et d’essayer d’en établir les indications.
Méthode
Tous les patients ayant eu une infiltration intra-articulaire du genou pour une lésion méniscale ont été inclus dans l’étude et ont suivi le même protocole. Le critère de jugement principal était le nombre de patients ayant eu une chirurgie méniscale post-infiltration.
Résultats
L’étude, sur 3 ans, a inclus 18 patients (11 hommes et 7 femmes), d’âge moyen 45 ans (22,5–71,9 ans). Au total, 8 patients (44 %) ont subi une intervention chirurgicale. La médiane du délai entre la dernière infiltration et l’intervention chirurgicale a été de 9,1 mois. Il n’y avait pas de différence en termes de caractéristique clinique et de lésions entre le groupe « chirurgie » et le groupe « pas chirurgie ». L’intervention chirurgicale a été plus précoce pour les patients sportifs que chez les non sportifs : 2,43 mois contre 12,03 mois respectivement (p = 0,02). Aucun effet indésirable lié aux infiltrations n’a été relevé.
Discussion
Notre série, malgré le manque de puissance du au faible nombre de participants, retrouve les mêmes résultats que dans la littérature. L’infiltration de corticoïdes dans les lésions méniscales non chirurgicales peut être un traitement acceptable chez les patients non sportifs. Les sportifs nécessitent une évaluation clinique rapprochée, en raison de leur demande fonctionnelle plus importante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82268
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 165-171[article] Infiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum [texte imprimé] / P.-A. Bouche ; P. Guillon . - 2019 . - p. 165-171.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 165-171
Mots-clés : Ménisques de l'articulation du genou Infiltration corticoïdes Résumé : Introduction
La prise en charge des lésions méniscales non chirurgicales n’est pas encore assez bien codifiée, notamment la place des infiltrations de corticoïdes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance de ces infiltrations dans le traitement des lésions méniscales traumatiques ou dégénératives et d’essayer d’en établir les indications.
Méthode
Tous les patients ayant eu une infiltration intra-articulaire du genou pour une lésion méniscale ont été inclus dans l’étude et ont suivi le même protocole. Le critère de jugement principal était le nombre de patients ayant eu une chirurgie méniscale post-infiltration.
Résultats
L’étude, sur 3 ans, a inclus 18 patients (11 hommes et 7 femmes), d’âge moyen 45 ans (22,5–71,9 ans). Au total, 8 patients (44 %) ont subi une intervention chirurgicale. La médiane du délai entre la dernière infiltration et l’intervention chirurgicale a été de 9,1 mois. Il n’y avait pas de différence en termes de caractéristique clinique et de lésions entre le groupe « chirurgie » et le groupe « pas chirurgie ». L’intervention chirurgicale a été plus précoce pour les patients sportifs que chez les non sportifs : 2,43 mois contre 12,03 mois respectivement (p = 0,02). Aucun effet indésirable lié aux infiltrations n’a été relevé.
Discussion
Notre série, malgré le manque de puissance du au faible nombre de participants, retrouve les mêmes résultats que dans la littérature. L’infiltration de corticoïdes dans les lésions méniscales non chirurgicales peut être un traitement acceptable chez les patients non sportifs. Les sportifs nécessitent une évaluation clinique rapprochée, en raison de leur demande fonctionnelle plus importante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82268 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPneumopathie interstitielle diffuse des connectivites in Revue du praticien, 64/7 (Septembre 2014)
[article]
Titre : Pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites : Monographie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 941-945 Langues : Français (fre) Mots-clés : pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites immunosuppresseurs connectivite corticoïdes agents biologiques Résumé : Après les infections induites par les immunosuppresseurs, les pneumopathies interstitielles diffuses sont les complications pulmonaires les plus graves des connectivites. Si la pneumopathie est souvent diagnostiquée au moment ou durant le suivi de la connectivite, certains patients ont une pneumopathie interstitielle diffuse plusieurs années avant que le diagnostic de connectivite ne soit posé. L'approche clinique doit comporter un examen des manifestations extrathoraciques (évoquant une connectivite). La pneumopathie interstitielle non spécifique est l'aspect histologique le plus fréquent. La prise en charge des patients est optimisée par une collaboration multidisciplinaire (interniste, rhumatologue). Ces pneumopathies peuvent être traitées par des corticoïdes, des immunosuppresseurs et des agents biologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41326
in Revue du praticien > 64/7 (Septembre 2014) . - p. 941-945[article] Pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites : Monographie [texte imprimé] . - 2014 . - p. 941-945.
Langues : Français (fre)
in Revue du praticien > 64/7 (Septembre 2014) . - p. 941-945
Mots-clés : pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites immunosuppresseurs connectivite corticoïdes agents biologiques Résumé : Après les infections induites par les immunosuppresseurs, les pneumopathies interstitielles diffuses sont les complications pulmonaires les plus graves des connectivites. Si la pneumopathie est souvent diagnostiquée au moment ou durant le suivi de la connectivite, certains patients ont une pneumopathie interstitielle diffuse plusieurs années avant que le diagnostic de connectivite ne soit posé. L'approche clinique doit comporter un examen des manifestations extrathoraciques (évoquant une connectivite). La pneumopathie interstitielle non spécifique est l'aspect histologique le plus fréquent. La prise en charge des patients est optimisée par une collaboration multidisciplinaire (interniste, rhumatologue). Ces pneumopathies peuvent être traitées par des corticoïdes, des immunosuppresseurs et des agents biologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41326 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtComplications ostéoarticulaires des transplantations d'organe / G. Ayoub in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2007)
Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dopage en pathologie ostéoarticulaire : physiologie et risques / H. Nielens in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2006)
[article]
Titre : Dopage en pathologie ostéoarticulaire : physiologie et risques Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Nielens ; M.-P. Hermans Année de publication : 2006 Article en page(s) : 15-920 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Dopage Appareil locomoteur Anabolisants Corticoïdes Muscles Tendons Résumé : Le dopage est un phénomène très ancien puisque des textes remontant à l'Antiquité en font état. Au cours de ces dernières décennies, le dopage a considérablement évolué, parallèlement au développement de nouvelles substances et procédés dans l'arsenal thérapeutique médical. À la fin des années 1990, le dopage s'est généralisé dans certains milieux sportifs professionnels au point qu'une réaction concertée des instances sportives, politiques et judiciaires s'est avérée indispensable. Cette réaction a abouti à la création de l'Agence mondiale antidopage (AMA) en s'appuyant sur le fruit des efforts considérables consentis dans le domaine par le Comité Olympique International. L'AMA édite chaque année une liste mise à jour des substances et des moyens interdits qui fait référence internationalement et qui est accessible sur le site de l'institution (http://www.wada-ama.org). Cet article propose un rappel succinct des effets des principales substances dopantes ayant des répercussions potentielles sur l'appareil locomoteur. Les effets escomptés par les sportifs qui y ont recours sont décrits, tout comme les autres effets éventuels. Une description plus détaillée des effets secondaires possibles sur les différents constituants de l'appareil locomoteur est reprise dans ce manuscrit. Les principales substances abordées sont les stéroïdes anabolisants, l'hormone de croissance et les glucocorticoïdes. Enfin, ce travail se termine par la présentation des données actuelles en matière de dopage génétique susceptible d'avoir des répercussions sur l'appareil locomoteur. Note de contenu : Introduction
Stéroïdes anabolisants
Hormone de croissance
Glucocorticoïdes
Autres facteurs de croissance et de différenciation musculaire
Dopage génétiquePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44125
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2006) . - 15-920 [Tome 7][article] Dopage en pathologie ostéoarticulaire : physiologie et risques [texte imprimé] / H. Nielens ; M.-P. Hermans . - 2006 . - 15-920 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2006) . - 15-920 [Tome 7]
Mots-clés : Dopage Appareil locomoteur Anabolisants Corticoïdes Muscles Tendons Résumé : Le dopage est un phénomène très ancien puisque des textes remontant à l'Antiquité en font état. Au cours de ces dernières décennies, le dopage a considérablement évolué, parallèlement au développement de nouvelles substances et procédés dans l'arsenal thérapeutique médical. À la fin des années 1990, le dopage s'est généralisé dans certains milieux sportifs professionnels au point qu'une réaction concertée des instances sportives, politiques et judiciaires s'est avérée indispensable. Cette réaction a abouti à la création de l'Agence mondiale antidopage (AMA) en s'appuyant sur le fruit des efforts considérables consentis dans le domaine par le Comité Olympique International. L'AMA édite chaque année une liste mise à jour des substances et des moyens interdits qui fait référence internationalement et qui est accessible sur le site de l'institution (http://www.wada-ama.org). Cet article propose un rappel succinct des effets des principales substances dopantes ayant des répercussions potentielles sur l'appareil locomoteur. Les effets escomptés par les sportifs qui y ont recours sont décrits, tout comme les autres effets éventuels. Une description plus détaillée des effets secondaires possibles sur les différents constituants de l'appareil locomoteur est reprise dans ce manuscrit. Les principales substances abordées sont les stéroïdes anabolisants, l'hormone de croissance et les glucocorticoïdes. Enfin, ce travail se termine par la présentation des données actuelles en matière de dopage génétique susceptible d'avoir des répercussions sur l'appareil locomoteur. Note de contenu : Introduction
Stéroïdes anabolisants
Hormone de croissance
Glucocorticoïdes
Autres facteurs de croissance et de différenciation musculaire
Dopage génétiquePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44125 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Prise en charge du choc septique en 2005 - Aspects pratiques in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, Spplément 2 (2005)
PermalinkLa corticothérapie a-t-elle une place dans la prise en charge des bronchiolites des nourrissons ? in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, SPECIAL NOVEMBRE (1993)
PermalinkFaut-il traiter par antibiotiques les bronchites aiguës de l'adulte sain ou du bronchitique chronique non insuffisant respiratoire ? Par quelles molécules ? Chez quel type de patient ? in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, 5 (2001)
PermalinkFiches pratiques / S. DOLIGER in Le Point vétérinaire, Numéro spécial 36-2005 (2005)
PermalinkL'HEPATITE C , DONNEES ACTUELLES . Comité d'Interface entre l'Instirut National de la Santé et de la Recherche Médicale et la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Francaise , Paris 1er avril 1994 in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, SPECIAL OCTOBRE (1995)
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