Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé ce vendredi 17 mai.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé ce vendredi 17 mai.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'bilan immunologique'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Gammapathies monoclonales de signification rénale / Virginie Pascal in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 560 (mars 2024)
[article]
Titre : Gammapathies monoclonales de signification rénale Type de document : texte imprimé Auteurs : Virginie Pascal ; Vincent Javaugue ; Sebastien Bender ; Christophe Sirac ; Frank Bridoux Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 24-35 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00106-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : bilan immunologique biopsie rénale immunoglobuline monoclonale MGRS, néphrotoxicité Résumé : Les gammapathies monoclonales de signification rénale (MGRS pour Monoclonal gammopathy of renal significance) sont définies par l’association d’un petit clone B et d’une néphropathie induite par l’immunoglobuline monoclonale (IgMo) sécrétée. La néphrotoxicité des IgMo est dictée par leurs caractéristiques physicochimiques et fait intervenir des mécanismes directs (dépôt) ou indirects. Les néphropathies des MGRS sont classées en trois groupes selon la composition et l’aspect ultra structural des dépôts, la plus fréquente étant l’amylose AL, définie par des dépôts organisés fibrillaires de chaînes légères (CL) monoclonales. Le diagnostic, évoqué par les manifestations rénales et extra-rénales, nécessite une confirmation histologique avec étude en microscopie optique, immunofluorescence et microscopie électronique d’une biopsie rénale. La précocité du diagnostic et l’obtention rapide d’une réponse hématologique profonde par un traitement ciblant le clone conditionnent le pronostic. Un bilan immunologique et hématologique approfondi est donc requis pour caractériser l’IgMo pathogène (électrophorèse et immunofixation sérique et urinaire, dosage des CL libres sériques) et identifier le clone sous-jacent, souvent plasmocytaire (étude de la moelle osseuse en cytométrie de flux, cytogénétique). Cette revue fait le point sur les avancées récentes dans le diagnostic des MGRS en mettant l’accent sur les nouvelles méthodes (biologie moléculaire, protéomique) qui devraient faciliter la prise en charge de ces pathologies rares et complexes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116736
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 24-35[article] Gammapathies monoclonales de signification rénale [texte imprimé] / Virginie Pascal ; Vincent Javaugue ; Sebastien Bender ; Christophe Sirac ; Frank Bridoux . - 2024 . - p. 24-35.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00106-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 24-35
Mots-clés : bilan immunologique biopsie rénale immunoglobuline monoclonale MGRS, néphrotoxicité Résumé : Les gammapathies monoclonales de signification rénale (MGRS pour Monoclonal gammopathy of renal significance) sont définies par l’association d’un petit clone B et d’une néphropathie induite par l’immunoglobuline monoclonale (IgMo) sécrétée. La néphrotoxicité des IgMo est dictée par leurs caractéristiques physicochimiques et fait intervenir des mécanismes directs (dépôt) ou indirects. Les néphropathies des MGRS sont classées en trois groupes selon la composition et l’aspect ultra structural des dépôts, la plus fréquente étant l’amylose AL, définie par des dépôts organisés fibrillaires de chaînes légères (CL) monoclonales. Le diagnostic, évoqué par les manifestations rénales et extra-rénales, nécessite une confirmation histologique avec étude en microscopie optique, immunofluorescence et microscopie électronique d’une biopsie rénale. La précocité du diagnostic et l’obtention rapide d’une réponse hématologique profonde par un traitement ciblant le clone conditionnent le pronostic. Un bilan immunologique et hématologique approfondi est donc requis pour caractériser l’IgMo pathogène (électrophorèse et immunofixation sérique et urinaire, dosage des CL libres sériques) et identifier le clone sous-jacent, souvent plasmocytaire (étude de la moelle osseuse en cytométrie de flux, cytogénétique). Cette revue fait le point sur les avancées récentes dans le diagnostic des MGRS en mettant l’accent sur les nouvelles méthodes (biologie moléculaire, protéomique) qui devraient faciliter la prise en charge de ces pathologies rares et complexes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116736 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleSpectre des déficits immunitaires primitifs et secondaires en 2023 / Coralie Mallebranche in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 549 (février 2023)
[article]
Titre : Spectre des déficits immunitaires primitifs et secondaires en 2023 Type de document : texte imprimé Auteurs : Coralie Mallebranche Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 24-29 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(23)00023-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : bilan immunologique déficit immunitaire primitif déficit immunitaire secondaire erreur innée de l’immunité immunosuppression Résumé : Les déficits immunitaires regroupent des pathologies ayant pour point commun une altération quantitative ou qualitative des mécanismes impliqués dans l’immunité. Ils peuvent être primitifs, d’origine génétique, ou secondaires à une autre pathologie. Les principaux événements présentés par les patients sont des infections sévères, chroniques ou récurrentes, mais d’autres manifestations peuvent survenir et doivent être recherchées, comme une auto-immunité, une auto-inflammation ou une complication oncologique. Plus de 485 déficits immunitaires primitifs ou erreurs innées de l’immunité sont décrits à ce jour. Leur diagnostic est orienté par l’anamnèse, la clinique et les examens biologiques initiaux. La confirmation du diagnostic est généralement génétique, et la prise en charge doit être adaptée spécifiquement au patient et à la pathologie. Les déficits immunitaires secondaires sont majoritairement réversibles par le traitement de la pathologie causale, mais peuvent parfois survenir sur un terrain génétique prédisposant. La possibilité d’une erreur innée de l’immunité devrait ainsi être interrogée pour chaque patient présentant un déficit immunitaire. Note de contenu : Issu du dossier " Déficits immunitaires : erreurs et ratés de l'immunité" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109736
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 549 (février 2023) . - p. 24-29[article] Spectre des déficits immunitaires primitifs et secondaires en 2023 [texte imprimé] / Coralie Mallebranche . - 2023 . - p. 24-29.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(23)00023-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 549 (février 2023) . - p. 24-29
Mots-clés : bilan immunologique déficit immunitaire primitif déficit immunitaire secondaire erreur innée de l’immunité immunosuppression Résumé : Les déficits immunitaires regroupent des pathologies ayant pour point commun une altération quantitative ou qualitative des mécanismes impliqués dans l’immunité. Ils peuvent être primitifs, d’origine génétique, ou secondaires à une autre pathologie. Les principaux événements présentés par les patients sont des infections sévères, chroniques ou récurrentes, mais d’autres manifestations peuvent survenir et doivent être recherchées, comme une auto-immunité, une auto-inflammation ou une complication oncologique. Plus de 485 déficits immunitaires primitifs ou erreurs innées de l’immunité sont décrits à ce jour. Leur diagnostic est orienté par l’anamnèse, la clinique et les examens biologiques initiaux. La confirmation du diagnostic est généralement génétique, et la prise en charge doit être adaptée spécifiquement au patient et à la pathologie. Les déficits immunitaires secondaires sont majoritairement réversibles par le traitement de la pathologie causale, mais peuvent parfois survenir sur un terrain génétique prédisposant. La possibilité d’une erreur innée de l’immunité devrait ainsi être interrogée pour chaque patient présentant un déficit immunitaire. Note de contenu : Issu du dossier " Déficits immunitaires : erreurs et ratés de l'immunité" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109736 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
Disponible